GAV pour avoir defendu sa proprieté agricole !

bravo la CR du sud   ACTION REACTION ......

https://www.facebook.com/verob.coordination.9

action agricole pour sortir un agriculteur de sa mise en GAV suite a la plainte deposé sur lui par des intrus !

le monde à l envers

la cellule DEMETER c est pour les agris ou contre les agri ??????

Faut laisser les voleurs entrer 

pas de facebook

bzh centre a écrit:pas de facebook

idem

mis engarde a vue pour avoir menacé avec un fusil de chasse ..sans cartouches..

ah ouais quand même, ça ne m’étonne  pas, le truand à tous les droits

[size=18][size=14]Par Julien Pellicier
[size=12]Publié le 07/01/2021 à 15h18
Mis à jour à 18h57


 

 

 
La CR 47 manifeste ce jeudi 7 janvier devant la gendarmerie, où un agriculteur templais, impliqué dans une altercation entre automobilistes, est entendu.
Un accident évité de peu, des noms d’oiseaux qui fusent, un mauvais geste. Tous les ingrédients étaient réunis pour déclencher une altercation entre automobilistes. D’une ordinaire banalité sauf que dimanche, vers 14 heures, Alain, qui s’en allait chasser, a mis deux cartouches dans son fusil et tiré une fois en l’air. Fin de l’histoire.
En face, deux frères, d’une trentaine d’années, ont repris leur véhicule. Pas pour regagner leur domicile mais en direction de la gendarmerie de Sainte-Livrade-sur-Lot où ils ont déposé plainte pour menaces et violence avec arme. Jeudi 7 janvier au matin, l’agriculteur de 59 ans, domicilié au Temple-sur-Lot, y était auditionné dans le cadre d’une garde à vue. Convoqué, il s’y est rendu de son plein gré.


Comme quelque 70 agriculteurs, adhérents de la Coordination rurale, qui ont répondu à l’appel lancé par leur président, Pascal Béteille. Au nom de la solidarité, certains sont mêmes venus sans connaître le motif du rendez-vous qui couvait depuis quelques jours et dont la menace avait été exposée : « J’avais prévenu les gendarmes. Il est hors de question qu’il y reste 48 heures.  »
LA RÉDACTION VOUS CONSEILLE
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"Il a eu très peur"

Arrivé un peu avant, son vice-président, Jean-Luc Pujol, ne l’imaginait même pas y passer la nuit. Son ami, selon lui, ne mérite pas un tel traitement. « On est venu pour le soutenir. Après, on verra, selon la décision qui est prise par le parquet. »
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[size=30]"C’est un gars sans histoire. Ils ont tapé sur sa voiture, il a eu très peur. Il est fragile"[/size]

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Dans son dos, un ballet bien organisé se joue. Toujours le même : quelques tracteurs sont arrivés, dont un avec une remorque chargée de bois, des drapeaux jaunes sont distribués, un feu est allumé, aussi vite que la plancha qui grillera les saucisses est installée. La table est dressée, avec packs d’eau minérale et cubis de rouge. De quoi tenir sans soucis quelques heures, sous le regard impassible des militaires disposés autour de la brigade.
« C’est un gars sans histoire. Ils ont tapé sur sa voiture, il a eu très peur, reprend Jean-Luc Pujol. Il est fragile. » Le portrait dépeint des deux autres protagonistes n’est pas très flatteur. Et le partage des responsabilités, selon le comité de soutien d’Alain, ne fait guerre de doutes : «  Ce sont les deux frères qui l’ont agressé. »

"Pas une affaire particulière"

« Quand on vient agresser, on ne porte pas plainte », appuie Pascal Béteille. Dans les locaux de la gendarmerie, pendant ce temps, l’audition se poursuit. Dans le respect de la procédure. Entre les tracteurs, les discussions vont bon train. Beaucoup parlent de leurs propres expériences, du ras-le-bol lié aux vols sur les exploitations. Certains admettent sans détour avoir déjà fait usage d’une arme pour mettre fin à une situation tendue et ne voient pas trop bien ce que l’on reproche à leur collègue.
« On ne peut pas tirer au fusil comme ça », résume un gendarme qui est venu au contact des manifestants et essaye d’expliquer le cadre légal de l’audition. « Elle se passe très bien. L’homme s’explique de lui-même, il est très calme, raconte le commandant Bruno Goy, à la tête de la compagnie de gendarmerie de Villeneuve-sur-Lot. Il veut juste que ça s’arrête et être tranquille. Ce n’est pas une affaire particulière, aucun des trois impliqués n’a de casier. On entend les différentes parties et on essaye simplement de traiter le dossier au plus vite. »
Et en effet, l’affaire est allée vite. Alain a recouvré la liberté à 16 heures avec une convocation pour le mois de mai. Devant le procureur, il devra répondre de violences et menaces avec arme. Un des deux frères impliqué sera quant à lui jugé par le tribunal de police de Villeneuve pour avoir légèrement dégradé le véhicule de l’agriculteur.[/size][/size]
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hebus47 a écrit:

Pascal Béteille et Jean-Luc Pujol échangeant avec un gendarme, devant les locaux de la brigade de Sainte-Livrade, ce jeudi midi. :copyright: Crédit photo : J.P.

[size=18][size=14]Par Julien Pellicier
[size=12]Publié le 07/01/2021 à 15h18
Mis à jour à 18h57


 

 

 
La CR 47 manifeste ce jeudi 7 janvier devant la gendarmerie, où un agriculteur templais, impliqué dans une altercation entre automobilistes, est entendu.
Un accident évité de peu, des noms d’oiseaux qui fusent, un mauvais geste. Tous les ingrédients étaient réunis pour déclencher une altercation entre automobilistes. D’une ordinaire banalité sauf que dimanche, vers 14 heures, Alain, qui s’en allait chasser, a mis deux cartouches dans son fusil et tiré une fois en l’air. Fin de l’histoire.
En face, deux frères, d’une trentaine d’années, ont repris leur véhicule. Pas pour regagner leur domicile mais en direction de la gendarmerie de Sainte-Livrade-sur-Lot où ils ont déposé plainte pour menaces et violence avec arme. Jeudi 7 janvier au matin, l’agriculteur de 59 ans, domicilié au Temple-sur-Lot, y était auditionné dans le cadre d’une garde à vue. Convoqué, il s’y est rendu de son plein gré.


Comme quelque 70 agriculteurs, adhérents de la Coordination rurale, qui ont répondu à l’appel lancé par leur président, Pascal Béteille. Au nom de la solidarité, certains sont mêmes venus sans connaître le motif du rendez-vous qui couvait depuis quelques jours et dont la menace avait été exposée : « J’avais prévenu les gendarmes. Il est hors de question qu’il y reste 48 heures.  »
LA RÉDACTION VOUS CONSEILLE
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"Il a eu très peur"

Arrivé un peu avant, son vice-président, Jean-Luc Pujol, ne l’imaginait même pas y passer la nuit. Son ami, selon lui, ne mérite pas un tel traitement. « On est venu pour le soutenir. Après, on verra, selon la décision qui est prise par le parquet. »

[size=30]"C’est un gars sans histoire. Ils ont tapé sur sa voiture, il a eu très peur. Il est fragile"[/size]

Dans son dos, un ballet bien organisé se joue. Toujours le même : quelques tracteurs sont arrivés, dont un avec une remorque chargée de bois, des drapeaux jaunes sont distribués, un feu est allumé, aussi vite que la plancha qui grillera les saucisses est installée. La table est dressée, avec packs d’eau minérale et cubis de rouge. De quoi tenir sans soucis quelques heures, sous le regard impassible des militaires disposés autour de la brigade.
« C’est un gars sans histoire. Ils ont tapé sur sa voiture, il a eu très peur, reprend Jean-Luc Pujol. Il est fragile. » Le portrait dépeint des deux autres protagonistes n’est pas très flatteur. Et le partage des responsabilités, selon le comité de soutien d’Alain, ne fait guerre de doutes : «  Ce sont les deux frères qui l’ont agressé. »

"Pas une affaire particulière"

« Quand on vient agresser, on ne porte pas plainte », appuie Pascal Béteille. Dans les locaux de la gendarmerie, pendant ce temps, l’audition se poursuit. Dans le respect de la procédure. Entre les tracteurs, les discussions vont bon train. Beaucoup parlent de leurs propres expériences, du ras-le-bol lié aux vols sur les exploitations. Certains admettent sans détour avoir déjà fait usage d’une arme pour mettre fin à une situation tendue et ne voient pas trop bien ce que l’on reproche à leur collègue.
« On ne peut pas tirer au fusil comme ça », résume un gendarme qui est venu au contact des manifestants et essaye d’expliquer le cadre légal de l’audition. « Elle se passe très bien. L’homme s’explique de lui-même, il est très calme, raconte le commandant Bruno Goy, à la tête de la compagnie de gendarmerie de Villeneuve-sur-Lot. Il veut juste que ça s’arrête et être tranquille. Ce n’est pas une affaire particulière, aucun des trois impliqués n’a de casier. On entend les différentes parties et on essaye simplement de traiter le dossier au plus vite. »
Et en effet, l’affaire est allée vite. Alain a recouvré la liberté à 16 heures avec une convocation pour le mois de mai. Devant le procureur, il devra répondre de violences et menaces avec arme. Un des deux frères impliqué sera quant à lui jugé par le tribunal de police de Villeneuve pour avoir légèrement dégradé le véhicule de l’agriculteur.

ah bon ok , mauvaise interprétation des propos que j'ai entendu sur facebook sur la page cr47.Un coucou a l'animatrice que j'ai connu il y a un bail maintenant.( enfin je crois que c'est elle