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Les merdias
Rappel du premier message :
Les médias évoquent...
Le prix du lait quand il baisse...
Le prix du blé quand il monte.
Les médias évoquent...
Le prix du lait quand il baisse...
Le prix du blé quand il monte.
Invité- Invité
Re: Les merdias
la yade j'en voudrais même pas dans mon lit..........les occasions a bout de souffle non merci
Invité- Invité
Re: Les merdias
paskal a écrit:la yade j'en voudrais même pas dans mon lit..........les occasions a bout de souffle non merci
Menteur !
leela- + membre techno +
- Messages : 2485
Date d'inscription : 02/08/2010
Age : 49
18
Re: Les merdias
sérieux, car j ai pu la voir en vraie c'te pintade de yade....franchement non merci.
Invité- Invité
Re: Les merdias
http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/29/979116-Hausse-du-prix-du-ble-une-annee-pain-benit.html
pour une fois un article pas trop merdiaque ...
pour une fois un article pas trop merdiaque ...
dugers- + membre techno +
- Messages : 3317
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 50
réfléchis bien
Re: Les merdias
" le blé se monnaye à prix d'or..."dugers a écrit:http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/29/979116-Hausse-du-prix-du-ble-une-annee-pain-benit.html
pour une fois un article pas trop merdiaque ...
Invité- Invité
Re: Les merdias
Cultilandes a écrit:Belpomme s'était illustré, notamment, en produisant un rapport sur une soit-disant catastrophe sanitaire due au chlordécone, après avoir passé moins d'une semaine en Martinique. Il avait ensuite dû se rétracter!
Alerte-environnement
belpomme est un écolo idéolo super engagé politiquement et il crie au feu sur tout ce qui rend l' agriculture économiquement viable
le nombre de faillites autour de moi concernant les exploitations "écologiquement correctes "me fait dire que nous avons affaire à des rouges déguisés en vert (le mélange des deux fait toujours du brun )
La technique des bolcheviques étant toujours la même depuis le début : mettre à mal l' écoonomie existante pour bâtir leur idéologie sur des ruines fumantes
ceux qui n'ont pas encore pigé le stratagème sont soit des demeurés , soit des adeptes du système
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: Les merdias
avec un nom pareil faut pas eplucher de trop ses arguments il va lui arriver des pepins
Invité- Invité
Re: Les merdias
PatogaZ a écrit:Cultilandes a écrit:Belpomme s'était illustré, notamment, en produisant un rapport sur une soit-disant catastrophe sanitaire due au chlordécone, après avoir passé moins d'une semaine en Martinique. Il avait ensuite dû se rétracter!
Alerte-environnement
belpomme est un écolo idéolo super engagé politiquement et il crie au feu sur tout ce qui rend l' agriculture économiquement viable
le nombre de faillites autour de moi concernant les exploitations "écologiquement correctes "me fait dire que nous avons affaire à des rouges déguisés en vert (le mélange des deux fait toujours du brun )
La technique des bolcheviques étant toujours la même depuis le début : mettre à mal l' écoonomie existante pour bâtir leur idéologie sur des ruines fumantes
ceux qui n'ont pas encore pigé le stratagème sont soit des demeurés , soit des adeptes du système
pour moi ils sont adepte de ce système et de cette idéologie nauséabonde.
Invité- Invité
Re: Les merdias
Et les baguettes?Béret vert a écrit:" le blé se monnaye à prix d'or..."dugers a écrit:http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/29/979116-Hausse-du-prix-du-ble-une-annee-pain-benit.htmlpour une fois un article pas trop merdiaque ...
De l'or en barre!
Invité- Invité
Re: Les merdias
ce qui ma le plus choquer dans l article de la depeche c est les 240 euros pour le prix du ble il faudra que je le montre a ma coop
fusa 32- + membre techno +
- Messages : 17707
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 62
gers 15 km d AUCH
Re: Les merdias
fusa 32 a écrit:ce qui ma le plus choquer dans l article de la depeche c est les 240 euros pour le prix du ble il faudra que je le montre a ma coop
oui là ils y vont un peu fort ;ce que j'ai retenu c'est qu'on parle du prix du blé entre 207 et 2009 et du prix du pain qui n'a pas baisé on l'a pas vus souvent écrit dans la presse grand public .
dugers- + membre techno +
- Messages : 3317
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 50
réfléchis bien
Re: Les merdias
Aveu tardif.
Jean Daniel, le grand éditorialiste du Nouvel Observateur lâche le morceau sur son blog :
« Depuis presque un demi-siècle, nous demandons que la France se prépare à accueillir une immigration sans commune mesure avec celles qui tout au long de notre histoire ont fait de notre pays, une nation.
Il fallait bien sûr que l’on préparât d’abord les Français au caractère inéluctable des flux migratoires qui proviendraient en grande partie des pays jadis colonisés. (…)
Cette ouverture sur l’autre, cette impatience de connaître les différences, cette familiarité avec l’étranger c’est probablement ce que nous avons fait de mieux dans nos colonnes et qui devra sans cesse être développé. (…)
Nous n'assistons à rien de moins qu'à la fin de l'arrogance occidentale. »
21.12.2010
LES VOEUX DE JEAN DANIEL
http://jean-daniel.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/12/21/les-voeux-de-jean-daniel.html
Jean Daniel, le grand éditorialiste du Nouvel Observateur lâche le morceau sur son blog :
« Depuis presque un demi-siècle, nous demandons que la France se prépare à accueillir une immigration sans commune mesure avec celles qui tout au long de notre histoire ont fait de notre pays, une nation.
Il fallait bien sûr que l’on préparât d’abord les Français au caractère inéluctable des flux migratoires qui proviendraient en grande partie des pays jadis colonisés. (…)
Cette ouverture sur l’autre, cette impatience de connaître les différences, cette familiarité avec l’étranger c’est probablement ce que nous avons fait de mieux dans nos colonnes et qui devra sans cesse être développé. (…)
Nous n'assistons à rien de moins qu'à la fin de l'arrogance occidentale. »
21.12.2010
LES VOEUX DE JEAN DANIEL
http://jean-daniel.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/12/21/les-voeux-de-jean-daniel.html
Invité- Invité
Re: Les merdias
Suite à la hausse du blé et sa "TERRIBLE" répercussion sur le porte-monnaie du consommateur,j'en viens à penser qu'on fait le seul métier ou l'on doit s'excuser de gagner sa vie,c'est usant à la fin!
Medard86- + membre techno +
- Messages : 4915
Date d'inscription : 27/07/2010
Age : 57
le pays de Rabelais
Re: Les merdias
le parti de munich ( les cons si ils savaient )Béret vert a écrit:Aveu tardif.
Jean Daniel, le grand éditorialiste du Nouvel Observateur lâche le morceau sur son blog :
« Depuis presque un demi-siècle, nous demandons que la France se prépare à accueillir une immigration sans commune mesure avec celles qui tout au long de notre histoire ont fait de notre pays, une nation.
Il fallait bien sûr que l’on préparât d’abord les Français au caractère inéluctable des flux migratoires qui proviendraient en grande partie des pays jadis colonisés. (…)
Cette ouverture sur l’autre, cette impatience de connaître les différences, cette familiarité avec l’étranger c’est probablement ce que nous avons fait de mieux dans nos colonnes et qui devra sans cesse être développé. (…)
Nous n'assistons à rien de moins qu'à la fin de l'arrogance occidentale. »
21.12.2010
LES VOEUX DE JEAN DANIEL
http://jean-daniel.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/12/21/les-voeux-de-jean-ledaniel.html
Invité- Invité
Re: Les merdias
Pour Jean Daniel, cette immigration est elle inéluctable et acceptée, ou souhaitée? Je crains que cette ambiguïté soit généralisée dans la classe politique et dans les élites gouvernementales, administratives et intellectuelles.Béret vert a écrit:Jean Daniel, le grand éditorialiste du Nouvel Observateur lâche le morceau sur son blog :
« Depuis presque un demi-siècle, nous demandons que la France se prépare à accueillir une immigration sans commune mesure avec celles qui tout au long de notre histoire ont fait de notre pays, une nation.
Il fallait bien sûr que l’on préparât d’abord les Français au caractère inéluctable des flux migratoires qui proviendraient en grande partie des pays jadis colonisés. (…)
Si on refuse l'immigration, il faut dire pourquoi, comment on s'y prend et prendre les moyens de l'arrêter, être capable d'assumer cette politique et la concilier avec notre devise républicaine française, à la fois libérale et sociale.
Si on accepte ou souhaite une immigration, il faut d'abord savoir si on veut la définir, en quantité et en qualité, et pourquoi. En ce cas, on doit assumer un tri quantitatif et surtout qualitatif.
Si on accepte ou souhaite une immigration par principe libre (droit d'aller et venir), sans contrôle ni restriction, on doit en assumer les conséquences: adapter la société (sa gouvernance) aux nouveaux arrivants et adapter les immigrés à notre société. Jean Daniel écrit aussi ceci:
"Depuis presque un demi-siècle, nous demandons que la France se prépare à accueillir une immigration sans commune mesure avec celles qui tout au long de notre histoire ont fait de notre pays, une nation." (...)
"Nous ne nous sommes jamais lassés de répéter que l'indignation contre la xénophobie, pour justifiée qu'elle fût, ne constituait pas une politique. Lorsqu'on redoute un mal, on doit essayer d'abord d'en éviter la contagion, et il est absurde de ne pas se préoccuper des conditions de son émergence comme si l'on se résignait à sa fatalité.
Que faire ? D'abord admettre que l'acceptation de la différence exige du temps pour être acceptée. Il faut de la patience et des égards pour en négocier une par une les étapes. Ensuite, il faut s'y prendre de manière à ne pas heurter de front les sensibilités et en évitant de susciter chez les uns des allergies refoulées, chez les autres une xénophobie brandie."
Jean Daniel est bien conscient des difficultés causées par cette immigration non maîtrisée, mais il ne prend en compte qu'un point de vue, purement intellectuel, "l'acceptation de la différence". D'abord, ce serait seulement aux anciens français à accepter les nouveaux venus! Ensuite, les nouveaux n'auraient pas à gommer (progressivement) leurs différences, à se fondre, en apportant leurs richesses culturelles non comme des différences mais comme une dot.
Surtout, Jean Daniel (il n'est pas le seul) ne voit pas qu'au-delà des problèmes culturels et cultuels, se pose le problème d'une société ankylosée, bloquée. Au nom de politiques sociales, sinon socialistes, au nom du progrès, progressivement, on a mis confortablement à l'abri une part grandissante de la population dans des statuts garantis: fonctionnaires, retraités, assistés, services privés payés par la Sécu, les collectivités publiques, les niches fiscales, les salariés en CDI des grandes entreprises protégés par le code du travail... Ni Jean Daniel ni nos élites, ni cette majorité de français protégés ne voient que cette France protégée ne peut respirer, vivre que grâce au peu de souplesse fournie par les travailleurs précaires. L'immigration en fournit.
Hélas, je crains que cette partie "souple" de notre économie, de notre société, ne soit déjà réduite à une trop faible proportion pour se renouveler. Et la France protégée se replie sur elle-même. Les généreux en pensée et en parole, par leurs attitudes, leur politique, leur défense d'acquits, repoussent les candidats à l'intégration.
Quand j'écris "candidats à l'intégration", je ne pense pas seulement aux immigrés ou enfants d'immigrés, mais aussi aux jeunes "bien de chez nous" qui souffrent tout autant des difficultés d'intégration.
La "familiarité avec l'étranger" est une question d'ouverture d'esprit. Par les voyages, les lectures, la télévision, les rencontres, le travail en commun, c'est évidemment une bonne chose. On suppose que tous les participants à ce forum sont plus ou moins "familiers de la familiarité"!Cette ouverture sur l’autre, cette impatience de connaître les différences, cette familiarité avec l’étranger c’est probablement ce que nous avons fait de mieux dans nos colonnes et qui devra sans cesse être développé. (…)
Nous n'assistons à rien de moins qu'à la fin de l'arrogance occidentale. »
La fin de l'arrogance occidentale ne m'émeut pas, à condition que ce ne soit pas le début de la repentance ou de la soumission.
La fin de l'éditorial de Jean Daniel, en mettant toutes les fautes sur le dos des droites, ne signe pas la fin de l'arrogance de la gauche intellectuelle!
Invité- Invité
Re: Les merdias
Cultilandes a écrit:Pour Jean Daniel, cette immigration est elle inéluctable et acceptée, ou souhaitée? Je crains que cette ambiguïté soit généralisée dans la classe politique et dans les élites gouvernementales, administratives et intellectuelles.Béret vert a écrit:Jean Daniel, le grand éditorialiste du Nouvel Observateur lâche le morceau sur son blog :
« Depuis presque un demi-siècle, nous demandons que la France se prépare à accueillir une immigration sans commune mesure avec celles qui tout au long de notre histoire ont fait de notre pays, une nation.
Il fallait bien sûr que l’on préparât d’abord les Français au caractère inéluctable des flux migratoires qui proviendraient en grande partie des pays jadis colonisés. (…)
Si on refuse l'immigration, il faut dire pourquoi, comment on s'y prend et prendre les moyens de l'arrêter, être capable d'assumer cette politique et la concilier avec notre devise républicaine française, à la fois libérale et sociale.
Si on accepte ou souhaite une immigration, il faut d'abord savoir si on veut la définir, en quantité et en qualité, et pourquoi. En ce cas, on doit assumer un tri quantitatif et surtout qualitatif.
Si on accepte ou souhaite une immigration par principe libre (droit d'aller et venir), sans contrôle ni restriction, on doit en assumer les conséquences: adapter la société (sa gouvernance) aux nouveaux arrivants et adapter les immigrés à notre société. Jean Daniel écrit aussi ceci:
"Depuis presque un demi-siècle, nous demandons que la France se prépare à accueillir une immigration sans commune mesure avec celles qui tout au long de notre histoire ont fait de notre pays, une nation." (...)
"Nous ne nous sommes jamais lassés de répéter que l'indignation contre la xénophobie, pour justifiée qu'elle fût, ne constituait pas une politique. Lorsqu'on redoute un mal, on doit essayer d'abord d'en éviter la contagion, et il est absurde de ne pas se préoccuper des conditions de son émergence comme si l'on se résignait à sa fatalité.
Que faire ? D'abord admettre que l'acceptation de la différence exige du temps pour être acceptée. Il faut de la patience et des égards pour en négocier une par une les étapes. Ensuite, il faut s'y prendre de manière à ne pas heurter de front les sensibilités et en évitant de susciter chez les uns des allergies refoulées, chez les autres une xénophobie brandie."
Jean Daniel est bien conscient des difficultés causées par cette immigration non maîtrisée, mais il ne prend en compte qu'un point de vue, purement intellectuel, "l'acceptation de la différence". D'abord, ce serait seulement aux anciens français à accepter les nouveaux venus! Ensuite, les nouveaux n'auraient pas à gommer (progressivement) leurs différences, à se fondre, en apportant leurs richesses culturelles non comme des différences mais comme une dot.
Surtout, Jean Daniel (il n'est pas le seul) ne voit pas qu'au-delà des problèmes culturels et cultuels, se pose le problème d'une société ankylosée, bloquée. Au nom de politiques sociales, sinon socialistes, au nom du progrès, progressivement, on a mis confortablement à l'abri une part grandissante de la population dans des statuts garantis: fonctionnaires, retraités, assistés, services privés payés par la Sécu, les collectivités publiques, les niches fiscales, les salariés en CDI des grandes entreprises protégés par le code du travail... Ni Jean Daniel ni nos élites, ni cette majorité de français protégés ne voient que cette France protégée ne peut respirer, vivre que grâce au peu de souplesse fournie par les travailleurs précaires. L'immigration en fournit.
Hélas, je crains que cette partie "souple" de notre économie, de notre société, ne soit déjà réduite à une trop faible proportion pour se renouveler. Et la France protégée se replie sur elle-même. Les généreux en pensée et en parole, par leurs attitudes, leur politique, leur défense d'acquits, repoussent les candidats à l'intégration.
Quand j'écris "candidats à l'intégration", je ne pense pas seulement aux immigrés ou enfants d'immigrés, mais aussi aux jeunes "bien de chez nous" qui souffrent tout autant des difficultés d'intégration.La "familiarité avec l'étranger" est une question d'ouverture d'esprit. Par les voyages, les lectures, la télévision, les rencontres, le travail en commun, c'est évidemment une bonne chose. On suppose que tous les participants à ce forum sont plus ou moins "familiers de la familiarité"!Cette ouverture sur l’autre, cette impatience de connaître les différences, cette familiarité avec l’étranger c’est probablement ce que nous avons fait de mieux dans nos colonnes et qui devra sans cesse être développé. (…)
Nous n'assistons à rien de moins qu'à la fin de l'arrogance occidentale. »
La fin de l'arrogance occidentale ne m'émeut pas, à condition que ce ne soit pas le début de la repentance ou de la soumission.
La fin de l'éditorial de Jean Daniel, en mettant toutes les fautes sur le dos des droites, ne signe pas la fin de l'arrogance de la gauche intellectuelle!
En gros, on veut bien des produits pas cher fabriqués par des étrangers mais pas qu'ils viennent chez nous.
Le libre échange pour les produits mais pas pour ceux qui les fabriquent.
Ils y en a qui font des murs du coté du Mexique pour séparer le Sud du Nord.
GL- + membre techno +
- Messages : 24947
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 110
Assis
Re: Les merdias
GL, vous n'avez pas compris: Daniel ne dit pas ça de tout.
Cultilandes, ce n'est pas une question de socialistes racornis d'un côté et de libéraux ouverts de l'autre. Trop simpliste.
Jean Daniel est représentatif de ces intellectuels qui détestent le concept de nationalité, pour ne pas dire plus.
Bien entendu, lorsqu'il s'agit d'Israël, il fera une petite différence, puisqu'en tant que Juif imprégné du message biblique il estime faire parti du peuple élu et à ce titre Israël occupe une place toute spéciale dans son coeur.
Avant de continuer je tiens à préciser que considérer,comme il le fait, qu'un jour les nations seront à ranger au rayon des antiquités ne me choque en aucune manière.
Simplement, à prôner l'économie nomade ( vous naissez ici, étudiez là et travailler encore ailleurs ), alors que la plupart des immigrés sur notre sol n'ont rien de nomades mais s'enracinent dans nos banlieues sur un mode tribal, me fait dire que Daniel est un intello complèrtement déconnecté de la réalité.
Que lui ou d'autres comme Attali, BHL soient des libéraux qui jurent être de Gauche n'a rien de contradictoire:
Ils sont de gauche car rejettent la notion de racines, de terre, de patrie... sources de conflits et de guerres.
« Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref, franchouilard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux. » BHL
Pour eux, l'argent remplace la guerre pour régler les conflits: c'est une loi juive: lisez le PENTATEUQUE ( ou plutôt des exegèses car c'est du très lourd ) et vous comprendrez tout.
Vous comprendrez leur projet de gouvernement mondial, point.
Vous comprendrez qu'il ne faut pas opposer, comme vous le faîtes, libéralisme et socialisme: les deux sont consubstanciels, point. C'est déjà dans le Talmud.
Vous comprendrez que l'histoire du Judaïsme et l'histoire du capitalisme sont la même chose.
REMPLACER LA GUERRE PAR L'ARGENT.
N'oubliez pas que la noblesse européenne a fait sa richesse sur la terre ( en exploitant les paysans) et la guerre ( conquêtes ). Idem pour les Musulmans, sauf que ceux-ci sont plus nuls il faut le dire.
Bien entendu, on peut être Juif et patriote comme on peut être d'origine basque ou pakistanaise et aimer la France: tout dépendra des circonstances.
Mais on ne change pas la nature des gens, il faut des siècles voire des millénaires, et encore.
jean Daniel va un peu trop vite en besogne dans sa hâte à détruire les nations.
Regardez ma signature: ce n'est pas un gag, c'est la foi d'Attali dans le nomadisme qui s'y exprime.
Cultilandes, ce n'est pas une question de socialistes racornis d'un côté et de libéraux ouverts de l'autre. Trop simpliste.
Jean Daniel est représentatif de ces intellectuels qui détestent le concept de nationalité, pour ne pas dire plus.
Bien entendu, lorsqu'il s'agit d'Israël, il fera une petite différence, puisqu'en tant que Juif imprégné du message biblique il estime faire parti du peuple élu et à ce titre Israël occupe une place toute spéciale dans son coeur.
Avant de continuer je tiens à préciser que considérer,comme il le fait, qu'un jour les nations seront à ranger au rayon des antiquités ne me choque en aucune manière.
Simplement, à prôner l'économie nomade ( vous naissez ici, étudiez là et travailler encore ailleurs ), alors que la plupart des immigrés sur notre sol n'ont rien de nomades mais s'enracinent dans nos banlieues sur un mode tribal, me fait dire que Daniel est un intello complèrtement déconnecté de la réalité.
Que lui ou d'autres comme Attali, BHL soient des libéraux qui jurent être de Gauche n'a rien de contradictoire:
Ils sont de gauche car rejettent la notion de racines, de terre, de patrie... sources de conflits et de guerres.
« Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref, franchouilard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux. » BHL
Pour eux, l'argent remplace la guerre pour régler les conflits: c'est une loi juive: lisez le PENTATEUQUE ( ou plutôt des exegèses car c'est du très lourd ) et vous comprendrez tout.
Vous comprendrez leur projet de gouvernement mondial, point.
Vous comprendrez qu'il ne faut pas opposer, comme vous le faîtes, libéralisme et socialisme: les deux sont consubstanciels, point. C'est déjà dans le Talmud.
Vous comprendrez que l'histoire du Judaïsme et l'histoire du capitalisme sont la même chose.
REMPLACER LA GUERRE PAR L'ARGENT.
N'oubliez pas que la noblesse européenne a fait sa richesse sur la terre ( en exploitant les paysans) et la guerre ( conquêtes ). Idem pour les Musulmans, sauf que ceux-ci sont plus nuls il faut le dire.
Bien entendu, on peut être Juif et patriote comme on peut être d'origine basque ou pakistanaise et aimer la France: tout dépendra des circonstances.
Mais on ne change pas la nature des gens, il faut des siècles voire des millénaires, et encore.
jean Daniel va un peu trop vite en besogne dans sa hâte à détruire les nations.
Regardez ma signature: ce n'est pas un gag, c'est la foi d'Attali dans le nomadisme qui s'y exprime.
Dernière édition par Béret vert le Ven 31 Déc 2010 - 17:36, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Les merdias
Si les règles du commerce sont appliquées, les matières s'échangent, les gens restent chez eux, quelles raisons auraient-ils de vouloir venir chez nous et inversement !GL a écrit:Cultilandes a écrit:Pour Jean Daniel, cette immigration est elle inéluctable et acceptée, ou souhaitée? Je crains que cette ambiguïté soit généralisée dans la classe politique et dans les élites gouvernementales, administratives et intellectuelles.Béret vert a écrit:Jean Daniel, le grand éditorialiste du Nouvel Observateur lâche le morceau sur son blog :
« Depuis presque un demi-siècle, nous demandons que la France se prépare à accueillir une immigration sans commune mesure avec celles qui tout au long de notre histoire ont fait de notre pays, une nation.
Il fallait bien sûr que l’on préparât d’abord les Français au caractère inéluctable des flux migratoires qui proviendraient en grande partie des pays jadis colonisés. (…)
Si on refuse l'immigration, il faut dire pourquoi, comment on s'y prend et prendre les moyens de l'arrêter, être capable d'assumer cette politique et la concilier avec notre devise républicaine française, à la fois libérale et sociale.
Si on accepte ou souhaite une immigration, il faut d'abord savoir si on veut la définir, en quantité et en qualité, et pourquoi. En ce cas, on doit assumer un tri quantitatif et surtout qualitatif.
Si on accepte ou souhaite une immigration par principe libre (droit d'aller et venir), sans contrôle ni restriction, on doit en assumer les conséquences: adapter la société (sa gouvernance) aux nouveaux arrivants et adapter les immigrés à notre société. Jean Daniel écrit aussi ceci:
"Depuis presque un demi-siècle, nous demandons que la France se prépare à accueillir une immigration sans commune mesure avec celles qui tout au long de notre histoire ont fait de notre pays, une nation." (...)
"Nous ne nous sommes jamais lassés de répéter que l'indignation contre la xénophobie, pour justifiée qu'elle fût, ne constituait pas une politique. Lorsqu'on redoute un mal, on doit essayer d'abord d'en éviter la contagion, et il est absurde de ne pas se préoccuper des conditions de son émergence comme si l'on se résignait à sa fatalité.
Que faire ? D'abord admettre que l'acceptation de la différence exige du temps pour être acceptée. Il faut de la patience et des égards pour en négocier une par une les étapes. Ensuite, il faut s'y prendre de manière à ne pas heurter de front les sensibilités et en évitant de susciter chez les uns des allergies refoulées, chez les autres une xénophobie brandie."
Jean Daniel est bien conscient des difficultés causées par cette immigration non maîtrisée, mais il ne prend en compte qu'un point de vue, purement intellectuel, "l'acceptation de la différence". D'abord, ce serait seulement aux anciens français à accepter les nouveaux venus! Ensuite, les nouveaux n'auraient pas à gommer (progressivement) leurs différences, à se fondre, en apportant leurs richesses culturelles non comme des différences mais comme une dot.
Surtout, Jean Daniel (il n'est pas le seul) ne voit pas qu'au-delà des problèmes culturels et cultuels, se pose le problème d'une société ankylosée, bloquée. Au nom de politiques sociales, sinon socialistes, au nom du progrès, progressivement, on a mis confortablement à l'abri une part grandissante de la population dans des statuts garantis: fonctionnaires, retraités, assistés, services privés payés par la Sécu, les collectivités publiques, les niches fiscales, les salariés en CDI des grandes entreprises protégés par le code du travail... Ni Jean Daniel ni nos élites, ni cette majorité de français protégés ne voient que cette France protégée ne peut respirer, vivre que grâce au peu de souplesse fournie par les travailleurs précaires. L'immigration en fournit.
Hélas, je crains que cette partie "souple" de notre économie, de notre société, ne soit déjà réduite à une trop faible proportion pour se renouveler. Et la France protégée se replie sur elle-même. Les généreux en pensée et en parole, par leurs attitudes, leur politique, leur défense d'acquits, repoussent les candidats à l'intégration.
Quand j'écris "candidats à l'intégration", je ne pense pas seulement aux immigrés ou enfants d'immigrés, mais aussi aux jeunes "bien de chez nous" qui souffrent tout autant des difficultés d'intégration.La "familiarité avec l'étranger" est une question d'ouverture d'esprit. Par les voyages, les lectures, la télévision, les rencontres, le travail en commun, c'est évidemment une bonne chose. On suppose que tous les participants à ce forum sont plus ou moins "familiers de la familiarité"!Cette ouverture sur l’autre, cette impatience de connaître les différences, cette familiarité avec l’étranger c’est probablement ce que nous avons fait de mieux dans nos colonnes et qui devra sans cesse être développé. (…)
Nous n'assistons à rien de moins qu'à la fin de l'arrogance occidentale. »
La fin de l'arrogance occidentale ne m'émeut pas, à condition que ce ne soit pas le début de la repentance ou de la soumission.
La fin de l'éditorial de Jean Daniel, en mettant toutes les fautes sur le dos des droites, ne signe pas la fin de l'arrogance de la gauche intellectuelle!En gros, on veut bien des produits pas cher fabriqués par des étrangers mais pas qu'ils viennent chez nous.
Le libre échange pour les produits mais pas pour ceux qui les fabriquent.
Ils y en a qui font des murs du coté du Mexique pour séparer le Sud du Nord.
Invité- Invité
Re: Les merdias
Les USA ne voudraient pas non plus de certains produits: les drogues.GL a écrit:En gros, on veut bien des produits pas cher fabriqués par des étrangers mais pas qu'ils viennent chez nous.
Le libre échange pour les produits mais pas pour ceux qui les fabriquent.
Ils y en a qui font des murs du coté du Mexique pour séparer le Sud du Nord.
D'une manière générale "on veut bien des produits pas cher fabriqués par des étrangers", mais pas des produits que l'on fabrique soi-même!
On veut la concurrence en tant que consommateur, mais on ne la veut pas en tant que producteur, voire en tant que consommateur de protection sociale publique...
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Re: Les merdias
Des raisons multiples, voyons !!! Liberté des capitaux à circuler = Liberté des marchandise à circuler = liberté des gens à circuler !Cultilandes répondant à GL a écrit:Si les règles du commerce sont appliquées, les matières s'échangent, les gens restent chez eux, quelles raisons auraient-ils de vouloir venir chez nous et inversement !
Lisez mon post précédent !
Dernière édition par Béret vert le Ven 31 Déc 2010 - 17:42, édité 1 fois
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Re: Les merdias
Cultilandes a écrit:Les USA ne voudraient pas non plus de certains produits: les drogues.GL a écrit:En gros, on veut bien des produits pas cher fabriqués par des étrangers mais pas qu'ils viennent chez nous.
Le libre échange pour les produits mais pas pour ceux qui les fabriquent.
Ils y en a qui font des murs du coté du Mexique pour séparer le Sud du Nord.
D'une manière générale "on veut bien des produits pas cher fabriqués par des étrangers", mais pas des produits que l'on fabrique soi-même!
On veut la concurrence en tant que consommateur, mais on ne la veut pas en tant que producteur, voire en tant que consommateur de protection sociale publique...
le gros problème , c' est que pour cause de salaires et charges trop élevés , il ne va plus rien avoir de produit en France , tout ce qui est délocalisable est délocalisé , à part la haute technologie , le luxe et haut de gamme et l' agriculture qui par définition ne peut être délocalisée
Le drame , c' est qu'on reste avec le social à administrer , qui va payer ?????
la valeur ajoutée délocalisée ne génère plus d' impôts et de prélèvements sociaux , on va se trouver avec des dépenses et plus de recettes , à terme , c' est le clash !!!!
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
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Re: Les merdias
Si les règles du commerce libre, sans frein, sans distorsion de concurrence, dumping...pinocio a écrit:Si les règles du commerce sont appliquées, les matières s'échangent, les gens restent chez eux, quelles raisons auraient-ils de vouloir venir chez nous et inversement !
Les migrations, qu'elles soient à motif économique ou politique, vont vers les démocraties libérales.
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Re: Les merdias
Non, c'est GL qui répond à Cultilandes!Béret vert a écrit:Cultilandes répondant à GL a écrit:Si les règles du commerce sont appliquées, les matières s'échangent, les gens restent chez eux, quelles raisons auraient-ils de vouloir venir chez nous et inversement !
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Re: Les merdias
Non ,c'est moi même qui répond à GL !! J'ai omis de préciser, quand j'écris: "quelles raisons auraient-ils de venir chez nous...etc",qu'ils viennent s'installer pour se servir au rayon social et non pour produire de la richesse ici .Cultilandes a écrit:Non, c'est GL qui répond à Cultilandes!Béret vert a écrit:Cultilandes répondant à GL a écrit:Si les règles du commerce sont appliquées, les matières s'échangent, les gens restent chez eux, quelles raisons auraient-ils de vouloir venir chez nous et inversement !
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Re: Les merdias
De toutes façons, la plupart sont trop cons pour produire de la richesse, ici ou bien ailleurs...
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Re: Les merdias
C'est pourquoi vous voulez une protection accrue aux frontières... à l'extrême une fermeture, pour les marchandises et pour les migrants.PatogaZ a écrit:le gros problème , c' est que pour cause de salaires et charges trop élevés , il ne va plus rien avoir de produit en France , tout ce qui est délocalisable est délocalisé , à part la haute technologie , le luxe et haut de gamme et l' agriculture qui par définition ne peut être délocaliséeCultilandes a écrit:Les USA ne voudraient pas non plus de certains produits: les drogues.GL a écrit:En gros, on veut bien des produits pas cher fabriqués par des étrangers mais pas qu'ils viennent chez nous.
Le libre échange pour les produits mais pas pour ceux qui les fabriquent.
Ils y en a qui font des murs du coté du Mexique pour séparer le Sud du Nord.
D'une manière générale "on veut bien des produits pas cher fabriqués par des étrangers", mais pas des produits que l'on fabrique soi-même!
On veut la concurrence en tant que consommateur, mais on ne la veut pas en tant que producteur, voire en tant que consommateur de protection sociale publique...
Le drame , c' est qu'on reste avec le social à administrer , qui va payer ?????
la valeur ajoutée délocalisée ne génère plus d' impôts et de prélèvements sociaux , on va se trouver avec des dépenses et plus de recettes , à terme , c' est le clash !!!!
Allons au bout du raisonnement, jusqu'à la caricature.
Vous vivez en autarcie sur votre ferme: vous n'allez pas dépenser vos sous au supermarché puisque vous n'en avez pas, vous n'avez d'ailleurs que vos pieds pour marcher dans les sabots que vous avez vous-même fabriqué. Pas de risque de clash économique? Si ! Si vous consommez plus que vous ne produisez, il ne vous reste plus de semence ou de reproducteurs l'année suivante, vous finissez par crever de faim.
Ceci pour vous montrer que si vous faites le bon diagnostic, la solution que vous semblez privilégier, protection contre les importations, n'est pas la bonne. C'est celle qui vous semble la plus évidente en tant que syndicaliste face à une population et des gouvernements socialistes (de gauche et de droite), mais la solution, donc le combat doit être politique, pour redresser la barre, renoncer à cette dérive économique et sociale qui nous fait dépenser plus que nous ne produisons.
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Re: Les merdias
César a récupéré son dû!pinocio a écrit:Non ,c'est moi même qui répond à GL !! J'ai omis de préciser, quand j'écris: "quelles raisons auraient-ils de venir chez nous...etc",qu'ils viennent s'installer pour se servir au rayon social et non pour produire de la richesse ici .Cultilandes a écrit:Non, c'est GL qui répond à Cultilandes!Béret vert a écrit:Cultilandes répondant à GL a écrit:Si les règles du commerce sont appliquées, les matières s'échangent, les gens restent chez eux, quelles raisons auraient-ils de vouloir venir chez nous et inversement !
J'aime bien le "rayon social"!
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Re: Les merdias
Vous lisez trop vite et répondez trop précipitemment et de façon caricaturale, Cultilandes.
Je ne lis pas la même chose que vous dans les propos de PatogaZ... en c'est ce qui me semble.
Je ne lis pas la même chose que vous dans les propos de PatogaZ... en c'est ce qui me semble.
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Re: Les merdias
- Je lui ai donné quitus pour son diagnostic.Béret vert a écrit:Vous lisez trop vite et répondez trop précipitemment et de façon caricaturale, Cultilandes.
Je ne lis pas la même chose que vous dans les propos de PatogaZ... en c'est ce qui me semble.
- Il écrit ici que l'agriculture n'est pas délocalisable, mais par ailleurs, dans son engagement syndical il entend lutter contre l'excessif coût social français, non pas en le maîtrisant, mais en le faisant payer par les importations. C'est à cela que je réponds.
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Re: Les merdias
"non pas en le maïtrisant"
Si: il veut remettre les chômeurs au travail, et juguler l'immigration de guichet.
Si: il veut remettre les chômeurs au travail, et juguler l'immigration de guichet.
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Re: Les merdias
Cultilandes a écrit:C'est pourquoi vous voulez une protection accrue aux frontières... à l'extrême une fermeture, pour les marchandises et pour les migrants.PatogaZ a écrit:le gros problème , c' est que pour cause de salaires et charges trop élevés , il ne va plus rien avoir de produit en France , tout ce qui est délocalisable est délocalisé , à part la haute technologie , le luxe et haut de gamme et l' agriculture qui par définition ne peut être délocaliséeCultilandes a écrit:Les USA ne voudraient pas non plus de certains produits: les drogues.GL a écrit:En gros, on veut bien des produits pas cher fabriqués par des étrangers mais pas qu'ils viennent chez nous.
Le libre échange pour les produits mais pas pour ceux qui les fabriquent.
Ils y en a qui font des murs du coté du Mexique pour séparer le Sud du Nord.
D'une manière générale "on veut bien des produits pas cher fabriqués par des étrangers", mais pas des produits que l'on fabrique soi-même!
On veut la concurrence en tant que consommateur, mais on ne la veut pas en tant que producteur, voire en tant que consommateur de protection sociale publique...
Le drame , c' est qu'on reste avec le social à administrer , qui va payer ?????
la valeur ajoutée délocalisée ne génère plus d' impôts et de prélèvements sociaux , on va se trouver avec des dépenses et plus de recettes , à terme , c' est le clash !!!!
Allons au bout du raisonnement, jusqu'à la caricature.
Vous vivez en autarcie sur votre ferme: vous n'allez pas dépenser vos sous au supermarché puisque vous n'en avez pas, vous n'avez d'ailleurs que vos pieds pour marcher dans les sabots que vous avez vous-même fabriqué. Pas de risque de clash économique? Si ! Si vous consommez plus que vous ne produisez, il ne vous reste plus de semence ou de reproducteurs l'année suivante, vous finissez par crever de faim.
Ceci pour vous montrer que si vous faites le bon diagnostic, la solution que vous semblez privilégier, protection contre les importations, n'est pas la bonne. C'est celle qui vous semble la plus évidente en tant que syndicaliste face à une population et des gouvernements socialistes (de gauche et de droite), mais la solution, donc le combat doit être politique, pour redresser la barre, renoncer à cette dérive économique et sociale qui nous fait dépenser plus que nous ne produisons.
où avez vous lu que je voulais une protection contre les importations ???? j' ai simplement dénoncé une fois l' afflux massif de productions non tracées consécutivement à l' abaissement des droits de douane européens , ce qui voulait simplement dire que nous avions une concurrence de nos produits tracés et normés par des productions dépourvues de ces garanties qui entrent désormais à foison
le problème de l' ultra libéralisation repose dans le fait que nous avons des charges découlant de notre système de protection , ainsi que du niveau de vie local , ainsi que des normes à respecter , et que nous devons entrer en concurrence avec des produits issus de pays à bas coûts de MO et dépourvus de normes , traçabilité et protections sociales
ceci représente le drame des sociétés évoluées qui se voient en distorsion de coût de production par rapport aux pays en voie de développement
je pose le problème , je n' y apporte pas de voies de solutions , et d' ailleurs , je pense qu'il n' y a pas d' autre voie de règlement de ce problème autre que d' abaisser les salaires et la couverture sociale de ces pays , faute de quoi , ce sera la fin du système
ça , ce sera l' un des méfaits de l' europe qui ne cesse de s' étendre , que d' avoir un jour à instaurer un smic européen , qu'on peut d' ores et déjà chiffrer à environ 500 € par mois et qui représentera la moyenne des revenus de l' europe , permettant ainsi de gommer les distorsions causes de délocalisations des entreprises qui vont au coût le plus bas
le malheur de ce système , c' est qu'il fait la promotion des moins disant en terme de salaires et de charges sociales , donc c' est un système pernicieux qui ne fait que du nivellement par le bas
on verra bientôt les avis des différents syndicats quand ils vont se rendre compte des dégâts (remarquez que dans le fond , ce n' est que l' application pratique d'une leçon de socialisme appliqué où on prend aux riches pour donner aux pauvres , sauf que les socialistes allemands , belges , néerlandais et français ne vont pas aimer du tout la séance de travaux pratiques )
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Re: Les merdias
J'aurais pu rajouter l'accueil et le service après vente également...Cultilandes a écrit:César a récupéré son dû!pinocio a écrit:Non ,c'est moi même qui répond à GL !! J'ai omis de préciser, quand j'écris: "quelles raisons auraient-ils de venir chez nous...etc",qu'ils viennent s'installer pour se servir au rayon social et non pour produire de la richesse ici .Cultilandes a écrit:Non, c'est GL qui répond à Cultilandes!Béret vert a écrit:Cultilandes répondant à GL a écrit:Si les règles du commerce sont appliquées, les matières s'échangent, les gens restent chez eux, quelles raisons auraient-ils de vouloir venir chez nous et inversement !J'aime bien le "rayon social"!
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Re: Les merdias
Les merdias se dépassent actuellement.
Samedi soir Claire Chacal, pour ne pas déroger à ce qui est la règle depuis une semaine, a consacré "son" journal aux évènements politiques en Tunisie de 20h00 à 20h25... laissant la portion congrue au Médiator, au Liban, au Niger, à la grippe et aux grèves, à la Côte-d'Ivoire et au congrès du FN, et à tout ce qu'on ne vous dira jamais.
Enfin grâce à elle et ses confrères, nous connaissons la position de Ségolène Royal sur le sujet: notre conseillère régionale préférée est prête à faire don de son corps à la Tunisie en s'offrant en "garantie" du bon déroulement des élections à venir.
Une semaine de révolution "jasmin" en Tunisie, voilà donc de quoi plonger nos télé-potiches dans un concours de bisounourserie qui dépasse l'entendement: "exit" la centaine de mort, il ne faut surtout pas donner une mauvaise image de nos zamis franco-tunisiens.
Je ne sais si vous avez remarqué mais le seul et unique cadavre est de "nationalité" Franco-Tunisienne. Il y a aussi comme une épidémie de Franco-Tunisiens sur les plateaux télé en ce moment, un vrai défilé, on se croirait déjà parti pour la campagne présidentielle 2012.
Pour être Franco-Tunisien c'est pas difficile: si vous êtes nés à Hammamet et que vous êtes chômeur ou épicier, c'est bon, on vous donnera la double nationalité.
Qu'importe qu'il n'existe pas de Suédo-Pakistanais, que les Algéro-Marocains ne courent pas les rues, ni les Germano-Zimbabwéens, et que vous ne risquerez jamais de rencontrer un Turco-machin ou un Polono-truc, tout le monde il peut devenir Franco-Tunisien.
Samedi soir Claire Chacal, pour ne pas déroger à ce qui est la règle depuis une semaine, a consacré "son" journal aux évènements politiques en Tunisie de 20h00 à 20h25... laissant la portion congrue au Médiator, au Liban, au Niger, à la grippe et aux grèves, à la Côte-d'Ivoire et au congrès du FN, et à tout ce qu'on ne vous dira jamais.
Enfin grâce à elle et ses confrères, nous connaissons la position de Ségolène Royal sur le sujet: notre conseillère régionale préférée est prête à faire don de son corps à la Tunisie en s'offrant en "garantie" du bon déroulement des élections à venir.
Une semaine de révolution "jasmin" en Tunisie, voilà donc de quoi plonger nos télé-potiches dans un concours de bisounourserie qui dépasse l'entendement: "exit" la centaine de mort, il ne faut surtout pas donner une mauvaise image de nos zamis franco-tunisiens.
Je ne sais si vous avez remarqué mais le seul et unique cadavre est de "nationalité" Franco-Tunisienne. Il y a aussi comme une épidémie de Franco-Tunisiens sur les plateaux télé en ce moment, un vrai défilé, on se croirait déjà parti pour la campagne présidentielle 2012.
Pour être Franco-Tunisien c'est pas difficile: si vous êtes nés à Hammamet et que vous êtes chômeur ou épicier, c'est bon, on vous donnera la double nationalité.
Qu'importe qu'il n'existe pas de Suédo-Pakistanais, que les Algéro-Marocains ne courent pas les rues, ni les Germano-Zimbabwéens, et que vous ne risquerez jamais de rencontrer un Turco-machin ou un Polono-truc, tout le monde il peut devenir Franco-Tunisien.
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Re: Les merdias
Si on remonte de quelques mois seulement en arrière, pour un politicien, passer ses vacances en Tunisie ou bien visiter les Pyramides à Louxor faisait "peuple" aux yeux de la presse et de l'opinion. Bien plus positif en terme d'image que d’être invité chez George Bush ou par les méchants chinois de Pékin..
Mais en s’attaquant depuis à MAM et Fillon la presse a choisi, comme pour s'amender de n'avoir rien vu venir des évènements sociaux au Maghreb, de trouver que dorénavant une simple petite excursion entre deux villes tunisiennes dans un avion d'une compagnie dont le cousin du beau-frère de la femme de Ben Ali possède 3% du capital est un motif de démission immédiate et sans délais pour un ministre français pris en flagrant délit.
Les merdias feraient mieux de parler des problèmes qui nous préoccupent, et les socialistes se tairent.
Mais en s’attaquant depuis à MAM et Fillon la presse a choisi, comme pour s'amender de n'avoir rien vu venir des évènements sociaux au Maghreb, de trouver que dorénavant une simple petite excursion entre deux villes tunisiennes dans un avion d'une compagnie dont le cousin du beau-frère de la femme de Ben Ali possède 3% du capital est un motif de démission immédiate et sans délais pour un ministre français pris en flagrant délit.
Les merdias feraient mieux de parler des problèmes qui nous préoccupent, et les socialistes se tairent.
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Re: Les merdias
Euuuuuuuuuuuuuh !!! Bonjour à tous. Béret vert, le bateau de Bolloré (2007), ça commence à dater. Le conflit d'intérêt est un prochain sujet de discussion au parlement, c'est logique que la presse donne des exemples et prépare l'opinion aux discussions.
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Re: Les merdias
ah ,la presse !
les algues verte !les nitrate etc ne sont plus d'actualité et d'ailleurs sont physiquement de moins en moins present !!
au grand dam des amateurs d'oiseaux marins de la baie vaseuse de saint brieuc!!
les bernaches disparaissent egalement !!
les algues vertes constituait leur plat favorit !
ah ces ecolos jamais content
les algues verte !les nitrate etc ne sont plus d'actualité et d'ailleurs sont physiquement de moins en moins present !!
au grand dam des amateurs d'oiseaux marins de la baie vaseuse de saint brieuc!!
les bernaches disparaissent egalement !!
les algues vertes constituait leur plat favorit !
ah ces ecolos jamais content
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bretagne
Re: Les merdias
gégé71 a écrit:Euuuuuuuuuuuuuh !!! Bonjour à tous. Béret vert, le bateau de Bolloré (2007), ça commence à dater. Le conflit d'intérêt est un prochain sujet de discussion au parlement, c'est logique que la presse donne des exemples et prépare l'opinion aux discussions.
tiens voilà gégé , salut !!!
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Re: Les merdias
Les belles jambes de Laurence Ferrari
Présenté par laurence Ferrari, un reportage impressionnant à l’issue dramatique sur TF1.
« La patrouille du sergent Allen »
Alors qu’il était suivi par une équipe de TF1, dans sa traque quotidienne contre les talibans dans la région de Kandahar, le sergent Allen s’est fait surprendre par un explosif au sol, à un mètre de la caméra. Depuis le début de l’année, c’est le vingt cinquième soldat de la coalition à faire les frais de cette nouvelle tactique consistant à attirer les soldats dans un village truffé de mines. La formule est simple : des talibans, à moto, sont repérés dans un hameau. Les américains lancent un commando… pédestre, ce qui laisse tout le temps aux talibans pour s’éloigner… mais pas trop vite, sous l’œil goguenard des paysans du coin, acquis à la cause talibane. Et au coin d’une « rue », boum… un soldat finit par sauter sur une mine.
Les deux journalistes français filmant l’expédition s’en sont sortis indemnes, le sergent restera, lui, mutilé à vie. Selon l’un des reporters interrogé par Laurence Ferrari, le sergent Allen, rapatrié à New-York et amputé des deux jambes, a un « moral d’acier ». Rien de tel qu’une double amputation pour vous remonter le moral.
Présenté par laurence Ferrari, un reportage impressionnant à l’issue dramatique sur TF1.
« La patrouille du sergent Allen »
Alors qu’il était suivi par une équipe de TF1, dans sa traque quotidienne contre les talibans dans la région de Kandahar, le sergent Allen s’est fait surprendre par un explosif au sol, à un mètre de la caméra. Depuis le début de l’année, c’est le vingt cinquième soldat de la coalition à faire les frais de cette nouvelle tactique consistant à attirer les soldats dans un village truffé de mines. La formule est simple : des talibans, à moto, sont repérés dans un hameau. Les américains lancent un commando… pédestre, ce qui laisse tout le temps aux talibans pour s’éloigner… mais pas trop vite, sous l’œil goguenard des paysans du coin, acquis à la cause talibane. Et au coin d’une « rue », boum… un soldat finit par sauter sur une mine.
Les deux journalistes français filmant l’expédition s’en sont sortis indemnes, le sergent restera, lui, mutilé à vie. Selon l’un des reporters interrogé par Laurence Ferrari, le sergent Allen, rapatrié à New-York et amputé des deux jambes, a un « moral d’acier ». Rien de tel qu’une double amputation pour vous remonter le moral.
Invité- Invité
Re: Les merdias
Quel est le point commun entre un journaliste du Monde et un prof d’économie au lycée ?
Les deux, mon capitaine, profitent sans vergogne de leur estrade afin de faire passer leur idéologie pour la seule présentable. Le premier souci qu’ils partagent avant la transmission des connaissances : former des citoyens.
Ainsi l’auditoire – captif dans le cas professoral – sera-t-il sensibilisé à une version particulière de l’économie et de la sociologie. On évitera la plupart du temps, entre deux lectures marxisantes des problématiques abordées, de confronter la vision de gauche à ce qui pourrait être ressenti comme un point de vue de droite, forcément suspect et charriant de vieilles idées obsolètes ou pire, réacs.
C’est comme cela que Frédéric Bastiat, un éminent homme politique français, économiste libéral qui vécut au 19ième siècle, à la période charnière entre la fin des despotismes et le début du capitalisme industriel, était jusqu’à très récemment tombé dans l’oubli, pour ne pas dire enfermé aux oubliettes. Ce contemporain de Marx, qui fait l’objet d’admiration d’universitaires américains depuis toujours était totalement banni de l’enseignement dispensé par l’éducation Nationale Franchouille alors que Karl Marx, beaucoup plus obscur et par là incompréhensible au commun des lycéens affiche sa tronche dans tous les livres d’Histoire et est vénéré par la quasi-totalité de nos professeurs, que je m’étonne de ne pas trouver sa statue dans chaque lycée et collège. Crainte d’évoquer ainsi le culte stalinien de la personnalité ?
Seulement, le 21ième siècle est l’occasion, grâce à Internet, de redécouvrir les textes d’un des plus admirable économiste français enfin sortis de la naphtaline. Son style percutant, loin de la lourdeur théorique d’un Karl, est à même de séduire un jeune public jusque là tenu éloigné par la clergiture qui veille à ce que nos esprits ne soient pervertis par ses lumineuses démonstrations.
Plutôt s’emmerder avec Marx que s’amuser en apprenant avec Bastiat, semble dire nos mentors.
Mais voilà : comment ignorer plus longtemps un intellectuel libéral de cette trempe à l’heure de l’accès à la connaissance pour tous, via le web ? Ne reste qu’une solution à nos percepteurs autoproclamés pour faire barrage à Bastiat en France : puisqu’il faut bien en parler, et bien parlons-en en mal, quitte à tordre la réalité, parce que ce type – de droite – est un vrai danger : il est à nouveau accessible.
Donc c’est par le web, le blog Objectif liberté de Vincent Bénard que j’ai appris le tir de barrage ( tir dans le dos, of course ) du Monde contre Bastiat. Je cite un extrait tellement c’est gros :
La suite est de Patrick de Casanove :
Dans un article paru dans le Monde du 5 Janvier 2011 intitulé « Bastiat, le Français inconnu référence des ultraconservateurs américains », figure une présentation de Frédéric Bastiat. Certes, on pourrait se réjouir de ce que le quotidien consacre un article à un économiste et penseur trop rarement évoqué dans son pays natal. Malheureusement, l'article recèle quelques erreurs qui donnent une idée fausse de ce qu'était la pensée de Bastiat.
Ce que n’est pas Frédéric Bastiat
Tout d'abord, l’on ne peut qualifier d'inconnu un auteur enseigné dans de nombreuses facultés d'économie de haut niveau hors de France, et qui a inspiré, outre les grands économistes de l'école autrichienne dont Hayek, plusieurs autres prix Nobel comme Frieedman et Stigler, et dont la pensée inspira ouvertement la philosophie d'un président des Etats-Unis, Ronald Reagan.
L’on ne peut également pas affirmer qu'il est la référence des « ultraconservateurs », qui, au parti Républicain, désignent plutôt le courant moraliste incarné par le président G.W.Bush, et inspiré par Léo Strauss, un penseur conservateur transfuge de la gauche dure, et qui ne goûtait guère la liberté sans concession prônée par Bastiat.
Mais la principale « erreur » de l'article est ailleurs. Il y est en effet écrit que « Dans (…) "La Loi", Bastiat brosse son autoportrait en ces termes: « je suis un homme sans cœur et sans entrailles, un philosophe sec, un individualiste, un bourgeois, et, pour tout dire en un mot, un économiste de l'école anglaise ou américaine ». Cette citation tronquée et citée hors contexte donne une représentation péjorative totalement erronée de la personnalité et de la pensée de Frédéric Bastiat.
Autoportrait ?
La citation exacte est extraite de « L'Etat » et non de « La loi ». Le contexte est le suivant : Frédéric Bastiat liste de manière non exhaustive les demandes faites à l’Etat pour « guérir tous les maux de la triste humanité ». But louable certes, mais Bastiat souligne que l’Etat ne crée pas de richesses, il ne fait que les déplacer. Il ne peut que distribuer à ses mandants des richesses crées par d’autres, d’où sa propension au clientélisme.
Se référant à ces fameuses demandes à l'Etat, Bastiat écrit : « J’ai voulu faire observer qu’elles étaient contradictoires. De quoi me suis-je avisé, bon Dieu! Ne pouvais-je garder pour moi cette malencontreuse remarque? Me voilà discrédité à tout jamais; et il est maintenant reçu que je suis un homme sans cœur et sans entrailles, un philosophe sec, un individualiste, un bourgeois, et, pour tout dire en un mot, un économiste de l'école anglaise ou américaine. »
Bastiat ne livre donc pas ici son autoportrait mais expose les critiques que lui adressent ses adversaires ! Erreur du journal, ou volonté délibérée de dénigrement d'un grand penseur libéral ? A chacun de juger.
La suite ici :
http://www.objectifliberte.fr/2011/02/bastiat-leconomiste-qui-aimait-lhomme.html
Invité- Invité
Re: Les merdias
bel exemple de la merdiathéque au sujet de Bastiat
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réfléchis bien
Re: Les merdias
Erreur du journal, ou volonté délibérée de dénigrement d'un grand penseur libéral ? A chacun de juger.
Venant du "monde" d'aujourd'hui la question vaut elle d'être possée.
Quelle abîme avec celui que je lisais, trouffion pour passer le temps, il y a 5 décennies.
Daniel
Venant du "monde" d'aujourd'hui la question vaut elle d'être possée.
Quelle abîme avec celui que je lisais, trouffion pour passer le temps, il y a 5 décennies.
Daniel
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Re: Les merdias
Il y a 5 décennies, aviez vous la même capacité d'esprit critique?daniel89 a écrit: Erreur du journal, ou volonté délibérée de dénigrement d'un grand penseur libéral ? A chacun de juger.
Venant du "monde" d'aujourd'hui la question vaut elle d'être possée.
Quelle abîme avec celui que je lisais, trouffion pour passer le temps, il y a 5 décennies.
Daniel
Peut-être qu'il avait une apparence plus rigoureuse, mais une orientation politique de l'information encore plus marquée?
Invité- Invité
Re: Les merdias
Non, je ne le pense pas.
Le Monde d'alors était un véritable journal d'informations, beaucoup moins orienté politiquement que celui que nous connaissons aujourd'hui.
Daniel
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Re: Les merdias
Avez-vous suivi en direct la séance de carpetting face à DSK avec en home-trainer Patrick Delahousse le bien nommé, au dernier JT de Fronce deux ?
Dodo la malice, Strauss – Kahn pour l’Etat-civil n’a pas eu besoin de sortir de sa torpeur, sauf quand Delahousse lui a passé les plats en diffusant la remarque insipide et déplacée de Christian Jacob sur le Strauss-Kahn qui ne vient pas du terroir : Sarkozy aurait-il vu le jour dans une étable ?
C’est à moitié dans le cirage que Dodo a répété deux ou trois fois sa seule préoccupation qui est son boulot au FMI, qu’il y consacrait toute son énergie jusqu’à la fin de son mandat en novembre, sans que le présentateur du JT officiel n’ait eu l’audace de le réveiller en lui posant la question qui tue :
- Si je comprends bien, vous voulez nous faire gober que jamais vous ne projetez votre horizon professionnel à plus de six mois d’échéance ? C’est assez curieux pour quelqu’un dont la presse et l’opinion louent la vision ?
Dodo la malice, Strauss – Kahn pour l’Etat-civil n’a pas eu besoin de sortir de sa torpeur, sauf quand Delahousse lui a passé les plats en diffusant la remarque insipide et déplacée de Christian Jacob sur le Strauss-Kahn qui ne vient pas du terroir : Sarkozy aurait-il vu le jour dans une étable ?
C’est à moitié dans le cirage que Dodo a répété deux ou trois fois sa seule préoccupation qui est son boulot au FMI, qu’il y consacrait toute son énergie jusqu’à la fin de son mandat en novembre, sans que le présentateur du JT officiel n’ait eu l’audace de le réveiller en lui posant la question qui tue :
- Si je comprends bien, vous voulez nous faire gober que jamais vous ne projetez votre horizon professionnel à plus de six mois d’échéance ? C’est assez curieux pour quelqu’un dont la presse et l’opinion louent la vision ?
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Re: Les merdias
Hier midi, encore une emission sur le salaire exagéré des agriculteurs sur itele avec jean marc sylvestre
Et ce soir encore une couche sur mots croisés sur france 2 avec les pesticides....
Et ce soir encore une couche sur mots croisés sur france 2 avec les pesticides....
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Dernière vallée avant la Beauce !!!
Re: Les merdias
Oui, les propos diffamatoires sur les agriculteurs ne manquent pas, et quand il n'y a que Christiane Lambert pour défendre notre profession, je crois que c'est encore pire...
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Re: Les merdias
le jean marc sylvestre devrait la boucler, lui grand pourfendeur de l'ultra libéralisme/boursier et du chacun pour soit, a eu besoin il y a deux trois ans de s hôpitaux publiques pendant quelques mois, avec tout ce que le système as de meilleur dans ces cas la....si ses idées avaient étés appliqués a la lettre comme il le préconisait il y a quelques années, il serait au jour d'aujourd'hui entre quatre planches de sapin.
je l invites chaudement a se documenter en détails avant de parler sur l'agriculture et plus largement du milieu rural...
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