Communication énergie, eau, sol, plantes, animaux, hommes

Rappel du premier message :

Les paysans sont des acteurs majeur de cette drôle de boucle bien mal connue.

Je vais donc essayer dans ce fil de communication essayer de mettre en ligne toute la complexité qui fait le cœur de la vie. 

On parle  :
- rédox et de résilience
- l'ARN qui cavale autour des mycorhizes, ce réseau de communication extraordinaire
- des COV ( composés organiques volatiles ) et des parfums
- de rayonnement infra rouge capable des informations sur de grandes distances entre individus et entre espèces
- le rayonnement ultra violet
- du ciel et de toutes ses composantes ( soleil, pluie, vent, gel, sècheresse, etc.. )
- de la terre qu'on connais si mal. La regarder uniquement par une analyse chimique n'a pas de sens
- du 4 ° état de l'eau ( Marc Henry et Gérald Pollack ).
- des photons, la lumière que s'échangent les acteurs.





Bref, qu'il va falloir demain compter avec ceux qui cultivent la terre et élèvent des animaux.

Le message est donc clair, l'état mycorhizien du sol participe à la capacité de défense des plantes contre ses agresseurs.

Aparté.

Je vous dois cet aveu.

Si j'ai entrepris ce récit, c'est pour une raison simple et claire.

Ceux qui sont en charge de nous diriger sont pris de ce qu'on appelle en psychiatrie, une bouffée délirante (TPB).

C'est une forme de psychose qui fait perdre tout contact avec la réalité. On se demande même si il ne se crois croient pas sur un manège avec l’angoisse de rater le pom-pom.



On se demande dans ce domaine si notre ancien ministre de l'agriculture n'est pas celui qui va attraper le pom-pom.

Hors Dame nature dans sa recherche d'équilibre a bien des leçons a nous donner. Ceux qui travaillent avec elle chaque jour le savent et voient bien la limite des moyens qu'ils avaient déployé et par lesquels ils pensaient là dominer.

Il est donc temps que ceux qu'on appelle des gueux montrent à ceux qui fixent le prix de la betteraves mais qui n'ont jamais fait pousser un radis.

La tâche va être ardue mais c'est l'espoir qui a toujours fait gagner les guerres, l'espoir et les Hommes qui le portent.

Pour ma part, les difficultés que j'ai à affronter dépassent très largement le raisonnable.

Portez vos bien, prenez soins et des vôtres, moi j'y retourne.

Fin de l'aparté.

GL a écrit:Le message est donc clair, l'état mycorhizien du sol participe à la capacité de défense des plantes contre ses agresseurs.

Parle nous plutôt des thés de compost !
On arrive bientôt à la saison pour prélever la matière première pour le réaliser.

la cigogne a écrit:

GL a écrit:Le message est donc clair, l'état mycorhizien du sol participe à la capacité de défense des plantes contre ses agresseurs.

Parle nous plutôt des thés de compost !
On arrive bientôt à la saison pour prélever la matière première pour le réaliser.

Il est tard pour pas mal de plantes. Pour un grand nombre d'entre elles, c'est avant floraison qu'on les récolte pour un usage au printemps.

Par contre Eric Petiot nous parle des avantages de la conservation anaérobie. Il parle de couvercle flottant comme en viticulture. Je dois voir avec lui si un peu d'huile comme on le faisait pour conserver du vin ne suffirait pas. Cela serait plus simple et moins couteux.

A ton conseil, je vais présenter les différentes thés mais tu peux aussi écrire ce que tu sais. C'est bien de connaissances partager dont je parle.

Avant d'arriver sur les thés de compost, il nous faire un tour sur les moyens de défense des plants et des outils dont disposent les gens de la terre pour venir à bout des prédateurs qui nous bouffent notre travail.

On veut les diviser en 2 parties.

- les composants naturels qu'on élaboré les plantes pour se défendre de leurs prédateurs. Plus les conditions de croissance sont difficiles, plus les plantes mettent en œuvre se genre de stratégie.

- les produits de synthèse que la chimie a mis en place. Il s'agit souvent de la copie d'une molécule naturelle qu'on est capable de produire dans un réacteur. Je pense ici aux colorants nitrés ( le DM 68 pour les ancêtres d'ici, ça vous rappelle quelque chose ) et aux hormones qu'on a utilisé quand l'azote a fait pousser le blé mais aussi ses adventices. A cette époque, les choses étaient simples même si on se retrouvait avec du jaune sous les ongles à la moisson. On était pas à la protection au travail à cette époque.

Il est donc 2 grandes voies pour s’affranchir de nos différents soucis. Je vais essayer dans parler plus avant ici.

Nous avons la voie de la synthèse.

On a d'abord le plus célèbre d'entre eux le DDT ( bis p-chlorophényl-2,2 trichloro-1,1,1 éthane ou encore le 1,1,1-trichloro-2,2-bis(p-chlorophényl) ). Son usage a été massif.



Le soucis qu'on rencontre avec les molécules de synthèse, c'est la nature ne sait pas les détruire. On trouve encore du DDT dans les tisanes de tilleuls bio.

La législation a donc pris les moyens de les retirer. Nos pharmaciens se sont tourné vers la copie de molécules naturelles. C'est le cas de la famille des pyrètres, une copie de ce qu'on fait avec le pyrèthre de Dalmatie.

Cette copie est sans doute plus facile à industrialiser et permet de faire tourner les laboratoires et les chaînes de distributions.



C'est en partie cet élément qui a permis la révolution agricole des années 60. Chez moi, on avait arrêté le colza autour de 1964, on ne venaient plus à bout des insectes. Ce n'est qu'en 1975 qu'on a acheter des roues étroites pour intervenir sur une attaque majeur de rouille sur "Joss" puis la plus grande attaque que j'ai connu de pucerons. Les soucis de viroses lié à cette bestiole viennent de cette époque et on court encore.

Je vais essayer maintenant d'aborder le peu que je sais sur les autres modes d'extraction.

On y trouve :
- l'extraction par infusion à chaud ou à froid dans
         -  de l'eau
         - de l'alcool
         - de l'huile
         - d'autres solvants organiques ou pétrolier
- la vapeur
- la fermentation
- la fumigation
- par la fréquence

Il y en a peut être d'autre mais au moment ou j'écris ces lignes, je ne connais pas.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Extraction_(chimie)

L'extraction à l'eau on l'a appeler purin. Eric Petiot a été au tribunal 5 fois pour avoir donner la recette. Les pharmaciens n'aiment ce qu'ils ne vendent pas.

On l'appelle donc maintenant tisane. Mon voisin en fait 300 000 L par an. Ses principaux clients sont ceux qui produisent des haricots pour les conserveries. Cela permet de gagner une ou deux couronnes de fleur et les qualités techniques sont appréciées par les conservateurs.

La fermentation est un processus métabolique convertissant généralement des glucides en acides, en gaz ou en alcools pour en extraire une partie de l'énergie chimique tout en ré-oxydant les coenzymes réduites par ces réactions.



On distingue

- Fermentation alcoolique
- Fermentation lactique
- Fermentation malolactique
- Fermentation acétique ou acétification


Une fermentation permet de libérer des acides aminés. En anaérobie, on peut avoir de la cadavérique ( rien que ça ) . Elle a un effet éliciteur ( provoquer ou induire ). Elle simule une attaque de pathogène afin de pousser la plante à réagir.

On l'appelle un SDN ( stimulateur de défense naturelle )

Voila le schéma traduit en français. J'y apporterais les commentaires ensuite.

( 1 ) effecteurs perturbant les processus cellulaires


en biochimie, un effecteur (en) (ou ligand effecteur) est une petite molécule de ligand qui se fixe sur une protéine, régulant son activité en l'activant (par exemple activateur allostérique) ou l'inhibant (par exemple inhibiteur allostérique)


En biologie, un ligand (du latin ligandum, liant) est une molécule qui se lie de manière réversible à une macromolécule ciblée, protéine ou acide nucléique, jouant en général un rôle fonctionnel : stabilisation structurale, catalyse, modulation d'une activité enzymatique, transmission d'un signal.

Je vais suspendre ici cette partie car je ne maîtrise pas suffisamment.

Ce que j'en ai compris c'est qu'un certain nombre de préparation et de signaux de communication préparent les plantes à une attaques de pathogènes.

Souvent nos interventions sont curatives. C'est le plus souvent l'action des produits de synthèse. Pourtant ils ont tous une action diamagnétique. Elles affaiblissent le système de protection naturelle de la végétation.

Le sujet de ce fil est la communication. Je vais illustrer mon propos par un exemple.

Si en Mai - Juin Jéjé, notre expert météo nous annonce plusieurs jours consécutifs de chaud et humide, cela va avoir une conséquence. Ceux sur ce forum qui ont des cultures sensibles au mildiou ( patate, vigne, etc ... ) vont savoir que ce pathogène va arriver, ils vont pouvoir prévenir ces plantes de ce risque. Ils vont donc utiliser des éliciteurs afin que celles ci préparent la défensive.

L'énergie que produit un végétal est soit consacrées à sa croissance, soit à sa protection, difficilement les deux. Donc il va devoir en pleine saison de pousse suspendre pendant un moment sa croissance pour se protéger.

Les exemples sont nombreux dans la nature ou la communication permet la protection. C'est celle de la production de tanin chez l’acacia pour se protéger des gnou ( bovidés africains )  rendent leurs feuilles immangeables et indiquent à la congénères d'en faire autant. Pour contourner ce phénomène les animaux mangent en remontant au vent à moins qu'une clôture ne les arrêtent.

Nous sommes bien ici sur 2 approches, le préventifs et le curatifs. On comprends bien que cela n'amusent nos pharmaciens qu'un peu d'orties, de prêles, de consoudes ou e fougères évitent un traitement.

Je reprends cette idée d'abandon cellulaire avec cette image :



La plante s'auto-averti avec des phyto-hormones messagères ( de l'acide salicylique, de l'acide jasmonique ). Elle reconnait la fréquence de cette rouille ici et va confiné l’agresseur. C'est à dire qu'elle va établir une barrière en émettant des quinones, des ortho-quinones, des phénols. On l'appelle une myélinisation, une compartimentation. On la voit, c'est rouge violacé.

C'est comme si elle mettait de l'eau oxygénée autour d'une plaie. Une barrière oxydo-réductrice.

Petiot affirme que quand la plane a reconnu son agresseur et mis en place, elle n'a plus besoin d'une intervention pompier, elle est en train de faire le boulot elle même.

Si elle ne reconnait pas l'agresseur elle va dépigmenté la zone agressée :

En écrivant ces lignes, je me disait que le monde de la terre était traversé par les mêmes courants que ceux du reste de la société.

Nos pharmaciens, nos banquiers sont les mêmes.

Nous venons de traverser une pandémie. Qu'un vaccin soit efficace ou pas, le sujet est trop polémique pour y revenir ici.  Par contre il est clair que ces gens là ont délibérément ont délibérément mis de côté les moyens simples et peu couteux de prévention. Je n'ai jamais entendu les "spécialistes de plateaux" conseiller un peu de vitamine B 12 ou de zinc pour renforcer on immunité.  Ils ont délibérément sorti la première barrière de conseil et de prise en charge que sont les médecins pour faire du pognon et faire régner la peur pour essayer leur pouvoir. Ayez peur vous les gueux, la maladie est sur vous.

Cela se traduit en agricole par : traitez, traitez, les vilains champignons vont bouffer vos récoltes et votre compétitivité.

J'arrête ici le parallèle pour revenir à mes moutons.

GL tu nous saoule avec tout tes messages. 
Le magnétisme, c'est simple, c'est la vie. Si c'est mort ya plus rien.

C'est ces le cas tu ne regarde pas, c'est simple.

Rien ne t'oblige à lire ce que j'écris.




On m'a toujours dit : " Quand tu commence à te faire engueuler, c'est que tu fais quelque chose ".

Pour faire pousser un arbre droit ou le faire comme celui-ci.  C'est très facile. Nocivités sur un arbre (réseau Curry+Hartmann)=point étoile - YouTube

Bio37 a écrit:Pour faire pousser un arbre droit ou le faire comme celui-ci.  C'est très facile. Nocivités sur un arbre (réseau Curry+Hartmann)=point étoile - YouTube

Il faut que nous explique un peu ce que sont ces réseaux. Moi je n'y connais rien.

Chez nous on a des hêtres tortillards qu'on appelle des faux mais il semblerait que ce soit génétique.

https://youtu.be/m3GlWYhYxas?t=22

Nous allons maintenant allez faire un tour du côté de la lumière, on va commencer par l'infrarouge.

Il s'agit d'un rayonnement électromagnétique de fréquence supérieur au visible.

Il donne lieu à de nombreux phénomènes comme l'atténuation, l'absorption, la diffraction, la réfraction, les interférences,les échos, les parasites électromagnétiques et pour ce qui nous concerne et des effets biologiques.



On le caractérise selon l'usage :

Sa norme ISO, la fréquence :



Sa norme en matière d'éclairage, on ajoute la longueur d'onde :



A l'entrée de l'hiver, on peut en faire ça pour savoir ou se sauve votre facture de chauffage :

Mais aussi ce que l'on fait en déchaumant :



Ça c'est la tête qui chauffe :

Cette partie là du spectre lumineux n'est pas visible.

Nous voyons entre 380 à 750 nanomètres, soit des fréquences visibles est compris entre 770 THz – 400 THz.



L'infra rouge qui a donc autant d'importance, on peut le ressentir mais pas le voir.

Ce qui fait monter la sève dans les plantes, ce qui fait la 4° dimension de l'eau ne peut se voir que par ses effets.

Ce qui fait le changement des vibrations dans les cellules n'est pas visible.



Le moteur de la vie, celui que les paysans travaillent tous les jours, ils peuvent le ressentir mais pas le voir.

Bio37 a écrit:GL tu nous saoule avec tout tes messages. 
Le magnétisme, c'est simple, c'est la vie. Si c'est mort ya plus rien.

Je ne pense pas.

Moi je ne sais pas tout  , mais tout ce que je sais , c'est qu'il y a toujours plus de choses dans deux tetes que dans une seule

C'est demain au domaine de  Gaujacq à Montpereux  ( 25 )

https://www.facebook.com/watch/?ref=search&v=1292626380852207&external_log_id=e0d84db5-2c07-4f5a-a8e6-52b4f3c0b96a&q=platarium%20de%20gaujacq

https://www.facebook.com/photo/?fbid=978569224281404&set=gm.1441128976576593

Cela permet simplement d'écouter l'état de santé des plantes.



Dans son principe, la technologie est simple. Les plantes émettent des " vibrations " dans les très hautes fréquences. Un appareil permet de " changer d'octave " et de rendre ces émissions audibles dans des fréquences de 800 à 2 000 Hz.