La gueule de bois

A Grigny les attaques aux feux rouges ont repris : « Mardi, deux nouveaux vols à l'arraché ont eu lieu au feu rouge de la N445 dans ce quartier de Grigny. Comme une trentaine de fois avant ceux-ci, deux vols à la portière ont été commis ... deux individus cagoulés ont brisé les vitres passager de conductrices et ont arraché leur sac à main. Cette fois, personne n'a été blessé. »
Le Parisien

Béret vert a écrit:A Grigny les attaques aux feux rouges ont repris : « Mardi, deux nouveaux vols à l'arraché ont eu lieu au feu rouge de la N445 dans ce quartier de Grigny. Comme une trentaine de fois avant ceux-ci, deux vols à la portière ont été commis ... deux individus cagoulés ont brisé les vitres passager de conductrices et ont arraché leur sac à main. Cette fois, personne n'a été blessé. »Le Parisien

Ouf on respire....donc les autres fois?....

je suis passé a la hauteur de grigny les grincheux recemment !!
la prochaine fois ,je m'arrangerai pour arriver par l'autre bout !!

hermine 22 a écrit:je suis passé a la hauteur de grigny les grincheux recemment !!
la prochaine fois ,je m'arrangerai pour arriver par l'autre bout !!

Ce n'est pas pire qu'ailleurs.

Récemment on me faisait remarquer que l’ambiance à Grigny semblait plus tranquille, les dépêches de la presse se faisant plutôt rares. C’est un leurre. La situation est de plus en plus catastrophique et l’habitude aidant, plus aucun journaliste ne ressent le besoin de vous tenir informé de la situation à Grigny... ou ailleurs.
 
Enfin un article des Echos fait le point. Remarquez au passage que les témoins acceptent de parler sous couvert de l’anonymat :
 
LES ECHOS :
Grigny (Essonne), un jeudi matin sur la place du Damier, à l'entrée du quartier de la Grande Borne. « Bienvenue à Beyrouth ! », plaisante à moitié notre guide de la mairie. Censée être un des deux pôles de commerce de proximité de la Grande Borne, une monstrueuse cité de 3.600 logements sociaux édifiée à la fin des années 1960, la place du Damier ne donne vraiment pas envie d'y flâner. Du reste, à l'exception d'une nuée de pigeons ayant élu domicile dans les façades d'immeubles délabrés, il n'y a personne ici, ou presque. Sous le regard de quelques individus qui traînent devant les halls, repérant vite le visiteur étranger au lieu, une poignée d'habitants font quand même quelques courses de première nécessité. Le fleuriste et le taxiphone ont baissé le rideau depuis belle lurette. Demeurent encore ouverts la boucherie, le bar-tabac, le marché exotique et la pharmacie. Pour combien de temps ? Malgré le classement l'an dernier de Grigny en zone de sécurité prioritaire, le pharmacien de la place du Damier s'est fait braquer trois fois ces derniers mois, et le tabac, une fois.
 
Déjà aux prises avec la violence et la misère sociale (42 % de ses 11.000 habitants vivent sous le seuil de pauvreté), la Grande Borne n'aurait vraiment pas besoin d'ajouter à ces handicaps la disparition de ses derniers magasins. Mais pourrait-on blâmer les déserteurs ? Témoignant sous le couvert de l'anonymat, le responsable d'une enseigne alimentaire de proximité raconte : « Tenir un supermarché dans une zone urbaine sensible (ZUS) soulève de très nombreux problèmes. Déjà, le magasin est peu rentable du fait de la pauvreté de la population desservie. Mais si, en plus, le quartier est aux prises avec des gangs, l'aventure tourne au cauchemar quotidien. Les vols peuvent représenter jusqu'à 2,5 % du chiffre d'affaires contre 1,2 % à Paris. La vidéosurveillance - jusqu'à 15.000 euros d'investissement pour un magasin de 300 mètres carrés - fournit des enregistrements utiles pour la police après un acte délictueux. Mais la présence de caméras ou d'un vigile ne dissuadera jamais une bande de 40 personnes encagoulées de dévaliser le magasin puis de s'égayer dans la cité comme des moineaux. Parfois, nous sommes aussi confrontés à des tentatives de racket, et même à des incendies volontaires dans les zones où sévit le trafic de drogue. Car les dealers veulent nous faire fuir : notre présence crée de l'animation dans le quartier, ce qui les empêche de "trafiquer" tranquillement. »
 
LIRE LA SUITE :
http://www.lesechos.fr/journal20130701/lec1_enquete/0202845210579-la-grande-misere-du-commerce-dans-les-banlieues-581042.php
 
Vous remarquerez là encore que la solution trouvée par les édiles de la mairie est tout bonnement de raser le quartier !

C'est quand même moins grave en Belgique mais pour combien de temps?

Un constat :
On n'entend plus parler de Grigny dans les gros merdias. Serait-ce qu’il ne s’y passe plus rien à la rubrique des faits divers ?
 
Petite vérification sur Google. Je tape Essonne, Grigny, faits divers et sélectionne la période la plus récente : une semaine.
 
Et là, Bingo !
 
« Quatre individus passent devant la cour d'assises de l'Essonne pour avoir violemment exorcisé une jeune femme de 19 ans »
« Un motard de 19 ans retrouvé mort »
« Une femme tuée par balles en pleine rue »
« Un chef d’entreprise séquestré par un voleur »
 
Bon, j’arrête là. Pendant ce temps, les merdias nous amusent avec les démêlées de Taubira avec des enfants (supposés racistes, mais comprennent - ils ce mot ?) et de Harry Roselmack, le journaliste de Tf1 qui se plaint d’une antédiluvienne publicité pour Banania.
 
Ces gens vivent en vase clos. Ou bien, ils nous prennent VRAIMENT pour des cons.
Ou les deux à la fois.

Harry Roselmack, le journaliste de Tf1 qui se plaint d’une antédiluvienne publicité pour Banania.

j' avoue que je n' y aurais pas pensé mais maintenant que vous le dites !!!!! 

Béret vert a écrit:
 
et de Harry Roselmack, le journaliste de Tf1 qui se plaint d’une antédiluvienne publicité pour Banania.

 
Pendant ce temps là, certain son prés à retourner leurs vestes dans le sens du vent.
http://actu.orange.fr/une/fn-un-ancien-collaborateur-de-juppe-devient-chef-de-cabinet-de-marine-le-pen-afp-s_2655696.html

A Grigny, rassemblement géant contre le racisme



… Quinze trous du cul satisfaits:

« Ce dimanche matin nous avons participé au rassemblement contre le racisme à l’appel d’un certain nombre de formations politiques (…)
La lutte contre le racisme s’est donc manifestée ce matin par un rassemblement regroupant l’ensemble des représentants des forces politiques démocratiques.
Ce qui laisse augurer, nous l’espérons, une campagne sereine et apaisée autour des valeurs républicaines, démocratiques et humanistes.

Nous nous félicitons, au plan local, de cette condamnation unanime du
racisme en général et de celui qui frappe Madame Taubira, en particulier. La liste « Grigny 2014 La gauche avec René Balme« , sera en alerte permanente sur ce sujet, comme l’a été la municipalité tout au long des 30 années de gestion de gauche à Grigny.

Grigny la belle, la rebelle, s’est construite dans le métissage et le respect de l’autre dans sa différence.

C’est ce vivre ensemble là que nous aimons et défendons. »

René Balme,
candidat.

Complotiste et ne s’assumant pas : le maire de Grigny

Municipales : René Balme, le maire complotiste de Grigny, réinvesti par le Front de gauche

René Balme, maire sans étiquette de la petite ville de Grigny (69), est candidat à sa propre succession pour les élections municipales de 2014 sous les couleurs… du Front de gauche.
StreetPress vous en parlait lors des législatives de 2012, René Balme, c’est cet ex-membre historique du Parti de gauche (PG) et administrateur du site conspirationniste Oulala.net. A l’époque, la crème de la crème de la galaxie rouge-brun et antisémite signait des articles sur le site.
Le Parti Communiste s’est fendu d’un communiqué pour « se féliciter » de la candidature de René Balme. [...] Les tribunes couleur rouge-brun que le maire de Grigny relayait sur Oulala.net ? « Des maladresses, d’ailleurs il n’avait pas le contrôle de ce qui était publié sur le site et n’a jamais dit qu’il cautionnait. »
Street Press


Note de BV : Balme est un sacré faux-cul, de même que le parti rouge (communiste). En effet, depuis l’arrêt du site Oulala.net fin 2012, le maire de Grigny continue de publier ses tribunes sur un nouveau site qui s’appelle … Oulala.info !

En vrac :

« Trois hommes ont été écroués mercredi après le démantèlement, en début de semaine, d’un réseau organisé spécialisé dans les vols à la portière. Parmi ce trio figurent deux têtes de ce réseau qui détroussait les automobilistes arrêtés aux feux rouges, principalement sur la N 445, à Grigny. (…) »
http://www.leparisien.fr/essonne-91/grigny-trois-agresseurs-d-automobilistes-ecroues-06-12-2013-3383823.php

« Ils sont considérés comme faisant partie des trafiquants de drogue les plus importants du département. Six hommes âgés de 30 à 40 ans et originaires de la zone de sécurité prioritaire de La Grande-Borne à Grigny (…) ont été interpellés dans la nuit de mardi à mercredi par des hommes de l’antenne d’Evry de la police judiciaire (PJ).
En plus de leur arrestation, les enquêteurs ont saisi 297 kilos de résine de cannabis, six voitures, ainsi que des motos et des quads. (…)
Les six personnes placées en garde à vue sont très défavorablement connues des services de police, l’une d’elle vivait d’ailleurs dans la clandestinité après avoir été condamnée à sept ans de prison pour trafic de stupéfiants. Leur mode opératoire était bien rôdé : ils se rendaient au Maroc pour s’approvisionner à bord de véhicules volés qu’ils cachaient dans trois box situés à Orsay, Massy et Epinay-sur-Orge. Ils écoulaient ensuite leur marchandise à Grigny, mais aussi dans le département, en Seine-et-Marne et dans de nombreuses régions de province, comme la Bretagne. »
LeParisien.fr 22/11/2013

« Vol par ruse, retrait d’argent au distributeur ou encore démarchage à domicile, les personnes âgées sont de plus en plus souvent la cible des malfaiteurs. Afin de les sensibiliser à leur propre sécurité, chez eux comme sur la voie publique, la commune et la police nationale les avaient conviés à une réunion d’information animée par le commandant Legendre, jeudi 7 novembre, à la maison de quartier Pablo-Picasso à Grigny. »
Le Républicain de l’Essonne.

L’assassin de Montrouge et preneur d’otage de la porte de Vincennes, Amedy Coulibaly, avait été invité par le président Sarkozy avec des djeunes de Grigny :

http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/france/11329976/Paris-Charlie-Hebdo-attack-live.html

ça t’étonne?

dgé a écrit:ça t’étonne?

Pas du tout. C'est le parcours du combattant: je suis un pauv' gars de la banlieue, je suis au chômage, puis j'ai un emploi aidé, je suis reçu à l'Elysée, ensuite avec les sous je m'abonne à Internet, puis je fais de la taule et pour finir mon cursus je fais le djihad.


En une seule année, 2014, on a enfermé 130 apprentis terroristes préventivement.

et combien de relachés depuis ??????????????????

Béret vert a écrit:

dgé a écrit:ça t’étonne?

Pas du tout. C'est le parcours du combattant: je suis un pauv' gars de la banlieue, je suis au chômage, puis j'ai un emploi aidé, je suis reçu à l'Elysée, ensuite avec les sous je m'abonne à Internet, puis je fais de la taule et pour finir mon cursus je fais le djihad.


En une seule année, 2014, on a enfermé 130 apprentis terroristes préventivement.

et les 130 apprentis, ils engendrent combien d autres apprentis

agri37 a écrit:et combien de relachés depuis ??????????????????

Je ne sais pas mais quand ils vont sortir, ils vont être très fâchés.
Mais bon, d'ici là Taubira leur aura trouvé un bon job dans la fonction publique territoriale je suppose.

s'il faut passer en revue tout ceux qui vont avoir la gueule de bois ces jours ci ,ace va etre vite saturé
et pas que
coste,la bobo ecolo , il y a une semaine ,encensait encore tout ceux qui voulait bien rejoindre la France
les,chance pour la France allait nous sortir par le haut  selon elle

hermine 22 a écrit:s'il faut passer en revue tout ceux qui vont avoir la gueule de bois ces jours ci ,ace va etre vite saturé (...)

Le terroriste est originaire de Grigny.

Règlements de compte à OK corral


Terrorisme : Malek Boutih sommé de s'expliquer par le maire de Grigny
Le député de l'Essonne avait estimé qu'un terreau propice de corruption et de déliquescence de l'autorité publique avait favorisé la radicalisation d'Amedy Coulibaly dans la ville Grigny. Des déclarations que le maire n'entend pas laisser sans suite.

M.B : « Ce n'est pas un hasard que cet homme-là ait grandi à Grigny et qu'il soit devenu délinquant (...) dans une ville où - je le dis et je pèse mes termes - des responsables, y compris des élus, pactisent avec le mal, les voyous, les délinquants, la corruption. Voilà ce qui mine notre pays ».

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/couacs/2015/01/26/25005-20150126ARTFIG00380-terrorisme-malek-boutih-somme-de-s-expliquer-par-le-maire-de-grigny.php

les langues se délient depuis je suis charlie
les charlots de la politique enfin sur la sellete
un peu tard

Des hordes de racailles agressent les automobilistes aux feux rouges… sans que cela fasse réagir !

http://essonneinfo.fr/91-essonne-info/78496/hausse-des-car-jackings-viry-et-grigny-le-maire-de-viry-interpelle-manuel-valls/

Béret vert a écrit:Des hordes de racailles agressent les automobilistes aux feux rouges… sans que cela fasse réagir !

http://essonneinfo.fr/91-essonne-info/78496/hausse-des-car-jackings-viry-et-grigny-le-maire-de-viry-interpelle-manuel-valls/

Ce genre d'activité n'a rien de nouveau, j'ai travaillé plusieurs année sur la frontière 93/95, et le bris de vitres aux feux tricolore dans le but de dérober les sac à main sur le siège passager était monnaie courante.
Autre activité, le délestage des coffres de voiture à la sortie du centre commercial lorsque vous patientez au feu tricolore.

Oui, j'ai un pote qui s'est fait casser les dents par des XXX à un feu rouge au Bourget. C'était il y a trente ans.
J'écris feu "rouge" mais ne voyez aucun racisme dans l'expression.

Béret vert a écrit:Oui, j'ai un pote qui s'est fait casser les dents par des XXX à un feu rouge au Bourget. C'était il y a trente ans.

J'écris feu "rouge" mais ne voyez aucun racisme dans l'expression.

Parce que feu tricolore voudrait dire : bleu blanc rouge ...

Le journaaal:

Grigny (France) - "Il n'y avait déjà pas grand-chose à Grigny, alors si maintenant il n'y a plus de supermarché..." Devant les grilles fermées du Casino, les habitants de cette commune de l'Essonne, une des plus pauvres de France, sont las.

Depuis jeudi, les presque 30.000 résidents de cette banlieue au sud de Paris ont perdu leur unique supermarché. Un coup dur pour cette ville sans centre, où nombre de commerces ont déjà fui la violence. L'autoroute A6 y sépare deux grands ensembles: la Grande Borne avec son dédale de logements sociaux, et les tours de Grigny 2.

Elodie Laigle habite ce quartier. Au pied de son immeuble, Casino a fermé mais elle continue d'acheter le pain à la boulangerie logée dans la galerie marchande, avec une poignée de boutiques.

Le supermarché et ses 4.000 m2, c'était "pratique pour aller faire mes courses avant d'aller chercher ma fille de quatre ans à l'école", explique-t-elle en berçant son autre enfant de 13 mois dans sa poussette.

"Je vais devoir changer mes habitudes", soupire cette maman sans emploi de 28 ans, qui sillonnait les rayons "deux fois par semaine". Son compagnon et elle n'ont pas de voiture, il faudra marcher ou prendre le bus jusqu'au Lidl de Ris-Orangis, la ville voisine.

- 'Sale coup' -

A l'entrée de la galerie, Kani Doumbia vibre de colère dans son boubou. "On dit tout le temps que Grigny est surpeuplé, mais sans supermarché on va faire comment '", interroge cette assistante maternelle.

Le maire communiste, Philippe Rio, fulmine également. En juillet, il était reçu à Matignon pour entériner un plan d'urgence avec l'Etat afin de redresser Grigny. Et voilà qu'à la rentrée, il perd le poumon commercial de la commune.

"Casino crée l'apartheid commercial de cette ville", lance-t-il à l'AFP. Malgré plusieurs réunions depuis neuf mois, "le groupe ne nous a pas laissé le temps de trouver un repreneur", alors que la mairie négocie avec une autre enseigne et que "deux mois de plus nous auraient suffi", assure le maire. :hein: 8p

"Si on nous avait dit clairement: +en novembre, on a quelqu'un pour reprendre la suite+, on serait resté", rétorque un porte-parole de Casino.

Le groupe explique qu'il maintient ce magasin depuis des années, malgré les vols, les violences récurrentes et l'explosion du budget sécurité, qui a rendu le magasin très déficitaire. Il promet de reclasser les 36 salariés du supermarché en son sein, en fonction de leurs souhaits.

L'insécurité n'explique pas tout, selon la mairie. Pour elle, Casino a lourdement grevé son chiffre d'affaires car il n'a "jamais adapté sa stratégie commerciale" à la réalité grignoise. [Ca veut dire quoi? il fallait vendre des AK47 ?]

- Quartiers 'sous-équipés' -

"Ça me gêne beaucoup qu'ils ferment, mais ils étaient trop chers pour moi", souffle Fanta Diallo sur le parking, venue avec son cabas à pied depuis la Grande Borne. Un quartier très peu fourni en commerces et où la Poste a déserté face aux violences.

Dans le centre commercial, "on a vu défiler ED, puis Leclerc, maintenant Casino. Tout le monde s'en va", égrène-t-elle.

La mairie assure pouvoir trouver un repreneur dès cet hiver et éviter un scénario similaire à celui d'Argenteuil. Sur la dalle de cette ville du Val d'Oise, le Franprix - marque du groupe Casino - avait également fermé en invoquant des violences en septembre 2015. Il a fallu un an pour convaincre une autre enseigne et le site s'apprête seulement à rouvrir.

Dans de tels cas, "le sentiment d'abandon est total" pour les quartiers populaires, résume François Pupponi, président de l'Agence nationale de la rénovation urbaine (Anru), chargée de les moderniser. Avec le risque que les commerces soient repris "par une chaîne communautaire, ce qui accentue la ghettoïsation".

S'ils ne savent pas toujours gérer l'insécurité, les grands groupes ne font pas preuve de mauvaise volonté et restent des "partenaires privilégiés" pour reconstruire les quartiers, tempère-t-il.

Les 1.500 quartiers de la politique de la Ville présentent un "sous-équipement avéré" de leur offre commerciale, souligne le Commissariat général à l'égalité des territoires dans une étude de février. Ils comptent 7,34 commerces pour 1.000 habitants, contre 10,34 dans les agglomérations qui les abritent.

les épiceries de luxe du 16eme ne ferment pas elles, nos politiques peuvent toujours faire leurs courses tranquilles
donc tout va bien ......

La ville du futur; un centre urbain de nantis, protégé par une muraille de militaires, et autour, les loups et les agneaux. La guerre quoi!
Ca ressemble à de la science fiction, des films reprenant cet état de fait existent, mais ce ne sera bientôt plus de la science fiction. Vous imaginez, 7.5 milliards d'humain en ville ????????
C'est exactement ce qui est attendu pour 2050, soit quand mes petits enfants auront l'âge où ils bâtiront leur vie !!!!!!
Courage, courage, demain sera mieux qu'hier ! pourvu que ce soit possible !!!!!!!!

papa a écrit:La ville du futur; un centre urbain de nantis, protégé par une muraille de militaires, et autour, les loups et les agneaux. La guerre quoi!
Ca ressemble à de la science fiction, des films reprenant cet état de fait existent, mais ce ne sera bientôt plus de la science fiction. Vous imaginez, 7.5 milliards d'humain en ville ????????
C'est exactement ce qui est attendu pour 2050, soit quand mes petits enfants auront l'âge où ils bâtiront leur vie !!!!!!
Courage, courage, demain sera mieux qu'hier ! pourvu que ce soit possible !!!!!!!!

tu ne serais pas membre du gouvernement....
on court a la guerre et chaque jour qui passe nous en rapproche

Dans le centre commercial, "on a vu défiler ED, puis Leclerc, maintenant Casino. Tout le monde s'en va", égrène-t-elle.

Bizarre!! Ca n'interpelle personne de savoir pourquoi ils partent?????

Sont trop chère mon fils

daniel89 a écrit:Dans le centre commercial, "on a vu défiler ED, puis Leclerc, maintenant Casino. Tout le monde s'en va", égrène-t-elle.

Bizarre!! Ca n'interpelle personne de savoir pourquoi ils partent?????

Au conseil municipal la moitié ou presque sont des muzs. Peut-être qu'ils verraient bien un supermarché géré par leurs amis.

Le maire Coco peut reprendre, il a l'air de si connaître
Quel blaireau