C'est pas beau ça ?

Bonjour à tous,
ci après ce que les ONG "bio" vous préparent, attention les agris en ceinture de villes et villages sont concernés, encore plus de pression, et à à terme peut-être une expropriation au titre de l'utilité publique.
c'est tout neuf, ça vient de sortir:

Un kit à destination des collectivités pour passer au zéro phyto et 100% bio
Agriculture  |  14 avril 2016  |  Déborah Paquet

Trois associations, Bioconsommacteurs, Agir pour l'environnement et Générations futures, ont édité un guide pour pousser les collectivités à ne plus utiliser de produits phytosanitaires et à développer l'agriculture biologique. Il s'agit d'un outil qui rentre dans le cadre de la campagne zéro phyto 100% bio que portent les trois ONG.
Dans un premier temps, les auteurs présentent une démarche pour s'engager vers le zéro phyto pour l'entretien des espaces verts. Il s'agit ici d'analyser les pratiques des agents publics (désherbage, gestion différenciée, inventaire des moyens humains et matériels), de définir les objectifs d'entretien en identifiant notamment les sites où un désherbage est nécessaire ou non, et d'étudier les méthodes alternatives. Ces dernières sont le désherbage mécanique manuel ou électrique, le désherbage thermique, mais aussi le paillage. La commune, qui se lance dans un changement de politique vis-à-vis de l'entretien de ses espaces publics, devra également sensibiliser ses habitants à accepter la flore spontanée. Les ONG proposent aussi des conseils pour la gestion des espaces dits à contraintes que sont les cimetières, les stades et bords de route. Elles recommandent de tester les alternatives mises en place puis de faire un suivi des actions menées (budget, durée de l'entretien, formation, etc).
Les collectivités sont également invitées à s'engager vers le 100% bio. Une démarche d'accompagnement des agriculteurs dans la conversion vers l'agriculture biologique est nécessaire. Les communes ont ainsi un rôle d'information et de facilitateur. Cet engagement passe aussi par le développement de proximité dans les projets de territoire, la démocratisation de l'accès au bio, la création de jardins potagers collectifs bio et la sensibilisation. Les ONG misent surtout sur l'introduction de la bio dans la restauration collective à l'échelle locale. Elles proposent des pistes pour notamment évaluer les besoins et capacités des établissements, et former le personnel aux spécificités des produits biologiques.
Déborah Paquet, journaliste
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Les communes vont pouvoir embaucher.

les communes et collective ne comprenne rien en bio ,c'est juste pr avoir des voix

bibi43 a écrit:les communes et collectivités ne comprennent rien en bio, c'est juste pr avoir des voix

En ce cas, c'est encore plus grave, elles risquent de faire n'importe quoi !!!

il va y avoir des abandons de postes, l employé communal qui fera une saison de desherbage manuel il va s en souvenir

fergie62 a écrit:il va y avoir des abandons de postes, l employé communal qui fera une saison de desherbage manuel il va s en souvenir

Ils embaucheront des "emplois aidés". C'est déjà la solution utilisée par les Conseil généraux etc. pour le broyage des bas-côtés là où la broyeuse tractée traditionnelle est inopérante.

si déja les collectivité achetait du produit en france
ce serait une grande avancée
ensuite a chacune voir selon ses moyens
mettre du local en cuisine augmente de manière tres nette le prix moyen des repas
passer en tout bio ,c'est encore un cran au dessus
mais s'l faut embaucher du personnel spécifique pour gerer le bio ,je me demande pour quoi faire
les élus auront avantage a envoyer les gamins au resto du bourg ,il sera compétitif
on vois bien la pression des verdatres ,pour qui ,l'argent publique se ramasse a la pelle tout les matins

Les collectivités ont déjà l'obligation du "zéro phyto" , pour ce qui est d'aider les producteurs à produire bio, il faudrait déjà que ces mêmes collectivités aient les moyens à la fois d'imposer et de faire payer le juste prix des repas en cantines .