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CLUB CLIMATO REALIST ET ANTI GRETA ESCRO
AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: politique générale , syndicalisme :: Espace de communication CRAC
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CLUB CLIMATO REALIST ET ANTI GRETA ESCRO
DEPUIS LE TEMPS QUE JE DIS QU LES APOTREs DU RECHAUfFISME SONT DES ESCROCS, il commence a y avoir quelques scientifiques honnetes qui sortent le bout du nez, ci après un état ndes lieux trè bien fait, et ausi venez nombrux au club des climato réalistes pour contrer la grande escroquerie internationale qui veut remplacer le stalinisme et collecter la monnaie des imbéciles dixit le secrétaire du parti ommuniste d'henin lietard, (fort heureusement dcd!)
:::
Un certain Christophe Cassou, prédicateur gauchiste du CNRS, et son comparse Matthieu Orphelin, militant écolo qui fut parlementaire, se sont associés pour recycler nos députés. Il y a du camp de rééducation dans l’air chez les Khmers verts.
154 élus, pratiquement tous de gauche, sont retournés à l’école, sous une tente double qui évoque les petits cirques des villages d’antan. Avec un calicot proche des couleurs LGBT.
Il est pour le moins troublant que le préfet Leboche (lallemand) si avare d’autorisations pour l’occupation de l’espace public, ait permis l’installation de ce souk néo-zadiste pendant 3 jours, du 20 au 23 juin, à seulement 400 mètres de l’Assemblée.
Zéro pointé en histoire pour les réchauffards !
En 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux.
Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures égales ou supérieures à 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les clercs de l’époque évoquent une « chaleur infernale » pendant près de 3 mois !
Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1682. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tuèrent 500.000 Français.
En 1684, l’Académie Royale des Sciences releva pendant plus d’un mois à Paris, une température constante d’au moins 35° à l’ombre, selon l’échelle de Torricelli.
Le climat se dérégla à nouveau en1694, en 1701, 1718 et 1719 faisant 700.000 morts. Puis en 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893. Et ça continua ainsi jusqu’au XXème siècle.
Si les astrologues du GIEC oublient la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (contre 19.000 pour celle de 2003 attribuée au prétendu réchauffement) sans doute préfèrent-ils taire qu’on a connu pire : 56,7°C enregistrés en Californie en juillet 1913 et 50°C à Dunbrody en Afrique du Sud en novembre 1918.
Le réchauffisme est une religion laïque comme était le communisme
Avec son dogme, ses rites, ses messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa sainte gourde et sa bureaucratie lourde, sa propagande omniprésente, ses interdits alimentaires (« devenez végétariens pour sauver le monde !») et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.
Bien entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que de toute façon les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !
Interdit de douter des prédictions extravagantes du GIEC
En 1989, Henri Sannier présentateur de JT français annonçait::
Waterworld avant 10 ans,
l’envahissement par la mer de toutes les villes côtières et l’engloutissement des îles basses, d’après le bureau de l’environnement de l’ONU, précurseur du GIEC.
Tandis que, pour ne pas être en reste, ses confrères en rajoutaient des tonnes :
Plus de neige en France dès 2010
Submersion des deltas des grands fleuves dans les 20 ans à venir,
Engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020
Fonte des glaciers de l’Antarctique dans le même laps de temps,
Disparition des « neiges éternelles » de l’Himalaya avant 2030
Fort heureusement, rien de tout cela ne s’est produit :
La neige continue à tomber l’hiver dans les zones tempérées,
et depuis 2015, au Brésil, au Sahara et en Arabie où il a commencé à neiger,
Les deltas se sont légèrement développés en se modifiant grâce aux apports des alluvions et aux dépôts sédimentaires des courants marins,
Les atolls sont stables ou sujets à un exhaussement progressif du fait de la sédimentation des rivages et des mouvements verticaux de la lithosphère,
Les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus,
Les mesures au sol comme les vues satellite s’accordent sur un refroidissement constant de l’Antarctique depuis 40 ans,
impactant tout l’hémisphère sud. On vend à Tahiti des couvertures polaires tandis que des otaries nagent dans nos lagons.
Les prévisions du GIEC, colportées par Greta et d’autres simples d’esprit, ont déclenché des vagues de démissions de chercheurs qui ne veulent plus être associés à leurs élucubrations.
Mais ces scientifiques sérieux sont interdits de séjour sur les médias main stream, censurés sur les RS et déréférencés sur les moteurs de recherche.
Les réchauffards, des « scientifiques » entre pataphysique et incantations !
L’évolution des climats dépend d’une multitude de paramètres, la plupart aléatoires, qu’on peut sérier séparément mais dont on a du mal a démontrer l’inter connectivité.
La plus énorme erreur est de vouloir fixer des tendances s’appliquant partout de la même manière, avec une obsession maniaque : Prédire un réchauffement global. Avec une cécité ahurissante attribuant un rôle prépondérant au CO2 responsable de tout.
C’est totalement ascientifique car le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau. H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que CO2 (= 0,04%)
Or dans les modèles du GIEC, le CO2 vire à l’idée fixe quand, dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1
C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !
En outre, les « savants » du GIEC oublient l’effet du gradient thermique vertical : L’air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12°C à 2000 m.
Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.
Pensée unique et pensée magique
Les cycles climatiques courts (siècles) et intermédiaires (millénaires) sont fonction d’abord de l’activité solaire, à laquelle il convient d’ajouter pour les cycles longs, une incidence plus marquée des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques. Ce sont les paramètres de Milankovitch.
Un certain Christophe Cassou, prédicateur gauchiste du CNRS, et son comparse Matthieu Orphelin, militant écolo qui fut parlementaire, se sont associés pour recycler nos députés. Il y a du camp de rééducation dans l’air chez les Khmers verts.
154 élus, pratiquement tous de gauche, sont retournés à l’école, sous une tente double qui évoque les petits cirques des villages d’antan. Avec un calicot proche des couleurs LGBT.
Il est pour le moins troublant que le préfet Leboche si avare d’autorisations pour l’occupation de l’espace public, ait permis l’installation de ce souk néo-zadiste pendant 3 jours, du 20 au 23 juin, à seulement 400 mètres de l’Assemblée.
Zéro pointé en histoire pour les réchauffards !
En 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux.
Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures égales ou supérieures à 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les clercs de l’époque évoquent une « chaleur infernale » pendant près de 3 mois !
Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1682. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tuèrent 500.000 Français.
En 1684, l’Académie Royale des Sciences releva pendant plus d’un mois à Paris, une température constante d’au moins 35° à l’ombre, selon l’échelle de Torricelli.
Le climat se dérégla à nouveau en1694, en 1701, 1718 et 1719 faisant 700.000 morts. Puis en 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893. Et ça continua ainsi jusqu’au XXème siècle.
Si les astrologues du GIEC oublient la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (contre 19.000 pour celle de 2003 attribuée au prétendu réchauffement) sans doute préfèrent-ils taire qu’on a connu pire : 56,7°C enregistrés en Californie en juillet 1913 et 50°C à Dunbrody en Afrique du Sud en novembre 1918.
Le réchauffisme est une religion laïque comme était le communisme
Avec son dogme, ses rites, ses messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa sainte gourde et sa bureaucratie lourde, sa propagande omniprésente, ses interdits alimentaires (« devenez végétariens pour sauver le monde !») et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.
Bien entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que de toute façon les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !
Interdit de douter des prédictions extravagantes du GIEC
En 1989, Henri Sannier présentateur de JT français annonçait Waterworld avant 10 ans, l’envahissement par la mer de toutes les villes côtières et l’engloutissement des îles basses, d’après le bureau de l’environnement de l’ONU, précurseur du GIEC.
Tandis que, pour ne pas être en reste, ses confrères en rajoutaient des tonnes :
Plus de neige en France dès 2010
Submersion des deltas des grands fleuves dans les 20 ans à venir,
Engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020
Fonte des glaciers de l’Antarctique dans le même laps de temps,
Disparition des « neiges éternelles » de l’Himalaya avant 2030
Fort heureusement, rien de tout cela ne s’est produit :
La neige continue à tomber l’hiver dans les zones tempérées, et depuis 2015, au Brésil, au Sahara et en Arabie où il a commencé à neiger,
Les deltas se sont légèrement développés en se modifiant grâce aux apports des alluvions et aux dépôts sédimentaires des courants marins,
Les atolls sont stables ou sujets à un exhaussement progressif du fait de la sédimentation des rivages et des mouvements verticaux de la lithosphère,
Les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus,
Les mesures au sol comme les vues satellite s’accordent sur un refroidissement constant de l’Antarctique depuis 40 ans, impactant tout l’hémisphère sud. On vend à Tahiti des couvertures polaires tandis que des otaries nagent dans nos lagons.
Les prévisions du GIEC, colportées par Greta et d’autres simples d’esprit, ont déclenché des vagues de démissions de chercheurs qui ne veulent plus être associés à leurs élucubrations. Mais ces scientifiques sérieux sont interdits de séjour sur les médias main stream, censurés sur les RS et déréférencés sur les moteurs de recherche.
Les réchauffards, des « scientifiques » entre pataphysique et incantations !
L’évolution des climats dépend d’une multitude de paramètres, la plupart aléatoires, qu’on peut sérier séparément mais dont on a du mal a démontrer l’inter connectivité.
La plus énorme erreur est de vouloir fixer des tendances s’appliquant partout de la même manière, avec une obsession maniaque : Prédire un réchauffement global. Avec une cécité ahurissante attribuant un rôle prépondérant au CO2 responsable de tout.
C’est totalement ascientifique car le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau. H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que CO2 (= 0,04%)
Or dans les modèles du GIEC, le CO2 vire à l’idée fixe quand, dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1
C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !
En outre, les « savants » du GIEC oublient l’effet du gradient thermique vertical : L’air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12°C à 2000 m.
Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.
Pensée unique et pensée magique
Les cycles climatiques courts (siècles) et intermédiaires (millénaires) sont fonction d’abord de l’activité solaire, à laquelle il convient d’ajouter pour les cycles longs, une incidence plus marquée des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques. Ce sont les paramètres de Milankovitch.
https://www.youtube.com/watch?v=FTzmqjDNMmM
Les paramètres de Milankovitch ont été validés par la science expérimentale. Par l’analyse des isotopes de l’oxygène dans les glaciers, la paléoclimatologie confirme les corrélations réchauffement-refroidissement avec les éruptions solaires et les ralentissements d’activité de notre astre.
https://www.youtube.com/watch?v=Vz-3KC08cX8
Pied de nez au GIEC et à ses astrologues, des astrophysiciens se fiant à une baisse constante de l’activité solaire ont émis l’hypothèse qu’on pourrait connaître une période glaciaire de quelques siècles semblable à celle du minimum de Maunder , à partir de 2030.
Ce n’est pas irréaliste dans la mesure où la légère hausse de température (1,2° C en 140 ans) a marqué une stase entre 2000 et 2015, avant de repartir à la baisse.
Ferez-vous partie des survivants après le Grand Gel ?
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
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Un certain Christophe Cassou, prédicateur gauchiste du CNRS, et son comparse Matthieu Orphelin, militant écolo qui fut parlementaire, se sont associés pour recycler nos députés. Il y a du camp de rééducation dans l’air chez les Khmers verts.
154 élus, pratiquement tous de gauche, sont retournés à l’école, sous une tente double qui évoque les petits cirques des villages d’antan. Avec un calicot proche des couleurs LGBT.
Il est pour le moins troublant que le préfet Leboche (lallemand) si avare d’autorisations pour l’occupation de l’espace public, ait permis l’installation de ce souk néo-zadiste pendant 3 jours, du 20 au 23 juin, à seulement 400 mètres de l’Assemblée.
Zéro pointé en histoire pour les réchauffards !
En 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux.
Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures égales ou supérieures à 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les clercs de l’époque évoquent une « chaleur infernale » pendant près de 3 mois !
Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1682. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tuèrent 500.000 Français.
En 1684, l’Académie Royale des Sciences releva pendant plus d’un mois à Paris, une température constante d’au moins 35° à l’ombre, selon l’échelle de Torricelli.
Le climat se dérégla à nouveau en1694, en 1701, 1718 et 1719 faisant 700.000 morts. Puis en 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893. Et ça continua ainsi jusqu’au XXème siècle.
Si les astrologues du GIEC oublient la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (contre 19.000 pour celle de 2003 attribuée au prétendu réchauffement) sans doute préfèrent-ils taire qu’on a connu pire : 56,7°C enregistrés en Californie en juillet 1913 et 50°C à Dunbrody en Afrique du Sud en novembre 1918.
Le réchauffisme est une religion laïque comme était le communisme
Avec son dogme, ses rites, ses messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa sainte gourde et sa bureaucratie lourde, sa propagande omniprésente, ses interdits alimentaires (« devenez végétariens pour sauver le monde !») et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.
Bien entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que de toute façon les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !
Interdit de douter des prédictions extravagantes du GIEC
En 1989, Henri Sannier présentateur de JT français annonçait::
Waterworld avant 10 ans,
l’envahissement par la mer de toutes les villes côtières et l’engloutissement des îles basses, d’après le bureau de l’environnement de l’ONU, précurseur du GIEC.
Tandis que, pour ne pas être en reste, ses confrères en rajoutaient des tonnes :
Plus de neige en France dès 2010
Submersion des deltas des grands fleuves dans les 20 ans à venir,
Engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020
Fonte des glaciers de l’Antarctique dans le même laps de temps,
Disparition des « neiges éternelles » de l’Himalaya avant 2030
Fort heureusement, rien de tout cela ne s’est produit :
La neige continue à tomber l’hiver dans les zones tempérées,
et depuis 2015, au Brésil, au Sahara et en Arabie où il a commencé à neiger,
Les deltas se sont légèrement développés en se modifiant grâce aux apports des alluvions et aux dépôts sédimentaires des courants marins,
Les atolls sont stables ou sujets à un exhaussement progressif du fait de la sédimentation des rivages et des mouvements verticaux de la lithosphère,
Les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus,
Les mesures au sol comme les vues satellite s’accordent sur un refroidissement constant de l’Antarctique depuis 40 ans,
impactant tout l’hémisphère sud. On vend à Tahiti des couvertures polaires tandis que des otaries nagent dans nos lagons.
Les prévisions du GIEC, colportées par Greta et d’autres simples d’esprit, ont déclenché des vagues de démissions de chercheurs qui ne veulent plus être associés à leurs élucubrations.
Mais ces scientifiques sérieux sont interdits de séjour sur les médias main stream, censurés sur les RS et déréférencés sur les moteurs de recherche.
Les réchauffards, des « scientifiques » entre pataphysique et incantations !
L’évolution des climats dépend d’une multitude de paramètres, la plupart aléatoires, qu’on peut sérier séparément mais dont on a du mal a démontrer l’inter connectivité.
La plus énorme erreur est de vouloir fixer des tendances s’appliquant partout de la même manière, avec une obsession maniaque : Prédire un réchauffement global. Avec une cécité ahurissante attribuant un rôle prépondérant au CO2 responsable de tout.
C’est totalement ascientifique car le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau. H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que CO2 (= 0,04%)
Or dans les modèles du GIEC, le CO2 vire à l’idée fixe quand, dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1
C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !
En outre, les « savants » du GIEC oublient l’effet du gradient thermique vertical : L’air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12°C à 2000 m.
Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.
Pensée unique et pensée magique
Les cycles climatiques courts (siècles) et intermédiaires (millénaires) sont fonction d’abord de l’activité solaire, à laquelle il convient d’ajouter pour les cycles longs, une incidence plus marquée des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques. Ce sont les paramètres de Milankovitch.
Un certain Christophe Cassou, prédicateur gauchiste du CNRS, et son comparse Matthieu Orphelin, militant écolo qui fut parlementaire, se sont associés pour recycler nos députés. Il y a du camp de rééducation dans l’air chez les Khmers verts.
154 élus, pratiquement tous de gauche, sont retournés à l’école, sous une tente double qui évoque les petits cirques des villages d’antan. Avec un calicot proche des couleurs LGBT.
Il est pour le moins troublant que le préfet Leboche si avare d’autorisations pour l’occupation de l’espace public, ait permis l’installation de ce souk néo-zadiste pendant 3 jours, du 20 au 23 juin, à seulement 400 mètres de l’Assemblée.
Zéro pointé en histoire pour les réchauffards !
En 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux.
Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures égales ou supérieures à 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les clercs de l’époque évoquent une « chaleur infernale » pendant près de 3 mois !
Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1682. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tuèrent 500.000 Français.
En 1684, l’Académie Royale des Sciences releva pendant plus d’un mois à Paris, une température constante d’au moins 35° à l’ombre, selon l’échelle de Torricelli.
Le climat se dérégla à nouveau en1694, en 1701, 1718 et 1719 faisant 700.000 morts. Puis en 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893. Et ça continua ainsi jusqu’au XXème siècle.
Si les astrologues du GIEC oublient la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (contre 19.000 pour celle de 2003 attribuée au prétendu réchauffement) sans doute préfèrent-ils taire qu’on a connu pire : 56,7°C enregistrés en Californie en juillet 1913 et 50°C à Dunbrody en Afrique du Sud en novembre 1918.
Le réchauffisme est une religion laïque comme était le communisme
Avec son dogme, ses rites, ses messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa sainte gourde et sa bureaucratie lourde, sa propagande omniprésente, ses interdits alimentaires (« devenez végétariens pour sauver le monde !») et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.
Bien entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que de toute façon les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !
Interdit de douter des prédictions extravagantes du GIEC
En 1989, Henri Sannier présentateur de JT français annonçait Waterworld avant 10 ans, l’envahissement par la mer de toutes les villes côtières et l’engloutissement des îles basses, d’après le bureau de l’environnement de l’ONU, précurseur du GIEC.
Tandis que, pour ne pas être en reste, ses confrères en rajoutaient des tonnes :
Plus de neige en France dès 2010
Submersion des deltas des grands fleuves dans les 20 ans à venir,
Engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020
Fonte des glaciers de l’Antarctique dans le même laps de temps,
Disparition des « neiges éternelles » de l’Himalaya avant 2030
Fort heureusement, rien de tout cela ne s’est produit :
La neige continue à tomber l’hiver dans les zones tempérées, et depuis 2015, au Brésil, au Sahara et en Arabie où il a commencé à neiger,
Les deltas se sont légèrement développés en se modifiant grâce aux apports des alluvions et aux dépôts sédimentaires des courants marins,
Les atolls sont stables ou sujets à un exhaussement progressif du fait de la sédimentation des rivages et des mouvements verticaux de la lithosphère,
Les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus,
Les mesures au sol comme les vues satellite s’accordent sur un refroidissement constant de l’Antarctique depuis 40 ans, impactant tout l’hémisphère sud. On vend à Tahiti des couvertures polaires tandis que des otaries nagent dans nos lagons.
Les prévisions du GIEC, colportées par Greta et d’autres simples d’esprit, ont déclenché des vagues de démissions de chercheurs qui ne veulent plus être associés à leurs élucubrations. Mais ces scientifiques sérieux sont interdits de séjour sur les médias main stream, censurés sur les RS et déréférencés sur les moteurs de recherche.
Les réchauffards, des « scientifiques » entre pataphysique et incantations !
L’évolution des climats dépend d’une multitude de paramètres, la plupart aléatoires, qu’on peut sérier séparément mais dont on a du mal a démontrer l’inter connectivité.
La plus énorme erreur est de vouloir fixer des tendances s’appliquant partout de la même manière, avec une obsession maniaque : Prédire un réchauffement global. Avec une cécité ahurissante attribuant un rôle prépondérant au CO2 responsable de tout.
C’est totalement ascientifique car le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau. H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que CO2 (= 0,04%)
Or dans les modèles du GIEC, le CO2 vire à l’idée fixe quand, dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1
C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !
En outre, les « savants » du GIEC oublient l’effet du gradient thermique vertical : L’air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12°C à 2000 m.
Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.
Pensée unique et pensée magique
Les cycles climatiques courts (siècles) et intermédiaires (millénaires) sont fonction d’abord de l’activité solaire, à laquelle il convient d’ajouter pour les cycles longs, une incidence plus marquée des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques. Ce sont les paramètres de Milankovitch.
https://www.youtube.com/watch?v=FTzmqjDNMmM
Les paramètres de Milankovitch ont été validés par la science expérimentale. Par l’analyse des isotopes de l’oxygène dans les glaciers, la paléoclimatologie confirme les corrélations réchauffement-refroidissement avec les éruptions solaires et les ralentissements d’activité de notre astre.
https://www.youtube.com/watch?v=Vz-3KC08cX8
Pied de nez au GIEC et à ses astrologues, des astrophysiciens se fiant à une baisse constante de l’activité solaire ont émis l’hypothèse qu’on pourrait connaître une période glaciaire de quelques siècles semblable à celle du minimum de Maunder , à partir de 2030.
Ce n’est pas irréaliste dans la mesure où la légère hausse de température (1,2° C en 140 ans) a marqué une stase entre 2000 et 2015, avant de repartir à la baisse.
Ferez-vous partie des survivants après le Grand Gel ?
Christian Navis
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