on a gagné!

Résultats concours photo
par Henri Louvigny, le 27 Juillet 2010 19h30
Voici les résultats tant attendus de ce premier concours photo organisé conjointement entre Agri-web et le Département de l'Economie Rurale de la Province de Luxembourg. Les 3 lauréats ont été récompensés hier à l'occasion de la foire agricole de Libramont par le Député de l'agriculture, de l'économie et du tourisme de la Province de Luxembourg : Monsieur le Député Collin.

Plus de 300 votes ont été comptabilisés pour l'élection des photos gagnantes.
Premier prix : Raty Michael (6800) avec les première et deuxième photos du concours
Deuxième prix : Bergh Nathalie (6600)
Troisième prix : Willems Pascal (6800)

Un grand merci aux participants et à tous les utilisateurs d'Agri-web qui ont joué le jeu des votes. Ci-dessous, dans l'ordre, les 4 premières photos du concours.

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La situation actuelle démontre la mauvaise foi de la transformation et appelle une réaction nouvelle pour sortir de l’impasse.

Face à l’annonce par Bongrain, Lactalis et Bel d’une hausse du prix du lait payé aux producteurs en juillet et août de 13,80 €/1 000 l, l’Organisation des Producteurs de Lait (OPL) se mobilise. Cette attitude, à la fois malhonnête et méprisante envers les producteurs, ne saurait plus longtemps rester sans réponse.

Cette décision unilatérale des industriels d’une petite hausse du prix du lait n’est que de la poudre aux yeux pour les producteurs. En effet, la situation des éleveurs laitiers est loin de s’améliorer, bien au contraire.

De plus, il convient de mettre la FNPL face à ses responsabilités : en ne soutenant pas la grève du lait en 2009 et en poussant à la contractualisation obligatoire décidée par la Loi de Modernisation Agricole, elle a clairement fait pencher le rapport de force du côté des industriels, ce que nous ne pouvons admettre.

Le comportement de la transformation - qui vient de donner une nouvelle preuve de sa mauvaise volonté et de son pouvoir en refusant d’appliquer l’accord (déjà insuffisant) de juin 2009 sur le prix du lait - a d’ailleurs de quoi inquiéter les producteurs pour cette contractualisation imposée.

Compte tenu de l’échec des négociations par l’interprofession dont la représentativité demeure toujours aussi contestable, les producteurs étudient une réponse appropriée à ce non-respect des accords et à l’absence de crédibilité des différents signataires.

Dans ce contexte, l’OPL n’appelle pas à reproduire un n^ième épisode de l’affrontement pour la galerie entre la transformation et des représentants des producteurs issus du syndicalisme majoritaire. Il faut des solutions nouvelles et l’OPL va prendre dans les jours à venir une initiative qui permettra aux producteurs de lait de reprendre du pouvoir face à ces acteurs incapables de se mettre d’accord sur des solutions assurant l’avenir de la production laitière en France.

Le prix du lait n'arrête pas de monter.

les pro industriels avec les leurs nous font une mise en scène pour essayer de regonfler les troupes ..................

objectif +20€

l'on vous donne 13€

De quoi faire prendre la mayonnaise ............syndicalomédiatique...

pour incrire une victoire des cogestionnaires

je viens de voir le soir 3
et bien ké faut cul de fd et ja veulent manifester car les industriels ne jouent pas le jeu sur la hausse .
ET dire qu'ils croyaient à la contractualisation
faut vraiment être naif pour suivre les ja et la fd

oui et il font voir aux infos les epandages apli en parlant des jafédés

L' EMB (apli,opl.....)

DES UTOPISTES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!???????????????????

VOILA que nos majoritaires demandent 400€

OUI Carlos sur les radio idem amalgames entre la grève du lait et ceux qui ont tout fait contre

Pour étayer ce post .........réf: France Agricole

Actualités / Prix du lait : des actions lundi avant la réunion des producteurs FNSEA mercredi
Actualités


Prix du lait


Des actions lundi avant la réunion des producteurs FNSEA mercredi



Publié le lundi 02 août 2010 - 17h31
Les producteurs de lait affiliés au syndicalisme majoritaire (FNPL, FNSEA, JA) se réuniront mercredi afin de décider des prochaines actions pour protester contre l'échec de l'interprofession à s'entendre sur l'évolution du prix du lait. Des manifestations ont encore eu lieu lundi.

Ces actions ont surtout touché la région Midi-Pyrénées où des dizaines d'éleveurs se sont mobilisés devant les préfectures départementales pour demander à l'Etat d'appliquer les « accords de juin 2009 sur le mode de fixation du prix » du lait. Ils ont également dénoncé le refus des industriels d'augmenter le prix du lait au 3e trimestre autant que les producteurs le souhaitent.

« Suivant cet accord, aujourd'hui le prix devrait être de 323 euros la tonne, or ce n'est pas le cas, car ce sont unilatéralement les acheteurs qui fixent le prix d'achat aux producteurs », a déploré Olivier Beaufils, producteur de lait à Montréjeau (Haute-Garonne), membre des Jeunes agriculteurs (JA) et de la délégation reçue par le préfet à Toulouse.

« En ce moment nous sommes dans une phase de reprise, tous les indicateurs sont positifs, sauf que cela ne se répercute pas sur le prix d'achat aux producteurs », a-t-il indiqué.

« On nous paye le lait au dessous de 30 centimes le litre, or pour être rémunérateur le lait devrait être payé au producteur entre 35 et 40 centimes le litre », a regretté Jean-Michel Bersia, producteur de lait à Paulhac (Haute-Garonne).

A Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), une quinzaine de producteurs ont apposé lundi matin des autocollants avec la mention « cette marque paie mal les producteurs de lait !» sur les produits laitiers des entreprises Lactalis, Bongrain et Bel.

Dans le département voisin de la Côte-d'Or, leurs homologues devaient mener une action similaire mardi dans un hypermarché de la région dijonnaise, à l'appel de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs.

Des producteurs de la FNSEA 44 et des JA iront aussi dénoncer l'attitude des industriels mardi à Nantes dans une grande surface.

La réunion de mercredi, à laquelle sont attendus les principaux responsables de la FNSEA, des Jeunes Agriculteurs et de la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL), pourrait être le coup d'envoi d'une nouvelle vague de protestations. La Fédération nationale des industries laitières (Fnil) a fait savoir que ses principaux responsables venaient de partir « en vacances pour trois semaines ».

De son côté, l'association des producteurs de lait indépendants (Apli) s'est réunie lundi pour définir une stratégie. « On va laisser faire les syndicats dits "représentatifs" (FNSEA, JA, FNPL, Ndlr), voir s'ils sont capables d'engager une grève du lait et là, nous, on suivra », a déclaré Pascal Massol, président de l'Apli.

« A eux de montrer qu'ils veulent vraiment obtenir des résultats », a-t-il ajouté et selon lui des actions comme « verser du fumier devant les préfectures, ne changent rien ».

camito a écrit:L' EMB (apli,opl.....)
« A eux de montrer qu'ils veulent vraiment obtenir des résultats », a-t-il ajouté et selon lui des actions comme « verser du fumier devant les préfectures, ne changent rien ».

Heu, ils veulent manifester leur mécontentement, si j'ai bien compris, ils ont pas dit qu'ils voulaient obtenir un resultat en terme de prix payé au producteur.

Il faut pas confondre tourner autour et mettre les pieds dedant...

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Communiqué de presse


Lait : les producteurs fixent leur prix


Les laiteries ont fixé de manière unilatérale le prix du lait livré par les producteurs au mois de juillet. Ce prix n’a aucun rapport, ni avec la conjoncture très favorable du marché, ni avec le coût de production qui est bien supérieur. De plus, ce prix ridiculement bas est annoncé après la livraison du lait par le producteur à sa laiterie !

Les laiteries se moquent profondément de tout le monde : des producteurs par un prix indécent, mais aussi du Président de la République, du Premier ministre et du ministre de l’Agriculture qui ont tous les trois exprimé leur désapprobation face à cette situation aberrante qui amène un producteur à ne pas connaître le prix de son produit avant même de se le faire enlever !

Devant l’obstination des laiteries, les éleveurs vont donc leur demander de facturer et de payer le lait à hauteur de 40 centimes par litre livré en juillet. Ce prix, basé sur des données de centres de gestion, correspond à un coût de production moyen des exploitations laitières.

Le prix de revient de 1 000 litres de lait se décompose aujourd’hui de la manière suivante, pour une étable moyenne produisant 200 000 litres par an :
Alimentation =:p>

96,00 €
Autres charges opérationnelles =:p>	50,00 €
Amortissement matériel, bâtiments et mise aux normes =:p>	53,00 €
Autres charges de structure =:p>	129,00 €
Rémunération des capitaux propres et du foncier =:p>	21,00 €
Aide directe à la production laitière à déduire =:p>	- 35,50 €
Coût de production total de 1 000 litres de lait =span>	313,50 €
Rémunération du travail (salaire) =:p>	86.50€
Total =:p>	400€

Les producteurs iront jusqu’au bout, devant la justice si c’est nécessaire.

L’OPL appelle tous les producteurs, de manière unitaire, à envoyer dès à présent un courrier en recommandé avec accusé de réception* à leur laiterie afin d’exiger ce prix juste et rémunérateur.Le 04 août 2010 à 10h30

Contacts presse :
Daniel Condat, président de l’OPL : 06.07.08.62.40
Nicolas Coudray, animateur OPL : 06.84.92.17.62
Olivier Petit, chargé de communication : 06.70.80.99.51


* modèle de courrier disponible sur : www.producteurs-lait.com

Prix du lait


L'Apli invite la FNPL à « initier » une grève des livraisons



Publié le mardi 03 août 2010 - 17h55
L'Association des producteurs de lait indépendants (Apli) a invité « la FNPL, syndicat majoritaire, à initier au plus vite une nouvelle grève du lait », mardi, dans un communiqué.

L'Apli dénonce « l'outrecuidance » des industriels laitiers qui contestent « une augmentation de 10 € » pour 1.000 litres du prix du lait « alors que les négociations devraient porter sur des montants supérieurs à 100 € », vu notamment le niveau très élevé des cours du beurre.

Elle estime que « le bras de fer engagé par la FNPL laisse enfin entrevoir un espoir pour un aboutissement des revendications légitimes des éleveurs laitiers ».

Pour organiser et optimiser cette épreuve de force, l'Apli souhaite rappeler « que le seul et unique moyen de pression efficace reste la grève des livraisons, acte volontaire, symbole de détermination ».

Dans le cas où la FNPL initierait une grève des livraisons l'Apli « s'engage, à donner le mot d'ordre et mobiliser ses adhérents pour cette action commune et à alerter et mobiliser ses homologues européens de l'EMB ».

L'Apli « engage vigoureusement les syndicats agricoles reconnus officiellement à ce jour, à prendre leurs responsabilités afin de mettre définitivement un terme au scénario annoncé, répétitif et destructeur qui se profile », insiste-telle.

Elle demande en outre à la FNPL, « seule représentante, aujourd'hui, du collège éleveur à l'interprofession, à débloquer les fonds nécessaires et disponibles au Cniel (biens immobiliers, fond de roulement, actions...) pour compenser les pertes engendrées dans les élevages ».

http://eco.rue89.com/2010/08/09/quel-est-le-juste-prix-du-lait-161545

lactalis traine en justice les syndicats pour boycot et denigrement de societe !!
ils comprennent pas que les troufions collent des etiquettes sur leurs beau produit

en meme temps ,ça peut aussi se discuter car cela peut permettre de favoriser les pdts de marque distributeurs qui ne rameneront pas beaucoup de valeur ajoutee..........

http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/08/11/la-desolation-d-une-ferme-laitiere-ou-on-fait-tout-bien_1397808_3234.html

ceux qui sont les plus sévères dans leurs jugements , ce sont nos enfants !!!
eux ne comprennent pas qu'on puisse trainer un capital de plusieurs millions d' €uros , bosser dessus comme des barbares et n' avoir aucun revenu
ils vont aller travailler à l' extérieur avec l' espoir secret de revenir sur l' exploitation familiale
mais rien ne pourra enlever de leur mémoire le nom des traitres qui ont vendu l' agriculture familiale aux financiers qui voudront toujours plus d' argent sans rien faire alors que d' autres ne gagnent rien en travaillant en esclaves des temps modernes , franz fischler , pascal lamy , mariann fischer boel , autant de noms qui leur rappelle que le diable existe et que ses forces sont très puissantes ..............................................................................

tu a tout dit pato, rien a rajouter.

Communiqué de presse



Prix du lait : négociateurs satisfaits et producteurs méprisés





Après trois heures de négociation, le syndicat soi-disant majoritaire a obtenu une augmentation de 10 % du prix du lait sur l’année 2010, augmentation déjà actée, d’ailleurs, la semaine dernière !



Le prix du lait payé aux producteurs en 2009* était de 27 centimes du litre. Le prix moyen du lait payé en 2010 sera donc de 30 centimes. Sauf qu’en 2008, le prix du lait était de 33.5 centimes par litre ! Déjà trop bas pour couvrir les coûts de production



Donc en toute logique, moins 6.5 cts plus 3 cts, c’est une baisse de 3.5 cts, soit une baisse de 10,5% par rapport à 2008. Voilà le résultat d’une belle négociation ….pour les transformateurs qui ont obtenu de plus, dès 2011, une belle perspective supplémentaire en plafonnant la différence entre le prix allemand et le prix français.

Où sont donc passées les notions de coût de production et de rémunération dans la fixation du prix du lait ?



Imaginons une nouvelle année 2009 (catastrophique rappelons-le, avec une baisse de revenus des producteurs laitiers de 50%) : avec cette nouvelle règle d’ajustement sur l’Allemagne, c’est une nouvelle baisse de l’ordre 10% qui devra être supportée par les producteurs. Ce que l’on donne aujourd’hui, on le reprendra demain.



Bruno Le Maire et Nicolas Sarkozy ont poussé les producteurs à emprunter pour passer la crise de 2009, les remboursements devant se faire dès que les marchés se porteront mieux.



Aujourd’hui, les marchés se portent bien (plus 60 % d’augmentation sur le beurre, plus 40% sur la poudre de lait) mais il est refusé aux producteurs de bénéficier de l’éclaircie économique. Il leur sera donc impossible de rembourser cet emprunt tout en étant obligés de continuer à travailler à perte. C’est à croire que cette évolution était déjà programmée puisque l’état n’a jamais voulu cautionner cet emprunt.



Les producteurs se demandent véritablement où sont la visibilité, la décence et l’esprit de responsabilité tant exprimés depuis hier soir par des négociateurs qui ne peuvent plus prétendre représenter les intérêts des producteurs.










Contacts : Contacts presse :

Daniel Condat, président de l’OPL : 06.07.08.62.40

Willem Smeenk, Secrétaire Général de l’OPL : 06.86.43.61.56

Nicolas Coudray, animateur OPL : 06.84.92.17.62

Olivier Petit, chargé de communication : 06.70.80.99.51

http://agri-convivial.forumactif.com/politique-agricole-f64/nego-secrete-t8826.htm

je me sens seul ....

http://fr.justin.tv/fairmilktv_fr/b/268690854

et entremont la dedant ou en est on

Au risque de froisser quelques personnes, nous sommes une profession libérale et quelque soit les productions, la notion de cout de production et de rémunération n'a jamais été pris en compte et cela n'est pas pres de changer.

dairy a écrit:Au risque de froisser quelques personnes, nous sommes une profession libérale et quelque soit les productions, la notion de cout de production et de rémunération n'a jamais été pris en compte et cela n'est pas pres de changer.

pour info historique dairy en 1936 l agriculture etait dans une impasse .stock en ferme de 3 recoltes et prix eb dessous du prix de revient .a l epoque le marche etait tenu par le negoce qui achetait a l import et n achetait pas en ferme .donc election politique en 1936 et front populaire .creation de l office du ble et des coops je crois .le ble eu un prix rmunerateur et l office du ble etait oblige d acheter et de payer .sans cela beaucoup d agris auraient connu la faillite .donc la gauche politique de l epoque a sauve l agriculture .la situation de 2010 est que les politiques voudraient revenir au systeme prevalant avant 1936.absurde

dairy a écrit:Au risque de froisser quelques personnes, nous sommes une profession libérale et quelque soit les productions, la notion de cout de production et de rémunération n'a jamais été pris en compte et cela n'est pas pres de changer.

ce n' est pas non plus avec des myennes d' étable à 11000 litres que le prix va augmenter !!!! quand il y a pléthore , le prix baisse , céréales , lait , même mécanisme , quand il y a trop de production , le prix s' effondre
la régulation n' empêchera pas les acheteurs d' aller là où c' est moins cher

le cout du ble ukrainien ou russe est sans concurent dans le monde pour son prix de reveint comme le sucre bresilien .en raisonnant liberal on fait le sucre au bresil et le ble en russie ukraine .l europe arrete de produire cout trop important pour produire .du seul fait de ne plus produire en europe les prix s envolent en ble en tout .le libre marche en agriculture c est la route pour la famine .

dairy a écrit:Au risque de froisser quelques personnes, nous sommes une profession libérale et quelque soit les productions, la notion de cout de production et de rémunération n'a jamais été pris en compte et cela n'est pas pres de changer.

Parce que tu crois qu'en profession liberale c'est différent du reste?
J'ai longtemps exercé une profession libérale et je peux te dire que "le cout de production et la rémunération" était un des points-clé de mon activité.
Et c'est toujours le cas...

De toute manière quand tu gagne pas ta croute ça peut pas aller bien loin.

http://info.francetelevisions.fr/video-info/player_html/index-fr.php?id-video=amie_JT_ACCORDS_PROD_1256904_NQPG9ODR_190820101924_F3&chaine=&id-categorie=REGION_NORD_AMIENS&ids=&timecode=false&sequence=false

Prix du lait
La FDSEA du Finistère pas satisfaite de l’accord du 18 août
Publié le jeudi 26 août 2010 - 15h59


La FDSEA du Finistère indique jeudi dans un communiqué qu'elle n'est « pas satisfaite » de l'accord interprofessionnel conclu le 18 août sur le prix du lait. Elle estime que les industriels ont obtenu des contreparties « dangereuses pour l'avenir des producteurs ».

L'organisation syndicale se dit choquée de « l'accrochage » du prix français sur celui de nos voisins allemands. Elle s'interroge sur la prise en compte, dans le même temps, des « distorsions de concurrence sociale, fiscale et environnementale » entre l'Allemagne et la France.


« Le déroulement des négociations démontre que l'interprofession, et surtout le pouvoir de négociation des producteurs, sont affaiblis », poursuit-elle. Voilà pourquoi la FDSEA du Finistère remet sur le devant de la scène l'organisation des producteurs pour la mise en marché du lait.


« Ce projet doit être partagé par tous les agriculteurs : c'est pourquoi la FDSEA a accepté la rencontre avec des représentants de la Coordination rurale, de la Confédération paysanne et de l'Apli », conclut-elle.

Finalement, il falait peut être pas les jeter dehors en 44... maintenant on rouleraient tous en BM ou en Mercedes, et on gagneraient notre croute...

Lait
L'Apli veut défendre les éleveurs « coûte que coûte »
Publié le mercredi 25 août 2010 - 17h13


L'Association des producteurs de lait indépendants (Apli) ne mâche pas ses mots depuis les dernières négociations « de la honte » qui ont abouti le 18 août à un accord entre les trois familles de l'interporfession sur l'évolution du prix du lait, qui connaîtra en 2010 une hausse de l'ordre de 10 % par rapport à 2009.



Dans un communiqué publié mercredi, l'Apli tire ses conclusions sur l'attitude des représentants des producteurs au sein du syndicalisme majoritaire et sur celle des pouvoirs publics et appelle les éleveurs à la rejoindre « masssivement ».



« L'Apli n'accepte plus l'inacceptable et fera en sorte, dans les prochains jours, que la dignité et le travail des éleveurs laitiers soient respectés. Coûte que coûte... », prévient-elle.



« La FNSEA et sa branche laitière, la FNPL, clairement, ne s'affichent plus comme défenseurs des intérêts des producteurs mais comme partenaires des transformateurs », affirme l'organisation.



Elle « prend acte de la vacuité de la FNPL et de son absence totale de projet et de réflexion quant au devenir des producteurs, se bornant à appliquer mécaniquement les noirs desseins de la FNCL (coppératives laitières, NDLR) : trois producteurs sur quatre devant disparaître, selon eux, d'ici à quinze ans ».



« L'Apli ne reconnaît pas le Cniel (interprofession laitière, NDLR), qui, financé de façon coercitive par l'ensemble des producteurs, n'a plus d'interprofessionnel que le nom puisque “monodirigée” », poursuit-elle.



« Face à l'attitude du président de la République et de son ministre de l'Agriculture qui se félicitent de ce compromis inique et annoncent un plan d'accompagnement de la filière, l'Apli prend acte que les plus hautes autorités de l'Etat s'agenouillent devant la puissance financière et bradent l'agriculture sur l'autel de la compétitivité », ajoute-t-elle.



« L'indexation du prix français sur le prix allemand, dès 2011, induit de facto la disparition de la contractualisation par le biais des organisations de producteurs telle que voulue par le ministre Bruno Lemaire. Preuve s'il en est du peu de crédibilité, et du système, et de ses défenseurs, comme le clame l'Apli depuis sa création. »

Qu'en termes galants ces choses la sont dites... je plussoie !

ceux qui sont les plus sévères dans leurs jugements , ce sont nos enfants !!!
eux ne comprennent pas qu'on puisse trainer un capital de plusieurs millions d' €uros , bosser dessus comme des barbares et n' avoir aucun revenu
ils vont aller travailler à l' extérieur avec l' espoir secret de revenir sur l' exploitation familiale
mais rien ne pourra enlever de leur mémoire le nom des traitres qui ont vendu l' agriculture familiale aux financiers qui voudront toujours plus d' argent sans rien faire alors que d' autres ne gagnent rien en travaillant en esclaves des temps modernes , franz fischler , pascal lamy , mariann fischer boel , autant de noms qui leur rappelle que le diable existe et que ses forces sont très puissantes


+1 mais très difficile de travailler avec des animaux (on ne peut pas stopper du jour au lendemain)

pour ce qui est des allemands, ils entendent le même discourt (en Bavière ), pour les autres régions le revenu annexe (photovoltaique ,méthanisation) fait sans doute le revenu de l'exploitation

https://www.youtube.com/watch?v=2BuNH1j24K4

https://www.youtube.com/watch?v=5tJRfhYtRLs&NR=1

http://www.rmnfm.fr/index.php?page=videos&video=20100911_festilaez.mp4#playervideos

camito a écrit:http://www.rmnfm.fr/index.php?page=videos&video=20100911_festilaez.mp4#playervideos

: 124 :

INFO manque les tableaux qui vont avec .....
c'est pas étonnant que nos dits majo travaille contre les paysans ...



SYNTHESE APLISTE

2006:prémices de la contractu.portée par brichart,troalen(entremont)et bazin(frpl rhone-alpe)entre autres.....l'idée est de présenter un
syst évitant que le trayeur soit seul face à l'indus puisqu'il n'y a plus de quota....DOC BIENTOT SUR LE SITE.
2007:sofiproteol reprend glon-sanders,60%des actions,glon 35,cadres glon5
sofiprotéol structure mi coop mi financier avec le fond d'investissement basé au ........luxembourg! ! ! !
adresse:12,avenue georges 5(! !!)paris 75008
y siègent entre autres natixis et crédit agricole.une filiale,OLEON basée en malaisie sur huile de palme........
président,xavier beulin,premier vice-président FNSEA et vice président d'ORAMA(regroupant représentation blé,mais et oléo protéagineux)
structure syndicale travaillant de concert avec les coop céréalières françaises(voir site coop de france)lesquelles possèdent des
branches spécialisées ds l'alimentation animale(invivo,evialis,euréa et j'en passe........)

L'ACQUISITION DE GLON SANDERS A CECI DE STRATEGIQUE QU'ELLE PERMIT AU SYSTEME COOP FRANCAIS DE PRENDRE LA HAUTE
MAIN SUR L'ECRASANTE MAJORITE DE L'ALIMENTATION ANIMALE! ! ! ! !

pas étonnant donc que la fncl,membre de coop de france féraille pour imposer ses contrats avec obligation de se servir à la branche appro,
ça fait gagner quatre sous au cousins de la famille !! !

mars 2009:rapport Lambert,inscription auJ.O(inscrit ds le marbre de la république,donc....) d'un prix de revient à 240E/T.une ligne sur
un rapport de150-200 pages.............
28.05.2009:decret barnier,le cniel devient seul habilité à donné des infos sur la situation de la filière(mort d'ipampa)donc le rapport
lambert est la base de réflexion,et le cniel devient maitre d'oeuvre reconnu par l'état pour la mise en place des contrats

sur la base des études de la chambre agri région normandie,prix de revient480E/T(présidée par p ferré! ! vice prez fnsea)et ce que
dit eurostat'(pour respecter les critères du traité de rome1957,revenu du paysan=à moyenne des concitoyens)à savoir 435E/T+PRIMES
à hauteurs de 100E/T=535E/T,cela signifie concrètement que l'on organise la vente à perte pour les laitiers,d'ou cessations,pardon
"restructuration de la filière",création de structures plus imposantes sur la crédulité d'économies d'échelles,par définition non rentables,
l'industriel laitier injecte régulièrement de quoi survivre,jusqu'a devenir majoritaire,ouvrant ainsi la porte aux investisseurs,qui,oh
miracle, sont déjà présents ds les coops céréalières et ds sofiprotéol...quel heureux hasard! !
coup de bol,le con sera bientot content de rester sur sa ferme pour traire,histoire de sauver la face,main d'oeuvre hautement
qualifiée à prix imbattable,donc...


UNE FOIS L'INDUSTRIE FINANCIERE installée ds la production de bouffe,on vient à se rappeler que ces foutus quotas,on s'était dit que
le31.03.2015 était la date à laquelle on décidait si on les gardait ou si on les virait......ET COMME CETTE CONTRACTUALISATION,FINALEMENT
C'EST PAS TOUT CE QU'ON ESPERAIT,les quotas sont de retour,le prix s'installe durablement au delà de 550 600E/T(je vous rappelle que
l'industrie financière veut du 15% par an,faut pas QUE déconner....)et d'un coup,spéculer sur le pétrole devient trés surfait
limite ringard! ! !! !

dernier détail,penser par la LMA a appliquer cette recette à toutes les filières agricoles,



CES CONNARDS D'HUMAINS AURONT TOUJOURS FAIM,NON? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?? ? ? ? ? ?



CHERS APLISTES,SI LE COEUR VOUS EN DIT TOUJOURS,VOILA CE QUE NOUS DEVONS RECTIFIER.....

COMMENCONS PAR NOUS INSPIRER DES DINDES,HISTOIRE DE SE FAIRE LA MAIN.

MAINTENANT,AFFIRMER D'OFFICE QUE "çA VA LE FAIRE! ! "VA PEUT ETRE PAS FALLOIR SE PRESSER NON PLUS.....................

NEANMOINS,AU BOULOT,TOUS..

> Objet : SPOT>

> Où l'on constate que le prix du lait SPOT (surplus et trans-frontalier) ne cesse de grimper !!!
> En France ce prix est considéré "secret -défense" et est gardé au frais par les "gardiens du temple" à France Agrimer ... Il faut donc regarder hors de nos frontières pour essayer d'y voir plus clair :
> Voici (ci-dessous) ce prix aux Pays Bas et encore en dessous le prix payé par l'Italie pour s'en procurer en France et en Allemagne !!!!! ??????
> Vaut mieux se reconvertir en négociateur Spot en France et en Allemagne en ce moment car acheter sa matière première 30 et la revendre 40et plus sur ce marché , je dis "chapeau" !!!!
> Jean-Pi (apli29)

Actualités

Interprofession laitière
Les transformateurs maîtres du jeu ?
Les industriels laitiers, dans un note interne du 28 juin 2004 et qui nous est parvenue, expliquent que « c'est en réalité la transformation qui définit les orientations stratégiques du Cniel, les producteurs faisant globalement confiance à leur expertise » car « malgré leur forte contribution financière (les trois quarts), [ils] n'ont aucune volonté hégémonique sur des sujets qu'ils maîtrisent mal ».

http://www.lafranceagricole.fr/?utm_source=FAA&utm_medium=infoquotidienne&utm_campaign=mailnumero398

Donc la cible était bonne.....

http://www.lafranceagricole.fr/video-et-photo-agricole/actualites-evenements/manifestation-au-space-la-position-de-francois-lucas-de-la-coordination-rurale-32142.html

http://www.lafranceagricole.fr/Download/var/gfa/storage/fichiers-pdf/Docs/doclait2.pdf

http://www.lafranceagricole.fr/Download/var/gfa/storage/fichiers-pdf/Docs/doclait.pdf

la forteresse se fissure .......

voir plus bas aussi ...........



Voire également les pièces jointes.





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Interprofession laitière
Les transformateurs maîtres du jeu ?
Publié le vendredi 24 septembre 2010 - 18h08



A quelques jours du résultat de la médiation judiciaire entre la Confédération paysanne et la FNPL (section spécialisée lait de la FNSEA), une note interne du 28 juin 2004 des transformateurs concernant le Cniel (interprofession laitière) a fait surface. Vous pouvez télécharger une copie de note ci-dessous.



Les industriels y expliquent que « pour un euro financé par les entreprises, nous pouvons bénéficier de près de quatre euros d'expertise et d'actions multiples qui donnent un effet de levier très important aux entreprises sur de nombreux sujets majeurs ».



Le document indique aussi que « c'est en réalité la transformation qui définit les orientations stratégiques du Cniel, les producteurs faisant globalement confiance à leur expertise » car « malgré leur forte contribution financière, [ils] n'ont aucune volonté hégémonique sur des sujets qu'ils maîtrisent mal ».



La note précise qu'en 2004, « la FNPL accepte la situation actuelle qui conduit les producteurs à financer près des trois quarts de l'interprofession ». A priori en 2010, cette répartition est toujours la même.



Dans un autre document (courrier de la FNSEA adressé à la FNPL le 8 septembre 2008 dont vous pouvez également télécharger une copie ci-dessous), l'on appprend que la FNPL verse, sur son budget propre, près de 400.000 euros par an à la FNSEA au titre notamment de la mise à disposition de ses compétences.



Dans ce contexte, la transformation laitière indique clairement qu'elle n'a aucune envie que cet « équilibre » ne change. Elle se prononce d'ailleurs contre l'ouverture du collège des producteurs à la Confédération paysanne et à la Coordination rurale. « Si au sein de ce collège plus aucune majorité ne peut se dégager, l'interprofession sera paralysée. De plus, même majoritaire, le FNPL ne pourra plus contrecarrer le pouvoir de nuisance de certains syndicats contestataires ».

Interprofession laitière

Les transformateurs maîtres du jeu ?

Les industriels laitiers, dans un note interne du 28 juin 2004 et qui nous est parvenue, expliquent que « c'est en réalité la transformation qui définit les orientations stratégiques du Cniel, les producteurs faisant globalement confiance à leur expertise » car « malgré leur forte contribution financière (les trois quarts), [ils] n'ont aucune volonté hégémonique sur des sujets qu'ils maîtrisent mal ».



Dans un autre document (courrier de la FNSEA adressé à la FNPL le 8 septembre 2008), l'on appprend que la FNPL verse, sur son budget propre, près de 400.000 euros par an à la FNSEA au titre notamment de la mise à disposition de ses compétences.

http://info.francetelevisions.fr/video-info/player_html/index-fr.php?id-video=&chaine=&id-categorie=JOURNAUX_LES_EDITIONS_REGIONALES_BASSE_NORMANDIE_1920&ids=&timecode=false&sequence=false

QUAND L'AGRICULTURE FRANCAISE S'INSTALLE EN UKRAINE




Des coûts de productions moindres qu'en France, une terre réputée comme la plus fertile du monde... De grands groupes français se sont déjà implantés dans l'ancien grenier a blé de l'URSS.




http://videos.tf1.fr/jt-we/quand-l-agriculture-francaise-s-installe-en-ukraine-enquete-6078539.html