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"la france baisse encore son froc"
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dgé
MICHMUCH
wild
M 201
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AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: politique générale , syndicalisme :: Politique européenne
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"la france baisse encore son froc"
une défaite de plus .......................
"Ca veut dire que c'est la fin": les pêcheurs français expriment jeudi leur colère après que la ministre de la Mer Annick Girardin a évoqué un plan d'indemnisation pour ceux qui ne pourraient plus travailler à cause du Brexit, vu par les professionnels comme la reconnaissance d'une "défaite" de la France.
Face aux difficultés pour obtenir des droits de pêche, notamment de la part des autorités de l'île anglo-normande de Jersey, Mme Girardin a annoncé jeudi matin la préparation de "plans de sortie de flotte" pour indemniser les pêcheurs dont les navires n'obtiendraient pas de licence et resteraient in fine à quai.
L'annonce a fait l'effet d'une bombe aux assises de la mer organisées à Saint-Pol-de-Léon (Finistère), où élus locaux et professionnels ont immédiatement rejeté l'hypothèse d'un "plan massif de destruction des bateaux" pendant que les négociations se poursuivent avec Londres.
Mais aussi dans les ports français dont l'activité dépend largement des eaux britanniques.
"La défaite elle était prévisible (...). C'est un fiasco", a réagi auprès de l'AFP Pascal Delacour, patron d'un chalutier de Granville (Manche), en face de Jersey. "La France a baissé son froc et a abandonné ses jeunes marins car c'est surtout eux qui n'ont pas de licences".
"La France baisse son froc", a lui aussi affirmé à l'AFP le président du comité des pêches des Côtes-d'Armor, Alain Coudray, pour qui "avec les Anglais (...) il ne faut pas lâcher d'un centimètre, il faut montrer les dents, sinon..."
Alors que la France a déjà revu à la baisse ses exigences, les professionnels ont le sentiment d'un renoncement.
"C'est d'une visibilité dont vous avez besoin. Je vais donc être franche avec vous, il nous faut nous préparer à ces pertes", leur a déclaré la ministre dans la matinée.
Elle a précisé qu'"une enveloppe de 40 à 60 millions d'euros" pourrait "être mise sur la table", abondée par des fonds européens destinés à accompagner les conséquences du Brexit, afin d'indemniser les pêcheurs dont les navires ne pourront pas être repris et finiront à la casse.
- "Le gouvernement baisse pavillon" -
"Le gouvernement est désarmé. Le plan de sortie de flotte, c'est le couperet. Ca veut dire que c'est la fin. (...) Le gouvernement baisse pavillon, alors qu'il avait promis des mesures de rétorsion", reproche le président du comité régional des pêches Hauts-de-France, Olivier Leprêtre.
Face au tollé, la ministre a passé une heure en fin de journée avec les professionnels. La "priorité du gouvernement est d'obtenir des licences", mais "cela n'empêche pas de prévoir l'avenir de la filière", y compris en indemnisant ceux qui resteraient à quai, a-t-elle insisté.
Elle a concédé que son discours du matin avait pu donner l'impression à certains que la France "baissait les bras", mais assuré qu'elle "continuerai(t) à (s)e battre au côté des pêcheurs pour que personne ne reste sur le bord de la route".
En vertu de l'accord de Brexit signé fin 2020 entre Londres et Bruxelles, les pêcheurs européens peuvent continuer à travailler dans les eaux britanniques à condition de pouvoir prouver qu'ils y pêchaient auparavant. Mais Français et Britanniques se disputent sur la nature et l'ampleur des justificatifs à fournir.
Dans les zones encore disputées, les gouvernements de Londres et des îles anglo-normandes ont accordé à ce jour près de 220 licences définitives. La France réclame encore quelque 150 licences (contre 170 il y a un mois), selon un décompte de l'AFP.
Mme Girardin a fait état d'avancées, notamment avec Guernesey, mais vigoureusement dénoncé l'attitude de l'île voisine, jugeant "évident que Jersey ne respecte pas l'accord Brexit".
Environ un quart des prises françaises (hors Méditerranée) en volume (environ 20% en valeur) proviennent des eaux britanniques, très poissonneuses.
Alors que des dizaines de licences provisoires expiraient fin septembre, la France avait durci le ton, annonçant des sanctions, notamment une interdiction de débarque pour les bateaux britanniques et des contrôles douaniers renforcés, si aucun progrès n'était fait.
La menace s'était finalement éloignée, notamment après la rencontre entre le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre britannique Boris Johnson, mais la crise tend à s'enliser.
"Ca veut dire que c'est la fin": les pêcheurs français expriment jeudi leur colère après que la ministre de la Mer Annick Girardin a évoqué un plan d'indemnisation pour ceux qui ne pourraient plus travailler à cause du Brexit, vu par les professionnels comme la reconnaissance d'une "défaite" de la France.
Face aux difficultés pour obtenir des droits de pêche, notamment de la part des autorités de l'île anglo-normande de Jersey, Mme Girardin a annoncé jeudi matin la préparation de "plans de sortie de flotte" pour indemniser les pêcheurs dont les navires n'obtiendraient pas de licence et resteraient in fine à quai.
L'annonce a fait l'effet d'une bombe aux assises de la mer organisées à Saint-Pol-de-Léon (Finistère), où élus locaux et professionnels ont immédiatement rejeté l'hypothèse d'un "plan massif de destruction des bateaux" pendant que les négociations se poursuivent avec Londres.
Mais aussi dans les ports français dont l'activité dépend largement des eaux britanniques.
"La défaite elle était prévisible (...). C'est un fiasco", a réagi auprès de l'AFP Pascal Delacour, patron d'un chalutier de Granville (Manche), en face de Jersey. "La France a baissé son froc et a abandonné ses jeunes marins car c'est surtout eux qui n'ont pas de licences".
"La France baisse son froc", a lui aussi affirmé à l'AFP le président du comité des pêches des Côtes-d'Armor, Alain Coudray, pour qui "avec les Anglais (...) il ne faut pas lâcher d'un centimètre, il faut montrer les dents, sinon..."
Alors que la France a déjà revu à la baisse ses exigences, les professionnels ont le sentiment d'un renoncement.
"C'est d'une visibilité dont vous avez besoin. Je vais donc être franche avec vous, il nous faut nous préparer à ces pertes", leur a déclaré la ministre dans la matinée.
Elle a précisé qu'"une enveloppe de 40 à 60 millions d'euros" pourrait "être mise sur la table", abondée par des fonds européens destinés à accompagner les conséquences du Brexit, afin d'indemniser les pêcheurs dont les navires ne pourront pas être repris et finiront à la casse.
- "Le gouvernement baisse pavillon" -
"Le gouvernement est désarmé. Le plan de sortie de flotte, c'est le couperet. Ca veut dire que c'est la fin. (...) Le gouvernement baisse pavillon, alors qu'il avait promis des mesures de rétorsion", reproche le président du comité régional des pêches Hauts-de-France, Olivier Leprêtre.
Face au tollé, la ministre a passé une heure en fin de journée avec les professionnels. La "priorité du gouvernement est d'obtenir des licences", mais "cela n'empêche pas de prévoir l'avenir de la filière", y compris en indemnisant ceux qui resteraient à quai, a-t-elle insisté.
Elle a concédé que son discours du matin avait pu donner l'impression à certains que la France "baissait les bras", mais assuré qu'elle "continuerai(t) à (s)e battre au côté des pêcheurs pour que personne ne reste sur le bord de la route".
En vertu de l'accord de Brexit signé fin 2020 entre Londres et Bruxelles, les pêcheurs européens peuvent continuer à travailler dans les eaux britanniques à condition de pouvoir prouver qu'ils y pêchaient auparavant. Mais Français et Britanniques se disputent sur la nature et l'ampleur des justificatifs à fournir.
Dans les zones encore disputées, les gouvernements de Londres et des îles anglo-normandes ont accordé à ce jour près de 220 licences définitives. La France réclame encore quelque 150 licences (contre 170 il y a un mois), selon un décompte de l'AFP.
Mme Girardin a fait état d'avancées, notamment avec Guernesey, mais vigoureusement dénoncé l'attitude de l'île voisine, jugeant "évident que Jersey ne respecte pas l'accord Brexit".
Environ un quart des prises françaises (hors Méditerranée) en volume (environ 20% en valeur) proviennent des eaux britanniques, très poissonneuses.
Alors que des dizaines de licences provisoires expiraient fin septembre, la France avait durci le ton, annonçant des sanctions, notamment une interdiction de débarque pour les bateaux britanniques et des contrôles douaniers renforcés, si aucun progrès n'était fait.
La menace s'était finalement éloignée, notamment après la rencontre entre le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre britannique Boris Johnson, mais la crise tend à s'enliser.
M 201- + membre techno +
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Date d'inscription : 04/04/2015
Age : 54
I & l
dgé aime ce message
Re: "la france baisse encore son froc"
Macron il y a 8 jours il allait casser la baraque
wild- + membre techno +
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B1 bis et cricky16 aiment ce message
Re: "la france baisse encore son froc"
pd comme un rosbif et c nous qui se faisons enculer
MICHMUCH- + membre techno +
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51 coteaux vitryat
dgé aime ce message
Re: "la france baisse encore son froc"
on ne veut plus d"entrepreneurs en france, rien à foutre du travail, les autre pays le feront pour nous...
dgé- schtroumpf grognon du forum
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Date d'inscription : 10/09/2009
000
loulou28 aime ce message
Re: "la france baisse encore son froc"
wild a écrit:Macron il y a 8 jours il allait casser la baraque
seulement les anglais défendent encore leur espace vital maritime et si il le faut bojo enverras la royal navy .
le paltoquet de l élysée est juste un beau parleur qui change de cap tout les semaines , il est ou le temps de la royale ou tout navire croisant un bateau de guerre français baissait pavillon .
B1 bis- + membre techno +
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Date d'inscription : 30/09/2020
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DUNOIS
Re: "la france baisse encore son froc"
barnier (futur présidentiable ) était aux commandes de la négo ......................
pas de négo , on leur refile tous les migrants .........................
pas de négo , on leur refile tous les migrants .........................
M 201- + membre techno +
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Date d'inscription : 04/04/2015
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I & l
wild et baloud aiment ce message
Re: "la france baisse encore son froc"
on a vraiment que des glanches pour nous représenter ...............
marins paysans , même combat !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
marins paysans , même combat !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
M 201- + membre techno +
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Date d'inscription : 04/04/2015
Age : 54
I & l
dgé aime ce message
Re: "la france baisse encore son froc"
si on pouvait faire pareil avec toute la classe politique pour moins de 1 milliards...
dgé- schtroumpf grognon du forum
- Messages : 43696
Date d'inscription : 10/09/2009
000
Re: "la france baisse encore son froc"
+1000M 201 a écrit:barnier (futur présidentiable ) était aux commandes de la négo ......................
pas de négo , on leur refile tous les migrants .........................
nonord- + membre techno +
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Date d'inscription : 11/09/2009
dunkerque est
Biketman du 47 aime ce message
Re: "la france baisse encore son froc"
Oui , curieusement on entend pas barnier ,
wild- + membre techno +
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Date d'inscription : 28/03/2010
Age : 63
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Re: "la france baisse encore son froc"
J espère que Zemour lui en mettra un petit coup comme il a l habitude de fairewild a écrit:Oui , curieusement on entend pas barnier ,
fergie62- + membre techno +
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Date d'inscription : 25/10/2011
Age : 41
Artesië
dgé aime ce message
Re: "la france baisse encore son froc"
oui hélasM 201 a écrit:on a vraiment que des glanches pour nous représenter ...............
marins paysans , même combat !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
par contre les pécheurs vendront chère leur peau .
les doryphores font la vie dures aux moulins jaunes
bzh centre- + Admin Crevette du forum +
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Date d'inscription : 10/09/2009
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dgé aime ce message
Re: "la france baisse encore son froc"
mais comme d'hab micron va faire un chèque ...........il a pris l'habitude de se faire ba..er par tous les pays anglophones !!!!
M 201- + membre techno +
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Date d'inscription : 04/04/2015
Age : 54
I & l
dgé aime ce message
Re: "la france baisse encore son froc"
Peut être qu’il aime ça
wild- + membre techno +
- Messages : 15594
Date d'inscription : 28/03/2010
Age : 63
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dgé aime ce message
AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: politique générale , syndicalisme :: Politique européenne
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