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la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
+3
carlo s
fred03
PatogaZ
7 participants
la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
Jeff Rubin (*), en plus d’être l’un des économistes le plus en vue
du Canada, est un rebelle, comme le confirme sa récente démission de la
CIBC, après 20 ans de service. La raison: la publication d’un livre sur
l’imminence du prochain choc pétrolier, que la banque refusait de
cautionner. Entrevue autour d’une prédiction… qui ne laissera personne
indifférent.
Les vacances en Europe, les vins australiens, les fraises en hiver,
vous devrez bientôt faire une croix sur ces petits plaisirs ainsi que
sur vos longs trajets quotidiens en automobile, si l’on se fie à
l’ancien économiste en chef de la CIBC, Jeff Rubin.
Celui qui avait prédit, contre vents et scepticisme, la hausse
spectaculaire du prix du pétrole l’an dernier, prévoit cette fois que
le baril s’échangera à plus de 200$ d’ici un peu plus d’un an. Si ce
n’est plus tôt.
Résultat: le prix de l’essence dépassera les 2$ le litre, nos
habitudes quotidiennes seront complètement bouleversées… et la
mondialisation ne sera plus qu’histoire ancienne, conclut-il dans un
livre coup-de-poing publié ces jours-ci, Why Your World Is About to Get
a Whole Lot Smaller.
«Aujourd’hui, en plein milieu de la pire crise des 60 dernières
années, le baril s’échange à un peu plus de 60$… Pas besoin d’un
diplôme en économie pour imaginer combien il coûtera quand la récession
sera finie, quand les gens retrouveront un emploi, quand ils
recommenceront à conduire…»
À combien, justement? À 100$ dans les 12 mois suivant une relance économique, puis à 200$ d’ici 2012, estime-t-il.
Certes, la prédiction peut faire sourciller, venant d’un homme
reconnu pour sa flamboyance et ses opinions tranchées. Mais elle est
partagée par d’autres experts qui croient comme lui que la crise
financière, qui se traduit actuellement par une baisse des
investissements pétroliers, prépare le terrain pour de «futures
brusques hausses des prix», selon les mots du numéro deux du Fonds
monétaire international (FMI), John Lipsky.
Alors qu’ils dépassaient les 147$ en juillet dernier, qu’ils ont
chuté à un peu plus de 32$ en décembre, les cours du pétrole dépassent
aujourd’hui les 60$. «Il y a quatre ou cinq ans, observe Jeff Rubin, un
tel prix aurait été considéré comme un record de tous les temps.
Aujourd’hui, rien de plus normal…»
La fin du pétrole
Jeff Rubin est un disciple de la théorie du pic pétrolier (la
production mondiale de pétrole atteindra son apogée puis amorcera un
inévitable déclin) depuis un voyage en Irlande, en 2000. Il a alors
discuté avec l’auteur de l’essai The Coming Oil Crisis, le géologue
Colin Campbell, une rencontre qui ne l’a pas autant convaincu de
l’épuisement du pétrole… que de l’épuisement du pétrole bon marché.
Or tout, souligne-t-il, de notre alimentation à notre lieu de
résidence en passant par nos loisirs de tous les jours, est basé,
précisément, sur le pétrole abordable.
«La raison pour laquelle l’économie mondiale a mis tous ses oeufs
dans le même panier est simple, écrit-il dans son essai, il n’existe
pas d’autre panier.»
D’où sa prédiction: l’économie s’apprête à vivre un choc historique,
qui nous ramènera collectivement là où nous étions dans les années 60.
«Le monde sera de plus en plus petit, explique-t-il. Nous nous
rapprocherons de nos communautés. Les identités régionales
redeviendront importantes. Les industries du passé renaîtront de leurs
cendres. L’économie de service sera remplacée par une économie de
manufactures, de production.»
Le pétrole sera si cher, ajoute-t-il, que les cargos cesseront de
faire l’aller-retour vers la Chine, les gens se rapprocheront de leur
lieu de travail, ils quitteront les couronnes pour la ville, ils
n’auront plus les moyens de traverser l’océan ni de consommer des
poissons provenant de Norvège, etc.
«Aussi, au cours des 10 prochaines années, pas moins de 20% des
voitures devraient disparaître des routes, prédit-il. Regardez
l’autoroute Décarie et imaginez la disparition d’une auto sur cinq… La
question se posera alors: y aura-t-il suffisamment d’autobus pour
accueillir tous ces gens?»
Cela dit, Jeff Rubin ne croit pas que tout cela soit une mauvaise
nouvelle en soi. Nos vies seront plus simples, mais aussi plus ancrées
dans leur milieu, dans leur environnement. Elles ressembleront, en
fait, à la vie des Européens, illustre-t-il, qui roulent depuis
longtemps avec de petites voitures, résident dans d’étroits logements
et se déplacent en train.
Ajoutons à cela les bénéfices qui accompagneront à son avis ce
bouleversement, que ce soit le retour des usines et des manufactures au
Canada, la renaissance de l’industrie de l’acier ou le renouveau
agricole.
«En fait, les contrecoups, ce sont davantage les populations du Sud
qui les vivront, en raison de la fin des exportations. Quand l’Occident
se serre la ceinture, il étrangle habituellement les pays du
tiers-monde», observe-t-il.
(*) Né en août 1954, Jeff Rubin a grandi à North York, en
Ontario. Diplômé des universités de Toronto et McGill, il a commencé sa
carrière dans les années 80 au sein du ministère ontarien des Finances.
Recruté par Wood Gundy en 1988, il est employé de CIBC Marchés mondiaux
depuis la fusion des deux entreprises. En 1989, il fait sa première
prédiction controversée: les prix de l’immobilier chuteront de 25% à
Toronto, lance-t-il juste avant que le marché ne s’effondre
effectivement. Une dizaine d’années plus tard, il annonce à un parterre
de pétroliers albertains incrédules que le prix du baril dépassera
bientôt les 100$, faisant mouche encore une fois.
Source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/ Via http://velorutiontours.over-blog.org/
du Canada, est un rebelle, comme le confirme sa récente démission de la
CIBC, après 20 ans de service. La raison: la publication d’un livre sur
l’imminence du prochain choc pétrolier, que la banque refusait de
cautionner. Entrevue autour d’une prédiction… qui ne laissera personne
indifférent.
Les vacances en Europe, les vins australiens, les fraises en hiver,
vous devrez bientôt faire une croix sur ces petits plaisirs ainsi que
sur vos longs trajets quotidiens en automobile, si l’on se fie à
l’ancien économiste en chef de la CIBC, Jeff Rubin.
Celui qui avait prédit, contre vents et scepticisme, la hausse
spectaculaire du prix du pétrole l’an dernier, prévoit cette fois que
le baril s’échangera à plus de 200$ d’ici un peu plus d’un an. Si ce
n’est plus tôt.
Résultat: le prix de l’essence dépassera les 2$ le litre, nos
habitudes quotidiennes seront complètement bouleversées… et la
mondialisation ne sera plus qu’histoire ancienne, conclut-il dans un
livre coup-de-poing publié ces jours-ci, Why Your World Is About to Get
a Whole Lot Smaller.
«Aujourd’hui, en plein milieu de la pire crise des 60 dernières
années, le baril s’échange à un peu plus de 60$… Pas besoin d’un
diplôme en économie pour imaginer combien il coûtera quand la récession
sera finie, quand les gens retrouveront un emploi, quand ils
recommenceront à conduire…»
À combien, justement? À 100$ dans les 12 mois suivant une relance économique, puis à 200$ d’ici 2012, estime-t-il.
Certes, la prédiction peut faire sourciller, venant d’un homme
reconnu pour sa flamboyance et ses opinions tranchées. Mais elle est
partagée par d’autres experts qui croient comme lui que la crise
financière, qui se traduit actuellement par une baisse des
investissements pétroliers, prépare le terrain pour de «futures
brusques hausses des prix», selon les mots du numéro deux du Fonds
monétaire international (FMI), John Lipsky.
Alors qu’ils dépassaient les 147$ en juillet dernier, qu’ils ont
chuté à un peu plus de 32$ en décembre, les cours du pétrole dépassent
aujourd’hui les 60$. «Il y a quatre ou cinq ans, observe Jeff Rubin, un
tel prix aurait été considéré comme un record de tous les temps.
Aujourd’hui, rien de plus normal…»
La fin du pétrole
Jeff Rubin est un disciple de la théorie du pic pétrolier (la
production mondiale de pétrole atteindra son apogée puis amorcera un
inévitable déclin) depuis un voyage en Irlande, en 2000. Il a alors
discuté avec l’auteur de l’essai The Coming Oil Crisis, le géologue
Colin Campbell, une rencontre qui ne l’a pas autant convaincu de
l’épuisement du pétrole… que de l’épuisement du pétrole bon marché.
Or tout, souligne-t-il, de notre alimentation à notre lieu de
résidence en passant par nos loisirs de tous les jours, est basé,
précisément, sur le pétrole abordable.
«La raison pour laquelle l’économie mondiale a mis tous ses oeufs
dans le même panier est simple, écrit-il dans son essai, il n’existe
pas d’autre panier.»
D’où sa prédiction: l’économie s’apprête à vivre un choc historique,
qui nous ramènera collectivement là où nous étions dans les années 60.
«Le monde sera de plus en plus petit, explique-t-il. Nous nous
rapprocherons de nos communautés. Les identités régionales
redeviendront importantes. Les industries du passé renaîtront de leurs
cendres. L’économie de service sera remplacée par une économie de
manufactures, de production.»
Le pétrole sera si cher, ajoute-t-il, que les cargos cesseront de
faire l’aller-retour vers la Chine, les gens se rapprocheront de leur
lieu de travail, ils quitteront les couronnes pour la ville, ils
n’auront plus les moyens de traverser l’océan ni de consommer des
poissons provenant de Norvège, etc.
«Aussi, au cours des 10 prochaines années, pas moins de 20% des
voitures devraient disparaître des routes, prédit-il. Regardez
l’autoroute Décarie et imaginez la disparition d’une auto sur cinq… La
question se posera alors: y aura-t-il suffisamment d’autobus pour
accueillir tous ces gens?»
Cela dit, Jeff Rubin ne croit pas que tout cela soit une mauvaise
nouvelle en soi. Nos vies seront plus simples, mais aussi plus ancrées
dans leur milieu, dans leur environnement. Elles ressembleront, en
fait, à la vie des Européens, illustre-t-il, qui roulent depuis
longtemps avec de petites voitures, résident dans d’étroits logements
et se déplacent en train.
Ajoutons à cela les bénéfices qui accompagneront à son avis ce
bouleversement, que ce soit le retour des usines et des manufactures au
Canada, la renaissance de l’industrie de l’acier ou le renouveau
agricole.
«En fait, les contrecoups, ce sont davantage les populations du Sud
qui les vivront, en raison de la fin des exportations. Quand l’Occident
se serre la ceinture, il étrangle habituellement les pays du
tiers-monde», observe-t-il.
(*) Né en août 1954, Jeff Rubin a grandi à North York, en
Ontario. Diplômé des universités de Toronto et McGill, il a commencé sa
carrière dans les années 80 au sein du ministère ontarien des Finances.
Recruté par Wood Gundy en 1988, il est employé de CIBC Marchés mondiaux
depuis la fusion des deux entreprises. En 1989, il fait sa première
prédiction controversée: les prix de l’immobilier chuteront de 25% à
Toronto, lance-t-il juste avant que le marché ne s’effondre
effectivement. Une dizaine d’années plus tard, il annonce à un parterre
de pétroliers albertains incrédules que le prix du baril dépassera
bientôt les 100$, faisant mouche encore une fois.
Source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/ Via http://velorutiontours.over-blog.org/
Invité- Invité
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
mib a écrit:Jeff Rubin (*), en plus d’être l’un des économistes le plus en vue
du Canada, est un rebelle, comme le confirme sa récente démission de la
CIBC, après 20 ans de service. La raison: la publication d’un livre sur
l’imminence du prochain choc pétrolier, que la banque refusait de
cautionner. Entrevue autour d’une prédiction… qui ne laissera personne
indifférent.
Les vacances en Europe, les vins australiens, les fraises en hiver,
vous devrez bientôt faire une croix sur ces petits plaisirs ainsi que
sur vos longs trajets quotidiens en automobile, si l’on se fie à
l’ancien économiste en chef de la CIBC, Jeff Rubin.
Celui qui avait prédit, contre vents et scepticisme, la hausse
spectaculaire du prix du pétrole l’an dernier, prévoit cette fois que
le baril s’échangera à plus de 200$ d’ici un peu plus d’un an. Si ce
n’est plus tôt.
Résultat: le prix de l’essence dépassera les 2$ le litre, nos
habitudes quotidiennes seront complètement bouleversées… et la
mondialisation ne sera plus qu’histoire ancienne, conclut-il dans un
livre coup-de-poing publié ces jours-ci, Why Your World Is About to Get
a Whole Lot Smaller.
«Aujourd’hui, en plein milieu de la pire crise des 60 dernières
années, le baril s’échange à un peu plus de 60$… Pas besoin d’un
diplôme en économie pour imaginer combien il coûtera quand la récession
sera finie, quand les gens retrouveront un emploi, quand ils
recommenceront à conduire…»
À combien, justement? À 100$ dans les 12 mois suivant une relance économique, puis à 200$ d’ici 2012, estime-t-il.
Certes, la prédiction peut faire sourciller, venant d’un homme
reconnu pour sa flamboyance et ses opinions tranchées. Mais elle est
partagée par d’autres experts qui croient comme lui que la crise
financière, qui se traduit actuellement par une baisse des
investissements pétroliers, prépare le terrain pour de «futures
brusques hausses des prix», selon les mots du numéro deux du Fonds
monétaire international (FMI), John Lipsky.
Alors qu’ils dépassaient les 147$ en juillet dernier, qu’ils ont
chuté à un peu plus de 32$ en décembre, les cours du pétrole dépassent
aujourd’hui les 60$. «Il y a quatre ou cinq ans, observe Jeff Rubin, un
tel prix aurait été considéré comme un record de tous les temps.
Aujourd’hui, rien de plus normal…»
La fin du pétrole
Jeff Rubin est un disciple de la théorie du pic pétrolier (la
production mondiale de pétrole atteindra son apogée puis amorcera un
inévitable déclin) depuis un voyage en Irlande, en 2000. Il a alors
discuté avec l’auteur de l’essai The Coming Oil Crisis, le géologue
Colin Campbell, une rencontre qui ne l’a pas autant convaincu de
l’épuisement du pétrole… que de l’épuisement du pétrole bon marché.
Or tout, souligne-t-il, de notre alimentation à notre lieu de
résidence en passant par nos loisirs de tous les jours, est basé,
précisément, sur le pétrole abordable.
«La raison pour laquelle l’économie mondiale a mis tous ses oeufs
dans le même panier est simple, écrit-il dans son essai, il n’existe
pas d’autre panier.»
D’où sa prédiction: l’économie s’apprête à vivre un choc historique,
qui nous ramènera collectivement là où nous étions dans les années 60.
«Le monde sera de plus en plus petit, explique-t-il. Nous nous
rapprocherons de nos communautés. Les identités régionales
redeviendront importantes. Les industries du passé renaîtront de leurs
cendres. L’économie de service sera remplacée par une économie de
manufactures, de production.»
Le pétrole sera si cher, ajoute-t-il, que les cargos cesseront de
faire l’aller-retour vers la Chine, les gens se rapprocheront de leur
lieu de travail, ils quitteront les couronnes pour la ville, ils
n’auront plus les moyens de traverser l’océan ni de consommer des
poissons provenant de Norvège, etc.
«Aussi, au cours des 10 prochaines années, pas moins de 20% des
voitures devraient disparaître des routes, prédit-il. Regardez
l’autoroute Décarie et imaginez la disparition d’une auto sur cinq… La
question se posera alors: y aura-t-il suffisamment d’autobus pour
accueillir tous ces gens?»
Cela dit, Jeff Rubin ne croit pas que tout cela soit une mauvaise
nouvelle en soi. Nos vies seront plus simples, mais aussi plus ancrées
dans leur milieu, dans leur environnement. Elles ressembleront, en
fait, à la vie des Européens, illustre-t-il, qui roulent depuis
longtemps avec de petites voitures, résident dans d’étroits logements
et se déplacent en train.
Ajoutons à cela les bénéfices qui accompagneront à son avis ce
bouleversement, que ce soit le retour des usines et des manufactures au
Canada, la renaissance de l’industrie de l’acier ou le renouveau
agricole.
«En fait, les contrecoups, ce sont davantage les populations du Sud
qui les vivront, en raison de la fin des exportations. Quand l’Occident
se serre la ceinture, il étrangle habituellement les pays du
tiers-monde», observe-t-il.
(*) Né en août 1954, Jeff Rubin a grandi à North York, en
Ontario. Diplômé des universités de Toronto et McGill, il a commencé sa
carrière dans les années 80 au sein du ministère ontarien des Finances.
Recruté par Wood Gundy en 1988, il est employé de CIBC Marchés mondiaux
depuis la fusion des deux entreprises. En 1989, il fait sa première
prédiction controversée: les prix de l’immobilier chuteront de 25% à
Toronto, lance-t-il juste avant que le marché ne s’effondre
effectivement. Une dizaine d’années plus tard, il annonce à un parterre
de pétroliers albertains incrédules que le prix du baril dépassera
bientôt les 100$, faisant mouche encore une fois.
Source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/ Via http://velorutiontours.over-blog.org/
ah , c' est un post pour nous remettre le moral ???????
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
J'ai beaucoup de mal à envisager le phenomene de decroissance. Je n'y crois pas du tout...mais bon! :silent:
Faudrait que je retrouve le lien du blog d'isabelle Delannoy...
Faudrait que je retrouve le lien du blog d'isabelle Delannoy...
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
fred03 a écrit:J'ai beaucoup de mal à envisager le phenomene de decroissance. Je n'y crois pas du tout...mais bon! :silent:
Faudrait que je retrouve le lien du blog d'isabelle Delannoy...
je vais vous dire mon sentiment :
à la vitesse où ce forum s' est recréé , j' ai pu faire la déduction suivante : quand il y a un grand besoin d' un côté , et des personnes compétentes et motivées de l' autre , tout peut se faire et très vite !!!!!
si il n' y a plus de carburant , on en fera d' une façon ou d' une autre (biocarburants , hydrogène etc......) le cap difficile sera la période de transition
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
de là à dire que 2009-2013 est une periode de transition...il n'y a qu'un pas! ;)
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
Ca y est, j'ai retrouvé l'article!
Un peu long mais je le trouve vraiment interessant.
tendance lourde
Un peu long mais je le trouve vraiment interessant.
tendance lourde
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
[quote="fred03"]Ca y est, j'ai retrouvé l'article!
Un peu long mais je le trouve vraiment interessant.
tendance lourde
pas vraiment en contradiction avec mon post précédent ; on pourrait juste reprocher au tien de faire l'impasse sur la problématique pétrolière qui à ce jour n'a pas d'alternatives crédibles en termes de volumes
pato : avant la mécanisation , 30% de la sole céréalière était consacrée à l'alimentation des chevaux , serait ce si terrible (en terme de prix) pour l'agriculture qu'elle doive à nouveau consacrer une partie de sa sole pour faire tourner les moteurs ?
Un peu long mais je le trouve vraiment interessant.
tendance lourde
pas vraiment en contradiction avec mon post précédent ; on pourrait juste reprocher au tien de faire l'impasse sur la problématique pétrolière qui à ce jour n'a pas d'alternatives crédibles en termes de volumes
pato : avant la mécanisation , 30% de la sole céréalière était consacrée à l'alimentation des chevaux , serait ce si terrible (en terme de prix) pour l'agriculture qu'elle doive à nouveau consacrer une partie de sa sole pour faire tourner les moteurs ?
Invité- Invité
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
mib a écrit:tendance lourdefred03 a écrit:Ca y est, j'ai retrouvé l'article!
Un peu long mais je le trouve vraiment interessant.
pas vraiment en contradiction avec mon post précédent ; on pourrait juste reprocher au tien de faire l'impasse sur la problématique pétrolière qui à ce jour n'a pas d'alternatives crédibles en termes de volumes
pato : avant la mécanisation , 30% de la sole céréalière était consacrée à l'alimentation des chevaux , serait ce si terrible (en terme de prix) pour l'agriculture qu'elle doive à nouveau consacrer une partie de sa sole pour faire tourner les moteurs ?
non , ce serait le début d'une ère de fastes pour l' agriculture !!!!!
Dernière édition par patogaz le Dim 13 Sep 2009, 16:48, édité 1 fois
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
c'est certain que l'agriculture a de beaux jours devant elle, mais pas forcément comme on la connait aujourd'hui, pour l'exemple, une petite région comme la mienne à deux pas d'une ville de 200000 habitants , à 1.15h de Paris idem de Lyon au carrefour de toutes les voies de communications européennes (autoroutes tgv, avions , voies navigables ....) ce qu'on nous demande à nous agris: c'est l'entretien du paysage .
Il n'y a qu'a regarder le projet de scot qui va être finalisé dans quelques mois pour s'en convaincre! La seule chose qu'on nous demande dans ce scot (schéma d'organisation territorial ) c'est d'aménager le paysage pour que les habitants de dijon puissent venir se promener le week-end en toute tranquilité !
Essayez de trouver un terrain pour poser une maison, vous verrez des prix à plus de 300€ le m2 non aménagé !
On est coincé entre une ville, une zone de grande culture , une autre industrielle et la côte des vins ou là il ne faut même pas parler du prix du foncier! même les champs Élysée sont en dessous .
Il n'y a qu'a regarder le projet de scot qui va être finalisé dans quelques mois pour s'en convaincre! La seule chose qu'on nous demande dans ce scot (schéma d'organisation territorial ) c'est d'aménager le paysage pour que les habitants de dijon puissent venir se promener le week-end en toute tranquilité !
Essayez de trouver un terrain pour poser une maison, vous verrez des prix à plus de 300€ le m2 non aménagé !
On est coincé entre une ville, une zone de grande culture , une autre industrielle et la côte des vins ou là il ne faut même pas parler du prix du foncier! même les champs Élysée sont en dessous .
Invité- Invité
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
je croyais que cetait le ciel qui devait nous tomber sur la tete ...
carlo s- + membre techno +
- Messages : 38999
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 56
sud de l'ile
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
je suis assez d accord sur le fond depuis 2003.mais on est pas reste les deux pieds dans le meme sabot(biogaz eolien )mais globalement ca sera plus difficile mais les agris ont l espace et l energie nouvelle
gingko- + membre techno +
- département : 02
Messages : 9341
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 71
Nord du 02
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
+10000000000 avec pato, pour moi l Homme avec un grand H trouvera toujours la solution même pour le climatpatogaz a écrit:fred03 a écrit:J'ai beaucoup de mal à envisager le phenomene de decroissance. Je n'y crois pas du tout...mais bon! :silent:
Faudrait que je retrouve le lien du blog d'isabelle Delannoy...
je vais vous dire mon sentiment :
à la vitesse où ce forum s' est recréé , j' ai pu faire la déduction suivante : quand il y a un grand besoin d' un côté , et des personnes compétentes et motivées de l' autre , tout peut se faire et très vite !!!!!
si il n' y a plus de carburant , on en fera d' une façon ou d' une autre (biocarburants , hydrogène etc......) le cap difficile sera la période de transition
vhv- + membre techno +
- Messages : 3471
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 43
esmery hallon 80400
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
en juin 2008 patogaz trouvait la facture de fioul salee mais le ble valait 200€ le colza 500 etc on avait de quoi paye la facture alors que maintenant avec les prix qu on a !!! j ai connu 1000l de fioul pour 170francs soit 30 €!!!:le ble valait 100 francs le qx..j ai vu aussi des gravure de krokodile en plein desert au sud lybien !!! a part les energies fossiles peut couteuses les autres sont quand meme plus couteuses :ethanol ,photovoltaique ,biogazetcvhv a écrit:+10000000000 avec pato, pour moi l Homme avec un grand H trouvera toujours la solution même pour le climatpatogaz a écrit:fred03 a écrit:J'ai beaucoup de mal à envisager le phenomene de decroissance. Je n'y crois pas du tout...mais bon! :silent:
Faudrait que je retrouve le lien du blog d'isabelle Delannoy...
je vais vous dire mon sentiment :
à la vitesse où ce forum s' est recréé , j' ai pu faire la déduction suivante : quand il y a un grand besoin d' un côté , et des personnes compétentes et motivées de l' autre , tout peut se faire et très vite !!!!!
si il n' y a plus de carburant , on en fera d' une façon ou d' une autre (biocarburants , hydrogène etc......) le cap difficile sera la période de transition
gingko- + membre techno +
- département : 02
Messages : 9341
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 71
Nord du 02
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
quel avenir???
bruce 17- + membre techno +
- Messages : 2839
Date d'inscription : 13/09/2009
baie de l'aiguillon
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
alors quel avenir ??
carlo s- + membre techno +
- Messages : 38999
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 56
sud de l'ile
Re: la fin du monde (tel qu'on le connaît) est proche
Cela fait 25 ans que je sais que cette époque est à son terme.carlo s a écrit:alors quel avenir ??
Il serait trop long ici d'en écrire les raisons.
Il se trouve que c'est l'occasion d'en inventer une autre.
Elle se fera avec les paysans, voila ce que réfléchis.
J'habite un endroit curieux, c'est entre autre cela qui m'a amener à cette réflexion.
Un exemple:
Sur l'avatar, c'est un dolmen qui est à quelques km de chez moi.
Mon village est un haut lieu tellurique. Les druides s'y retrouvaient pour leurs rites.
Je savais qu'il y avait un dolmen de ce type autour de chez moi.
C'était un dolmen de sacrifice avec un trou dans la table (la pierre à plat sur le dessus),
Cette table était cassée
Je pensais que mon père l'avais dynamité, ce qui me surprenais de lui.
Je viens d'apprendre, il y a trois semaines qu'il l'avais enterrée
Elle est dans un de mes champs, mais je ne sais pas ou.
Quand on sais les soucis que j'ai eu de transmission de connaissance, c'est surprenant.
GL- + membre techno +
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