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rapport economiqie, vrai ou pipeau
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AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: politique générale , syndicalisme :: Politique agricole
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rapport economiqie, vrai ou pipeau
ci après un compte rendu disant que le bio ou l'agricolo est plus rentable qur le traditionnel, merci de vos commentaires,
prndre le temps de lire et de réfléchir, c'et l'avenir qui est en jeu,
1er constat: l'agroecologie est représentée par des moutons, (une petite photo vaut mieux qu'un long discours)
<<
L'agroécologie plus rentable que l'agriculture conventionnelle, mais moins aidée
Une étude de France Stratégie propose de corréler les aides aux exploitations à leur score d'exigence environnementale, mais aussi de faire évoluer les pratiques des consommateurs.
Agroécologie | 11 août 2020 | Agnès Sinaï | Actu-Environnement.com
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Stéphane Galonnier L'agriculture biologique apparaît comme la plus performante d'un point de vue économique et environnemental.
Agnès Sinaï, journaliste
Rédactrice spécialisée Tous droits réservés Actu-Environnemen
prndre le temps de lire et de réfléchir, c'et l'avenir qui est en jeu,
1er constat: l'agroecologie est représentée par des moutons, (une petite photo vaut mieux qu'un long discours)
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L'agroécologie plus rentable que l'agriculture conventionnelle, mais moins aidée
Une étude de France Stratégie propose de corréler les aides aux exploitations à leur score d'exigence environnementale, mais aussi de faire évoluer les pratiques des consommateurs.
Agroécologie | 11 août 2020 | Agnès Sinaï | Actu-Environnement.com
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Stéphane Galonnier L'agriculture biologique apparaît comme la plus performante d'un point de vue économique et environnemental.
Dans une note d'analyse diffusée le 6 août par France Stratégie, Alice Gremillet et Julien Fosse identifient vingt-trois cahiers des charges ou référentiels se revendiquant des grands principes de l'agroécologie, publics et privés, certains bénéficiant de soutiens financiers publics, d'autres non. Les auteurs ont calculé, pour chacun, « un score d'exigence environnementale », c'est-à-dire un indicateur tenant compte de la réduction d'utilisation d'engrais et de pesticides, et de l'importance des pratiques favorables à la préservation de la biodiversité, des sols et des ressources en eau.
Il en ressort deux grandes familles d'exploitations agroécologiques. La première compte les exploitations à haut niveau d'exigences environnementales pour lesquelles l'ensemble du système de production a été repensé, suivant un cahier des charges bénéficiant d'une reconnaissance du consommateur grâce à des labels publics. C'est notamment le cas de l'agriculture biologique (AB). Certification européenne et nationale, l'AB est soutenue par des aides à la conversion de la Politique agricole commune (PAC).
Fin 2018, 7,5 % de la surface agricole utile française et environ 41 600 exploitations agricoles nationales (soit 9,5 % du total) étaient cultivées en bio. La permaculture et trois référentiels privés (Demeter, Nature et Progrès et Bio Cohérence) ajoutent des contraintes supplémentaires aux exigences de l'AB. La certification Haute Valeur environnementale (HVE) tombe aussi dans cette première famille et concerne 5 399 exploitations au 1er janvier 2020.
La seconde famille rassemble, elle, les exploitations dont le système de production, malgré des engagements supplémentaires, reste fondé sur les principes de l'agriculture conventionnelle. Appartiennent à cette famille : les exploitations engagées dans mesures agroenvironnementales et climatiques système de la PAC (MAEC système) qui bénéficient d'aides, les 3 000 fermes économes en intrants du réseau Dephy et les chartes privées telles que Lu'Harmony ou AgriCO2 qui certifient respectivement 1 700 et 2 800 agriculteurs.
Les exploitations bio sont plus rentables
Premier moyen utilisé par les auteurs pour évaluer la rentabilité (hors aides) des référentiels étudiés : l'analyse des données économiques publiées dans la littérature scientifique (INRA, Insee, Cerfrance). Bien que les indicateurs varient (marge brute ou directe, excédent brut d'exploitation…), de même que les échelles de temps et les filières (viticulture, maraîchage, céréales…), leur revue de littérature montre que les exploitations agroécologiques, l'AB en particulier, sont en général plus rentables que les exploitations conventionnelles, alors que leurs exigences environnementales sont élevées.
Pourquoi ? Parce que les exploitations bio réalisent des économies sur les charges en intrants (engrais, produits phytosanitaires) et que les prix des produits bio sont plus élevés. À quoi s'ajoutent des prix moins volatils et une plus grande diversité de productions, assurant dans leur ensemble des rendements plus stables sur le temps long. En 2016 l'excédent brut d'exploitation (EBE) des exploitations conventionnelles en viande bovine était de 3 euros par hectare contre 180 euros en bio. Plus généralement la littérature scientifique montre que le gain de marge directe en AB, quoique très variable selon les productions, est en moyenne de 103 %.
Pour généraliser ces résultats, Alice Gremillet et Julien Fosse ont ensuite modélisé une exploitation en grandes cultures de 100 hectares, en fonctionnement conventionnel d'abord puis avec les contraintes supplémentaires de cinq cahiers des charges : AB, Dephy économe et Dephy très économe en intrants, HVE B et Lu'Harmony. Grâce à quoi ils ont pu estimer et comparer les marges directes globales de cette exploitation type, en conventionnel et sous référentiel. Une manière de simuler sa transition agroécologique pour en tester la rentabilité. Résultat : l'AB est le seul référentiel (parmi ceux testés) à apporter des bénéfices à moyen terme à l'exploitant, avec un gain de marge directe de l'ordre de 25 % au terme de la transition (hors aides de la PAC).
Mieux soutenir la transition agroécologique
Si elles assurent la rentabilité des exploitations européennes, les aides de la PAC ne sont pas proportionnées au service environnemental rendu par les exploitations, ni même au manque à gagner effectif lié à leur transition agroécologique. Pour le montrer, les auteurs de l'étude ont confronté le montant des aides attribuées aux exploitations à leur « score d'exigence environnementale »… et constaté leur décorrélation. En grandes cultures par exemple, les montants totaux d'aides à l'hectare sont plus importants pour les référentiels MAEC systèmes que pour le référentiel AB. Autrement dit : c'est la production moins exigeante du point de vue environnemental qui reçoit plus.
Mieux aider la transition écologique de l'agriculture passe donc par un réel ajustement des aides publiques versées aux efforts financiers consentis par les agriculteurs pour réduire leurs impacts sur l'environnement ou par un changement d'approche permettant de mieux rémunérer le service environnemental rendu, soutiennent les auteurs. Une approche qui pourrait consister en un système de bonus-malus, le produit des malus sur l'usage de pesticides et d'engrais venant financer les bonus aux pratiques agroécologiques par exemple.
Concernant les référentiels étudiés, Alice Gremillet et Julien Fosse formulent trois propositions. Pour les référentiels « à haut score d'exigence environnementale », il apparaitrait nécessaire de renforcer leur reconnaissance par le consommateur pour permettre un consentement à payer rémunérant justement l'agriculteur ; c'est le cas des référentiels HVE.
Pour les référentiels « à haut score d'exigence environnementale» qui présentent, eux, des bénéfices économiques pour les exploitants, il serait souhaitable de mieux tenir compte de la plus grande intensité en main d'œuvre, à l'origine de surcoûts, dans le paramétrage des dispositifs d'aides publiques qui leur sont attribués. Enfin, pour les référentiels « à faible score d'exigence environnementale » mais à coût faible ou nul, il s'agirait de diffuser et de généraliser les bonnes pratiques, notamment en termes de réduction d'usage de pesticides.
Ajuster les aides et mieux soutenir les référentiels à forte exigence environnementale sont des leviers nécessaires mais non suffisants pour développer l'agroécologie. Pour assurer la transition de notre système alimentaire vers la durabilité, les auteurs estiment que ce sont les pratiques des consommateurs qui doivent aussi évoluer, notamment vers un régime moins et mieux carné.
Agnès Sinaï, journaliste
Rédactrice spécialisée Tous droits réservés Actu-Environnemen
EtienneCH4- + membre techno +
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Lapenty et Wuhan
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
pipo!
Je me compare régulièrement, moi en bio et des voisins en conventionnel. Si on fait une moyenne sur 10 ans, on est pareil. Sauf que le revenu est plus régulier chez moi, et mes voisins sont très variable en fonction du climat.
Je me compare régulièrement, moi en bio et des voisins en conventionnel. Si on fait une moyenne sur 10 ans, on est pareil. Sauf que le revenu est plus régulier chez moi, et mes voisins sont très variable en fonction du climat.
david54- + membre techno +
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lorraine nord 54
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
Encore une étude au service de l'anticipation de ce qu'on a envie de dire et faire "bouffer la laine sur le dos de son voisin " conventionnel .
Faut pas prendre les paysans pour des cons ,si les bio avaient inventé l'eau chaude nos grands père seraient tous riches et les enfants n'auraient pas eu besoin d'aller dans les lycées agricole
Le degré de manipulation des discours me débecte de plus en plus .......heureusement les agris ne sont pas dupe
Faut pas prendre les paysans pour des cons ,si les bio avaient inventé l'eau chaude nos grands père seraient tous riches et les enfants n'auraient pas eu besoin d'aller dans les lycées agricole
Le degré de manipulation des discours me débecte de plus en plus .......heureusement les agris ne sont pas dupe
cow boy- + membre techno +
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lorraine,alsace,champagne ardenne
dgé aime ce message
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
a la tonne de production il faut raisonner
grabouille- + membre techno +
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nord haute marne
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
david54 a écrit:pipo!
Je me compare régulièrement, moi en bio et des voisins en conventionnel. Si on fait une moyenne sur 10 ans, on est pareil. Sauf que le revenu est plus régulier chez moi, et mes voisins sont très variable en fonction du climat.
Pipo un peu, pas vraiment.
sauf que l'on compare des choses pas tout à fait comparables.
La part du bio est plus importante là ou on peut faire de la vente directe: viti, arbo, maraîchage, avec possibilité de valorisation directement auprès du consommateur.
En élevage ou productions végétales (hors les 3 citées précedemment), là encore le bio a pris une part plus importante chez ceux qui étaient (ou sont venus) en vente directe, totale ou partielle.
Ils n'abordent pas les 2 questions essentielles:
- Quelles sont les limites probables en % du marché de la vente directe?
- Quelle part du marché de la consommation alimentaire est accessible à une plus forte valorisation?
Autrement dit, à vouloir faire grossir le chien sans se soucier de la taille de la niche, on risque fort de l'étouffer.
GRUMPY- + membre techno +
- Messages : 4746
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Age : 67
IDF sud
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
nous avons un pro du bio à côté , il fait des légumes à 40 000 € l' ha mais il a 16 000 € de main d' oeuvre qui bine sous une plateforme à 0.2 km/h par tous les temps , il faut trouver le personnel adapté
le gars travaille de 5 h00 à 23 heures , il est riche mais il est fatigué
perso je ne tiendrais pas le coup ni physiquement ni moralement
on a aussi des "mimile de la conf'" qui sont en faillite aggravée et qui ne récoltent absolument rien mais ça tient le coup quand même parce qu' aucun bio ne doit mettre la clé sous la porte
le gars travaille de 5 h00 à 23 heures , il est riche mais il est fatigué
perso je ne tiendrais pas le coup ni physiquement ni moralement
on a aussi des "mimile de la conf'" qui sont en faillite aggravée et qui ne récoltent absolument rien mais ça tient le coup quand même parce qu' aucun bio ne doit mettre la clé sous la porte
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
Complètement d'accord , on est sur un marché de niche , c'est comme si on conseillait aux éleveurs laitiers de faire tous du Beaufort ( fromage à forte valeur ajoutée ) , et le boulot oui le boulot , je suis pas fainéant , je fais un peu d'entretien manuel mais pas trop non plus et encore moins lorsque j'ai des jeunes en stage , le top pour les décourager du métier .PatogaZ a écrit:nous avons un pro du bio à côté , il fait des légumes à 40 000 € l' ha mais il a 16 000 € de main d' oeuvre qui bine sous une plateforme à 0.2 km/h par tous les temps , il faut trouver le personnel adapté
le gars travaille de 5 h00 à 23 heures , il est riche mais il est fatigué
perso je ne tiendrais pas le coup ni physiquement ni moralement
on a aussi des "mimile de la conf'" qui sont en faillite aggravée et qui ne récoltent absolument rien mais ça tient le coup quand même parce qu' aucun bio ne doit mettre la clé sous la porte
Vernier- + membre techno +
- Messages : 1584
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 63
ouest france
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
Une étude pour dire que HORS AIDES, le bio est plus rentable que les autres.
Et voila, il suffit d'écrémer encore un peu du premier pilier pour accompagner le mouvement.
la génération à venir dans l'agriculture aura le choix entre le bio et le bio
Et voila, il suffit d'écrémer encore un peu du premier pilier pour accompagner le mouvement.
la génération à venir dans l'agriculture aura le choix entre le bio et le bio
Bulbi- + membre techno +
- Messages : 514
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 42
Sud du Nord
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
si trop malheureusement en tout cas on a des traitres qui s'ignorent mm s'ils ne se reconnaissent évidemment pas comme tel. pas de doute je les ai vus et je me souviens bien de leurs silences répétés d'assistés là ou il aurait fallut tout dénoncer pour enfin pouvoir négocier qq chose au lieu encore de se faire avoir. maintenant cette mascarade me dégoutte tellement que je ne vais plus ds les réunions. c'est peine perdue d'essayer d'être constructif pour le collectif qui se comporte finalement comme des égoïstes et le niveau de compréhension semble si bas qu'il ne sert à rien de soulever l'essieu de la charrette si tout le monde se sent bien ds la boue.cow boy a écrit:Encore une étude au service de l'anticipation de ce qu'on a envie de dire et faire "bouffer la laine sur le dos de son voisin " conventionnel .
Faut pas prendre les paysans pour des cons ,si les bio avaient inventé l'eau chaude nos grands père seraient tous riches et les enfants n'auraient pas eu besoin d'aller dans les lycées agricole
Le degré de manipulation des discours me débecte de plus en plus .......heureusement les agris ne sont pas dupe
d'un côté donc des "paisans...", de l'autre des agents de chambre comme les fameux "économistes" ou de filières qui n'ont plus qu'à faire leur pu...b. le tout cautionné par des élus à la mode comme on dit des territoires qui sont souvent partout (pour rien) et nul part (pour tout ce qui serait utile) pour trouver des bras car les cerveaux d'autres s'en sont déjà chargés jusque ds le moindre détail...
Sparthakus- + membre techno +
- Messages : 13209
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 63
le pays des fossoyeurs de l'agriculture
tot ou tard aime ce message
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
Il y a quelques temps, j'ai été enquêté par le centre de gestion pour créer un référentiel bio.
Il est arrivé avec certains critères sur ma ferme, je lui ai indiqué que tout était faux, car à mon sens, il faut extraire la partie vente directe pour pouvoir comparer à un agri conventionnel.
Le monsieur n'était pas content que je mette en doute ces propos, il devait revenir avec les nouveaux chiffres, depuis, plus de nouvelles!
Il est arrivé avec certains critères sur ma ferme, je lui ai indiqué que tout était faux, car à mon sens, il faut extraire la partie vente directe pour pouvoir comparer à un agri conventionnel.
Le monsieur n'était pas content que je mette en doute ces propos, il devait revenir avec les nouveaux chiffres, depuis, plus de nouvelles!
david54- + membre techno +
- Messages : 870
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 48
lorraine nord 54
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
rapport economiqie, vrai ou pipeau
En tous cas en traditionnel c'est la succession qui va être difficile. Avec 200 Ha et le parc de matériel qui va avec celui qui va reprendre le manche va passer une partie de sa vie à payer ses frères et sœurs.
En tous cas en traditionnel c'est la succession qui va être difficile. Avec 200 Ha et le parc de matériel qui va avec celui qui va reprendre le manche va passer une partie de sa vie à payer ses frères et sœurs.
GL- + membre techno +
- Messages : 24947
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 110
Assis
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
il serait bien plus intéressant de faire une étude comparant la rentabilité d'une exploitation conventionnelle par rapport à une bio ramenée à l'heure de main d'oeuvre.
ou alors pour un même bénéfice combien d'heures travaillées en bio / conventionnel en grandes cultures.
mon ressentit : je dirais un rapport de 3/1 ?
ou alors pour un même bénéfice combien d'heures travaillées en bio / conventionnel en grandes cultures.
mon ressentit : je dirais un rapport de 3/1 ?
Pilou71- + membre techno +
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Date d'inscription : 14/09/2009
Age : 54
71-Bresse
Re: rapport economiqie, vrai ou pipeau
Actuellement on fait tout pour mettre en avant le bio et tous les soit-disant "experts" vont dans ce sens sinon ils ne sont pas crédibles.
Si le bio était tellement rémunérateur, je pense que tout le monde aurait franchi le pas, la réalité est vraiment très différente.
Il est vrai qu'une petite structure maraîchère avec vente directe semble tenir le coup, le reste c'est la galère comme le conventionnel.
Il faut les deux et c'est idiot de les opposer à mon sens.
Je souhaite simplement que les "bios" ne se prennent pas pour les sauveurs du monde et les conventionnels sont tous des empoisonneurs.
Si le bio était tellement rémunérateur, je pense que tout le monde aurait franchi le pas, la réalité est vraiment très différente.
Il est vrai qu'une petite structure maraîchère avec vente directe semble tenir le coup, le reste c'est la galère comme le conventionnel.
Il faut les deux et c'est idiot de les opposer à mon sens.
Je souhaite simplement que les "bios" ne se prennent pas pour les sauveurs du monde et les conventionnels sont tous des empoisonneurs.
Sylv57- + membre techno +
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