Vendre ou attendre ??? VERSION 2011 !

Rappel du premier message :

all good tout ca pour ma popoche
Bon allez prévision cotation fin septembre (dans 1 mois) : 230

...... La perception des stocks mondiaux de maïs se termine adéquats est, franchement, inexacte. Les stocks de maïs du monde n'ont jamais été plus serré. Les stocks mondiaux de maïs ont diminué pour mettre fin à trois années consécutives. En outre, parce que l'utilisation totale de maïs continue d'augmenter, les stocks d'utilisation mondiale de maïs, juste en dessous de 15%, n'a pas été aussi bas remonte à 1981. Au niveau mondial, l'utilisation de maïs a dépassé la production mondiale pour les trois dernières années. Depuis 2007, l'utilisation totale de maïs ont commencé à accélérer et continue d'atteindre de nouveaux records chaque année. Ainsi, la perception que les stocks mondiaux de maïs sont clos adéquat est tout simplement inexact. Un changement majeur dans le marché du maïs, qui conduit à la perception que les stocks de maïs du monde sont adéquates est le fait que les Etats-Unis perdent des parts de marché dans l'arène des exportations mondiales de maïs. Ceci est une réponse directe aux prix record du maïs élevé, ce qui a encouragé d'autres pays à accroître leur production. C'est tout à fait nécessaire, car les Etats-Unis a de la difficulté réelle expansion de la production assez rapidement pour répondre à la demande mondiale s'accélère pour le maïs. Ainsi, lorsque nous voyons nos clients traditionnels de l'importation du maïs d'achat de grandes quantités d'Amérique du Sud, Afrique du Sud, la Russie et l'Ukraine, la perception que les stocks de maïs se développe monde sont parfaitement adéquates. Encore une fois, les données indiquent tout le contraire.

Compte tenu du problème potentiel important en ce qui concerne la sécheresse dans l'ouest de la ceinture de maïs, je dois demander ce qui arrive si l'économie américaine gagne la traction dans les mois à venir? Que faire si le dollar américain continue de pointe vers le bas et ce qui arrive si les Chinois continuent à venir aux États-Unis de grandes quantités de maïs? N'importe lequel de ces ou toute combinaison de ces trois développements fondamentaux a le potentiel pour faire grimper les prix du maïs de retour vers le haut vers leurs sommets record.

Cherchez le contrat de maïs Décembre à trouver des niveaux croissants de soutien comme elle métiers vers le bas vers 6,30 $. Une clôture au-dessus 6,65 $, si et quand elle survient, ciblera les prix à un test des hauts. Mon objectif à l'envers en cours dans le contrat de maïs Décembre est 7,70 $.

super achille ,une vrai traduction

Les prix en hausse, notamment en maïs, le contrat blé novembre 2011 valait 187 €/t (+ 0,25 €/t) et le contrat maïs 191,75 €/t (+ 3,50 €/t).

zarouf a écrit:Colza : -12.50 € aujourd'hui.!

L'échéance novembre a cloturé ce soir, elle n'était plus significative.

CANBERRA (Dow Jones)--Wheat production in Australia's New South Wales state will fall 20% this crop year to 7.11 million metric tons, the Department of Primary Industries said in a Grains Report issued Tuesday.

nov flambe j y comprend plus rien !
Nov 11

17:03:23

201.5

202.25

202

+6.00

3.06%

202.5

195.25

ou est passé Mib ??

cloture de l'echeance novembre 2012 demain.Je sais pas comment interpreter cette hausse mais à mon avis c'est pas significatif.(surement quelques rachats de lots par des retardataires)

janvier est à +1 et nov 2012 à -0,25

gb62 a écrit:ou est passé Mib ??

si il aparait en invité il c est désinscrit ?

rapport USDA demain je crois. Alors à votre avis tendance haussière ou nouveau coup foireux?

Olivier62 a écrit:rapport USDA demain je crois. Alors à votre avis tendance haussière ou nouveau coup foireux?

je sais pas pourquoi mais je le sens pas
j espere que je me trompe

heureusement que le bilan maïs est tendu au US ça tire le reste des céréales . De toute façon vu les stocks annoncées un peu partout ailleurs, ça flambera pas cet hiver au mieux ça va rester stable.
et sauf a avoir un printemps cata pour les prévisions je ne vois pas trop comment ça pourrait monter .

Fly49 a écrit:heureusement que le bilan maïs est tendu au US ça tire le reste des céréales . De toute façon vu les stocks annoncées un peu partout ailleurs, ça flambera pas cet hiver au mieux ça va rester stable.
et sauf a avoir un printemps cata pour les prévisions je ne vois pas trop comment ça pourrait monter .

+1,j'ai fini de vendre 2011 et je commence à songer à engager doucement 2012

carlo s a écrit:nov flambe j y comprend plus rien !
Nov 11

Nov 11 clôture à la fin de la semaine, Laurent a vu juste !

laurent53 a écrit:

Fly49 a écrit:heureusement que le bilan maïs est tendu au US ça tire le reste des céréales . De toute façon vu les stocks annoncées un peu partout ailleurs, ça flambera pas cet hiver au mieux ça va rester stable.
et sauf a avoir un printemps cata pour les prévisions je ne vois pas trop comment ça pourrait monter .

+1,j'ai fini de vendre 2011 et je commence à songer à engager doucement 2012

Je récupère les papiers pour passer les ordres demain et je crois que je vendre pas mal de 2012 très prochainement , j'ai bien peur que ça se casse la gueule d'un coup . Sans les stocks de maïs tendu au US on serait en dessous de 150 pour le blé et il ne faut pas oublier que pour la France on a tout de même la meilleure récolte de maïs de tout les temps .

A ce sujet si vous pouviez m'indiquer les bases pratiquées actuellement par chez vous pour du novembre 2012

Fly49 a écrit:A ce sujet si vous pouviez m'indiquer les bases pratiquées actuellement par chez vous pour du novembre 2012

vendredi on m'a proposé du 165 (livraison recolte 2012 paiement 30/11)


un copain ma dit qu'il avait eu du 168,5 le meme jour(CAM) agrial etait à 152 ou 153

.

la base est pas degueu,je trouve.je pense en vendre un chouilla si ça se tient

Le wheat monte ce soir avant le rapport USDA...

165 c'est pas miraculeux si on compare a cette année ;;; mais on en aurait bien voulu en 2009
je vais surement en faire aussi

je n'y connais rien, mais comment se fait-il que le matif janvier 2012 soit a peu prêt au même prix que le janvier 2013?
d'habitude, il y a une décote pour la récolte plus lointaine, non?

Fly49 a écrit:165 c'est pas miraculeux si on compare a cette année ;;; mais on en aurait bien voulu en 2009
je vais surement en faire aussi

j'ai un pote qui me ressort les vieux SMS de ce que lui proposiaient les negoces en 2009 ;ça fait redescendre sur terre.


y'a deux inconnues le rendement et le prix de l'azote,pour le reste,il me semble qu'à 165 on gagne notre vie

Fly49 a écrit:heureusement que le bilan maïs est tendu au US ça tire le reste des céréales . De toute façon vu les stocks annoncées un peu partout ailleurs, ça flambera pas cet hiver au mieux ça va rester stable.
et sauf a avoir un printemps cata pour les prévisions je ne vois pas trop comment ça pourrait monter .

suffit qu'il ne neige pas en Russie et là c'est jackpot

l'azote est sous le hangar depuis hier 30N + 7S 359€ / t et il m'en reste un peu de l'an dernier. J'en ai aussi réservé un peu en vrac qui est arrivée chez le négoce .
Pour le rendement ,quand on aura une idée précise la dessus il sera trop tard pour avoir de remord ....

euh ca plonge ???

-8.25...

nov 11 : on s'en fout
regarde les autres échéances

-0.25

artesien a écrit:nov 11 : on s'en fout
regarde les autres échéances

http://webmail1k.orange.fr/webmail/fr_FR/download/DOWNLOAD_READ_PDF.html?IDMSG=11991&PJRANG=2&NAME=Analyse_hebdo_cereales_ble_dur_ag_pt_651.pdf&FOLDER=INBOX

marche pas ton lien basto

plutôt legerement haussier.

Bilan US :
- Blé : Stock en baisse de 0,2MT, à 22,5MT
- Maïs : Stock en baisse de 0,6MT, à 21,4MT
- Soja : Stock en hausse de 1MT, à 5,3MT

Bilan Monde :
- Blé : Stock en hausse de 0,2MT, à 202,6MT
- Maïs : Stock en baisse de 1,6MT, à 121,6MT
- Soja : Stock en hausse de 0,5MT, à 63,5MT


rendement de maïs US à 146,7bu/acre (contre 147,5bu/acre attendu).

manu17 a écrit: marche pas ton lien basto

zut ze comprend po

http://webmail1k.orange.fr/webmail/fr_FR/download/DOWNLOAD_READ_PDF.html?IDMSG=11991&PJRANG=2&NAME=Analyse_hebdo_cereales_ble_dur_ag_pt_651.pdf&FOLDER=INBOX

et là

pareil

Niet

pefffff je ne vois pas ou ça couille

basto a écrit:http://webmail1k.orange.fr/webmail/fr_FR/download/DOWNLOAD_READ_PDF.html?IDMSG=11991&PJRANG=2&NAME=Analyse_hebdo_cereales_ble_dur_ag_pt_651.pdf&FOLDER=INBOX

et là

c'est un format pdf ?

bon là
Tendances moyen terme guidées par les éléments fondamentaux du marché
Les bonnes récoltes de maïs en Europe (63MT) offrent cette année un surplus à l’export. La semaine dernière, les certificats d’export (1,1MT) sont passés au-dessus des certificats d’import. Fait bien atypique alors que l’Europe est structurellement importatrice. Cette configuration est facilitée par la compétitivité des origines européennes. Le rythme effréné des exports peut-il continuer ? Tant que le maïs européen est compétitif, les exports continueront ; d’autant plus qu’une bonne partie des certificats à l’export sont attribués à la Roumanie. Mais l’arrivée de la récolte ukrainienne et la nécessité de valider une campagne à l’export dynamique pour ce pays ; ainsi que les bonnes perspectives de productions en Amérique du Sud pourront freiner les exports européens. Le risque est de se diriger vers une période inter-campagne qui nécessitera un rationnement du maïs ou des imports conséquents.
Les exportations de maïs européen dépassent les
importations
Marché des céréales
Le rapport USDA rappelle une fois de plus des disponibilités de maïs faibles aux Etats-Unis, ce qui est un solide soutien aux prix des céréales. Les fortes disponibilités en blé et la pression Mer Noire et Australie pèseront tout de même sur l’ensemble des prix. Nous attendons de la volatilité suite à la parution du rapport, mais nous restons stables à baissiers.
Marché des oléagineux
Le colza pourrait continuer de s’apprécier dans les prochains jours, avec la dynamique haussière sur les huiles.
L’AVIS DE L’ANALYSTE
le rythme des exportations de maïs européen et les conditions météo en Australie pour les récoltes de céréales
A SUIVRE...
Les dettes publiques européennes encore et toujours
Les engrais
Le prix de l’urée reste ferme au niveau international, même si le dernier appel d’offre montrait une baisse du prix d’achat de 6$/T par rapport au précédent. Sur le marché des engrais phosphatés, les acheteurs comme les vendeurs s’obser-vaient. L’activité était ainsi réduite. Pour la solution azotée, les premières cotations pour des livraisons de printemps apparaissent en France, avec des bases d’environ +5 à +6€/T par rapport à des livraisons d’automne.
Urée fob Yuzhny (Ukraine)
496.00$/T
+1.00
P (DAP) fob Tampa (USA)
625.00$/T
+2.50
Solution azotée FOT Rouen
267.50€/T
-
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News
Contexte économique
Euro
1.380$
Pétrole NY
96.80/bl
Le dossier des dettes publiques était encore au coeur des préoccupations des investisseurs cette semaine. Le projet de référendum en Grèce qui avait surpris tout le monde a été abandonné. L’Italie a été mise sous surveillance du FMI, puis Berlusconi défié par le Parlement italien a été poussé vers la sortie. Il cavaliere quittera ses responsabilités après l'adoption des mesures promises à l'Union européenne et les marchés financiers ont réagi plutôt positivement à ces derniers développements. L’euro s’est ainsi renforcé aux alentours d’1,384$ pour 1€. L’affaiblissement du dollar a aidé la hausse des prix du pétrole, lesquels étaient également soutenus par le rapport d’une mission d’inspection en Iran montrant que le programme nucléaire de ce pays est orienté vers le militaire, contrairement aux affirmations du Président Ahmadinejad.
N°651 – 09 Novembre 2011
Blé
Maïs
Colza
Tournesol
Blé dur
Orge
Tourteaux
Porc
Le marché des céréales a été
relativement stable cette semaine. Seul le
contrat blé Novembre 2011, qui arrive à
échéance demain, a connu une envolée
des cours. Les prix du blé, du maïs et de
l’orge ont évolué très
proche les uns des
autres. Le complexe
céréalier reste donc
toujours influencé
par deux éléments opposés. D’une part,
la tension du bilan américain, comme l’a
rappelé l’USDA dans son rapport mensuel
cette après-midi, demeure une forte
résistance à la baisse des cours. D’autre
part, les récoltes de blé abondantes de
cette année, exercent une forte pression
concurrentielle.
Concernant le maïs, outre la situation
critique aux Etats-Unis, soulignons que
les semis argentins et brésiliens se
déroulent sans aucun problème.
L’humidité des sols est au rendez-vous.
Nous revoyons en hausse les surfaces en
Argentine et au Brésil à
respectivement 3,74Mha et
14,2Mha. Mais avec les
3MT de maïs à importer
cette année en Chine selon
l’USDA (5MT selon le
CNGOIC, centre national
d’information des grains), le
bi lan mondial reste
relativement tendu.
Concernant le blé, les exportations russes
dynamiques confirment le leadership
russe sur la scène international. Depuis
le début de la campagne, la Russie aurait
chargé 13MT de
céréales dont
12MT de blé. Le
r y t h m e
d ’ e x p o r t a t i o n
pourrait être amené à baisser aux dépens
de ces compétiteurs de la Mer Noire. Le
gouvernement du Kazakhstan a confirmé
une récolte céréalière de 29,7MT de poids
brut, soit la possibilité d’une récolte record
supérieure aux 23 MT en poids net, dont
la plus grande majorité de blé. En
Australie, les récoltes de blé continuent
d’avancer. Des pluies ont néanmoins
ralenti le rythme des moissons. De plus,
ces pluies commencent à inquiéter les
opérateurs quant à la qualité des blés à
récolter. D’ailleurs, ces craintes sont aussi
valables pour les orges brassicoles
australiennes. Les conditions de
développement des plantes ont été
favorables durant les derniers mois. Alors
que nous sommes en pleine période de
moisson, des orages et des pluies sont
prévus dans les états du New South
Wales et du Victoria, soit environ 35% des
surfaces australiennes d’orge.
.
« Le gouvernement du Kazakhstan a ainsi
confirmé une récolte céréalière de 29,7MT de
poids brut.»
Moins de maïs aux Etats-Unis, plus de blé dans le monde
Les bonnes perspect ives de
production dans le Western Australia
laissent entrevoir une bonne
campagne à l'export. Cet état devrait
produire 9MT, soit le double de l'an
dernier. Or c'est depuis cet état que
l'Australie réalise l'essentiel de ses
exports. L’Asie du Sud-est est la
première destination, le blé de type
white étant très prisé pour la
fabrication des nouilles asiatiques.
L’Indonésie devrait contractualiser
3,6-4MT de blé. La compétitivité du
blé australien par rapport à ces
grands compétiteurs (Etats-Unis, Mer
Noire) et la baisse des coûts de
transport maritime vont dynamiser la
campagne commerciale et aviver la
pression sur les prix mondiaux du
blé.
Zoom sur… Compétitivité du blé australien en Asie du Sud-est
Marché des céréales
Prix en €/T
Échéance
Euronext
Clôture du
08/11/2011
Var.
hebdo
Options à la
monnaie
Volatilité
options
Blé janv-12 187,50 +3,75 5,7 23,24%
mars-12 184,50 +1,25 8,9 22,71%
Maïs janv-12 188,50 - 6,8 27,73%
mars-12 189,25 +0,25 9,7 24,51%
Orge B. janv-12 258,25 +3,75
mars-12 258,50 +1,00
Orge F. nov/déc 186,00 -4,00
160
180
200
220
26/07/11 16/08/11 06/09/11 27/09/11 18/10/11 08/11/11
€/T
Copyright 2010- Of f re et Demande Agricole - http://www.oda-agri.f r
Blé Euronext Jan12
Blé Chicago Dec11
Maïs Euronext Jan12
Prix du blé de type white CAF Indonésie
origines $/T €/T
Australie 275 200
Mer Noire 282 205
Etats-Unis 295 215
source: Reuters
Les prix du colza et du tournesol étaient
en hausse, alors que le soja était stable.
La hausse des prix du palme, la fermeté
des prix de l’huile de soja et le regain du
pétrole profitaient aux graines riches en
huile.
Le colza bénéficie d’une forte demande
de la part de l’Allemagne qui souhaite
assurer l’approvisionnement de ses
usines, après une récolte décevante. Sur
le Rhin, des problèmes logistiques,
engendrés par le niveau trop faible des
eaux (phénomène de basses eaux) ont
soutenu les bases Moselle. En Australie,
malgré le relèvement des estimations de
production de canola, de fortes
précipitations se sont développées et sont
encore attendues à l’est et au sud-est.
Cela pourrait entraver l’avancée des
travaux dans les champs. L’Ukraine
devrait connaître des pluies dans les jours
à venir et les conditions des plants se
sont légèrement améliorées. Mais l’état
général est encore loin d’être satisfaisant,
sur une surface semée
inférieure à l’année
dernière.
Les prix de la graine de
tournesol se sont
également légèrement
appréciés cette semaine,
alors que les récoltes
russes avancent peu,
freinées par les pluies,
notamment dans la
région de la Volga. En
revanche, les semis
a r g e n t i n s s e
maintiennent sur un bon
rythme. 63% de l’objectif
de semis était réalisé le
3 novembre. La
progression du prix de
l’huile de tournesol à Rotterdam, qui
matérialisait la demande forte de ce
produit, continuait de justifier la demande
en graine et le niveau de trituration.
Enfin, les prix de la fève de soja
marquaient une pause à Chicago, alors
que les récoltes américaines touchent à
leur fin (92%, contre 88% en moyenne
quinquennale). Le rapport USDA de cet
après midi a mentionné un rendement à
41,3bu/acre contre 41,5bu/acre le mois
dernier, et également un retrait des
exportations américaines de fève de soja
pour la campagne. Dans le même temps,
le Brésil et l’Argentine ont bénéficié de
précipitations généreuses, permettant aux
agriculteurs d’avancer dans les chantiers
de semis. Les semis sont réalisés à
hauteur de 12,5% en Argentine et plus de
40% au Brésil.
La relative stabilité de
la parité eurodollar
couplée à la légère
baisse des prix des tourteaux à Chicago
ont permis encore cette semaine une
baisse généralisée des contrats tourteaux
de soja à Montoir. Le 6 de mai 2012 se
rapprochait de son plus bas, depuis
l’ouverture de ce contrat.
La hausse des cours du
pétrole était un soutien à
toutes les huiles.
La semaine a été marquée par
le renforcement de l’huile de
palme, avec le risque de
développement de la Niña. Ce
phénomène s’accompagne de
condi t ions humides en
Indonésie, pouvant ralentir les
travaux de récolte. Les prix de
l’huile de tournesol étaient en
hausse. L’approvisionnement
s’accélère habituellement à
cette époque de l’année. Mais
la fin de la récolte retardée en
Russie et les incertitudes sur
son niveau final de production
modèrent la pression des prix.
L’huile de soja est toujours très
bien valorisée par rapport aux
autres huiles. Aux Etats-Unis,
les disponibilités restreintes de
l’huile de soja du fait d’une
trituration américaine au ralenti
sont insuf f isantes pour
répondre à la forte demande
pour le biodiésel.
Zoom sur….Hausse de la plupart de prix
Le colza soutenu par une bonne demande de la trituration
« La hausse des prix du palme, la
fermeté des prix de l’huile de soja et
le regain du pétrole profitaient aux
graines riches en huile»
Marché des oléagineux
360
380
400
420
440
460
26/07/11 15/08/11 04/09/11 24/09/11 14/10/11
€/T
Copyright 2010 - Offre et Demande Agricole - http://www.oda-agri.fr
Colza Euronext Fev12
Canola Winnipeg Jan12
Rendu St-Nazaire JAN/MAR12
360
380
400
420
440
460
26/07/11 15/08/11 04/09/11 24/09/11 14/10/11 03/11/11
€/T
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Colza Euronext Fev12
Canola Winnipeg Jan12
Rendu St-Nazaire JAN/MAR12
Prix en €/T
Échéance
Euronext
Clôture du
08/11/2011
Var.
hebdo
Options à la
monnaie
Volatilité
options
févr-12 430,50 +11,25 12,7 16,80%
mai-12 416,00 +8,50 18,9 16,82%
St Naz (Nov /
Déc) 395,00 +5,00
Sète (Janv) 392,00 +7,00
Dispo Montoir 284,50 -3,50
6 de Mai 11 283,00 -3,00
T colza Dispo Rouen 185,00 +1,00
Colza
Tournesol
T soja
Les prix du blé dur sont restés stables cette semaine sans grande information, ni activité. Au niveau européen, les certificats d’exports sont délivrés sur un bon rythme. Depuis juillet, près de 500KT ont été attribuées contre 300KT l’année dernière. Les achats des mois précédents sont actuellement en cours de chargement comme en témoigne l’activité dans les ports. Le marché du blé dur a besoin de nouveaux appels d’offres pour se redynamiser.
Le marché devrait rester relativement stable dans l’attente de nouveaux appels d’offres.
L’AVIS DE L’ANALYSTE
Rendu La Pallice
325.00€/T
Rendu Port la Nouvelle
310.00€/T
Siège social : Parc Comitec – Rue Jules Ferry – Bâtiment C n°4 – 18000 Bourges.
Tél : 02.48.69.86.90 – Fax : 02.48.69.86.93 www.oda-agri.com
Pour plus de précisions contactez votre consultant ou appelez
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Calme plat sur le marché physique
La Niña
En savoir plus
Cette année nous parlons une fois encore de la Niña. Pour mesurer l’impact que peut avoir ce phénomène climatique sur l’évolution des prix il est essentiel de le comprendre.
Conditions météorologiques standards ;
En temps normal dans le Pacifique, les alizées soufflent de l’Amérique du sud vers l’Océanie. Ces vents repoussent les eaux de surfaces plus chaudes vers l’Australie et l’Asie du Sud Est.
1. Ces eaux plus chaudes s’accumulent et forment une nappe (marquée en rouge sur le schéma ci-dessus) qui peut atteindre 100 m d’épaisseur.
2. Ce réservoir d’eau chaude océanique associé aux vents d’Est que sont les alizées provoquent une évaporation de l’eau. Cela conduit à des précipitations importantes sur cette région Ouest du Pacifique (Australie, Indonésie).
3. De l’autre côté de l’océan, les eaux froides remontent : ce qui défavorise l’évaporation de l’eau.
La Niña :
Ce phénomène cyclique de plus ou moins grande intensité apparait tous les 4 à 6 ans et peut durer plus d’un an.
1. Il est entrainé par un renforcement des alizées. Ces vents compriment les nappes d’eaux chaudes sur les côtes océaniennes. Ce qui conduit également à un refroidissement des eaux sur les côtes d’Amérique du sud.
2. Le renforcement des vents et de la nappe augmente l’évaporation. Cela conduit à de très fortes précipitations sur toute la région.
3. En Amérique du sud, la remontée des courants froids conduit à un abaissement des températures et potentiellement à des sécheresses sur toute la côte Ouest (Pérou, Chili) et en Argentine.
Conclusion :
La Niña apporte de l’incertitude sur les productions tant sur les volumes que sur la qualité. De Juin 2010 à Mai 2011, elle est responsable des inondations en Australie, des fortes précipitations en Indonésie et de la sécheresse dans le noyau de l’Argentine pendant les semis.
Cette année, le phénomène développé dans cette région s’apparente à une Nina mais de moins grande ampleur en comparaison de ce que nous avons pu constater l’an passé. L’impact sur les récoltes devrait en être d’autant moins important.
Sources : Schéma : D. ducros. Contenu : Météo France, Organisation Météorologique mondiale (http://www.wmo.int), ESA www.esa.int

basto tu crois que je vais lire tout ça ce soir
Fais moi un résumé
J'ai pas suivi le truc

basto a écrit:
CONFIDENTIEL. Cet exemplaire vous est réservé.
Reproduction interdite sous quelques formes que ce soit sous peine de poursuites.

Seb 77 a écrit:

basto a écrit:
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Il faudrait peut-être déplacer ton message

je risque pas grand chose !! ont est des milliers d'abonner et je n'ai rien signé pour la confidentialité

La France dans la bataille à l’exportation (FranceAgriMer)

Australie, Argentine, Russie, Kazakhstan, Ukraine. En blé tendre, plusieurs grands pays exportateurs ont de quoi concurrencer l'origine française d'ici à la fin de la campagne, ont alerté les spécialistes de FranceAgriMer, mercredi, à l'issue du conseil spécialisé des céréales.

La France parviendra-t-elle à exporter les 8,6 millions de tonnes (Mt) de blé tendre vers les pays tiers, comme prévu par FranceAgriMer, dans ses estimations publiées à l'issue de son conseil spécialisé des céréales du 9 novembre 2011 ? En cette première partie de campagne, les prévisionnistes ne sont pas inquiets.

« Au 31 octobre 2011, la France avait déjà chargé 3,5 Mt. Si les expéditions devaient se poursuivre à ce rythme, nous arriverions avec plus de 12 Mt d'exportation. Un score impossible à réaliser compte tenu des disponibilités françaises limitées », observe Xavier Rousselin, responsable de l'unité des marchés des grandes cultures de FranceAgriMer.

L'activité devra donc ralentir. Ce devrait être le cas pour les chargements à destination de l'Algérie – premier client des blés français – qui s'est positionnée aux achats très tôt cette année en raison d'une mauvaise récolte. Ses besoins d'importation devraient se réduire.

Aussi, la compétition à l'exportation devrait continuer, voire s'amplifier. L'Australie s'apprête à engranger une récolte de bonne qualité de plus de 26 Mt. Le spécialiste de FranceAgriMer estime que « le pays pourrait sans problème tenter d'atteindre l'Egypte », le premier importateur mondial.

En revanche, « l'Argentine, avec un disponible pour l'exportation équivalent à celui de l'an dernier, ne devrait pas exporter vers les clients traditionnels de la France ». Le pays aura comme premier souci de fournir ses partenaires de proximité, Brésil en tête.

Du côté des pays de la mer Noire, la Russie a déjà fortement exporté et a annoncé qu'elle remettrait en place des taxes à l'exportation en deuxième partie de campagne, si les expéditions venaient à dépasser 23-24 Mt. En revanche, le Kazakhstan se presse d'écouler une production qui déborde de ses silos, mais se trouve pénalisé pour exporter, par sa dépendance vis-à-vis des infrastructures russes situées sur la mer Noire.

L'Ukraine s'impose cette année comme le plus féroce compétiteur de la France sur sa zone de chalandise, mais la présence de punaises dans les grains l'exclut de certains débouchés comme l'Algérie

sevi a écrit:La France dans la bataille à l’exportation (FranceAgriMer)

Australie, Argentine, Russie, Kazakhstan, Ukraine. En blé tendre, plusieurs grands pays exportateurs ont de quoi concurrencer l'origine française d'ici à la fin de la campagne, ont alerté les spécialistes de FranceAgriMer, mercredi, à l'issue du conseil spécialisé des céréales.

La France parviendra-t-elle à exporter les 8,6 millions de tonnes (Mt) de blé tendre vers les pays tiers, comme prévu par FranceAgriMer, dans ses estimations publiées à l'issue de son conseil spécialisé des céréales du 9 novembre 2011 ? En cette première partie de campagne, les prévisionnistes ne sont pas inquiets.

« Au 31 octobre 2011, la France avait déjà chargé 3,5 Mt. Si les expéditions devaient se poursuivre à ce rythme, nous arriverions avec plus de 12 Mt d'exportation. Un score impossible à réaliser compte tenu des disponibilités françaises limitées », observe Xavier Rousselin, responsable de l'unité des marchés des grandes cultures de FranceAgriMer.

L'activité devra donc ralentir. Ce devrait être le cas pour les chargements à destination de l'Algérie – premier client des blés français – qui s'est positionnée aux achats très tôt cette année en raison d'une mauvaise récolte. Ses besoins d'importation devraient se réduire.

Aussi, la compétition à l'exportation devrait continuer, voire s'amplifier. L'Australie s'apprête à engranger une récolte de bonne qualité de plus de 26 Mt. Le spécialiste de FranceAgriMer estime que « le pays pourrait sans problème tenter d'atteindre l'Egypte », le premier importateur mondial.

En revanche, « l'Argentine, avec un disponible pour l'exportation équivalent à celui de l'an dernier, ne devrait pas exporter vers les clients traditionnels de la France ». Le pays aura comme premier souci de fournir ses partenaires de proximité, Brésil en tête.

Du côté des pays de la mer Noire, la Russie a déjà fortement exporté et a annoncé qu'elle remettrait en place des taxes à l'exportation en deuxième partie de campagne, si les expéditions venaient à dépasser 23-24 Mt. En revanche, le Kazakhstan se presse d'écouler une production qui déborde de ses silos, mais se trouve pénalisé pour exporter, par sa dépendance vis-à-vis des infrastructures russes situées sur la mer Noire.

L'Ukraine s'impose cette année comme le plus féroce compétiteur de la France sur sa zone de chalandise, mais la présence de punaises dans les grains l'exclut de certains débouchés comme l'Algérie

on est donc mal au niveau des prix qui vont continuer de s enfoncer

pas dit,suffit qu'il continue à faire sec en europe de l'est par exemple.

je ne veux pas étre pessimiste mais les catastophes, pour le moment, c'est toujours chez les autres.....
l'hemisphére sud fait ou a fait une récolte et il n'y a jamais eu autant de blé semé dans l'hemisphére nord, donc triste à dire mais s'il n'y a pas de cata quelque part....on est mal barré...

Il y a énormément de blé semé dans mon coin ( quota chicorée diminué de 18 %), mais il fait tres sec,beaucoup de laide levées.

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