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    putain d' avion

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    putain d' avion Empty putain d' avion

    Message par PatogaZ Dim 18 Aoû 2013, 18:30


    putain d' avion 1001238_529687093766309_1160398040_n


    putain d' avion 1011447_529600137108338_1635442114_n



    FINI LE DROIT DE PROTESTER : HOLLANDE BLOQUE AU SOL L'AVION QUI RÉCLAME SA DÉMISSION

    LES FAITS : Depuis le 10 août, un pilote proche du Printemps Français remonte peu à peu la côte atlantique avec son ULM, tractant une banderole libellée « Hollande Demission.fr ». Le pilote étant professionnel et respectant la réglementation aérienne, cette opération est complètement légale.

    Pourtant, ce qui s'annonçait comme un tour de Gaule aérien d'Astérix et d'Obélix est en train de devenir une affaire d'Etat : César, enfin Paris, s'en est mêlé et a cloué l'avion au sol.

    La banderole renvoie au site Hollandedemission.fr dont le pilote est aussi le créateur. Ce site a mis en ligne une pétition qui pose de lourds griefs contre le président en exercice, estimant que « sa période d'essai est finie » et demande aux députés d'organiser un référendum d'initiative populaire en vue de permettre au peuple de décider de sa destitution. Il faut pour cela que la pétition réunisse 4.6 millions de signatures.

    Elle en a actuellement 7100, en ayant enregistré près de 2000 nouvelles signatures en 24 heures. En parallèle un appel aux dons en ligne a été lancé pour payer l'essence de l'ULM : 200 euros de carburant permettent d'assurer une mission de trois heures, une étape du périple. La cagnotte a récolté 1400 euros en moins de 24 heures.
    Le 10 août, le pilote David Van Hemelryck s'élançait de Biscarosse et survolait les plages d'Aquitaine, de Royan et d'Arcachon. Le lendemain, il tractait sa banderole au-dessus de la Charente, de Ré et d'Oléron. Le surlendemain (12), c'est la Vendée qui avait cet honneur, et le pilote s'est posé aux Sables d'Olonne. Le 13, décollant de cet aéroport, son ULM est plaqué au sol par une rafale et se pose durement, pliant le train droit. La petite équipe qui entoure le pilote préfère ne rien divulguer, craignant, à juste titre, que le pouvoir n'en profite pour clouer au sol l'avion.


    Police partout, justice nulle part ?

    Et ils avaient raison. La banderole a en effet beaucoup énervé au gouvernement, et notamment au ministère de l'Intérieur dont le titulaire se compose une stature de premier-ministrable en usant des mêmes ficelles qu'un ex-président de la République issu du parti adverse : en affichant une tolérance zéro envers ceux qui votent mal. Bien que l'opération soit tout à fait légale, une enquête de la gendarmerie aérienne a été diligentée, l'ancien propriétaire et le constructeur de l'avion ont notamment été entendus.

    Le 12 au soir, des policiers en civil attendaient l'ULM à l'aérodrome de la Roche-sur-Yon où il devait atterrir, le pilote s'est alors dérouté aux Sables.

    Le lendemain, alors que le pilote n'a pas encore déclaré l'accident – et qu'il va dans le Pays de Retz pour réparer les pièces abîmées par le choc, la DGAC (Direction générale de l'aviation civile) et la BGTA (Brigade de gendarmerie des transports aériens) apprennent l'accident et s'autosaisissent, intimant le 14 août vers 19h au pilote de ne pas réparer la machine, comme le révèle le média indépendant de réinformation catholique le Rouge et le Noir.

    « Cette procèdure n'est pas du tout fréquente en matière d'ULM », nous explique David, le pilote. « En effet, l'ULM, c'est de l'aviation non certifiée, mais la DGAC et le BGTA suivent là le cadre de l'aviation civile ». D'autant plus que la cause de l'accident est limpide, il n'y a pas eu de blessé, pas de matériels abîmés en dehors de l'avion, pas de préjudice aux tiers, bref, rien qui puisse donner matériellement une raison d'enquêter.

    Il est dur de ne pas voir dans cette soudaine fébrilité des pouvoirs publics une hâte suspecte à vouloir absolument clouer cet impertinent et dissident ULM au sol. Il est à craindre en effet qu'un démontage de la toile ne soit ordonné pour inspecter la structure, sous le fallacieux mais légal et très commode prétexte de la sécurité.

    On ne manquera pas de noter non plus que le 15 août est férié. Pourtant c'est bien ce jour là que viendra un officier de police judiciaire spécialement dépêché afin de se saisir de toute urgence sur l'aérodrome des Sables de cette affaire si grave que toutes les autres occupations habituelles de la BGTA en sont devenues complètement secondaires.


    Où es-tu, France, pays des droits de l'Homme ?

    Depuis l'arrivée au pouvoir de François Hollande, le gouvernement et ses relais ont pris la fâcheuse habitude de fouler la loi et les libertés aux pieds, notamment avec l'aéroport de Notre-Dame des Landes, projet illégal en droit français depuis quatre ans. Chaque jour, la réalité du pays des droits de l'Homme correspond de moins en moins à l'expression. Les antécédents du pilote en sont une éclairante – et triste – illustration. Co-créateur du camping pour Tous qui a vu des militants opposés à la loi Taubira camper dans le jardin du Luxembourg pendant tout le temps où la loi était débattue au Sénat, ce jeune homme de 33 ans a aussi participé à diverses manifestations du Printemps Français.

    Ce qui lui a valu deux gardes à vues. La première, le 16 avril, pour avoir été assis, en compagnie de 66 autres jeunes, devant l'Assemblée Nationale. Tous embarqués. La seconde fois le 25 mai, pour avoir chanté la Marseillaise sur les Champs Elysées, avec d'autres. Tous coffrés. Il a été relâché deux fois sans qu'aucune suite judiciaire ne soit donnée : logique, ses actes n'étaient pas constitutifs d'une infraction réprouvée par la loi. Ses deux arrestations étaient donc arbitraires. Le 27 juin 2013, la France a été épinglée par le Conseil de l'Europe pour de nombreuses arrestations arbitraires à l'encontre des activistes opposés à la loi Taubira. Aucun grand média ne s'en est fait l'écho : voici la presse libre et courageuse de France.

    Suite à cette condamnation, l'attitude du pouvoir a réellement changé. Le 14 juillet, David van Hemelryck était sur les Champs. Alors qu'il filmait les huées, et un cri « Hollande dictateur », trois policiers lui ont sauté dessus pour tenter de lui arracher son portable. « Je ne leur opposais pas de résistance, mais voulais sauver les vidéos et le portable. Ils m'ont déplié les doigts les uns après les autres, et en insistant ils m'ont cassé le pouce. Après quoi ils ont du lâcher prise, il y avait trop de caméras dans le coin et mes cris avaient attiré l'attention. » Verdict : 5 jours d'ITT et une plainte à l'IGS. Pour l'instant sans réponse. L'on peine à croire que les auteurs de cette évidente bavure seront un jour condamnés.

    L'impression générale est éprouvante. C'est celle d'un pays où l'on ne sait plus quelle est la réalité du droit applicable. Où pour le quidam la justice est difficile à obtenir, avec des délais énormes même pour des affaires peu importantes, et où les pouvoirs publics peuvent néanmoins fondre sur un citoyen en quelques heures même en l'absence de motifs légaux. Un pouvoir qui surveille ses dissidents sur les réseaux sociaux, n'hésitant pas à se connecter massivement sur leurs profils, à mettre en place des milliers d'écoutes téléphoniques (illégales, puisque évidemment elles n'ont pas été ordonnées par un juge) et à épier les rares médias qui continuent à faire leur devoir et dénoncer la situation. Un pays où certains ont la certitude de sortir libres ou condamnés à des peines dérisoires après des avoir commis des délits réels, et d'autres seront arrêtés quand bien même on n'aurait rien d'illégal à leur reprocher. Un pays surtout, où les libertés fondamentales sont en péril pour peu que l'on s'oppose au gouvernement, même symboliquement ou pacifiquement. L'heure est grave.
    Photo : FINI LE DROIT DE PROTESTER : HOLLANDE BLOQUE AU SOL L'AVION QUI RÉCLAME SA DÉMISSION LES FAITS : Depuis le 10 août, un pilote proche du Printemps Français remonte peu à peu la côte atlantique avec son ULM, tractant une banderole libellée « Hollande Demission.fr ». Le pilote étant professionnel et respectant la réglementation aérienne, cette opération est complètement légale. Pourtant, ce qui s'annonçait comme un tour de Gaule aérien d'Astérix et d'Obélix est en train de devenir une affaire d'Etat : César, enfin Paris, s'en est mêlé et a cloué l'avion au sol. La banderole renvoie au site Hollandedemission.fr dont le pilote est aussi le créateur. Ce site a mis en ligne une pétition qui pose de lourds griefs contre le président en exercice, estimant que « sa période d'essai est finie » et demande aux députés d'organiser un référendum d'initiative populaire en vue de permettre au peuple de décider de sa destitution. Il faut pour cela que la pétition réunisse 4.6 millions de signatures. Elle en a actuellement 7100, en ayant enregistré près de 2000 nouvelles signatures en 24 heures. En parallèle un appel aux dons en ligne a été lancé pour payer l'essence de l'ULM : 200 euros de carburant permettent d'assurer une mission de trois heures, une étape du périple. La cagnotte a récolté 1400 euros en moins de 24 heures. Le 10 août, le pilote David Van Hemelryck s'élançait de Biscarosse et survolait les plages d'Aquitaine, de Royan et d'Arcachon. Le lendemain, il tractait sa banderole au-dessus de la Charente, de Ré et d'Oléron. Le surlendemain (12), c'est la Vendée qui avait cet honneur, et le pilote s'est posé aux Sables d'Olonne. Le 13, décollant de cet aéroport, son ULM est plaqué au sol par une rafale et se pose durement, pliant le train droit. La petite équipe qui entoure le pilote préfère ne rien divulguer, craignant, à juste titre, que le pouvoir n'en profite pour clouer au sol l'avion. Police partout, justice nulle part ? Et ils avaient raison. La banderole a en effet beaucoup énervé au gouvernement, et notamment au ministère de l'Intérieur dont le titulaire se compose une stature de premier-ministrable en usant des mêmes ficelles qu'un ex-président de la République issu du parti adverse : en affichant une tolérance zéro envers ceux qui votent mal. Bien que l'opération soit tout à fait légale, une enquête de la gendarmerie aérienne a été diligentée, l'ancien propriétaire et le constructeur de l'avion ont notamment été entendus. Le 12 au soir, des policiers en civil attendaient l'ULM à l'aérodrome de la Roche-sur-Yon où il devait atterrir, le pilote s'est alors dérouté aux Sables. Le lendemain, alors que le pilote n'a pas encore déclaré l'accident – et qu'il va dans le Pays de Retz pour réparer les pièces abîmées par le choc, la DGAC (Direction générale de l'aviation civile) et la BGTA (Brigade de gendarmerie des transports aériens) apprennent l'accident et s'autosaisissent, intimant le 14 août vers 19h au pilote de ne pas réparer la machine, comme le révèle le média indépendant de réinformation catholique le Rouge et le Noir. « Cette procèdure n'est pas du tout fréquente en matière d'ULM », nous explique David, le pilote. « En effet, l'ULM, c'est de l'aviation non certifiée, mais la DGAC et le BGTA suivent là le cadre de l'aviation civile ». D'autant plus que la cause de l'accident est limpide, il n'y a pas eu de blessé, pas de matériels abîmés en dehors de l'avion, pas de préjudice aux tiers, bref, rien qui puisse donner matériellement une raison d'enquêter. Il est dur de ne pas voir dans cette soudaine fébrilité des pouvoirs publics une hâte suspecte à vouloir absolument clouer cet impertinent et dissident ULM au sol. Il est à craindre en effet qu'un démontage de la toile ne soit ordonné pour inspecter la structure, sous le fallacieux mais légal et très commode prétexte de la sécurité. On ne manquera pas de noter non plus que le 15 août est férié. Pourtant c'est bien ce jour là que viendra un officier de police judiciaire spécialement dépêché afin de se saisir de toute urgence sur l'aérodrome des Sables de cette affaire si grave que toutes les autres occupations habituelles de la BGTA en sont devenues complètement secondaires. Où es-tu, France, pays des droits de l'Homme ? Depuis l'arrivée au pouvoir de François Hollande, le gouvernement et ses relais ont pris la fâcheuse habitude de fouler la loi et les libertés aux pieds, notamment avec l'aéroport de Notre-Dame des Landes, projet illégal en droit français depuis quatre ans. Chaque jour, la réalité du pays des droits de l'Homme correspond de moins en moins à l'expression. Les antécédents du pilote en sont une éclairante – et triste – illustration. Co-créateur du camping pour Tous qui a vu des militants opposés à la loi Taubira camper dans le jardin du Luxembourg pendant tout le temps où la loi était débattue au Sénat, ce jeune homme de 33 ans a aussi participé à diverses manifestations du Printemps Français. Ce qui lui a valu deux gardes à vues. La première, le 16 avril, pour avoir été assis, en compagnie de 66 autres jeunes, devant l'Assemblée Nationale. Tous embarqués. La seconde fois le 25 mai, pour avoir chanté la Marseillaise sur les Champs Elysées, avec d'autres. Tous coffrés. Il a été relâché deux fois sans qu'aucune suite judiciaire ne soit donnée : logique, ses actes n'étaient pas constitutifs d'une infraction réprouvée par la loi. Ses deux arrestations étaient donc arbitraires. Le 27 juin 2013, la France a été épinglée par le Conseil de l'Europe pour de nombreuses arrestations arbitraires à l'encontre des activistes opposés à la loi Taubira. Aucun grand média ne s'en est fait l'écho : voici la presse libre et courageuse de France. Suite à cette condamnation, l'attitude du pouvoir a réellement changé. Le 14 juillet, David van Hemelryck était sur les Champs. Alors qu'il filmait les huées, et un cri « Hollande dictateur », trois policiers lui ont sauté dessus pour tenter de lui arracher son portable. « Je ne leur opposais pas de résistance, mais voulais sauver les vidéos et le portable. Ils m'ont déplié les doigts les uns après les autres, et en insistant ils m'ont cassé le pouce. Après quoi ils ont du lâcher prise, il y avait trop de caméras dans le coin et mes cris avaient attiré l'attention. » Verdict : 5 jours d'ITT et une plainte à l'IGS. Pour l'instant sans réponse. L'on peine à croire que les auteurs de cette évidente bavure seront un jour condamnés. L'impression générale est éprouvante. C'est celle d'un pays où l'on ne sait plus quelle est la réalité du droit applicable. Où pour le quidam la justice est difficile à obtenir, avec des délais énormes même pour des affaires peu importantes, et où les pouvoirs publics peuvent néanmoins fondre sur un citoyen en quelques heures même en l'absence de motifs légaux. Un pouvoir qui surveille ses dissidents sur les réseaux sociaux, n'hésitant pas à se connecter massivement sur leurs profils, à mettre en place des milliers d'écoutes téléphoniques (illégales, puisque évidemment elles n'ont pas été ordonnées par un juge) et à épier les rares médias qui continuent à faire leur devoir et dénoncer la situation. Un pays où certains ont la certitude de sortir libres ou condamnés à des peines dérisoires après des avoir commis des délits réels, et d'autres seront arrêtés quand bien même on n'aurait rien d'illégal à leur reprocher. Un pays surtout, où les libertés fondamentales sont en péril pour peu que l'on s'oppose au gouvernement, même symboliquement ou pacifiquement. L'heure est grave.


    La grand estoille par sept jours bruslera,
    Nuee fera deux soleils apparoir,
    Le gros mastin toute nuict hurlera,
    Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
    je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
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    putain d' avion Armada10
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    putain d' avion Empty Re: putain d' avion

    Message par Yves 51 Dim 18 Aoû 2013, 18:58

    France 3 Pays de la Loire
    il y a 7 heures
    La Baule : le Hollande-bashing fait la tournée des plages en ULM
    http://pays-de-la-loire.france3.fr/2013/08/18/la-baule-le-hollande-bashing-fait-la-tournee-des-plages-en-ulm-303613.html
    Photo : La Baule : le Hollande-bashing fait la tournée des plages en ULM http://pays-de-la-loire.france3.fr/2013/08/18/la-baule-le-hollande-bashing-fait-la-tournee-des-plages-en-ulm-303613.html
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    Yves 51
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