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Y a- t-il des exportateurs de bovins dans ACE ?
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AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: Elevages en tout genre :: Bovins :: Commercialisation bovin
Page 1 sur 1
Y a- t-il des exportateurs de bovins dans ACE ?
Bonjour,
le tout est dans le titre
Je cherche un fournisseur de veaux (50) pour engraissement (charolais, limousin, simmental...) et de velles pour le Maroc.
Merci
le tout est dans le titre
Je cherche un fournisseur de veaux (50) pour engraissement (charolais, limousin, simmental...) et de velles pour le Maroc.
Merci
HATTA- + membre techno +
- Messages : 1743
Date d'inscription : 08/09/2011
Age : 42
à 2215 Km de Tine
HATTA- + membre techno +
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Date d'inscription : 08/09/2011
Age : 42
à 2215 Km de Tine
Re: Y a- t-il des exportateurs de bovins dans ACE ?
Quelle qualité de produit cherhes-tu?
chris19- + membre techno +
- Messages : 4765
Date d'inscription : 18/05/2011
Age : 46
corrèze
Re: Y a- t-il des exportateurs de bovins dans ACE ?
chris19 a écrit:Quelle qualité de produit cherhes-tu?
surtout pas la mauvaise !!
HATTA- + membre techno +
- Messages : 1743
Date d'inscription : 08/09/2011
Age : 42
à 2215 Km de Tine
Re: Y a- t-il des exportateurs de bovins dans ACE ?
Jeudi 29 mars 2012
Lettre ouverte des éleveurs de bovins
aux abatteurs, négociants et coopératives
Objet : La pression sur les prix des animaux de boucherie nuit aux éleveurs comme aux industriels
Mesdames et Messieurs,
Des prix aujourd'hui pour votre activité demain
La diversification des débouchés des animaux gras par l'exportation a induit une augmentation des cours et ainsi ramené une partie du revenu perdu dans nos exploitations. Alors que de nombreux éléments risquant de nuire à nos exploitations se développent de tous côtés – réforme de la PAC avec son verdissement, problèmes sanitaires… – une visibilité sur les prix nous confère un semblant de confiance en l'avenir. Cette rentabilité, même partielle, permet non seulement le maintien mais aussi le développement de nos élevages, donc de notre production et par la suite, de votre activité.
Des aléas sanitaires temporaires aux conséquences lourdes
Le virus de Schmallenberg s'étend rapidement alors même que les conditions favorables au développement de son vecteur ne sont pas encore pleinement atteintes. Le manque de références sur ce virus et l'absence de méthodes rapides de dépistages pour assurer une certification des animaux indemnes font peser une menace sur nos élevages. Outre les problèmes de productivité liés aux avortements, les débouchés pour les animaux gras se resserrent du fait des craintes de certains pays importateurs. Dans l'attente de moyens de garantir nos exportations sur le plan sanitaire, nous connaîtrons certainement des fermetures temporaires de certains débouchés.
Un outil commun pour notre développement global
Les commissions régionales de cotations « Gros Bovins – Entrée Abattoir » trouvent leur place petit à petit et leur fonctionnement se veut basé sur l'échange et l'appréciation du marché par les différents intervenants. Certes, tout n'est pas parfait puisque certaines catégories ne peuvent pas encore être cotées, mais cette démarche semble être sur la bonne voie. Leur bon fonctionnement repose d'une part sur la transparence, mais aussi sur l'écoute et le respect mutuels entre les acteurs. Même si nos objectifs particuliers à court terme peuvent diverger, nos activités sont indéniablement liées. A long terme, nous désirons tous un développement de la production de viande bovine.
Alors pourquoi exercer cette pression sur nos prix ?
Pourquoi, à la moindre défaillance des exportations - qui de plus n'est que passagère -, établir une pression sur les prix à la production ? Pourquoi, à la moindre variation des disponibilités, crier à la surproduction et faire dégringoler le marché intérieur ? Ces manœuvres purement financières ne traduisent pas une volonté constructive à long terme de votre part pour l'ensemble de la « filière » comme vous aimez l'appeler. Ne soyez pas satisfaits lorsque les bateaux venant charger des animaux n'arrivent pas au port !
La patience nous apportera la solution
La fermeture des frontières de certains pays importateurs, comme la Turquie, est transitoire. La marchandise que vous souhaitez aujourd'hui acheter à bas prix à notre détriment, fera besoin demain. Il est fort probable que dans les semaines à venir nous connaissions des situations similaires, d’arrêt temporaire de l'exportation par exemple pour mettre en place une certification. Dans l'intérêt de tous et donc du vôtre, il ne faut pas que les cours chutent brutalement à chaque annonce pour remonter lentement par la suite.
Dans cette optique, nous vous demandons de faire preuve de responsabilité et de ne pas profiter de conditions éphémères défavorables pour aggraver la situation de nos élevages. Nous avons besoin les uns des autres et nous vous demandons de ne pas l'oublier.
Demeurant à votre disposition pour de plus amples discussions, recevez, Mesdames et Messieurs, l’assurance de nos sentiments les plus distingués.
Bernard Lannes
Président de la Coordination Rurale
Contacts presse :
Benoît Denis – Animateur section viande – 07 86 01 67 78
Bérengère Bosi – Chargée de Communication – 06 70 80 99 51
Aurore Demarigny – Chargée de Communication – 06 76 52 01
Lettre ouverte des éleveurs de bovins
aux abatteurs, négociants et coopératives
Objet : La pression sur les prix des animaux de boucherie nuit aux éleveurs comme aux industriels
Mesdames et Messieurs,
Des prix aujourd'hui pour votre activité demain
La diversification des débouchés des animaux gras par l'exportation a induit une augmentation des cours et ainsi ramené une partie du revenu perdu dans nos exploitations. Alors que de nombreux éléments risquant de nuire à nos exploitations se développent de tous côtés – réforme de la PAC avec son verdissement, problèmes sanitaires… – une visibilité sur les prix nous confère un semblant de confiance en l'avenir. Cette rentabilité, même partielle, permet non seulement le maintien mais aussi le développement de nos élevages, donc de notre production et par la suite, de votre activité.
Des aléas sanitaires temporaires aux conséquences lourdes
Le virus de Schmallenberg s'étend rapidement alors même que les conditions favorables au développement de son vecteur ne sont pas encore pleinement atteintes. Le manque de références sur ce virus et l'absence de méthodes rapides de dépistages pour assurer une certification des animaux indemnes font peser une menace sur nos élevages. Outre les problèmes de productivité liés aux avortements, les débouchés pour les animaux gras se resserrent du fait des craintes de certains pays importateurs. Dans l'attente de moyens de garantir nos exportations sur le plan sanitaire, nous connaîtrons certainement des fermetures temporaires de certains débouchés.
Un outil commun pour notre développement global
Les commissions régionales de cotations « Gros Bovins – Entrée Abattoir » trouvent leur place petit à petit et leur fonctionnement se veut basé sur l'échange et l'appréciation du marché par les différents intervenants. Certes, tout n'est pas parfait puisque certaines catégories ne peuvent pas encore être cotées, mais cette démarche semble être sur la bonne voie. Leur bon fonctionnement repose d'une part sur la transparence, mais aussi sur l'écoute et le respect mutuels entre les acteurs. Même si nos objectifs particuliers à court terme peuvent diverger, nos activités sont indéniablement liées. A long terme, nous désirons tous un développement de la production de viande bovine.
Alors pourquoi exercer cette pression sur nos prix ?
Pourquoi, à la moindre défaillance des exportations - qui de plus n'est que passagère -, établir une pression sur les prix à la production ? Pourquoi, à la moindre variation des disponibilités, crier à la surproduction et faire dégringoler le marché intérieur ? Ces manœuvres purement financières ne traduisent pas une volonté constructive à long terme de votre part pour l'ensemble de la « filière » comme vous aimez l'appeler. Ne soyez pas satisfaits lorsque les bateaux venant charger des animaux n'arrivent pas au port !
La patience nous apportera la solution
La fermeture des frontières de certains pays importateurs, comme la Turquie, est transitoire. La marchandise que vous souhaitez aujourd'hui acheter à bas prix à notre détriment, fera besoin demain. Il est fort probable que dans les semaines à venir nous connaissions des situations similaires, d’arrêt temporaire de l'exportation par exemple pour mettre en place une certification. Dans l'intérêt de tous et donc du vôtre, il ne faut pas que les cours chutent brutalement à chaque annonce pour remonter lentement par la suite.
Dans cette optique, nous vous demandons de faire preuve de responsabilité et de ne pas profiter de conditions éphémères défavorables pour aggraver la situation de nos élevages. Nous avons besoin les uns des autres et nous vous demandons de ne pas l'oublier.
Demeurant à votre disposition pour de plus amples discussions, recevez, Mesdames et Messieurs, l’assurance de nos sentiments les plus distingués.
Bernard Lannes
Président de la Coordination Rurale
Contacts presse :
Benoît Denis – Animateur section viande – 07 86 01 67 78
Bérengère Bosi – Chargée de Communication – 06 70 80 99 51
Aurore Demarigny – Chargée de Communication – 06 76 52 01
Yves 51- + membre techno +
- Messages : 1698
Date d'inscription : 21/01/2011
Age : 73
pays de l' Oudon
Re: Y a- t-il des exportateurs de bovins dans ACE ?
Et re !
N/Réf : 12-04-36
Mercredi 04 avril 2012
COMMUNIQUE
La CR ne laissera pas les cotations « Gros bovins – Entrée Abattoir »
tomber aux mains des industriels
Lors de la séance hebdomadaire de la commission de cotation « Gros-Bovins - Entrée Abattoir » du bassin Grand-Ouest, les représentants de l'aval ont clairement affiché leur volonté de faire baisser les cours des animaux de boucherie, allant jusqu'à refuser de s'appuyer sur les chiffres de la semaine précédente pour certaines catégories.
Une irresponsabilité notoire
A l'issue de la réunion précédente, la Coordination Rurale avait déjà signifié dans une lettre ouverte aux abatteurs, négociants et coopératives, leur irresponsabilité et leur manque de clairvoyance dans leur attitude visant à faire chuter les cours. Même si le marché des animaux gras s'est resserré avec la fermeture d'une partie du marché méditerranéen, la France n'est pas en situation de surproduction. L'Institut de l'Elevage, dans des publications de février et mars 2012, basées sur des chiffres de la BDNI (Base de Données Nationale d’Identification), indique une baisse significative des effectifs de jeunes bovins mâles de races allaitantes : - 4 % dans les 6-12 mois et les 12-18 mois par rapport à 2011.
Une surproduction déguisée
Alors que les représentants de l'aval se plaignent de trop de disponibilité et en profitent pour peser à la baisse sur les cours, ils disent souhaiter, via des mesures assorties de contrats pluriannuels, développer l'activité d'engraissement pour les éleveurs. Leur objectif caché n'est-il pas plutôt d'organiser la surproduction et ainsi fixer eux-mêmes les prix ? Ils n'envisagent que la pleine utilisation de leurs outils industriels pour augmenter leur rentabilité. Avant de faire mine de s'intéresser à ce que nous pourrons produire demain, ne faut-il pas d'abord s'attacher à donner un revenu à ceux qui produisent aujourd'hui ?
La position de la CR
La CR s'insurge contre la dérive des commissions de cotations qui deviennent des outils au service des industriels au lieu d'apporter plus d'objectivité dans la fixation des cours. C'est pourquoi son représentant à la commission du bassin Grand-Ouest a quitté la séance faute de pouvoir faire entendre raison aux représentants de l'aval.
Avec des prix en dessous des coûts de production, aucune installation ni développement de l’engraissement ne seront envisageables. La production de viande bovine française souffre depuis des années d'un manque de rentabilité. Les outils de productions vieillissent tout comme les éleveurs. Sans repreneurs ni structures productives, que deviendra la production demain ?
N/Réf : 12-04-36
Mercredi 04 avril 2012
COMMUNIQUE
La CR ne laissera pas les cotations « Gros bovins – Entrée Abattoir »
tomber aux mains des industriels
Lors de la séance hebdomadaire de la commission de cotation « Gros-Bovins - Entrée Abattoir » du bassin Grand-Ouest, les représentants de l'aval ont clairement affiché leur volonté de faire baisser les cours des animaux de boucherie, allant jusqu'à refuser de s'appuyer sur les chiffres de la semaine précédente pour certaines catégories.
Une irresponsabilité notoire
A l'issue de la réunion précédente, la Coordination Rurale avait déjà signifié dans une lettre ouverte aux abatteurs, négociants et coopératives, leur irresponsabilité et leur manque de clairvoyance dans leur attitude visant à faire chuter les cours. Même si le marché des animaux gras s'est resserré avec la fermeture d'une partie du marché méditerranéen, la France n'est pas en situation de surproduction. L'Institut de l'Elevage, dans des publications de février et mars 2012, basées sur des chiffres de la BDNI (Base de Données Nationale d’Identification), indique une baisse significative des effectifs de jeunes bovins mâles de races allaitantes : - 4 % dans les 6-12 mois et les 12-18 mois par rapport à 2011.
Une surproduction déguisée
Alors que les représentants de l'aval se plaignent de trop de disponibilité et en profitent pour peser à la baisse sur les cours, ils disent souhaiter, via des mesures assorties de contrats pluriannuels, développer l'activité d'engraissement pour les éleveurs. Leur objectif caché n'est-il pas plutôt d'organiser la surproduction et ainsi fixer eux-mêmes les prix ? Ils n'envisagent que la pleine utilisation de leurs outils industriels pour augmenter leur rentabilité. Avant de faire mine de s'intéresser à ce que nous pourrons produire demain, ne faut-il pas d'abord s'attacher à donner un revenu à ceux qui produisent aujourd'hui ?
La position de la CR
La CR s'insurge contre la dérive des commissions de cotations qui deviennent des outils au service des industriels au lieu d'apporter plus d'objectivité dans la fixation des cours. C'est pourquoi son représentant à la commission du bassin Grand-Ouest a quitté la séance faute de pouvoir faire entendre raison aux représentants de l'aval.
Avec des prix en dessous des coûts de production, aucune installation ni développement de l’engraissement ne seront envisageables. La production de viande bovine française souffre depuis des années d'un manque de rentabilité. Les outils de productions vieillissent tout comme les éleveurs. Sans repreneurs ni structures productives, que deviendra la production demain ?
Yves 51- + membre techno +
- Messages : 1698
Date d'inscription : 21/01/2011
Age : 73
pays de l' Oudon
Re: Y a- t-il des exportateurs de bovins dans ACE ?
Extrait du mag Grand Troupeaux.
Vous êtes ici : Accueil > Actualité > Un marché déséquilibré
Viande bovine
Un marché déséquilibré
Depuis 2011, les producteurs de vaches allaitantes traversent une période plus faste avec une conjoncture plus favorable liée à l'export d'animaux vivants. Le marché français reste toujours déséquilibré et manque d'animaux finis.
En 2011, l'effectif de vaches allaitantes a baissé de 3 %, un changement de tendance intervenu dès la fin 2010. Cette variation intervient après des années de croissance du cheptel. France Agrimer explique cette baisse par des besoins en trésorerie et par la sécheresse de 2011. Les éleveurs ont vendu plus d'animaux pour faire face à la hausse du coût de l'alimentation ou pour pallier au manque de fourrages. Le nombre de jeunes bovins a d'ailleurs baissé tout au long de l'année 2011.
Un point sur le marché
De 2005 à 2011, le marché français de la viande bovine s'est caractérisé par un déficit de production. Cette tendance s'avère d'ordres qualitatives et quantitatives En effet, les Français consomment essentiellement de la viande issue de femelles. Ils achètent peu de morceaux provenant de jeunes bovins ou de bœufs. De leur côté, les producteurs élèvent trop de jeunes bovins par rapport à la demande. Il est vrai que des producteurs se sont spécialisés dans la vente de broutards à l'Italie, la Grèce ou encore l'Espagne. L'export d'animaux vivants se porte bien avec une hausse de 8 % des volumes entre 2010 et 2011. Ces exports posent des difficultés aux abatteurs qui ont du mal à approvisionner leurs unités de transformations. Sur le marché français, le manque d'animaux finis constitue un problème récurrent. Pour les éleveurs, la principale incertitude vient de la réforme de la Pac de 2013 et notamment du maintien ou non de la PMTVA.
Posté le 04/04/2012
Vous êtes ici : Accueil > Actualité > Un marché déséquilibré
Viande bovine
Un marché déséquilibré
Depuis 2011, les producteurs de vaches allaitantes traversent une période plus faste avec une conjoncture plus favorable liée à l'export d'animaux vivants. Le marché français reste toujours déséquilibré et manque d'animaux finis.
En 2011, l'effectif de vaches allaitantes a baissé de 3 %, un changement de tendance intervenu dès la fin 2010. Cette variation intervient après des années de croissance du cheptel. France Agrimer explique cette baisse par des besoins en trésorerie et par la sécheresse de 2011. Les éleveurs ont vendu plus d'animaux pour faire face à la hausse du coût de l'alimentation ou pour pallier au manque de fourrages. Le nombre de jeunes bovins a d'ailleurs baissé tout au long de l'année 2011.
Un point sur le marché
De 2005 à 2011, le marché français de la viande bovine s'est caractérisé par un déficit de production. Cette tendance s'avère d'ordres qualitatives et quantitatives En effet, les Français consomment essentiellement de la viande issue de femelles. Ils achètent peu de morceaux provenant de jeunes bovins ou de bœufs. De leur côté, les producteurs élèvent trop de jeunes bovins par rapport à la demande. Il est vrai que des producteurs se sont spécialisés dans la vente de broutards à l'Italie, la Grèce ou encore l'Espagne. L'export d'animaux vivants se porte bien avec une hausse de 8 % des volumes entre 2010 et 2011. Ces exports posent des difficultés aux abatteurs qui ont du mal à approvisionner leurs unités de transformations. Sur le marché français, le manque d'animaux finis constitue un problème récurrent. Pour les éleveurs, la principale incertitude vient de la réforme de la Pac de 2013 et notamment du maintien ou non de la PMTVA.
Posté le 04/04/2012
Yves 51- + membre techno +
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Date d'inscription : 21/01/2011
Age : 73
pays de l' Oudon
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