Pourquoi les plantes poussent droit

Comment les plantes ressentent-elles si précisément la gravité ?

Mis en ligne mercredi 9 mai 2018 par Daniel MATHIEU - Brèves
Les plantes sont capables de sentir des inclinaisons mêmes très faibles. Pourtant, le mécanisme végétal pour mesurer la gravité est composé de grains microscopiques, un outil de détection de l’inclinaison très peu précis a priori...

Des chercheurs du CNRS, de l’Inra et de l’Université Clermont Auvergne ont expliqué ce curieux paradoxe en observant que ces grains sont agités en permanence dans les cellules végétales, ce qui confère au système granulaire des propriétés proches de celles d’un liquide, comme dans un niveau à bulle. Ces résultats ont été publiés le 30 avril dans PNAS.

Si l’on penche une plante, celle-ci corrigera sa croissance pour pousser à nouveau à la verticale. Mais comment l’a-t-elle senti ? Grâce à des « inclinomètres » cellulaires : des cellules remplies de grains d’amidon microscopiques, les statolithes. La position du tas de grains dans les cellules indique le bas et guide ainsi l’élongation de la plante dans la direction qui lui permet de revenir à la verticalité, en modifiant la distribution d’une hormone de croissance végétale.

Le secret des plantes réside dans leur extrême sensibilité à la gravité, même pour les plus petites inclinaisons. Or, a priori, un empilement de grains constitue un piètre inclinomètre : frottements et enchevêtrements limitent normalement l’écoulement des grains, ce qui rend le système inopérant en dessous d’un angle critique... Sauf chez les plantes, où les statolithes surprennent par leur précision.

Des chercheurs de l’Institut universitaire des systèmes thermiques industriels (CNRS/Aix Marseille Université) et du laboratoire de Physique et physiologie intégratives de l’arbre en environnement fluctuant (Inra/Université Clermont Auvergne) se sont donc associés pour résoudre ce paradoxe. Ils ont tout d’abord observé directement le mouvement des statolithes en réponse à une inclinaison et ont découvert que ces grains ne se comportent pas comme un milieu granulaire classique : ils se déplacent et coulent dans la cellule quel que soit l’angle qu’on lui impose. Comme un liquide, la surface du tas de statolithes finit toujours par revenir vers l’horizontale. Mais comment les cellules font elles pour « fluidifier » le tas de grain ?

Extrait de Téla Botanica

Ils ont pas autre chose à f...tre les chercheurs du cnrs?

On sème une graine,ds n importe quelle position,elle trouve tjrs la sortie.Quand j en ai parlé à un voisin,il était mort de rire.

Pourquoi pas GL.

Voici un sujet tres interessant.

tu prend une plante , tu l expose un coté a la lumiere et de l autre dans le noir , tu verra si ça pousse droit ! les hormones doivent jouer un role niveau excitation

Ceux qui ne comprennent rien à la philosophie ne peuvent comprendre cette question existentielle.

Et Dieu dans tout çà ?

si tu ramène dieu ça va être un bo bordel

8360.47 a écrit:Ils ont pas autre chose à f...tre les chercheurs du cnrs?

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Et les arbres exposé au vent dominant, ils ont une réponse

JJ a écrit:Pourquoi pas GL.

Voici un sujet tres interessant.

et pourquoi certain ne fil pas droit ...

baloud a écrit:Ceux qui ne comprennent rien à la philosophie ne peuvent comprendre cette question existentielle.

On a deux principe majeur :

- le géotropisme

- le phototropisme

Nous le mettons en œuvre chaque jour dans notre métier.

Sur le phototropisme, une meilleur connaissance de ce phénomène (peut être) nous permettrait peut être de résoudre les soucis de "coup de lance flamme" qui empêche les pois de printemps de fructifier à la fleur.

En effet, si on trouve une solution pour qu'il soit à l'ombre au 30 Mai, on remet des pois dans nos champs.

tof a écrit:

8360.47 a écrit:Ils ont pas autre chose à f...tre les chercheurs du cnrs?

+ 1000

c'est clair
après l'inra ,au cnrs les budgets ont du fondre comme neige au soleil
et ils en ont encore de trop
comme dans les ong ,ca ne sert plus qu'a engraisser des permanents via nos impots

hermine 22 a écrit:

tof a écrit:

8360.47 a écrit:Ils ont pas autre chose à f...tre les chercheurs du cnrs?

+ 1000

c'est clair
après l'inra ,au cnrs les budgets ont du fondre comme neige au soleil
et ils en ont encore de trop
comme dans les ong ,ca ne sert plus qu'a engraisser des permanents via nos impots

2016 a marquer une bascule pour l'agriculture.

Il faut virer tous les parasites qui ne servent à rien autour de nous et de ce côté là, il y a du boulot.

GL a écrit:

hermine 22 a écrit:

tof a écrit:

8360.47 a écrit:Ils ont pas autre chose à f...tre les chercheurs du cnrs?

+ 1000

c'est clair
après l'inra ,au cnrs les budgets ont du fondre comme neige au soleil
et ils en ont encore de trop
comme dans les ong ,ca ne sert plus qu'a engraisser des permanents via nos impots

2016 a marquer une bascule pour l'agriculture.

Il faut virer tous les parasites qui ne servent à rien autour de nous et de ce côté là, il y a du boulot.

ca date de bien avant 2016
depuis la fabuleuse pondeuse vedette
et les non moins fabuleux maïs inra qui avait permis d'en semer au nord de la loire ,on n'a plus rien vu
il faut dire que les stations de recherche était parasitée par les stagiaires de l'est avec bien sur des complicités pro rouge interne
la même pondeuse avait d'ailleurs été retrouvée un peu plus tard en hongrie

GL a écrit:

baloud a écrit:Ceux qui ne comprennent rien à la philosophie ne peuvent comprendre cette question existentielle.

On a deux principe majeur :

- le géotropisme

- le phototropisme

Nous le mettons en œuvre chaque jour dans notre métier.

Sur le phototropisme, une meilleur connaissance de ce phénomène (peut être) nous permettrait peut être de résoudre les soucis de "coup de lance flamme" qui empêche les pois de printemps de fructifier à la fleur.

En effet, si on trouve une solution pour qu'il soit à l'ombre au 30 Mai, on remet des pois dans nos champs.

merci, j ai appris qq chose.

baloud a écrit:

GL a écrit:

baloud a écrit:Ceux qui ne comprennent rien à la philosophie ne peuvent comprendre cette question existentielle.

On a deux principe majeur :

- le géotropisme

- le phototropisme

Nous le mettons en œuvre chaque jour dans notre métier.

Sur le phototropisme, une meilleur connaissance de ce phénomène (peut être) nous permettrait peut être de résoudre les soucis de "coup de lance flamme" qui empêche les pois de printemps de fructifier à la fleur.

En effet, si on trouve une solution pour qu'il soit à l'ombre au 30 Mai, on remet des pois dans nos champs.

merci, j ai appris qq chose.

si tu creuse un peu tu aura le role des auxines et leur role dans le phototropisme positif

hermine 22 a écrit:
et  les non moins fabuleux maïs inra qui avait permis d'en semer au nord de la loire ,on n'a plus rien vu
il faut dire que les stations de recherche était parasitée par les stagiaires de l'est avec bien sur des complicités pro rouge interne
la même pondeuse avait d'ailleurs été retrouvée un peu plus tard en hongrie

On le connait en semences.

On paye des semences de maïs et de tournesol plus cher en France.

On supporte les coûts de la recherche pour que les semenciers puissent être "compétitifs" à l'export.

GL a écrit:

hermine 22 a écrit:
et  les non moins fabuleux maïs inra qui avait permis d'en semer au nord de la loire ,on n'a plus rien vu
il faut dire que les stations de recherche était parasitée par les stagiaires de l'est avec bien sur des complicités pro rouge interne
la même pondeuse avait d'ailleurs été retrouvée un peu plus tard en hongrie

On le connait en semences.

On paye des semences de maïs et de tournesol plus cher en France.

On supporte les coûts de la recherche pour que les semenciers puissent être "compétitifs" à l'export.

rien a voir avec mon post
a l'époque c'était gratuitement que la recherche francaise filait a l'est
ca se nomme espionnage

J'ai fais le transports de fleurs coupées ,et couchées dans des bacs .Parti de Nice couchées 24 heures aprés les anémones surtout sont toute vers le haut .Incroyable.