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Quelle agriculture pour demain en France ?
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Quelle agriculture pour demain en France ?
Rappel du premier message :
A vos claviers, exprimez vous sur votre vision de l'avenir agricole en France au vu de la tournure nauséabonde des évènements
A vos claviers, exprimez vous sur votre vision de l'avenir agricole en France au vu de la tournure nauséabonde des évènements
Fabocacid- + membre techno +
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Date d'inscription : 15/12/2015
Age : 39
56
Re: Quelle agriculture pour demain en France ?
C"est bien le problème. ... ce n'est pas tant l'aspect financier qui bloque (les tarifs de reprises seront revus à labaisse) mais de façon pragmatique ,les moyens humains par manque de candidats si notre métier reste si peu rémunérateur et aléatoire. .
lothar- + membre techno +
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Date d'inscription : 10/09/2009
vallée de meuse
Re: Quelle agriculture pour demain en France ?
+1ADBLUE a écrit:parce que y a des paysans qui pour être plus compétitifs produisent toujours davantage
c'est ce que l'industriel t'explique pour réduire tes coûts faut en faire plus mais le problème de tout ça c'est que le temps que tu bosses , tu ne réfléchis pas et moi j'aime bien réfléchir
gilles- + membre techno +
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Date d'inscription : 18/05/2014
Age : 58
puy de dome
Re: Quelle agriculture pour demain en France ?
c'est là que tu t'aperçois que t'as plus grand chose avec certains de tes voisins le para agricole les a rendu "groggy" et mis sous perfusiongilles a écrit:+1ADBLUE a écrit:parce que y a des paysans qui pour être plus compétitifs produisent toujours davantage
c'est ce que l'industriel t'explique pour réduire tes coûts faut en faire plus mais le problème de tout ça c'est que le temps que tu bosses , tu ne réfléchis pas et moi j'aime bien réfléchir
ceux là sont dans une secte et c'est pas les gourous qui manquent
ADBLUE- + membre techno +
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Age : 56
CHAMPAGNE ARDENNES
Re: Quelle agriculture pour demain en France ?
ADBLUE a écrit:des fermes de 1000 ha voir plus je vois que ça comme solutionlothar a écrit:dans mon patelin dans les dix ans on aura tous arrêté ,un seul jeune en situation de reprendre . Village voisin ,y"aura plus aucun agri,autre bled à qqes km pareil ,un seul jeune qui est déjà enterré sous le travail et les emprunts......on va ou là ?...y"a vraiment des questions à se poser.... (je parle de fermes de 100 à 150 ha)hermine 22 a écrit:vont pas encore débarquer en bzh demainlothar a écrit:Le système va exploser tout seul ..... pour dix paysans qui prennent leur retraite il y aura un ou deux repreneurs avec des capacités de financement limitées si la rentabilité reste aussi faible . Nous serons à la merci des investisseurs étrangers ou de groupes financiers spéculatifs.
10 ha de dispo a l'achat sur la commune
11 candidats
et ils ne sont pas chinois
Je ne sais pas si on pourra toujours appeler ca des fermes ! Des entités détenus par des coops, des usines, ou les couillons seront ceux qui y travailleront !
Si ca prend réellement cette tournure, je change de métier, je l'envisage de plus en plus a terme de toute façon !
Je suis très nostalgique de l'agriculture des années 90, cette agriculture qui m'a donné gout au métier. Dans mon secteur, c'était très prospère, ca grouillait de partout, il y avait du monde dans les campagnes, des productions diverses et variées !
Fabocacid- + membre techno +
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Age : 39
56
Re: Quelle agriculture pour demain en France ?
gilles a écrit:+1ADBLUE a écrit:parce que y a des paysans qui pour être plus compétitifs produisent toujours davantage
c'est ce que l'industriel t'explique pour réduire tes coûts faut en faire plus mais le problème de tout ça c'est que le temps que tu bosses , tu ne réfléchis pas et moi j'aime bien réfléchir
Ca s'appelle l'aliénation par le travail !
Fabocacid- + membre techno +
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Date d'inscription : 15/12/2015
Age : 39
56
Re: Quelle agriculture pour demain en France ?
Ici comme chez Hermine ,toute terre meme de 0,5ha trouve facilement preneur au triple du bareme des fermageslothar a écrit:dans mon patelin dans les dix ans on aura tous arrêté ,un seul jeune en situation de reprendre . Village voisin ,y"aura plus aucun agri,autre bled à qqes km pareil ,un seul jeune qui est déjà enterré sous le travail et les emprunts......on va ou là ?...y"a vraiment des questions à se poser.... (je parle de fermes de 100 à 150 ha)hermine 22 a écrit:vont pas encore débarquer en bzh demainlothar a écrit:Le système va exploser tout seul ..... pour dix paysans qui prennent leur retraite il y aura un ou deux repreneurs avec des capacités de financement limitées si la rentabilité reste aussi faible . Nous serons à la merci des investisseurs étrangers ou de groupes financiers spéculatifs.
10 ha de dispo a l'achat sur la commune
11 candidats
et ils ne sont pas chinois
Dans ma commune 50 agriculteurs à ce jour et une prevision de 30 dans 20 ans ,des jeunes arretent leur job de salarié pour s'installer ,meme hors cadre familial et meme en lait
gilles- + membre techno +
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Date d'inscription : 18/05/2014
Age : 58
puy de dome
Re: Quelle agriculture pour demain en France ?
en bretagne ,avec les petites structures qu'on avait et la pauvreté des sols et un parcellaire tres morcelé ,il a bien fallu trouvé une production ,les agri se sont tournés vers le hors sol qui ne necessitait que peu de foncier et generait du revenu malgré tout ,tout en repondant a une demande croissante .Je veux bien que tu consideres que les eleveurs ne sont pas des agris,toutefois les alternatives sont minimes pour pouvoir degager un revenu decent en faisant autre choses:sur offre de gites alors que la periode estivale ne dure que 1 mois (si il fait beau),vente a la ferme tout le monde ne le fera pas et activité economique tres tournée vers le hors sol qui nous permet ,quand les prix sont la,de nous en tirerEtienneCH4 a écrit:Re,
faire du poulet n'est peut-être pas le meilleur choix, il y a beaucoup d'autres créneaux possibles à partir d'une surface agricole,
d'ailleurs je me demande si l'élevage intensif de volailles est bien une activité agricole ???
OK, pas la peine de me fusiller, juridiquement c'est de l'agri, mais l'exploitation et la gestion se rapportent plus à la chimie et l'industrie !!!
Vu ce jour dans Ouest-France un article sur Guy Bessin, agri bio de St Georges d'Elle,
50 Vl sur 65 ha, 18 litres / jour / VL au lieu de 30 litres avant en intensif.
ça lui fait 220 000 litres / an vendus à 360 € / tonne,
et il dit que pour lui ça va bien, avec un salarié à 1/2 temps et 1 apprenti.
Par contre, vouloir faire de l'agri à tout prix sans être propriétaire foncier ou bailleur héréditaire, là ça devient compliqué, le gars ou la fille qui était agent administratif ou employé lambda qui se sent une illumination de vocation pour nourrir le monde, c'est direct le cimetière des insatisfaits,
être paysan c'est un héritage culturel, c'est pas inné, ensuite il faut s'adapter aux contraintes connexes, ça s'apprend.
Les grandes cultures céréalières ont toujours existées, c'est pas nouveau, par contre les élevages intensifs sont le résultat d'un chant des sirènes, et comme toutes les sirènes, c'est une mélodie trompeuse.
l'avenir:celui qui sait lire dans une boule de cristal est un grand chanceux ,on verra bien ce qui se passera et on fera ce qu'on fait depuis toujours:s'adapter
Invité- Invité
Re: Quelle agriculture pour demain en France ?
et prélève 1000 euros par mois pour vivregilles a écrit:Ici comme chez Hermine ,toute terre meme de 0,5ha trouve facilement preneur au triple du bareme des fermageslothar a écrit:dans mon patelin dans les dix ans on aura tous arrêté ,un seul jeune en situation de reprendre . Village voisin ,y"aura plus aucun agri,autre bled à qqes km pareil ,un seul jeune qui est déjà enterré sous le travail et les emprunts......on va ou là ?...y"a vraiment des questions à se poser.... (je parle de fermes de 100 à 150 ha)hermine 22 a écrit:vont pas encore débarquer en bzh demainlothar a écrit:Le système va exploser tout seul ..... pour dix paysans qui prennent leur retraite il y aura un ou deux repreneurs avec des capacités de financement limitées si la rentabilité reste aussi faible . Nous serons à la merci des investisseurs étrangers ou de groupes financiers spéculatifs.
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Dans ma commune 50 agriculteurs à ce jour et une prevision de 30 dans 20 ans ,des jeunes arretent leur job de salarié pour s'installer ,meme hors cadre familial et meme en lait
ADBLUE- + membre techno +
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Age : 56
CHAMPAGNE ARDENNES
Re: Quelle agriculture pour demain en France ?
On en a déjà à la pelle par ici de cette taille , même plus du double et ce n'est pas là que se font les meilleurs revenus .ADBLUE a écrit:
des fermes de 1000 ha voir plus je vois que ça comme solution
Bien sûr mais c'est différent comme transmission.GL a écrit:
Les grosses structures peuvent'elles avoir un successeur ?.
Ici il y a des transmissions qui se font pas forcément dans le cadre familial, je ne connais pas un hectare qui n'ait pas été repris même pour des structures de 2000/2500 ha .
Invité- Invité
Re: Quelle agriculture pour demain en France ?
certains beaucoup moins ,0 ou 500 et c'est le salaire du conjoint qui fait tourner la baraque ; et d'autres 2000,3000 et +/mois ,;soit bien plus que salarié et moins de route à faire pour aller bosserADBLUE a écrit:et prélève 1000 euros par mois pour vivregilles a écrit:Ici comme chez Hermine ,toute terre meme de 0,5ha trouve facilement preneur au triple du bareme des fermageslothar a écrit:dans mon patelin dans les dix ans on aura tous arrêté ,un seul jeune en situation de reprendre . Village voisin ,y"aura plus aucun agri,autre bled à qqes km pareil ,un seul jeune qui est déjà enterré sous le travail et les emprunts......on va ou là ?...y"a vraiment des questions à se poser.... (je parle de fermes de 100 à 150 ha)hermine 22 a écrit:vont pas encore débarquer en bzh demainlothar a écrit:Le système va exploser tout seul ..... pour dix paysans qui prennent leur retraite il y aura un ou deux repreneurs avec des capacités de financement limitées si la rentabilité reste aussi faible . Nous serons à la merci des investisseurs étrangers ou de groupes financiers spéculatifs.
10 ha de dispo a l'achat sur la commune
11 candidats
et ils ne sont pas chinois
Dans ma commune 50 agriculteurs à ce jour et une prevision de 30 dans 20 ans ,des jeunes arretent leur job de salarié pour s'installer ,meme hors cadre familial et meme en lait
gilles- + membre techno +
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puy de dome
Re: Quelle agriculture pour demain en France ?
L’amélioration de la rentabilité d’exploitation des entreprises de la filière Grain, entamée en 2013/14, se confirme sans toutefois retrouver le niveau des années 2008-2010
- le secteur de la meunerie française, toujours surcapacitaire, est tiré par les grands opérateurs adossés à des groupes diversifiés. Néanmoins, les écarts de performance entre entreprises sont significatifs, en fonction de leurs débouchés (boulangerie artisanale/industrie utilisatrice) et de leurs différents positionnements historiques ;
- les entreprises spécialisées en nutrition animale évoluent dans un marché déclinant en volume, et voient globalement leur chiffre d’affaires s’éroder progressivement. La stabilité des ratios d’EBITDA témoigne de la capacité des entreprises à limiter les effets de la volatilité du prix des matières premières sur leur rentabilité ;
- le secteur de la BVP, porté par des performances industrielles en amélioration, montre un rebond de rentabilité d’exploitation sans pour autant atteindre les niveaux d’il y a 4 ans. L’écart historique de rentabilité selon le débouché (BtoB/BtoC) persiste mais tend à se réduire. Le secteur reste majoritairement tourné vers le marché domestique, toutefois l’activité internationale est un axe de développement privilégié des industriels, et devrait continuer de progresser.
- Ces entreprises restaurent une partie de leur marge, grâce au reflux des cours mondiaux des matières premières et malgré une volatilité toujours record. Les entreprises Diversifiées, qui réalisent près de la moitié de leur chiffre d’affaires à l’international, ont retrouvé leur niveau de rentabilité des années 2008-2010.
La rentabilité d’exploitation s’améliore, avec des évolutions contrastées pour la collecte-appro
❙ L’amélioration de la rentabilité d’exploitation des entreprises de la filière Grain, entamée en 2013/14, se confirme sans toutefois retrouver le niveau des années 2008-2010 :- les entreprises Leaders de Collecte-Appro (CA > 500 M€) confortent leur rentabilité, qui retrouve un niveau comparable à celle des années 2010-2012 (EBITDA = 2,8 %). Grâce à des zones de collecte étendues, elles ont d'avantage été en mesure de surmonter l’obstacle des disparités locales concernant la qualité des blés. Leur rentabilité d’exploitation reste cependant à un niveau limité ;
- les Moyennes et Grandes entreprises de Collecte sont particulièrement pénalisées par les difficultés de mise en marché des grains, dans un contexte de qualités hétérogènes entraînant des surcoûts logistiques. Leur ratio EBITDA/CA s’établit à 2,6 % ;
- la majorité des entreprises de Collecte-Appro, dont le chiffre d’affaire est inférieur à 10 M€, s’inscrivent dans la tendance générale à la reconstitution des marges. À 4,2 % en moyenne, leur taux de rentabilité se place nettement au-dessus de celui des Collecteurs de taille supérieure.
Les entreprises de première et deuxième transformation redressent globalement leur rentabilité, dans un contexte baissier du prix moyen des matières premières :- le secteur de la meunerie française, toujours surcapacitaire, est tiré par les grands opérateurs adossés à des groupes diversifiés. Néanmoins, les écarts de performance entre entreprises sont significatifs, en fonction de leurs débouchés (boulangerie artisanale/industrie utilisatrice) et de leurs différents positionnements historiques ;
- les entreprises spécialisées en nutrition animale évoluent dans un marché déclinant en volume, et voient globalement leur chiffre d’affaires s’éroder progressivement. La stabilité des ratios d’EBITDA témoigne de la capacité des entreprises à limiter les effets de la volatilité du prix des matières premières sur leur rentabilité ;
- le secteur de la BVP, porté par des performances industrielles en amélioration, montre un rebond de rentabilité d’exploitation sans pour autant atteindre les niveaux d’il y a 4 ans. L’écart historique de rentabilité selon le débouché (BtoB/BtoC) persiste mais tend à se réduire. Le secteur reste majoritairement tourné vers le marché domestique, toutefois l’activité internationale est un axe de développement privilégié des industriels, et devrait continuer de progresser.
- Ces entreprises restaurent une partie de leur marge, grâce au reflux des cours mondiaux des matières premières et malgré une volatilité toujours record. Les entreprises Diversifiées, qui réalisent près de la moitié de leur chiffre d’affaires à l’international, ont retrouvé leur niveau de rentabilité des années 2008-2010.
Les investissements reprennent
❙ La campagne 2014/15 a marqué la reprise de l’investissement, contrastant avec l’atonie de l’année précédente : une dizaine d’entreprises ont donné l’impulsion, concentrant 70 % des montants engagés.
❙ Ces investissements sont principalement tournés vers le développement des métiers d’aval en France et à l’international. Le financement de ces nouveaux projets est facilité par la liquidité abondante sur les principaux compartiments des marchés financiers (private equity, obligataire, bancaire). En amont, les entreprises de Collecte poursuivent un effort d’investissement régulier et soutenu (26 % de la valeur ajoutée de l’année sont réinvestis), malgré une rentabilité sous pression.
L’écart de rentabilité des capitaux investis se creuse entre l’amont et la transformation
❙ La rentabilité des capitaux investis de la filière Grain s’établit à 4,6 % : elle a tendance à s’infléchir compte tenu de l’augmentation des moyens mis en œuvre (immobilisations + 10 %). L’écart entre les métiers d’amont et l’industrie de transformation continue à se creuser, mettant en évidence les difficultés des entreprises peu transformatrices à répercuter les surcoûts exceptionnels de la récolte 2014 (ROCE des Collecte-Appro Moyennes et Grandes = 2,2 %) et à préserver leurs marges.
Une structure financière stable et safisfaisante
❙ Malgré deux exercices de rentabilité en creux, la structure financière de la filière Grain est satisfaisante et quasi constante, avec un ratio de capitalisation stable. L’endettement est soutenable en termes de capacité de remboursement (3,3 années d’EBITDA). En conséquence, le profil de risque global de la filière est correcte, avec seulement 8 % des entreprises en « risque fort », et on note la diminution du nombre d’entreprises présentant un ratio de leverage dégradé.
Un environnement incertain pour l’amont, des perspectives plus porteuses pour les activités de transformation
❙ En 2015/16, le chiffre d’affaires de la filière Grain devrait poursuivre une tendance baissière. En blé tendre, le repli des cours s’est poursuivi au 1er trimestre 2016 en raison de prévisions de récoltes abondantes (production mondiale + 4 %, à 717 Mt – source CIC). Les prix des intrants sont également orientés à la baisse, selon l’indice IPAMPA (107,2 en février 2016/110,2 en février 2015).
❙ La rentabilité des entreprises Collecte-Appro pourrait donc être affectée par la baisse mécanique des marges, voire aggravée, pour certaines d’entre elles, par un décalage entre le prix d’acompte versé en début de campagne et l’évolution des prix durant la phase de commercialisation. Par ailleurs, si les coopératives devaient prendre des mesures de soutien en faveur de leurs adhérents, leur compte de résultat et leur besoin en fonds de roulement pourraient être impactés négativement.
❙ Les activités de transformation et d’aval devraient rester plus porteuses et permettre aux Leaders et aux Diversifiées de préserver leurs marges - voire de les améliorer, grâce aux investissements réalisés. Par contre, le contexte des prix du pétrole et de ses dérivés devrait peser sur les marges des producteurs de biodiesel.
ADBLUE- + membre techno +
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CHAMPAGNE ARDENNES
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