l'écologie intensive vue par l'inra !!

en plus de l'écologie intensive l'inra veut!
investir la question de la volatilité des prix agicoles pour proposer des solutions !!
mettre au point des stratégies agricole et agroforestiéres pour donner des reponses a la raréfactions des energies fossiles !!
et bien entendu sans nuire a la production de denrées alimentaire !
le tout bien evidemment en reduisant les effets de gaz a effet de serre !
vaste programme ,au boulot les amis

ouais ben moi j'aurai plus mal aux dents quand ce sera au point

hermine 22 a écrit:investir la question de la volatilité des prix agicoles pour proposer des solutions !!

bien sur quand on retrouve nos prix de cereales de 92, mais pas quand on ertait à 80 €/tonnes


et oui, l'inra se cherche d'autre fonctions qui lui assureront la perenité car depuis 20 ans, c'est en roue libre
alors tout naturellement des postess de gestion de l'agriculture serait mieux que celui de chercheur ou conseilleur

LA VOLATILITE des prix c est la petite oscillation autour de la tendance .du ble a 250 € c est pas de la volatilite .
la volatilite indique un marche tendu.
la volatilite c est le fait que en tres peu de temps le ble vaut 247 a midi 255 a 15 h et 250 a 28h
si le ble vaut 120 en juin et 250 en janvier 11 pour la meme recolte c est pas de la volatilite

gingko a écrit:LA VOLATILITE des prix c est la petite oscillation autour de la tendance .du ble a 250 € c est pas de la volatilite .
la volatilite indique un marche tendu.
la volatilite c est le fait que en tres peu de temps le ble vaut 247 a midi 255 a 15 h et 250 a 28h
si le ble vaut 120 en juin et 250 en janvier 11 pour la meme recolte c est pas de la volatilite

Ginko, tu vis sur une autre planète, je n'ai que 24 H dans ma journée !

pas le temps de relire!!!

gingko a écrit:pas le temps de relire!!!

Prends le !!! tu es comme beaucoup, tu n'as qu'une vie .

dgé a écrit:et oui, l'inra se cherche d'autre fonctions qui lui assureront la perenité car depuis 20 ans, c'est en roue libre
alors tout naturellement des postess de gestion de l'agriculture serait mieux que celui de chercheur ou conseilleur

L'INRA est effectivement en roue libre en matière de recherche agronomique.
C'est plus facile de publier des études économiques et sociologiques dont les thèses n'ont pas à être scientifiquement démontrées, que de faire de la science dure.
L'INRA comme toute la "recherche" publique subit les dérives idéologiques communes à l'"intelligentsia" française, mais en plus il lui faut présenter des programmes séduisant politiquement. Par exemple, on lui accorde des crédits pour chercher en vain "la petite bête" aux OGM et aux pesticides, qu'à faire de la transgenèse ou trouver des solutions aux problèmes agronomiques.

+ 1. L'argent public se fait rare (enfin ça dépend pour quoi ...)
Auparavant la recherche menait des travaux pour répondre à des attentes du terrain, le financement suivait.
Aujourd'hui, les finances orientent les programmes de recherches, et peu importe si cela ne répond plus aux besoins du terrain...

Cultilandes a écrit:

dgé a écrit:et oui, l'inra se cherche d'autre fonctions qui lui assureront la perenité car depuis 20 ans, c'est en roue libre
alors tout naturellement des postess de gestion de l'agriculture serait mieux que celui de chercheur ou conseilleur

L'INRA est effectivement en roue libre en matière de recherche agronomique.
C'est plus facile de publier des études économiques et sociologiques dont les thèses n'ont pas à être scientifiquement démontrées, que de faire de la science dure.
L'INRA comme toute la "recherche" publique subit les dérives idéologiques communes à l'"intelligentsia" française, mais en plus il lui faut présenter des programmes séduisant politiquement. Par exemple, on lui accorde des crédits pour chercher en vain "la petite bête" aux OGM et aux pesticides, qu'à faire de la transgenèse ou trouver des solutions aux problèmes agronomiques.

C'est en effet un souci que je partage d'autant plus travaillant juste en aval de l'INRA ... Leurs travaux deviennent abstraits et s'éloignent donc de la volonté d'ARVALIS de faire "utile, utilisable et utilisé".

il y aurait des pistes de recherches :trouver des produits phytos inoffensifs et efficasse ,le stress du a la secheresse ,produire avec peu d engrais mais en faisant la meme quantite de production
alors il font quoi a l inra?