Augmentation des prix.

Je viens d'entendre la craker dire dans une conference de presse qu'il serait bon de penser a trouver des idées, pour que eventuellement, peut être, si ça dérange pas trop, une partie de l'augmentation des charges d'alimentations soit répercutée vers le consommateur, avec bien sur la promesse que quand les paysans auront des prix plus bas comme en 2009 on leur refera un cheque ( aux consomateurs)

Tudieu, j'me sent défendu avec des propositions aussi révolutionnaires. On voit que le vent du boulet de la liberté a soufflé en tunisie...

Dit pato, c'est ou qu'on adhère a la fédé???

Moi je dit qu'ils faut annoncer clairement aux consommateur qu'ils vont se prendre l'augmentation en pleine gueule et de gré ou de force !

la pac et staline ont en commun d avoir persecute les agris .en urss ca a provoque des famines terribles du a la betise de staline .la pac prepare les futures famines

http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Livre_noir_du_communisme...tres interessant de lire ca ,800pages .halluciant la politique agricole du systeme

gingko a écrit:la pac et staline ont en commun d avoir persecute les agris .en urss ca a provoque des famines terribles du a la betise de staline .la pac prepare les futures famines

+1 on y va doucement mais on y va c'est clair

AFP
16/02/2011 | Mise à jour : 09:57
Le gouvernement sera "vigilant" sur la répercussion de la hausse des cours des matières premières agricoles sur les prix alimentaires, a averti mercredi le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire sur France Inter. "Il n'y a pas de raison que sur les produits agroalimentaires industriels transformés, qui n'emploient qu'une infime partie des matières premières agricoles, qu'il y ait une flambée des cours", a insisté le ministre.

La répercussion ne doit se faire "que sur les produits où il y a une flambée des cours comme la viande (ou) les produits (faits à base) de blé", a-t-il énuméré. Interrogé sur une éventuelle hausse du prix de la baguette de pain dans le sillage de la flambée des cours du blé, M. Le Maire s'est voulu ferme. "Non il n'y a pas de raison que la baguette de blé flambe parce que le cours du blé flambe, il n'y a aucune raison", a-t-il prévenu, rappelant que le blé ne représentait que 6% du prix.

Et d'ajouter: "nous serons très vigilants là-dessus. En période de flambée de cours, le rôle du gouvernement est de trouver le bon équilibre entre le revenu du producteur agricole et le pouvoir d'achat des consommateurs." S'il reconnaît que l'envolée des prix des matières premières agricoles observée depuis la fin de l'année 2010 a contribué à faire augmenter les revenus de certains agriculteurs, M. Le Maire relève toutefois que les éleveurs eux "n'arrivent eux plus à s'en sortir", en raison de l'augmentation des prix de l'alimentation animale

yoda a écrit:

gingko a écrit:la pac et staline ont en commun d avoir persecute les agris .en urss ca a provoque des famines terribles du a la betise de staline .la pac prepare les futures famines

+1 on y va doucement mais on y va c'est clair

vivement qu'on y soit !!!

je l ai vu aussi aux infos !

on dirais une grande revolution la repercution!!
les devis d hangar sont indexer sur le prix fer depuis longtemps

concernant la pac :
Salut à tous, c'est bien le même Guitoune de 2006

Voici quelques extraits du Xem Plan de la FNSEA que nombre d'entre vous réclament sur ce post La monstrueuse Traison de le FNSEA avec le Xe Plan

Xe Plan :
Le volet agricole du Xe Plan (1989-1992) intitulé : « L’agriculture face à son avenir » fut rédigé et cosigné par Louis Perrin (Président de l’APCA), Luc Guyau, Henri de Benoist, Henry Jouve, Philippe Mangin, Michel Teyssedou Charles Pelletier, tous les grands patrons de la FNSEA.
On y découvre avec stupéfaction le programme complet de la PAC 92. En voici des extraits significatifs :
La baisse des prix
Page 29 : « Cette politique de baisse des prix doit être suffisamment marquée afin d’éviter que son effet ne soit compensé par les résultats du progrès technique. Dans cette orientation, le prix du marché mondial apparaît comme le prix dont il faut se rapprocher ».
Les aides pour compenser la baisse des prix
Page 77 : « Des formules sont imaginables du type d’aides économiques accompagnant une baisse des prix ».
La mondialisation de l’agriculture
Page 70 : « Nous sommes résolus à arrêter et repousser le protectionnisme qui a des effets catastrophiques sur la croissance ».
Les jachères
Page 77 : « Ainsi la combinaison de baisse de prix et d’un système de retrait de terre pourrait apparaître comme la meilleur solution ».
L’agrandissement
Page 63 : « Une stratégie précise doit donc être développée pour favoriser les agrandissements ».
Et même le paysan cantonnier
Page 64 : « Certains collectivités seraient prêtes à rémunérer des prestations de service d’agriculteurs pour l’entretien d’espaces ou d’ouvrages publics ».
Comme ils avaient bien compris que cette politique abominable allait éliminer de nombreux paysans, ils ont même osé écrire page 95 : « L’effort d’adaptation que cette orientation implique pour l’agriculture française rend indispensable une politique ambitieuse d’accompagnement pour poursuivre sa modernisation ».
Quelle ambition ! ! ! L’accompagnement des mourants ! …
Et pour conclure ils déclarent page 95 : « Notre espérance est que ce rapport ne reste pas lettre morte » ! … Hélas, ils ont obtenu satisfaction…
On comprend pourquoi ils ont refusé de combattre, avec la CR, la PAC 92 et disaient qu’il fallait « s’adapter, diversifier et relever le défi » !
Voici la preuve indiscutable de la monstrueuse trahison de la FNSEA qui se poursuit dans la PAC 2003. Elle a dans ce Xe Plan élaboré cette PAC 92 cause de tous nos malheurs. En cassant les prix en dessous des prix de revient et en instaurant un système de primes elle nous a plongés dans l’assistanat qui nous asservit pour le seul bénéfice de l’industrie agroalimentaire (IAA).
On peut donc affirmer que la FNSEA n’est pas le syndicat des agriculteurs mais celui de l’agroalimentaire. Elle nous trahit. Soutenir encore la FNSEA serait par conséquent un véritable suicide.

Retour en haut
Salut à tous, c'est bien le même Guitoune de 2006

Voici quelques extraits du Xem Plan de la FNSEA que nombre d'entre vous réclament sur ce post La monstrueuse Traison de le FNSEA avec le Xe Plan

Xe Plan :
Le volet agricole du Xe Plan (1989-1992) intitulé : « L’agriculture face à son avenir » fut rédigé et cosigné par Louis Perrin (Président de l’APCA), Luc Guyau, Henri de Benoist, Henry Jouve, Philippe Mangin, Michel Teyssedou Charles Pelletier, tous les grands patrons de la FNSEA.
On y découvre avec stupéfaction le programme complet de la PAC 92. En voici des extraits significatifs :
La baisse des prix
Page 29 : « Cette politique de baisse des prix doit être suffisamment marquée afin d’éviter que son effet ne soit compensé par les résultats du progrès technique. Dans cette orientation, le prix du marché mondial apparaît comme le prix dont il faut se rapprocher ».
Les aides pour compenser la baisse des prix
Page 77 : « Des formules sont imaginables du type d’aides économiques accompagnant une baisse des prix ».
La mondialisation de l’agriculture
Page 70 : « Nous sommes résolus à arrêter et repousser le protectionnisme qui a des effets catastrophiques sur la croissance ».
Les jachères
Page 77 : « Ainsi la combinaison de baisse de prix et d’un système de retrait de terre pourrait apparaître comme la meilleur solution ».
L’agrandissement
Page 63 : « Une stratégie précise doit donc être développée pour favoriser les agrandissements ».
Et même le paysan cantonnier
Page 64 : « Certains collectivités seraient prêtes à rémunérer des prestations de service d’agriculteurs pour l’entretien d’espaces ou d’ouvrages publics ».
Comme ils avaient bien compris que cette politique abominable allait éliminer de nombreux paysans, ils ont même osé écrire page 95 : « L’effort d’adaptation que cette orientation implique pour l’agriculture française rend indispensable une politique ambitieuse d’accompagnement pour poursuivre sa modernisation ».
Quelle ambition ! ! ! L’accompagnement des mourants ! …
Et pour conclure ils déclarent page 95 : « Notre espérance est que ce rapport ne reste pas lettre morte » ! … Hélas, ils ont obtenu satisfaction…
On comprend pourquoi ils ont refusé de combattre, avec la CR, la PAC 92 et disaient qu’il fallait « s’adapter, diversifier et relever le défi » !
Voici la preuve indiscutable de la monstrueuse trahison de la FNSEA qui se poursuit dans la PAC 2003. Elle a dans ce Xe Plan élaboré cette PAC 92 cause de tous nos malheurs. En cassant les prix en dessous des prix de revient et en instaurant un système de primes elle nous a plongés dans l’assistanat qui nous asservit pour le seul bénéfice de l’industrie agroalimentaire (IAA).
On peut donc affirmer que la FNSEA n’est pas le syndicat des agriculteurs mais celui de l’agroalimentaire. Elle nous trahit. Soutenir encore la FNSEA serait par conséquent un véritable suicide.

Retour en haut

Ouf, on en est plus a l'accompagnement... maintenant ce sont les soins palliatifs...

Le Mecreant a écrit:Je viens d'entendre la craker dire dans une conference de presse qu'il serait bon de penser a trouver des idées, pour que eventuellement, peut être, si ça dérange pas trop, une partie de l'augmentation des charges d'alimentations soit répercutée vers le consommateur, avec bien sur la promesse que quand les paysans auront des prix plus bas comme en 2009 on leur refera un cheque ( aux consomateurs)

Tudieu, j'me sent défendu avec des propositions aussi révolutionnaires. On voit que le vent du boulet de la liberté a soufflé en tunisie...

Dit pato, c'est ou qu'on adhère a la fédé???

Moi je dit qu'ils faut annoncer clairement aux consommateur qu'ils vont se prendre l'augmentation en pleine gueule et de gré ou de force !

pas vu je pense ce à quoi tu fais référence, mais j'ai lu l'article FA sur les contrats interfilières, bien entendu seules les gms sont mises au pilori, les marges des coop, indus et autres sont peanuts
donc les consommateurs veulent pas mettent plus, les gms "essayent" de maitriser les tarifs ( pour les conso), les coop et autres sbires ont des marges fixes à respecter, donc..., donc..., j'achete la vaseline et me le met profond car j'aime ça ...

cet après midi , entendu sur france affreux un responsable fédé qui disait : il faut augmenter le prix du porc à la consommation

je crois qu'il doit venir espionner sur ACE

PatogaZ a écrit:cet après midi , entendu sur france affreux un responsable fédé qui disait : il faut augmenter le prix du porc à la consommation
je crois qu'il doit venir espionner sur ACE

Et sur ACE, il a la recette pour y arriver?
Un décret ministériel qui fixe le prix du porc?
Un blocage de l'aiguille du cadran?
Autre?

Du vent tout ca...laissons faire la main invisible qu'ils disent!

yaya a écrit:Du vent tout ca...laissons faire la main invisible qu'ils disent!

Yaya, dans un autre fil de discussion, vous parlez de votre groupement d'achat.
En suscitant la concurrence entre fournisseurs, vous faites utilisez le mécanisme du marché, vous faites appel, pour votre bien, à la "main invisible"!

Comme beaucoup, vous êtes libéral quand vous achetez, quand vous consommez, mais comme producteur vous voulez de la protection, des privilèges... socialistes!

ActualitésDanone résiste à la hausse des matières premières
Par Reuters, le 15 février 2011
par Noëlle Mennella

PARIS (Reuters) – Danone a dit mardi aborder 2011 avec confiance malgré la forte hausse des coûts des matières premières qu’il devrait encore subir cette année mais qui ne l’a pas empêché de dépasser ses objectifs en 2010 grâce à un niveau d’économies record.

5 minutes par jour pour de meilleurs investissements
Retrouvez tous les jours et gratuitement nos meilleures recommandations dans notre newsletter La Quotidienne de Moneyweek

Votre E-mail
Je souhaite recevoir des offres de nos partenaires

Le numéro un mondial des produits laitiers frais et de l’eau en bouteille est parvenu en 2010 à dégager une marge opérationnelle courante en hausse de trois points de base à 15,16% malgré une hausse d’environ 10% du coût des matières premières.

« Crise ou pas crise on arrive toujours à sortir notre épingle du jeu », a déclaré Franck Riboud, le président de Danone, au cours d’une conférence de presse.

Il a précisé que le renchérissement des matières premières avait été compensé l’an dernier par des économies de plus de 500 millions d’euros.

Danone, dont les marques vont des yaourts Activia aux eaux Evian, prévoit pour 2011 une légère progression de sa marge opérationnelle courante d’environ 0,20%.

Cette hausse, résultant des synergies d’intégration d’Unimilk, ne se matérialisera qu’au second semestre car la coentreprise entre Danone et Unimilk dans les produits laitiers frais en Russie n’a commencé à opérer qu’au 1er décembre 2010.

LA COMPÉTITIVITÉ SERA MAINTENUE

Danone anticipe cette année une hausse de l’ensemble de ses coûts de matières premières et d’emballage de 6% à 9% en moyenne, avec une forte progression au premier semestre du fait de la base de comparaison avec 2010.

Pierre-André Terisse, le directeur financier du groupe, a précisé que la seule hausse du prix du lait serait de 5% à 8%.

« En face de cela, comme en 2010, nous allons maintenir la productivité à des niveaux très élevés équivalents à 2010 et nous utiliserons le levier prix en veillant bien à protéger notre compétitivité », a-t-il dit.

Le programme « Reset », visant une croissance des volumes, a permis au groupe de réduire « son gap de prix par rapport à la concurrence » et lui donne aujourd’hui « davantage de flexibilité » dans ce domaine, a-t-il assuré.

C’est ainsi qu’en France, Danone envisage d’augmenter de 2% à 2,5% les prix de ses produits laitiers frais après négociations avec la grande distribution, a déclaré Franck Riboud.

« C’est nous qui fixons nos tarifs », a-t-il ajouté, observant que malgré cela Danone, dont les prix ont baissé depuis deux ans, « restera compétitif ».

Pour 2011, le groupe, également présent dans la nutrition infantile et à visée médicale, vise une croissance de son chiffre d’affaires en données comparables de 6% à 8%, après celle 6,9% réalisée en 2010 alors que le groupe avait tablé sur une progression d’au moins 6%.

En Bourse, l’action Danone s’adjugeait 3,38% à 45,435 euros à 14h50 après ces résultats et perspectives jugés satisfaisants, ce qui en faisait la plus forte hausse du CAC 40, lui-même en hausse de 0,3%.

A ce niveau de cours, qui fait ressortir une capitalisation boursière de plus de 29,4 milliards d’euros, le titre cède 3,4% depuis le début de l’année, après une progression de 9,78% l’an dernier.

« Les résultats 2010 sont très bons. Les prévisions pour 2011 sont au-dessus du lot par rapport aux concurrents. La prévision de marge pour l’exercice en cours démontre que le groupe est plus confortable que ses pairs face à la hausse du coûts des matières premières », commente Pierre Tegner (Oddo Securities).

DIVIDENDE DE 1,30 EURO AU TITRE DE 2010

En 2010, Danone a enregistré un résultat opérationnel courant de 2.578 millions d’euros (+7,1% à données comparables), au regard d’un consensus de 2.569 millions. Le bénéfice net courant s’est chiffré à 1.669 millions (+14,2%, consensus 1.670 millions), faisant ressortir un bénéfice par action de 2,71 euros (+8,6%, consensus 2,73 euros).

Le chiffre d’affaires a progressé de 6,9% en données comparables à 17.010 millions d’euros (consensus 16.845 millions).

A l’issue de l’exercice 2010, les pays émergents représentaient la moitié de l’activité de Danone. Franck Riboud a souligné que la croissance économique de ces pays s’échelonnait entre 14% et 20% contre à peine 1% à 3% en France, où Danone ne réalise aujourd’hui que 11% de ses ventes.

Au titre de 2010, le groupe propose de verser un dividende de 1,30 euro, contre 1,20 euro par action un an plus tôt.

Danone a annoncé une poursuite de son programme de rachat d’actions au premier semestre dans la limite de 500 millions d’euros supplémentaires.

A la suite à la réception des produits de cession des participations non stratégiques dans les sociétés Huiyuan et Wimm Bill Dann, Danone a démarré en octobre 2010 une opération de rachat d’actions pour un montant de 500 millions d’euros. Au 4 février 2011, le groupe avait racheté 9,2 millions de titres pour un montant de 423 millions d’euros.

Edité par Dominique Rodriguez

« C’est nous qui fixons nos tarifs », a-t-il ajouté, observant que malgré cela Danone, dont les prix ont baissé depuis deux ans, « restera compétitif ».

Très intéressant! Les agriculteurs envient toujours les industriels au motif qu'ils fixent leurs tarifs... C'est oublier qu'ils doivent parfois les fixer à la baisse, parce qu'il y a concurrence!
Si Danone veut continuer à vendre, il doit s'aligner peu ou prou sur les MDD (marques de distributeurs)... Il ne peut pas obliger les consommateurs à acheter ses produits, ni les distributeurs...

PV 53 a écrit:AFP
16/02/2011 | Mise à jour : 09:57
Le gouvernement sera "vigilant" sur la répercussion de la hausse des cours des matières premières agricoles sur les prix alimentaires, a averti mercredi le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire sur France Inter. "Il n'y a pas de raison que sur les produits agroalimentaires industriels transformés, qui n'emploient qu'une infime partie des matières premières agricoles, qu'il y ait une flambée des cours", a insisté le ministre.

La répercussion ne doit se faire "que sur les produits où il y a une flambée des cours comme la viande (ou) les produits (faits à base) de blé", a-t-il énuméré. Interrogé sur une éventuelle hausse du prix de la baguette de pain dans le sillage de la flambée des cours du blé, M. Le Maire s'est voulu ferme. "Non il n'y a pas de raison que la baguette de blé flambe parce que le cours du blé flambe, il n'y a aucune raison", a-t-il prévenu, rappelant que le blé ne représentait que 6% du prix.

Et d'ajouter: "nous serons très vigilants là-dessus. En période de flambée de cours, le rôle du gouvernement est de trouver le bon équilibre entre le revenu du producteur agricole et le pouvoir d'achat des consommateurs." S'il reconnaît que l'envolée des prix des matières premières agricoles observée depuis la fin de l'année 2010 a contribué à faire augmenter les revenus de certains agriculteurs, M. Le Maire relève toutefois que les éleveurs eux "n'arrivent eux plus à s'en sortir", en raison de l'augmentation des prix de l'alimentation animale

Au moins, il mentiones que le prix du blé n'a pas beaucoup d'influence sur une baguette de pain. Ici personne ne parle à ce sujet. Et personne ne dit que le prix des produits alimentaires transformés ne sont pas venus l'an dernier. Lorsque le blé a été la moitié du prix.

Et quand le prix du blé baisse celui du pain ne baisse pas. La boulangère va dire que c'est la farine et le meunier, prix de l'énergie, etc...

voilà la valse des augmentation de nouvel an

billet de train
CSG retraite presque multiplié par 2
gaz
électricité
timbres
assurances
redevance télé
...

http://lci.tf1.fr/economie/consommation/gaz-electricite-timbre-ce-qui-augmentera-ou-baissera-au-1er-janvier-8540514.html

bravo au pays des bisounours, tout est fait pour que ça aille plus mal qu'avant  

la ,ca va mal finir pour normal 1er
ses potes s'en prennent au petit peuple
télé,gaz,electricité ,sncf etc 

dgé a écrit:voilà la valse des augmentation de nouvel an

billet de train
CSG retraite presque multiplié par 2
gaz
électricité
timbres
assurances
redevance télé
...

http://lci.tf1.fr/economie/consommation/gaz-electricite-timbre-ce-qui-augmentera-ou-baissera-au-1er-janvier-8540514.html

bravo au pays des bisounours, tout est fait pour que ça aille plus mal qu'avant  

vu la flambée des prix du blé la baguette va avoir droit a son petit coup de ......