Financement part sociale

Alors j ai une question
J ai une offre d exploitation ou il s agit de reprendre des part sociales
Il m semble que ces part sociales se financen au privee soit apres msa et ir
Et que ca s amortie pas
Puis je me permettre de recueillir vos avis

C'est ça, on n’amortit pas des parts sociales et on les finance au privé

Dc o final ca pique bp
A prix egal vaut mieux reprendre une exploitation en nom perso comme ca on amortie tt ou presque

Le problème des sociétés agricoles est que la présence d'associée personne morale est interdite ou limitée selon les structures.

Pour racheter une SARL, un copain a fait une SARL à associé unique, enfin un bon samaritain lui a fait à prix coutant (moins de 300€ : immatriculation infogreffe et annonce légale), dont l'objet est la détention de participations dans d'autres structures (une "holding" en termes savants ). Cette EURL emprunte pour racheter les parts de la première SARL, elle perçoit les dividendes de la SARL, et elle déduit toute la charge de l'emprunt, ce qui fait qu'il y a pas ou peu d'imposition pendant toute la durée de remboursement.

Es ce applicable avec une reprise de scea
Sans griller ma dja au bout et sans payer trop d msa

Oui voilà c'est comme Paulo écrit qu'il faut faire
Et une SCEA peut avoir des associés personnes morales

Et savez vous sur quel duree on emprunte pour financer des parts sociales
15 ans maxi non ?
Et les dividendes sont exclu de msa logiquement c une charge ?

chogoss a écrit:Dc o final ca pique bp
A prix egal vaut mieux reprendre une exploitation en nom perso  comme ca on amortie tt ou presque

c est clair vaut mieux acheter batiments et matos pour le prix du montant de parts sociales
les parts sociales ne s amortissent pas et tu te fais claquer en msa et impots si t es aux plus value en plus , tu peux ajuster le prix du matos que tu comptes changer rapidemant : en parts socieles rien de tout ca

Bah ca m interpelle un peu
Et l autre point qui m intrrpelle
C bail de 25 ans renouvelable mais tres facilement reprenable au bout d 25 ans

chogoss a écrit:Bah ca m interpelle un peu
Et l autre point qui m intrrpelle
C bail de 25 ans renouvelable mais tres facilement reprenable au bout d 25 ans

Je crois connaître l'exploitation dont tu parles, je suis allé voir et j'ai préféré laisser tomber.

Fabocacid a écrit:Et une SCEA peut avoir des associés personnes morales

Ok pour les associés personne morale dans la SCEA, cependant l'activité de "détentions de participations dans d'autres structures" ne me parait pas agricole. Il reste la possibilité de SARL/SAS.

chogoss a écrit:Et les dividendes sont exclu de msa logiquement c une charge ?

Les dividendes sont des produits, qui vont être diminués de la charge que représente le crédit, pendant sa durée de remboursement.

chogoss a écrit:C bail de 25 ans renouvelable mais tres facilement reprenable au bout d 25 ans

En général, les baux à long terme conclus au profit de descendants sont de 18 ans. A l’expiration l’exploitant a droit au renouvellement tous les 9 ans.
En revanche, ceux qui ne sont pas conclus à des descendants sont très souvent de 25 ans, et prennent fin au terme de 25 ans. L’idée est que les bailleurs puissent retrouver une certaine maitrise de leur bien à l’expiration du bail, qu’ils n’auraient pas avec un bail de 18 ans puisque celui-ci se renouvelle obligatoirement. C’est donc un point à voir surtout si la durée restante est faible.

PaulO a écrit:Le problème des sociétés agricoles est que la présence d'associée personne morale est interdite ou limitée selon les structures.

Pour racheter une SARL, un copain a fait une SARL à associé unique, enfin un bon samaritain lui a fait à prix coutant (moins de 300€ : immatriculation infogreffe et annonce légale), dont l'objet est la détention de participations dans d'autres structures (une "holding" en termes savants   ). Cette EURL emprunte pour racheter les parts de la première SARL, elle perçoit les dividendes de la SARL, et elle déduit toute la charge de l'emprunt, ce qui fait qu'il y a pas ou peu d'imposition pendant toute la durée de remboursement.

c'est pas si simple et en plus tu te retrouve avec deux societés au final ça engraisse bien les comptables et je ne parle meme pas de la reprise de tes enfants,et oui c'est pas demain la veille mais faut y penser.
je suis dans le meme cas je dois reprendre la sarl de mes parents dans quelque année mais je ne sais pas comment.

ritchi59 a écrit:c'est pas si simple et en plus tu te retrouve avec deux societés au final ça engraisse bien les comptables et je ne parle meme pas de la reprise de tes enfants,et oui c'est pas demain la veille mais faut y penser.
je suis dans le meme cas je dois reprendre la sarl de mes parents dans quelque année mais je ne sais pas comment.

Pour mettre çà en place, il faut impérativement que la société « fille » dégage un bénéfice qui remonte dans la société « mère », sinon ça n’a effectivement aucun intérêt. Dans le cas auquel je pense (pas agricole), l’économie fiscale était simple à calculer pour le repreneur parce-qu'il travaillait déjà dans la boite et savait que les bénéfices étaient réguliers. Ça évite que l’associé soit taxé sur la somme qui lui sert à rembourser le crédit.

Le coût lié à la comptabilité est plus faible que dans la société qui exploite réellement. Il y a beaucoup moins de mouvements comptables dans la société « mère » que dans la société « fille », puisqu’il n’y a pas de facture au jour le jour.

Chaque cas est différent, mais dans le domaine agricole, il y a quand même 2 gros avantages à racheter les parts plutot que de transmettre de façon isolée chaque élément de la société : droits d'enregistrement très avantageux sur les cessions de parts de sociétés agricoles, et si la société est titulaire de baux ruraux, ils peuvent se poursuivre puisqu'il n'y a pas de changement de preneur.