Gilibert service rapide

Suite à ma recherche de benne, je rencontre mercredi matin mon vendeur qui me presente une 18t sur le camion au bord de la route. Discussion, promesse de livraison pour début aout çà veut dire debut de moisson sans benne. Je signe malgré tout un bon de commande pour une Gilibert 17t actuellement en location jusque donc début aout. Je verse un accompte et je file à ma banque. Le lendemain mon conseiller me donne rv pour signer le dossier mardi prochain. Ce matin j'envoie un mail au vendeur pour renvoyer le bon de commande modifié avec d'autres pneus et réhausses pas prévues au départ. Ce soir il me rappelle pour me dire qu'il m'en livre une toute neuve lundi prochain .Je le préviens que je ne signe le crédit que mardi et il me dit que ce n'est pas grave, il ne touchera le chèque que lorsque le prêt sera débloqué. Je pense que çà mérite d'être divulgué !!! Je ne peux m'empêcher de penser à ce pauvre Poun !!!

tu aura peut etre une benne livrée mais si tu n a pas le pret bancaire !

çà ne devrait pas poser de problème et de toute façon je pourrais couvrir, mais sinon je n'ai que mes poches pour livrer le blé çà va faire des voyages !!

marie70 a écrit:tu aura peut etre une benne livrée mais si tu n a pas le pret bancaire !

il doit quand meme savoir ou il en est à ce niveau!

on est sérieux en Rhône Alpes

En tous cas, il y en a encore qui savent se bouger le c...!!

je dis parce que moi aussi j attends le deblocage d un pret et comme mon conseiller est en vacance , rien ne se passe
soit disant que personne d autres n a la deleguation pour debloquer le pret a l agence
et ce soir toujours rien donc j attends mardi !

mon conseiller, lui a monté le dossier immédiatement me disant qu'il partait en vacances aujourd'hui et il a transféré le dossier à un collègue pour la signature mardi. Ca dépend aussi quelle banque

Qu'est ce que c'est agreable quand sa se passe comme sa.

Oui tu as bien raison mais je crois que le relationnel a beaucoup d'importance et de nos jours çà se perd. En ce qui me concerne j'ai pris pour habitude de ne plus travailler avec des gens sans parole