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Déni de démocratie
3 participants
AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: politique générale , syndicalisme :: Politique européenne
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Déni de démocratie
Bravo à m. Bellamy, mais honte aux 38 parlementaires qui s'opposent à sa proposition !!! 🤬
Quand on voit comment fonctionne le parlement européen, on ne s'étonne plus de rien:
38 contre, sur plus de 700 au total, et l'amendement est rejeté ... Incroyable !!!
https://youtu.be/Y9pPbA4vvuI
Quand on voit comment fonctionne le parlement européen, on ne s'étonne plus de rien:
38 contre, sur plus de 700 au total, et l'amendement est rejeté ... Incroyable !!!
https://youtu.be/Y9pPbA4vvuI
evergreen- + membre techno +
- Messages : 3200
Date d'inscription : 21/02/2013
Age : 56
sud rhones alpes
iris, dgé, la cigogne, B1 bis et Honoré de Barzac aiment ce message
Re: Déni de démocratie
Plus de 38
Mais bon l'Europe n'arrive plus à me surprendre
Mais bon l'Europe n'arrive plus à me surprendre
Biketman du 47- + membre techno +
- Messages : 2816
Date d'inscription : 26/12/2020
Age : 62
Dans les coteaux du lot et Garonne
la cigogne et fergie62 aiment ce message
Re: Déni de démocratie
c'est un CC bordélique, car je n'etais pas tranquille, alors c'est en vrac,
Alain Falento sur Breizh Info : Les USA ont dessiné l’UE selon leurs besoins
Vues: 1 431
Sortir de l’Europe, une question de vie ou de mort. Tel est le titre d’un livre, édité aux éditions Riposte Laïque (à commander ici) et écrit par Alain Falento.
Pour l’auteur, cela ne fait aucun doute, l’Union Européenne et ses institutions se sont construites sans les peuples qui composent notre continent. « Pendant 40 ans, la construction européenne s’est déroulée sans nous ; depuis la ratification du traité de Maastricht, elle se fait malgré nous. L’euro ne constitue absolument pas une sécurité pour la France et les Français, au contraire. L’Allemagne vampirise l’Europe. La guerre menée contre la Russie, sous l’égide de l’0tan, va d’abord frapper les peuples européens, et accélérer l’inévitable krach financier. Les instances européennes mettent délibérément nos vies en danger. La monnaie numérique que l’Union européenne rêve de mettre en place dissimule une ultime spoliation des citoyens. Après le passe sanitaire, ils rêvent de mettre en place le passe climatique, pour aller vers un contrôle social à la Chinoise dela population. Si nous ne prenons pas collectivement conscience de l’état critique de la situation, en sortant de l’Union européenne et de l’euro, nous allons entériner la disparition d’un pays vieux de 1500 ans. ll est encore possible d”éviter cette catastrophe, mais le temps nous est compté. Question de vie ou de mort »
Un livre qui appelle nécessairement à un débat. Un débat saisi au vol par notre rédacteur en chef, qui a posé quelques questions à Alain Falento.
Breizh-info.com : Pouvez-vous, tout d’abord, vous présenter à nos lecteurs ?
Alain Falento : J’ai 48 ans, j’ai exercé les fonctions de gestionnaire de fonds dans une grande banque française, de consultant en investissement pour des groupes étrangers, et de chef d’entreprise dans des domaines variés. Je m’intéresse depuis longtemps au concept de souveraineté dans tous ses aspects, et particulièrement sous l’angle économique et financier.
Breizh-info.com : Vous expliquez dans votre nouvel ouvrage que « la construction européenne s’est faite sans nous » Mais qui est le nous ? En quoi le peuple français est-il plus impliqué dans la construction de la société française que de la société européenne ?
Alain Falento : Entre le plan Schuman de 1950, et le traité de Maastricht de 1992, pas une seule fois le peuple français n’a été consulté sur la question de la construction européenne. Pire encore, Monnet et Schuman ont même avoué fièrement que, dès le début, les détails du plan avaient été volontairement cachés aux membres du gouvernement français afin d’éviter toute forme de contestation. Cela en dit long sur la vision qu’avaient ces gens de la démocratie.
La dernière fois que nos dirigeants ont daigné nous consulter, c’était en 2005 sur le projet de traité constitutionnel européen, et le référendum s’était soldé par un « Non ». Malgré cela, les autocrates européens sont passés outre, et ont malgré tout poursuivi la construction européenne comme ils l’entendaient. Il ne me semble donc pas illégitime de considérer que cette Union européenne s’est faite sans nous, le peuple, jusqu’au Traité de Maastricht de 1992, et même malgré nous depuis 2005.
La comparaison que vous faites entre l’implication du peuple français dans la construction européenne et dans l’évolution de la société française est très intéressante. En ce qui concerne la société française, vous avez toujours le loisir de voter pour qui vous voulez tous les 5 ans, alors que les autocrates européens sont purement et simplement nommés, et échappent à la sanction du suffrage universel.
Cependant, ces deux problématiques ne sont pas indépendantes ; comme nous l’évoquerons sans doute un peu plus loin dans l’entretien, l’évolution de la société française dépend en réalité complètement de la Commission européenne depuis la ratification du traité de Maastricht.
Par exemple, ce que nos dirigeants appellent pudiquement « la mutation démographique » de la France, à savoir l’invasion migratoire, n’est plus du ressort de l’État français depuis qu’il s’est volontairement dessaisi de cette prérogative en ratifiant le traité de Maastricht en 1992. Le peuple français n’a tout simplement plus son mot à dire en la matière.
Breizh-info.com : Il y a chez les souverainistes français l’argumentation continue évoquant la perte de souveraineté au profit de l’Union Européenne. Mais la République française n’est-elle pas la maman, le moteur, avec l’Allemagne, de la philosophie de l’UE ? Finalement, ne sont-ce pas tous les autres pays qui constituent l’UE qui sont les victimes, non pas de l’UE, mais de la France et de l’Allemagne ?
15 octobre 2022 Riposte Laïque INTERVIEWS 14
Alain Falento sur Breizh Info : Les USA ont dessiné l’UE selon leurs besoins
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Sortir de l’Europe, une question de vie ou de mort. Tel est le titre d’un livre, édité aux éditions Riposte Laïque (à commander ici) et écrit par Alain Falento.
Pour l’auteur, cela ne fait aucun doute, l’Union Européenne et ses institutions se sont construites sans les peuples qui composent notre continent. « Pendant 40 ans, la construction européenne s’est déroulée sans nous ; depuis la ratification du traité de Maastricht, elle se fait malgré nous. L’euro ne constitue absolument pas une sécurité pour la France et les Français, au contraire. L’Allemagne vampirise l’Europe. La guerre menée contre la Russie, sous l’égide de l’0tan, va d’abord frapper les peuples européens, et accélérer l’inévitable krach financier. Les instances européennes mettent délibérément nos vies en danger. La monnaie numérique que l’Union européenne rêve de mettre en place dissimule une ultime spoliation des citoyens. Après le passe sanitaire, ils rêvent de mettre en place le passe climatique, pour aller vers un contrôle social à la Chinoise dela population. Si nous ne prenons pas collectivement conscience de l’état critique de la situation, en sortant de l’Union européenne et de l’euro, nous allons entériner la disparition d’un pays vieux de 1500 ans. ll est encore possible d”éviter cette catastrophe, mais le temps nous est compté. Question de vie ou de mort »
Un livre qui appelle nécessairement à un débat. Un débat saisi au vol par notre rédacteur en chef, qui a posé quelques questions à Alain Falento.
Breizh-info.com : Pouvez-vous, tout d’abord, vous présenter à nos lecteurs ?
Alain Falento : J’ai 48 ans, j’ai exercé les fonctions de gestionnaire de fonds dans une grande banque française, de consultant en investissement pour des groupes étrangers, et de chef d’entreprise dans des domaines variés. Je m’intéresse depuis longtemps au concept de souveraineté dans tous ses aspects, et particulièrement sous l’angle économique et financier.
Breizh-info.com : Vous expliquez dans votre nouvel ouvrage que « la construction européenne s’est faite sans nous » Mais qui est le nous ? En quoi le peuple français est-il plus impliqué dans la construction de la société française que de la société européenne ?
Alain Falento : Entre le plan Schuman de 1950, et le traité de Maastricht de 1992, pas une seule fois le peuple français n’a été consulté sur la question de la construction européenne. Pire encore, Monnet et Schuman ont même avoué fièrement que, dès le début, les détails du plan avaient été volontairement cachés aux membres du gouvernement français afin d’éviter toute forme de contestation. Cela en dit long sur la vision qu’avaient ces gens de la démocratie.
La dernière fois que nos dirigeants ont daigné nous consulter, c’était en 2005 sur le projet de traité constitutionnel européen, et le référendum s’était soldé par un « Non ». Malgré cela, les autocrates européens sont passés outre, et ont malgré tout poursuivi la construction européenne comme ils l’entendaient. Il ne me semble donc pas illégitime de considérer que cette Union européenne s’est faite sans nous, le peuple, jusqu’au Traité de Maastricht de 1992, et même malgré nous depuis 2005.
La comparaison que vous faites entre l’implication du peuple français dans la construction européenne et dans l’évolution de la société française est très intéressante. En ce qui concerne la société française, vous avez toujours le loisir de voter pour qui vous voulez tous les 5 ans, alors que les autocrates européens sont purement et simplement nommés, et échappent à la sanction du suffrage universel.
Cependant, ces deux problématiques ne sont pas indépendantes ; comme nous l’évoquerons sans doute un peu plus loin dans l’entretien, l’évolution de la société française dépend en réalité complètement de la Commission européenne depuis la ratification du traité de Maastricht.
Par exemple, ce que nos dirigeants appellent pudiquement « la mutation démographique » de la France, à savoir l’invasion migratoire, n’est plus du ressort de l’État français depuis qu’il s’est volontairement dessaisi de cette prérogative en ratifiant le traité de Maastricht en 1992. Le peuple français n’a tout simplement plus son mot à dire en la matière.
Breizh-info.com : Il y a chez les souverainistes français l’argumentation continue évoquant la perte de souveraineté au profit de l’Union Européenne. Mais la République française n’est-elle pas la maman, le moteur, avec l’Allemagne, de la philosophie de l’UE ? Finalement, ne sont-ce pas tous les autres pays qui constituent l’UE qui sont les victimes, non pas de l’UE, mais de la France et de l’Allemagne ?
15 octobre 2022 Riposte Laïque INTERVIEWS 14
EtienneCH4- + membre techno +
- département : sud Manche et centre Chine
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Date d'inscription : 09/09/2015
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dgé aime ce message
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