Propagande, Nicolino et Veillerette sortent les grands moyens

fergie62 a écrit:Des gosses et des parents, le symbole de notre société de consommation
Pour laisser une planète en bonne état faut peut être faire moins de gosses

Olivdu45 a écrit:Et moins se peinturlurer la tronche de crèmes machin chose, d'anti-rides et de tous ces produits de "beauté" qui contiennent tout autant de produits nocifs directement en contact avec la peau...
Avant de critiquer les autres, qu'ils commencent déjà part se regarder eux-même...

fergie62 a écrit:Des gosses et des parents, le symbole de notre société de consommation
Pour laisser une planète en bonne état faut peut être faire moins de gosses

daniel89 a écrit:

Olivdu45 a écrit:Et moins se peinturlurer la tronche de crèmes machin chose, d'anti-rides et de tous ces produits de "beauté" qui contiennent tout autant de produits nocifs directement en contact avec la peau...
Avant de critiquer les autres, qu'ils commencent déjà part se regarder eux-même...

Il est vrai que si ces dames prenaient la peine de consulter la liste des produits qui composent les produits miraculeux que les dérident, les assouplissent, les désinfectent, les colorent et les peignent (de peinture) , sans compter ceux dont elles se servent pour laver, désinfecter, nettoyer, elles auraient une position un peu plus réalistes à l'égard de la chimie, qui effectivement est partout, dans les médicaments aussi, d'ailleurs.

Cette production de nos deux duettistes anti tout est d'une débilité profonde, mais elle risque malheureusement d'avoir un impact non négligeable sur la "masse".
Pour faire prendre conscience à tous ces gens qui n'ont aucune connaissance des ces sujets, il n'y a qu'une catastrophe majeure qui puisse remettre les pendules à l'heure.
Car aucun de nos arguments n'aura le moindre impact sur eux;

• D'abord, il repose sur des enfants. Ils sont mignons, personne ne viendrait dire qu'il ne jouent qu'un sketch. Pourtant, on voit bien qu'ils ont appris une comptine, une (petite ) pièce de théâtre. Il suffit d'y regardez d'un peu prêt et l'on voit à leurs regard que leur professeur est à côté.
  
  

• sur cette vidéo de 2:10, si vous retirer l'intro de 5 s et la conclusion de 8 s, il reste 117 s.
  
  
• Elle est découpée en 11 plans. Ceux qui présentent les gamins sont conçu en rafale. L'enjeu est que n'ayez pas le temps de les analyser. Ils préparent à écouter les petits discours. L'enjeu est de percuter. Votre cerveau coure après une image qu'il a le temps de traiter, c'est celle qu'on veut passer. Le message passe en contournant les circuits de protection de jugement.
  
  
  • La première, c'est les deux mamans. Se sont souvent elles qui achètent. De tous temps les femmes ( au sens femelle du terme sont celles qui protègent les plus petits ). A 0:28, elles ont les yeux complètement exorbités.
    
    
  • A 0:33, c'est le père qui apporte la caution à la démarche. Regardez le pauvre gamin avec sa casquette, il se demande se qu'il fait là. Il regarde l'air inquiet le metteur en scène.
    
    
  • 0:40 le discours, la tête haute, comme dans un récit dans une église
    
    
  • 0:59 le bout de chou devant, l'image ne fait pas dans la dentelle
    
    
  • 1:07 la grand mère, la caution des sages, ceux qui ont vécu
    
    
  • 1:09 le sermon, tout çà c'est à cause de ces vilains paysans, çà évite d'aller chercher ailleurs. Le jour ou vous verrez la même chose sur les médicaments, faites signe. Pourtant les fabricants sont les mêmes mais les doses non.
    
    
  • 1:19 Charly Hebdo, le clin d'œil à tous ceux qui sont dans cette sensibilité. Rappel à «nous sommes tous Charly», la ficelle est énorme
    
    
  • 1:22 le couple de 40 – 45 ans qui a déjà fait « des choses » au quotidien ne sais plus quoi faire alors il signe ( encore les yeux exorbité ). C'est pas compliqué, çà se fait de chez soi avec internet. De l'écologie de fauteuil, une action par un simple clic. C'est une technique que connaissent bien les éleveurs. Vous enserrer les animaux dans un endroit ou il n'y a qu'une seule sortie, celle que vous avez choisi. Encore des yeux éxorbités.
    
    
  • 1:52 le stop Facebook
    
    
  • 1:57 la chorale avec la réverbération.
    
    
  • 1:59 On remet le p'tiot dans le plan, il est chouchou, toute les femmes vont le voir.
    
    
  
  
  

- La technique est bien connue des comique, je pense à Devos par exemple. Elle consiste à lancer une première affirmation complètement délirante. Le temps que l'auditeur essaye de vérifier la cohérence de ce qu'il vient d'entendre, on en lance une deuxième puis une autre très rapidement. Très rapidement vous amener les gens dans l'incohérence, le délire, la divagation.
• Exemple mais de talent celui là
  
  

• D'abord le possession de fichier de grande taille vaut une fortune. La signature de pétition permet de recueillir des millions d'adresses à qui on va pourvoir proposer d'autres pétitions, faire des cartes, mesurer les impacts de campagne avec le jour, l'heure, la localisation.
  
  
• Sortir de la consommation, grâce à la consommation, le paradoxe saute aux yeux. La carte de crédit serait notre nouveau bulletin de vote : les multinationales se régalent déjà. Les promoteurs de cet argumentaire, aussi bienveillants soient-ils, ne craignent-ils pas que, comme le modèle productiviste l’a toujours fait, le « système » s’accommode très bien de ces comportements individuels marginaux, voire, les récupère à son profit ? Pire, oublient-ils que les industriels ont même tendance à encourager ces actions qui se concentrent sur l’individu isolé, car elles leur permettent de se déresponsabiliser tout en éludant les mouvements collectifs politisés ? Entendez : « Si le monde est pollué par le plastique : c’est la faute des consommateurs qui ont des comportements inadéquats ou pêchent par leur inaction. » Le bio peine à dépasser les 5% de la production nationale ? On en trouve pourtant dans toutes les grandes surfaces… Aussi vital soit-il éthiquement parlant, le choix individuel jeté en pâture aux marchés est insuffisant pour changer un système dont les racines sont infiniment profondes. Au mieux, et c’est là qu’elle joue un rôle important, une consommation responsable et locale réoriente parfois les potentielles dépenses vers des acteurs de la transition. Il faut oser aller plus loin.
  
  
• Mais il y a sans doute plus grave encore, il faut que j'y travaille un peu.