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STRATEGIE DE MANIPULATION
5 participants
STRATEGIE DE MANIPULATION
1 La stratégie de la diversion
Elément primordial du contrôle social, la stratégie de la
diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes
importants et des mutations décidées par les élites politiques et
économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et
d’informations insignifiantes.
La stratégie de la diversion est également indispensable pour
empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans
les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la
neurobiologie, et de la cybernétique.
« Garder l’attention du public distraite, loin des véritables
problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle.
Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser;
de retour à la ferme avec les autres animaux.
*2 Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution
». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter
une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même
demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple:
laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats
sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au
détriment de la liberté. Ou encore: créer une crise économique pour
faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et
le démantèlement des services publics.
*3 La stratégie du dégradé
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de
l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans.
C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement
nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage
massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant
plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une
révolution si ils avaient été appliqués brutalement.
4) La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de
la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant
l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur.
Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un
sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout
de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer
naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé
pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour
s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation
lorsque le moment sera venu.
Exemple récent: le passage à l’Euro et la perte de la souveraineté
monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en
1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple: les accords
multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du
continent américain pourtant réticents, en concédant une application
différée à 2005.
*5 S’adresser au public comme à des enfants en bas-age
La plupart des publicités destinées au grand-public
utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton
particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si
le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental.
Exemple typique: la campagne TV française pour le passage à l’Euro («
les jours euro »). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on
adoptera un ton infantilisant. Pourquoi?
»Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12
ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une
certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens
critique que celles d’une personne de 12 ans. »
6) Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour
court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des
individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet
d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées,
des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...
7 Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les
technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son
esclavage.
« La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit
être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de
l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures
soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. »
8 Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte...
9 Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son
malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses
capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le
système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui
engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de
l’action. Et sans action, pas de révolution!...
10 Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la
science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public
et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la
biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système »
est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois
physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux
connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela
signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand
contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus
eux-mêmes.
un exemple parmi de nombreux autres souvent méconnu :
ROME - 70 AVANT J.C. : CRASSUS ET SPARTACUS
La provocation politique est vieille comme le monde, pourrait-on dire. A cette époque, Rome est encore une république,
mais déjà certains hommes influents aimeraient instaurer un régime plus "musclé". L'un d'eux, Marcus Licinius Crassus,
va exploiter la frayeur des Romains face à Spartacus et à son armée d'esclaves révoltés, et conduire ainsi ses
concitoyens à renoncer à certaines libertés.
Comme Spartacus
n'a nullement l'ambition de conquérir la ville, mais veut au contraire prendre le large avec ses hommes, Crassus va,
dans un premier temps, veiller à ce que les insurgés ne trouvent aucun navire pour quitter le pays. Une flotte
mercenaire qui aurait fait l'affaire, part sans eux après que Crassus ait généreusement rétribué ses propriétaires.
La deuxième étape consiste à barrer le chemin aux troupes de Spartacus, de sorte qu'elles
n'aient d'autre choix que de prendre la route de Rome. Crassus s'empresse alors de semer la panique parmi les Romains
en leur exposant la gravité de la situation.
Après avoir défait l'armée de Spartacus et fait crucifier 6000 esclaves, Crassus peut se présenter en
"sauveur" de la ville et prétendre au titre de consul. C'est le premier pas vers la liquidation
de la République, bientôt remplacée par la dictature d'un triumvirat (composé de ce même Crassus, de Pompée et
de César), puis par l'Empire.
Elément primordial du contrôle social, la stratégie de la
diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes
importants et des mutations décidées par les élites politiques et
économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et
d’informations insignifiantes.
La stratégie de la diversion est également indispensable pour
empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans
les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la
neurobiologie, et de la cybernétique.
« Garder l’attention du public distraite, loin des véritables
problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle.
Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser;
de retour à la ferme avec les autres animaux.
*2 Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution
». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter
une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même
demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple:
laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats
sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au
détriment de la liberté. Ou encore: créer une crise économique pour
faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et
le démantèlement des services publics.
*3 La stratégie du dégradé
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de
l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans.
C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement
nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage
massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant
plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une
révolution si ils avaient été appliqués brutalement.
4) La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de
la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant
l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur.
Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un
sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout
de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer
naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé
pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour
s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation
lorsque le moment sera venu.
Exemple récent: le passage à l’Euro et la perte de la souveraineté
monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en
1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple: les accords
multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du
continent américain pourtant réticents, en concédant une application
différée à 2005.
*5 S’adresser au public comme à des enfants en bas-age
La plupart des publicités destinées au grand-public
utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton
particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si
le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental.
Exemple typique: la campagne TV française pour le passage à l’Euro («
les jours euro »). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on
adoptera un ton infantilisant. Pourquoi?
»Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12
ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une
certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens
critique que celles d’une personne de 12 ans. »
6) Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour
court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des
individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet
d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées,
des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...
7 Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les
technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son
esclavage.
« La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit
être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de
l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures
soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. »
8 Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte...
9 Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son
malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses
capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le
système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui
engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de
l’action. Et sans action, pas de révolution!...
10 Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la
science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public
et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la
biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système »
est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois
physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux
connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela
signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand
contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus
eux-mêmes.
un exemple parmi de nombreux autres souvent méconnu :
ROME - 70 AVANT J.C. : CRASSUS ET SPARTACUS
La provocation politique est vieille comme le monde, pourrait-on dire. A cette époque, Rome est encore une république,
mais déjà certains hommes influents aimeraient instaurer un régime plus "musclé". L'un d'eux, Marcus Licinius Crassus,
va exploiter la frayeur des Romains face à Spartacus et à son armée d'esclaves révoltés, et conduire ainsi ses
concitoyens à renoncer à certaines libertés.
Comme Spartacus
n'a nullement l'ambition de conquérir la ville, mais veut au contraire prendre le large avec ses hommes, Crassus va,
dans un premier temps, veiller à ce que les insurgés ne trouvent aucun navire pour quitter le pays. Une flotte
mercenaire qui aurait fait l'affaire, part sans eux après que Crassus ait généreusement rétribué ses propriétaires.
La deuxième étape consiste à barrer le chemin aux troupes de Spartacus, de sorte qu'elles
n'aient d'autre choix que de prendre la route de Rome. Crassus s'empresse alors de semer la panique parmi les Romains
en leur exposant la gravité de la situation.
Après avoir défait l'armée de Spartacus et fait crucifier 6000 esclaves, Crassus peut se présenter en
"sauveur" de la ville et prétendre au titre de consul. C'est le premier pas vers la liquidation
de la République, bientôt remplacée par la dictature d'un triumvirat (composé de ce même Crassus, de Pompée et
de César), puis par l'Empire.
Invité- Invité
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
Faut pas tous les surestimer non plus
Fred 85- + membre techno +
- Messages : 434
Date d'inscription : 17/10/2009
Age : 60
Vendée est
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
mib,je ne sais pas ou tu as chopé cette analyse,mais il y a des stratégies qui me paraisse vraiment pas idiote , pour ceux qui on une ouverture d'esprit of course !
la cigogne- + membre techno +
- Messages : 8389
Date d'inscription : 12/09/2009
vienne en autres riches
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
Krokodile a écrit:Mib, quelles sont les sources ??? Quel livre ??? Merci !
http://forums.france2.fr/france2/L-objet-du-scandale/septembre-appelez-durand-sujet_447_8.htm#t9455
Invité- Invité
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
la cigogne a écrit:mib,je ne sais pas ou tu as chopé cette analyse,mais il y a des stratégies qui me paraisse vraiment pas idiote , pour ceux qui on une ouverture d'esprit of course !
pour être tout à fait complet :
DECODAGE DES TECHNIQUES DE DESINFORMATION
Technique n°1 : Evitement
Ne pas écouter la controverse, ne pas la voir, ne pas en parler. elle n’existe pas
Technique n°2 : Superficialité
N’aborder
la controverse qu’en périphérie, sur des points mineurs voire
pittoresques. Eviter soigneusement les points clés de l’argumentation,
Technique n°3 : Indignation
Rejeter
le sujet de façon indignée (jamais une chose pareille ne serait
possible). Jouer sur le sentiment d’incrédulité (il y aurait eu des
fuites, ça se saurait, patati patata)
Technique n°4 : Rumeur
Considérer la controverse comme une rumeur de plus, sans fondements, quels que soient la qualité des arguments présentés.
Technique n°5 : Homme de paille
Présenter
la position de son adversaire de façon volontairement erronée, en
sélectionnant son argument le plus faible, en amplifiant sa portée puis
en le détruisant.
Technique n°6 : Messager
Décrédibiliser le
porteur du message. Ajouter une pointe d’attaque personnelle, avec «
conspirationiste » ou les must à la mode : « antisémite » et «
négationniste », assaisonner d’une dose de considérations
socio-psychologiques pour « psychiatriser » l’adversaire.
Technique n°7 : Solution complète
Eviter le problème en exigeant de l’opposant qu’il fournisse une solution complète
Invité- Invité
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
attention mib , vous avez (parait il ) un expert de la manipulation sur ce forum (qui c' est ?????)
enfin , c' est ce qui se lit sur d' autres espaces !!!!!!
enfin , c' est ce qui se lit sur d' autres espaces !!!!!!
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
patogaz a écrit:attention mib , vous avez (parait il ) un expert de la manipulation sur ce forum (qui c' est ?????)
enfin , c' est ce qui se lit sur d' autres espaces !!!!!!
je crois que cet ostrogoth est plutôt victime des techniques de désinformation citées ci dessus ; et pour cause....
enfin tu vois ce que je veux dire ....
Invité- Invité
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
si on trouve qui c' est , on lui posera la question
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
Ces techniques sembles parfaitement rodées, si j'en crois les fois ou elles sont employées !
Je pense m'y pencher un peu plus...
Les journalistes sont donc dupes ?
Je pense m'y pencher un peu plus...
Les journalistes sont donc dupes ?
Invité- Invité
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
Krokodile a écrit:Ces techniques sembles parfaitement rodées, si j'en crois les fois ou elles sont employées !
Je pense m'y pencher un peu plus...
Les journalistes sont donc dupes ?
dupes ?? sans doute pour la plupart et puis n'oublions pas qu'il s'agit de leur gagne pain , ils ont , de plus, un public dont l' appétit de catastrophisme et de sensationalisme est à satisfaire ; pour ceux qui savent, ils sont compromis avec le pouvoir , tous ou presque fréquentent les cercles très restreint des hautes sphères dirigeantes ( bilderberg , le siècle ,etc...) , reste quelques ostrogoths empêcheurs de tourner en rond !!
Invité- Invité
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
Le
Siècle
"Le
Siècle" est un "club de réflexion" (ou "think
tank") qui réunit les membres les plus puissants et
influents de la classe dirigeante française. On y
retrouve des politiciens de droite et de gauche, les patrons
des plus grandes entreprises françaises, des
journalistes de premier plan dans les médias qui
"font l'opinion", et quelques universitaires. Le
Siècle compte un peu plus de 500 membres choisis par
cooptation, auquels s'ajoutent 200 invités
renouvelés chaque année.
Une
fois par mois, les membres du Siècle se
réunissent au très sélect Automobile
Club de France, place de la Concorde. De 20h à 21h,
un apéritif permet de choisir librement ses
interlocuteurs. A 21h vient l'heure du dîner. Les
convives sont placés par groupes de 7 ou 8 autour
d'un chef de table qui veille à organiser le
débat et à éviter les apartés.
Le repas se termine à 22h45. Ceux qui le souhaitent
peuvent prolonger la soirée au bar.
quelques membres du Siècle
D'autres
membres du Siècle...
Gérard
Worms président de la banque Rothschild,
administrateur de la Société
générale de Belgique (une banque
présidée par Etienne Davignon, un membre
éminent du Groupe
de Bilderberg ).
Ernest-Antoine Seillière
président du MEDEF, président des holdings
Wendel Investissement et CGIP. membre du
Groupe
de Bilderberg.
Jean-Claude Trichet président de la
Banque Centrale Européenne, ancien gouverneur de la
Banque de France, membre du Groupe
de Bilderberg
et de l'IFRI.
Pascal Lamy Directeur de l'OMC
(Organisation mondiale du Commerce), ex Commissaire
européen au commerce, membre du Groupe
de Bilderberg,
membre de la branche Europe de la RAND
Corporation.
Jean Peyrelevade président du
Crédit Lyonnais
Jean-Yves Haberer ex-président du
Crédit Lyonnais
Daniel Bouton président de la
Société Générale
Claude Bébéar
ex-président d'Axa
Louis Schweitzer président de
Renault, membre du Groupe
de Bilderberg,
de l'IFRI,
et du Forum de Davos
Michel Bon ex-président de France
Telecom
Alain de Pouzilhac président d'Havas
(groupe de médias et de publicité)
Maurice Levy président du groupe
Publicis
Édouard de Rothschild banquier, homme
d'affaires, principal actionaire du journal
Libération
Louis Gallois président de la
SNCF
Antoine Guichard PDG du groupe
Casino
Jean-Marie Messier ex PDG de Vivendi
Martine Aubry membre du Parti
Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements
socialistes successifs
Olivier Schrameck directeur de cabinet du
premier ministre Lionel Jospin de 1997 à 2002
Lionel Jospin membre du Parti Socialiste,
premier ministre de 1997 à 2002
Dominique Strauss-Kahn membre du Parti
Socialiste, ancien ministre des Finances de Lionel Jospin.
Membre du Groupe
de Bilderberg.
Hubert Vedrine, membre du Parti Socialiste,
ancien ministre des Affaires étrangères de
Lionel Jospin, ancien Secrétaire
Général de l'Elysée sous
François Mitterrand. Membre du Groupe
de Bilderberg
et de l'IFRI.
Jean-Pierre Chevènement, membre du
Parti Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements
Laurent Fabius, membre du Parti Socialiste, ex
premier ministre, ex ministre des finances
Elisabeth Guigou, membre du Parti Socialiste,
ministre dans plusieurs gouvernements
Bernard Kouchner membre du Parti
Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements de gauche
et de droite, membre du Groupe
de BilderbergNicolas Sarkozy leader de l'UMP
(principal parti de droite), ministre des finances et de
l'intérieur
Rachida Dati ministre UMP de la justice
Alain Minc consultant, conseiller
auprès de plusieurs grands chefs d'entreprises et
ministres
Jean-Pierre Raffarin membre de l'UMP,
premier ministre de 2002 à 2005
Thierry Breton ex-PDG de France Telecom,
ministre UMP des finances de 2005 à 2007
Jean-François Copé
ex-ministre UMP du budget
Corinne Lepage ancienne ministre de
l'environnement
Nicole Notat secrétaire
général du syndicat CFDT de 1992 à
2002
Renaud Denoix de Saint Marc membre du Conseil
constitutionnel, ex vice-président du Conseil
d'état
Christian Noyer président de la
Banque de France, ex directeur de cabinet d'Edouard
Balladur, puis d'Edmond Alphandéry et de Jean Arthuis
au ministère des finances
Richard Decoings directeur de l'Institut
d'études politiques de Paris
Anne-Marie Couderc député
UMP et directrice générale du groupe de
médias Hachette-Filipacchi
Teresa Cremisi PDG du groupe d'édition
Flammarion, ex n°2 des éditions Gallimard
Odile Jacob présidente des
éditions Odile Jacob
Michèle Cotta ex-directrice
générale de France 2, et ex-directrice du
service politique de France 2
Anne Sinclair journaliste, productrice
TV
Franz-Olivier Giesbert ex directeur
général du Figaro, présentateur de
l'émission "Culture et Dépendances" sur France
3
Jean-Marie Colombani directeur du
journal Le Monde
Denis Jeambar directeur des éditions
du Seuil, ex directeur et éditorialiste du magazine
L'Express, ex directeur général d'Europe 1
Claude Imbert ex directeur
général et éditorialiste du magazine Le
Point
Patrick Poivre d'Arvor journaliste,
présentateur du journal télévisé
de 20h sur TF1
David Pujadas journaliste,
présentateur du journal télévisé
de 20h sur France 2
Marc Tessier ancien président de France
Télévisions
Serge July ex-directeur du journal
Libération
Laurent Joffrin directeur du journal
Libération, ex directeur du Nouvel Observateur
Emmanuel Chain journaliste, ex
présentateur de l'émission économique
"Capital" sur M6
Siècle
"Le
Siècle" est un "club de réflexion" (ou "think
tank") qui réunit les membres les plus puissants et
influents de la classe dirigeante française. On y
retrouve des politiciens de droite et de gauche, les patrons
des plus grandes entreprises françaises, des
journalistes de premier plan dans les médias qui
"font l'opinion", et quelques universitaires. Le
Siècle compte un peu plus de 500 membres choisis par
cooptation, auquels s'ajoutent 200 invités
renouvelés chaque année.
Une
fois par mois, les membres du Siècle se
réunissent au très sélect Automobile
Club de France, place de la Concorde. De 20h à 21h,
un apéritif permet de choisir librement ses
interlocuteurs. A 21h vient l'heure du dîner. Les
convives sont placés par groupes de 7 ou 8 autour
d'un chef de table qui veille à organiser le
débat et à éviter les apartés.
Le repas se termine à 22h45. Ceux qui le souhaitent
peuvent prolonger la soirée au bar.
quelques membres du Siècle
| Philippe Jaffré Né en 1945. Enarque. Fils d'Yves-Frédéric Jaffré, conseiller de Pierre Laval. Frère de Jérôme Jaffré, administrateur de la Sofres (l'un des principaux instituts de sondages en France). Conseiller de René Monory en 1979, dans le gouvernement de Raymond Barre et sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing. Chef de service au ministère de l'économie et des Finances (1986). Il fut, avec Jacques Friedmann, l'un des principaux artisans des privatisations de 1987. Il présida ensuite plusieures filiales du Crédit agricole jusqu'en 1991. Pdg d'Elf-Aquitaine de 1993, jusqu'à la fusion de Elf avec Total. Il fut alors connu du grand public à cause de la fabuleuse indemnité de départ qu'il empocha en stock options. Il fut également administrateur de nombreuses sociétés dont la Banco Ambrosiano (la banque impliquée dans le scandale de la Loge P2 en Italie). Il est également membre du Groupe de Bilderberg. |
| Bertrand Collomb Né en 1942. Polytechnicien. Conseiller ministériel auprès d'Alain Peyrefitte (1973-74) et René Haby (1974-75). Pdg du groupe Lafarge, administrateur de diverses sociétés dont Unilever, Canadian Imperial Bank of Commerce, Crédit commercial de France (CCF), et Crédit local de France. Administrateur d'Aspen-France. Membre du Groupe de Bilderberg, et du World Economic Forum de Davos. Il est aussi membre d'Entreprise et Cité, un autre "club de réflexion" qui rassemble des grands patrons français. |
| André Lévy-Lang Né en 1937. Polytechnicien. Ingénieur puis directeur de filiales chez Schlumberger de 1962 à 1974. Pdg de Paribas de 1990 jusqu'à sa fusion en 1999 avec la BNP. Administrateur de diverses sociétés dont Athena, Schlumberger, les AGF. Il a été mis en examen, en 1995, dans l'affaire des Ciments français et s'est maintenu grâce au soutien de Claude Bébéar (également membre et fondateur de Entreprise et Cité). Président de la Commission des finances du CNPF (ou MEDEF) de 1988 à 1997. Membre du Groupe de Bilderberg et président de l'Association des amis français du Groupe de Bilderberg. |
| Michel Pébereau Né en 1942. Polytechnicien. Inspecteur général des finances. Ancien élève de l'école Polytechnique et de l'ENA. Conseiller auprès de Valéry Giscard d'Estaing entre 1970 et 1974, lorsque celui-ci était ministre des Finance de Georges Pompidou. Conseiller de René Monory de 1978 à 1981. Président du Crédit Commercial de France (CCF) de 1987 à 1993, puis président d'Axa. Il est aujourd'hui président de la BNP. Administrateur de diverses sociétés dont Lafarge, Saint-Gobain, UAP, et les Galeries Lafayette. Ancien membre de la Commission économique du MEDEF (l'organisation des patrons français). Egalement membre d'Entreprise et Cité. |
| Pierre Bilger Né en 1934. Enarque. Inspecteur des finances. Conseiller de plusieurs ministres pendant la présidence de Valery Giscard d'Estaing: auprès de Jean-Pierre Fourcade de 1974 à 1976, de Michel Durafour en 1976, de Robert Boulin en 1977, et enfin, directeur de cabinet de Maurice Papon (alors ministre de Giscard) de 1978 à 1981. Directeur de l'Administration centrale au ministère de l'Économie et des Finances de 1982 à 1986, sous les gouvernements socialistes de Pierre Maurois et Laurent Fabius. Il fut ensuite président d'Alsthom. |
D'autres
membres du Siècle...
Gérard
Worms président de la banque Rothschild,
administrateur de la Société
générale de Belgique (une banque
présidée par Etienne Davignon, un membre
éminent du Groupe
de Bilderberg ).
Ernest-Antoine Seillière
président du MEDEF, président des holdings
Wendel Investissement et CGIP. membre du
Groupe
de Bilderberg.
Jean-Claude Trichet président de la
Banque Centrale Européenne, ancien gouverneur de la
Banque de France, membre du Groupe
de Bilderberg
et de l'IFRI.
Pascal Lamy Directeur de l'OMC
(Organisation mondiale du Commerce), ex Commissaire
européen au commerce, membre du Groupe
de Bilderberg,
membre de la branche Europe de la RAND
Corporation.
Jean Peyrelevade président du
Crédit Lyonnais
Jean-Yves Haberer ex-président du
Crédit Lyonnais
Daniel Bouton président de la
Société Générale
Claude Bébéar
ex-président d'Axa
Louis Schweitzer président de
Renault, membre du Groupe
de Bilderberg,
de l'IFRI,
et du Forum de Davos
Michel Bon ex-président de France
Telecom
Alain de Pouzilhac président d'Havas
(groupe de médias et de publicité)
Maurice Levy président du groupe
Publicis
Édouard de Rothschild banquier, homme
d'affaires, principal actionaire du journal
Libération
Louis Gallois président de la
SNCF
Antoine Guichard PDG du groupe
Casino
Jean-Marie Messier ex PDG de Vivendi
Martine Aubry membre du Parti
Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements
socialistes successifs
Olivier Schrameck directeur de cabinet du
premier ministre Lionel Jospin de 1997 à 2002
Lionel Jospin membre du Parti Socialiste,
premier ministre de 1997 à 2002
Dominique Strauss-Kahn membre du Parti
Socialiste, ancien ministre des Finances de Lionel Jospin.
Membre du Groupe
de Bilderberg.
Hubert Vedrine, membre du Parti Socialiste,
ancien ministre des Affaires étrangères de
Lionel Jospin, ancien Secrétaire
Général de l'Elysée sous
François Mitterrand. Membre du Groupe
de Bilderberg
et de l'IFRI.
Jean-Pierre Chevènement, membre du
Parti Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements
Laurent Fabius, membre du Parti Socialiste, ex
premier ministre, ex ministre des finances
Elisabeth Guigou, membre du Parti Socialiste,
ministre dans plusieurs gouvernements
Bernard Kouchner membre du Parti
Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements de gauche
et de droite, membre du Groupe
de BilderbergNicolas Sarkozy leader de l'UMP
(principal parti de droite), ministre des finances et de
l'intérieur
Rachida Dati ministre UMP de la justice
Alain Minc consultant, conseiller
auprès de plusieurs grands chefs d'entreprises et
ministres
Jean-Pierre Raffarin membre de l'UMP,
premier ministre de 2002 à 2005
Thierry Breton ex-PDG de France Telecom,
ministre UMP des finances de 2005 à 2007
Jean-François Copé
ex-ministre UMP du budget
Corinne Lepage ancienne ministre de
l'environnement
Nicole Notat secrétaire
général du syndicat CFDT de 1992 à
2002
Renaud Denoix de Saint Marc membre du Conseil
constitutionnel, ex vice-président du Conseil
d'état
Christian Noyer président de la
Banque de France, ex directeur de cabinet d'Edouard
Balladur, puis d'Edmond Alphandéry et de Jean Arthuis
au ministère des finances
Richard Decoings directeur de l'Institut
d'études politiques de Paris
Anne-Marie Couderc député
UMP et directrice générale du groupe de
médias Hachette-Filipacchi
Teresa Cremisi PDG du groupe d'édition
Flammarion, ex n°2 des éditions Gallimard
Odile Jacob présidente des
éditions Odile Jacob
Michèle Cotta ex-directrice
générale de France 2, et ex-directrice du
service politique de France 2
Anne Sinclair journaliste, productrice
TV
Franz-Olivier Giesbert ex directeur
général du Figaro, présentateur de
l'émission "Culture et Dépendances" sur France
3
Jean-Marie Colombani directeur du
journal Le Monde
Denis Jeambar directeur des éditions
du Seuil, ex directeur et éditorialiste du magazine
L'Express, ex directeur général d'Europe 1
Claude Imbert ex directeur
général et éditorialiste du magazine Le
Point
Patrick Poivre d'Arvor journaliste,
présentateur du journal télévisé
de 20h sur TF1
David Pujadas journaliste,
présentateur du journal télévisé
de 20h sur France 2
Marc Tessier ancien président de France
Télévisions
Serge July ex-directeur du journal
Libération
Laurent Joffrin directeur du journal
Libération, ex directeur du Nouvel Observateur
Emmanuel Chain journaliste, ex
présentateur de l'émission économique
"Capital" sur M6
Invité- Invité
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
Il n'y a pas beaucoup de paysans dans ta liste. Faudrait faire introniser Pato , je crois que ça lui plairait
Invité- Invité
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
un lien pour vous éclairer un petit peu : clic là
le siècle ;bilderberg ; et touti quanti
le siècle ;bilderberg ; et touti quanti
herve56- + membre techno +
- Messages : 5691
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 61
56 sud
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
le but de ce post n’est pas de lister tous les articles ou tous les
sites qui dénoncent des supposés complots dans différents domaines ou
différents pays.
Semer le doute systématique sur tout (et son contraire) affecte la crédibilité de la file et fait le jeu de ceux que l'on tente de dénoncer.
Pour espérer abattre un arbre, il faut affaiblir le tronc en portant
les coups de hache à la même hauteur. Frapper n’importe où, sur toute
la longueur du tronc, est juste inefficace.
La valeur ajoutée d'un message se situe dans l'éclairage qu'il apporte sur un sujet.
Une analyse, une démonstration, un décryptage sont toujours les
bienvenus, surtout s'ils restent factuels et permettent de relier des
informations entre elles pour leur donner un sens.
Raison pour laquelle je m'étais abstenu de citer le lien .
sites qui dénoncent des supposés complots dans différents domaines ou
différents pays.
Semer le doute systématique sur tout (et son contraire) affecte la crédibilité de la file et fait le jeu de ceux que l'on tente de dénoncer.
Pour espérer abattre un arbre, il faut affaiblir le tronc en portant
les coups de hache à la même hauteur. Frapper n’importe où, sur toute
la longueur du tronc, est juste inefficace.
La valeur ajoutée d'un message se situe dans l'éclairage qu'il apporte sur un sujet.
Une analyse, une démonstration, un décryptage sont toujours les
bienvenus, surtout s'ils restent factuels et permettent de relier des
informations entre elles pour leur donner un sens.
Raison pour laquelle je m'étais abstenu de citer le lien .
Invité- Invité
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
ce lien t'éviteras tes copier-coller
pour l'arbre :achètes une tronçonneuse !
pour l'arbre :achètes une tronçonneuse !
herve56- + membre techno +
- Messages : 5691
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 61
56 sud
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
si tu mets pato et pascal lamy dans la même pièce , tu auras un arc électrique entre les deux (peut être une énergie nouvelle !!!!)douceur angevine a écrit:Il n'y a pas beaucoup de paysans dans ta liste. Faudrait faire introniser Pato , je crois que ça lui plairait
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: STRATEGIE DE MANIPULATION
patogaz a écrit:si tu mets pato et pascal lamy dans la même pièce , tu auras un arc électrique entre les deux (peut être une énergie nouvelle !!!!)douceur angevine a écrit:Il n'y a pas beaucoup de paysans dans ta liste. Faudrait faire introniser Pato , je crois que ça lui plairait
RENOUVELABLE ???????
logo55- + membre techno +
- département : 55
Messages : 6651
Date d'inscription : 12/09/2009
Age : 59
aux 3 frontières du 55,52 et 51
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