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Castrer ou mâle entier
3 participants
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Castrer ou mâle entier
Pour ma part, je préfère castrer pour la qualité de la viande,évitons de faire fuir le consommateur !
Olmer- + Membre Accro +
- Messages : 260
Date d'inscription : 06/01/2019
Age : 44
Rennes
dgé aime ce message
Re: Castrer ou mâle entier
bien sur, y'a que des cons pour pondre une telle loi, une fois, une testicule n’étais pas descendu d'un porcelet, celui qui castrait ne l'a pas "remarqué", le cochon a été élevé, et il a fini dans l'assiette, à chaque cuisson, c’était une "horreur", mais ça ne l'avait pas dans le gout, depuis mon père élève des femelles
dgé- schtroumpf grognon du forum
- Messages : 43696
Date d'inscription : 10/09/2009
000
Kris Petit aime ce message
Re: Castrer ou mâle entier
Le décompte est enclenché, il reste un an à la filière porcine française pour mettre un terme à la castration à vif des porcelets et ainsi se conformer à l’arrêté du 24 février 2020, pris, il convient de le souligner, sans concertation préalable avec les professionnels.
Culture Viande en appelle avec force à la responsabilité de chacun des maillons de la filière pour, au sein de son interprofession INAPORC, s’engager ensemble et sans retard à explorer toutes les pistes techniques, juridiques et économiques qui permettront, en accord avec les autorités sanitaires et vétérinaires, de poursuivre au 1er janvier 2022 la castration des animaux dans le cadre de la loi.
Les alternatives à la castration à vif existent. En Allemagne, dès le 1er janvier prochain, les éleveurs qui auront suivi une formation et en accord avec leurs services vétérinaires , pourront procéder à la castration des animaux sous anesthésie générale à l’isoflurane. Les pouvoirs publics allemands leurs allouent même pour cela une aide de 20 millions d’euros . Les solutions existent. Mettons les en œuvre au plus vite et laissons à chacun la liberté de choisir le mode d’élevage qui lui convient.
Sur le débat de l’orientation de la production vers le mâle entier qui alimente la guerre entre groupements et les spéculations économiques des éleveurs, soulignons que seul le marché fixe les prix, valorise les bons produits au détriment des autres et que de mémoire, les plus values générées par l’amont (production- abattage) ont toujours rapidement été captées par l’aval.
L’industrie de l’abattage-découpe, qui a pour vocation de promouvoir et de valoriser la production porcine française, se doit de proposer à ses clients transformateurs et distributeurs des viandes qui répondent à toutes les attentes et exigences des consommateurs, en France comme à l’export. Mettre aujourd’hui sur le marché, des viandes, même à risque infime, reviendrait à rompre ce pacte. Le plan qui vient d’être validé par la filière porcine, tourne le dos à cette politique de flux poussé, pour produire désormais en fonction de la demande du marché, une viande et une charcuterie saine et savoureuse. L’enjeu est bien de créer de la valeur pérenne au profit de l’ensemble de la filière et tenter d’inverser cette tendance historique de recul de la consommation depuis 5 ans (- 4%/an pour les viandes, -2,5%/an pour la charcuterie).
Les experts pointent aujourd’hui les faiblesses des viandes issues de porcs mâles entiers :
– un gras qui ne convient pas à la fabrication des salaisons sèches. Les filières porcines du Sud de la France ont pour cela unanimement signifié leur refus de s’orienter vers cette production ;
– la teneur élevée en maigre de ces viandes alors que la viande porcine est déjà considérée par le consommateur comme trop « sèche » ;
– enfin un risque d’odeur à la cuisson.
Rappelons que la pratique ancestrale de la castration précoce des porcs mâles en élevage a justement pour but d’éviter ces risques et à la fois de prévenir en élevage des comportements agressifs des animaux. Ce dernier point met à mal l’argument bien-être, avancé à tort pour la non- castration des porcs. Le bien-être animal doit se mesurer sur l’ensemble du cycle de production ; au stade de l’abattage, nous assurons avec rigueur et respect toutes les règles de la protection animale.
Sur tous ces dossiers, le positionnement de l’abattage-découpe est central et nous sommes très attentifs à la réaction de nos clients. Salaisonniers et distributeurs restent pourtant bien discrets sur un débat qui engage durablement toute une filière et où tout risque pris peut faire perdre la confiance des consommateurs français et mettre en danger nos marchés d’exportations.
Culture Viande se tient prêt à engager la concertation et le débat ; il est temps !
Culture Viande en appelle avec force à la responsabilité de chacun des maillons de la filière pour, au sein de son interprofession INAPORC, s’engager ensemble et sans retard à explorer toutes les pistes techniques, juridiques et économiques qui permettront, en accord avec les autorités sanitaires et vétérinaires, de poursuivre au 1er janvier 2022 la castration des animaux dans le cadre de la loi.
Les alternatives à la castration à vif existent. En Allemagne, dès le 1er janvier prochain, les éleveurs qui auront suivi une formation et en accord avec leurs services vétérinaires , pourront procéder à la castration des animaux sous anesthésie générale à l’isoflurane. Les pouvoirs publics allemands leurs allouent même pour cela une aide de 20 millions d’euros . Les solutions existent. Mettons les en œuvre au plus vite et laissons à chacun la liberté de choisir le mode d’élevage qui lui convient.
Sur le débat de l’orientation de la production vers le mâle entier qui alimente la guerre entre groupements et les spéculations économiques des éleveurs, soulignons que seul le marché fixe les prix, valorise les bons produits au détriment des autres et que de mémoire, les plus values générées par l’amont (production- abattage) ont toujours rapidement été captées par l’aval.
L’industrie de l’abattage-découpe, qui a pour vocation de promouvoir et de valoriser la production porcine française, se doit de proposer à ses clients transformateurs et distributeurs des viandes qui répondent à toutes les attentes et exigences des consommateurs, en France comme à l’export. Mettre aujourd’hui sur le marché, des viandes, même à risque infime, reviendrait à rompre ce pacte. Le plan qui vient d’être validé par la filière porcine, tourne le dos à cette politique de flux poussé, pour produire désormais en fonction de la demande du marché, une viande et une charcuterie saine et savoureuse. L’enjeu est bien de créer de la valeur pérenne au profit de l’ensemble de la filière et tenter d’inverser cette tendance historique de recul de la consommation depuis 5 ans (- 4%/an pour les viandes, -2,5%/an pour la charcuterie).
Les experts pointent aujourd’hui les faiblesses des viandes issues de porcs mâles entiers :
– un gras qui ne convient pas à la fabrication des salaisons sèches. Les filières porcines du Sud de la France ont pour cela unanimement signifié leur refus de s’orienter vers cette production ;
– la teneur élevée en maigre de ces viandes alors que la viande porcine est déjà considérée par le consommateur comme trop « sèche » ;
– enfin un risque d’odeur à la cuisson.
Rappelons que la pratique ancestrale de la castration précoce des porcs mâles en élevage a justement pour but d’éviter ces risques et à la fois de prévenir en élevage des comportements agressifs des animaux. Ce dernier point met à mal l’argument bien-être, avancé à tort pour la non- castration des porcs. Le bien-être animal doit se mesurer sur l’ensemble du cycle de production ; au stade de l’abattage, nous assurons avec rigueur et respect toutes les règles de la protection animale.
Sur tous ces dossiers, le positionnement de l’abattage-découpe est central et nous sommes très attentifs à la réaction de nos clients. Salaisonniers et distributeurs restent pourtant bien discrets sur un débat qui engage durablement toute une filière et où tout risque pris peut faire perdre la confiance des consommateurs français et mettre en danger nos marchés d’exportations.
Culture Viande se tient prêt à engager la concertation et le débat ; il est temps !
Olmer- + Membre Accro +
- Messages : 260
Date d'inscription : 06/01/2019
Age : 44
Rennes
Re: Castrer ou mâle entier
Mon grand-père avait toujours quelques truies et il castrait ses cochons, avec le coupe chou, style celui avec lequel il se rasait
Putain, il n y avait pas d âmes sensibles, à cette époque. c était des vrais durs !
Putain, il n y avait pas d âmes sensibles, à cette époque. c était des vrais durs !
Invité- Invité
Re: Castrer ou mâle entier
ben oui ,on tuait les chatons en les jetant contre un mur !!
herve56- + membre techno +
- Messages : 5691
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 61
56 sud
Re: Castrer ou mâle entier
ou dans une fosse à purin, ou noyés dans un seau avec un couvercle, y'a même des femme qui accouchaient leurs enfant sur les chiottes et tiraient la chasse d'eau, c’était le bon temps ...
dgé- schtroumpf grognon du forum
- Messages : 43696
Date d'inscription : 10/09/2009
000
Re: Castrer ou mâle entier
encore fallait-il avoir des chiottes !!
herve56- + membre techno +
- Messages : 5691
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 61
56 sud
Re: Castrer ou mâle entier
Surtout avec la chasse d eauherve56 a écrit:encore fallait-il avoir des chiottes !!
Invité- Invité
Re: Castrer ou mâle entier
y'en avaient au fond du jardin, puis passé les années 50-60, elles étaient dans la maison par chez moiherve56 a écrit:encore fallait-il avoir des chiottes !!
dgé- schtroumpf grognon du forum
- Messages : 43696
Date d'inscription : 10/09/2009
000
Re: Castrer ou mâle entier
à l époque où on racontait des histoires belges, y en avait une.. les chiottes turques n ont pas été inventées par les turcs, mais par les belges.. les turcs n'ont ajouté que le trou...
C'est quand on se moquait des belges . c était avant
C'est quand on se moquait des belges . c était avant
Invité- Invité
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