Cochon dégraissé ...

Vin diousse le nourrin était si maigre qu'il s'est envolé, en voila une belle histoire !

ah didiousse , il y avait déjà garcimore avec "le pichon il a disparu" et maintenant c' est le nourrin qui fait des siennes !!!!!!

Il est fort ..... A bracadabra, tu l'auras......... mais tu ne l'auras pas !

Quèzquidiz ?
Le nourrin de qui ?

Oups, je crois comprendre....

Le nourrin de maître Capello !!!!!

Et alors, c'est à sec ?
Moi je dois être à zéro, j'y suis pas repassé....

il est cassé !! plus rien à mettre dedans

Adieu veau, vache, cochon, couvée....

Ca part à vaux l'eau ?

Superpepette sur sa tête ayant un Pot au lait
Bien posé sur un coussinet,
Prétendait arriver sans encombre à la ville.
Légère et court vêtue elle allait à grands pas ;
Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile,
Cotillon simple, et souliers plats.
Notre laitière ainsi troussée
Comptait déjà dans sa pensée
Tout le prix de son lait, en employait l'argent,
Achetait un cent d'oeufs, faisait triple couvée ;
La chose allait à bien par son soin diligent.
Il m'est, disait-elle, facile,
D'élever des poulets autour de ma maison :
Le Renard sera bien habile,
S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon.
Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ;
Il était quand je l'eus de grosseur raisonnable :
J'aurai le revendant de l'argent bel et bon.
Et qui m'empêchera de mettre en notre étable,
Vu le prix dont il est, une vache et son veau,
Que je verrai sauter au milieu du troupeau ?
Superpepette là-dessus saute aussi, transportée.
Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée ;
La dame de ces biens, quittant d'un oeil marri
Sa fortune ainsi répandue,
Va s'excuser à son mari
En grand danger d'être battue.
Le récit en farce en fut fait ;
On l'appela le Pot au lait.

cochon qui s' en dédit

le mauvais patogaz aurait préféré mettre de sa poche
plutôt que de voir ainsi une fin aussi moche