Dans le monde, l'obésité tue plus que la faim

Dans le monde, l'obésité tue plus que la faim


D'après le rapport annuel de la Fédération internationale de la Croix-Rouge, il y a plus de personnes obèses dans le monde que de personnes souffrant de malnutrition. Une constatation qui soulève la question de l'accessibilité aux denrées alimentaires d'une part, et celle du déséquilibre alimentaire d'autre part.

Le monde compte désormais plus d'obèses que de personnes souffrant de malnutrition mais le poids des privations augmente dans un contexte de crise alimentaire croissante, a mis en garde la Fédération internationale de la Croix-Rouge dans un rapport publié jeudi à New Delhi.

L'organisme humanitaire basé à Genève a centré son rapport annuel sur les catastrophes dans le monde sur les problèmes de nutrition en soulignant la disparité entre riches et pauvres ainsi que la récente envolée des prix. Selon les statistiques de la Croix-Rouge, 1,5 milliard de personnes souffraient d'obésité dans le monde en 2010 tandis que 925 millions d'autres souffraient de malnutrition.

« Si la libre interaction du marché a abouti à une situation où 15 % de l'humanité a faim tandis que 20 % est en surpoids, il y a quelque chose qui n'a pas marché quelque part », a résumé le secrétaire général Bekele Geleta, cité dans un communiqué.

Le directeur de la Croix-Rouge pour la région Asie-Pacifique, Jagan Chapagain, a qualifié ces statistiques « de scandale à double tranchant », lors d'une conférence de presse dans la capitale indienne. Il a souligné que « les excès de l'alimentation tuent aujourd'hui plus que la faim ».


925 millions de personnes dans le monde souffrent de malnutrition. © Croix-Rouge

En 2011, les prix des denrées alimentaires ont flambé

Selon lui, le problème de la faim n'est pas dû à une pénurie de nourriture dans le monde mais à une mauvaise distribution, au gâchis et à une hausse des prix qui rend les denrées alimentaires moins accessibles. Les prix des denrées alimentaires ont flambé en 2011 à l'échelle mondiale, faisant craindre une crise alimentaire similaire à celle de 2008 qui avait provoqué des émeutes et une instabilité politique dans de nombreux pays.

La hausse des prix alimentaires, que la Croix-Rouge attribue entre autres facteurs à la spéculation sur le marché des matières premières et au changement climatique, a été perçue comme l'un des éléments déclencheurs des mouvements de protestation populaire au Mahgreb et au Moyen-Orient cette année.

« Un nouveau cycle d'inflation [...] plonge un grand nombre de personnes parmi les plus pauvres au monde dans une plus grande pauvreté et dans des situations de grave malnutrition », a dénoncé l'organisation.

Eh oui, souvent on se focalise sur les détails plutôt que sur le vrai problème ! 
Mais des fois on ne le vois pas !

comme je dis a chaque fois
commencer par mettre des cours de gestion de budget et de cuisine au college serait la meilleurs réforme de l'éducation possible !!!

mais des gens non endettés et qui sont dépendant de personne pour manger de la merde c'est tout de suite moins rentable !!

bingo a écrit:comme je dis a chaque fois
commencer par mettre des cours de gestion de budget et de cuisine au college serait la meilleurs réforme de l'éducation possible !!!

mais des gens non endettés et qui sont dépendant de personne pour manger de la merde c'est tout de suite moins rentable !!

+10000 il faut entretenir un bon gros lot de consommateurs, qui consomment peu importe quoi mais qui consomment pour faire tourner l'argent, et si tu n'en a pas on va t'en filer pour que tu gueules pas et que tu consommes.

je crois qu'il faut aussi se  poser une autre question ; quelle épouse et quelle maman cuisine encore ?? C'est tellement plus simple et beaucoup plus rapide d'aller au mac do ou d'acheter des plats cuisinés que peler des patates . Qui va encore au marché du village ? Que des vieux !!

c'est vrai mais on est à la 3éme génération qui vit comme ça, alors vas y pour inverser la tendance...

pour faire de la cuisine, il faut avoir du temps, avoir du stock à dispo, et soit être débrouillard avec peu, ou alors très rigoureux en faisant les rations pour la semaine, c'est du travail à temps partiel, et faire la popote pour 1 ou 10, c'est un peu pareil, y'a que la taille de la poêle, ou la cocotte qui change

dgé a écrit:pour faire de la cuisine, il faut avoir du temps, avoir du stock à dispo, et soit être débrouillard avec peu, ou alors très rigoureux en faisant les rations pour la semaine, c'est du travail à temps partiel, et faire la popote pour 1 ou 10, c'est un peu pareil, y'a que la taille de la poêle, ou la cocotte qui change

Non Monsieur, pour faire la cuisine, il faut aimer la vie, aimer les gens qu'on va servir, aimer le partage autour d'un repas.

Sinon, Mac do, c'est très bien pour les bourrins à portable.

Si la vie, pour eux c'est ça, laisser les à leur pauvreté d'âme et de cœur.

Soigner des cochons uniquement avec de l'orge ou engraisser des vaches au maïs c'est pas interdit mais c'est tout comme puisque les carcasses sont déclassées , par contre remplir un rayon de supermarché de plats cuisinés c'est dans les normes et ça paie .

Donc c'est bien un problème politique , comme toute les addictions , je ressens le problème comme du laisser aller qui touche les gens les moins éduqués .

napakatbra a écrit:je crois qu'il faut aussi se  poser une autre question ; quelle épouse et quelle maman cuisine encore ?? C'est tellement plus simple et beaucoup plus rapide d'aller au mac do ou d'acheter des plats cuisinés que peler des patates . Qui va encore au marché du village ? Que des vieux !!

Je ne vois qu'une seule solution :les gars ,mettez vous au fourneau !!!

iris a écrit:

napakatbra a écrit:je crois qu'il faut aussi se  poser une autre question ; quelle épouse et quelle maman cuisine encore ?? C'est tellement plus simple et beaucoup plus rapide d'aller au mac do ou d'acheter des plats cuisinés que peler des patates . Qui va encore au marché du village ? Que des vieux !!

Je ne vois qu'une seule solution :les gars ,mettez vous au fourneau !!!

faut en avoir envie du mac do ou d'acheter des plats préparés ...

Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

 ça c'est du domaine de l'éducation parentale ... sauf qu'on n'a plus le temps !

spontus a écrit: ça c'est du domaine de l'éducation parentale ... sauf qu'on n'a plus le temps !

La moyenne de la consommation télévisuelle par jour en France, je crois que c'est 3 heures/J.

iris a écrit:

napakatbra a écrit:je crois qu'il faut aussi se  poser une autre question ; quelle épouse et quelle maman cuisine encore ?? C'est tellement plus simple et beaucoup plus rapide d'aller au mac do ou d'acheter des plats cuisinés que peler des patates . Qui va encore au marché du village ? Que des vieux !!

Je ne vois qu'une seule solution :les gars ,mettez vous au fourneau !!!

Comme tu as raison. On peut partager les tâches: l'apprenti épluche, le sachant cuisine. C'est déja un bel effort!
Il est très possible de cuisiner simplement en un minimum de temps pour éviter d'ingérer les saloperies qui vous sont proposées sur les rayons.
Et, surtout éviter le sucre, un super poison......

iris a écrit:

napakatbra a écrit:je crois qu'il faut aussi se  poser une autre question ; quelle épouse et quelle maman cuisine encore ?? C'est tellement plus simple et beaucoup plus rapide d'aller au mac do ou d'acheter des plats cuisinés que peler des patates . Qui va encore au marché du village ? Que des vieux !!

Je ne vois qu'une seule solution :les gars ,mettez vous au fourneau !!!

Bizarre, bizarre la plupart des grands chefs 3 * sont des hommes...

PS : tu as raison...

spontus a écrit:

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

 ça c'est du domaine de l'éducation parentale ... sauf qu'on n'a plus le temps !

C'est du domaine parental ok, mais alors pourquoi le sport a l'école ? c'est bien pour apprendre aux élèves une certaine hygiène de vie non ? Ca pourrait aussi être du domaine des parents... m'enfin, ça doit pas être compliqué de caser 2 heures ou tous les 15 jours pour des cours cuisines etc..., bien entendu, garçons et filles !

Il y a quand même pas mal de gosses qui ne comprennent pas pourquoi on leur fait apprendre certains cours, la c'est du concret!

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

la culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié. Croire que cela ne sert a rien est faux. La preuve, le fait de pouvoir faire un laïus vient justement des bases littéraires  acquises à l'école et restant dans le tréfond du cerveau, les fameuses oubliettes. 

Moliere et consorts est toujours d'actualité  avec le bourgeois gentilhomme, le medecin malgré lui ( covid) , l'avare, tartuffe etc.. oui ça parait décalé et pourtant cela décrit les travers de l'homme bien présents encore. 

Il y a que dans les banlieues ou le discours verbal ou écrit se résume à des onomatopées  genre: wesh ! zyva!  ta reum !. Quand on n'a plus les mots on passe aux armes.

Honoré de Barzac a écrit:

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

la culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié. Croire que cela ne sert a rien est faux. La preuve, le fait de pouvoir faire un laïus vient justement des bases littéraires  acquises à l'école et restant dans le tréfond du cerveau, les fameuses oubliettes. 

Moliere et consorts est toujours d'actualité  avec le bourgeois gentilhomme, le medecin malgré lui ( covid) , l'avare, tartuffe etc.. oui ça parait décalé et pourtant cela décrit les travers de l'homme bien présents encore. 

Il y a que dans les banlieues ou le discours verbal ou écrit se résume à des onomatopées  genre: wesh ! zyva!  ta reum !. Quand on n'a plus les mots on passe aux armes.

Je me suis peut être mal exprimé, mais je n'ai pas dit supprimer cette culture, mais un peu moins rabâcher et inclure autre chose en plus ne ferait a mon avis pas de grand tord.
On a des jeunes de plus en plus diplômés mais qui bizzarement ont de plus en plus de mal à écrire une phrase sans fautes et sans parler petit nègre (pas que dans les banlieues !), donc les cours de Français ou on se tape molière de janvier a mars tous les ans de la 6 eme a la première (j'exagère un peu), ca fait un investissement énorme pour quel résultat ? (Finalement on revient sur une notion de rentabilité au travail pour l'éducation nationale, et donc qu'est ce qui serait le plus profitable au jeunes en peu de temps non ?) mais je dois pas penser comme tout le monde ...

Mick040 a écrit:

Honoré de Barzac a écrit:

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

la culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié. Croire que cela ne sert a rien est faux. La preuve, le fait de pouvoir faire un laïus vient justement des bases littéraires  acquises à l'école et restant dans le tréfond du cerveau, les fameuses oubliettes. 

Moliere et consorts est toujours d'actualité  avec le bourgeois gentilhomme, le medecin malgré lui ( covid) , l'avare, tartuffe etc.. oui ça parait décalé et pourtant cela décrit les travers de l'homme bien présents encore. 

Il y a que dans les banlieues ou le discours verbal ou écrit se résume à des onomatopées  genre: wesh ! zyva!  ta reum !. Quand on n'a plus les mots on passe aux armes.

Je me suis peut être mal exprimé, mais je n'ai pas dit supprimer cette culture, mais un peu moins rabâcher et inclure autre chose en plus ne ferait a mon avis pas de grand tord.
On a des jeunes de plus en plus diplômés mais qui bizzarement ont de plus en plus de mal à écrire une phrase sans fautes et sans parler petit nègre (pas que dans les banlieues !), donc les cours de Français ou on se tape molière de janvier a mars tous les ans de la 6 eme a la première (j'exagère un peu), ca fait un investissement énorme pour quel résultat ? (Finalement on revient sur une notion de rentabilité au travail pour l'éducation nationale, et donc qu'est ce qui serait le plus profitable au jeunes en peu de temps non ?) mais je dois pas penser comme tout le monde ...

Pour ma part , je reste persuadé qu'il existe dans les hautes sphères dirigeantes une volonté de créer des générations de crétins incultes , facilement manipulables via les médias et autres  réseaux sociaux .

Mick040 a écrit:

Honoré de Barzac a écrit:

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

la culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié. Croire que cela ne sert a rien est faux. La preuve, le fait de pouvoir faire un laïus vient justement des bases littéraires  acquises à l'école et restant dans le tréfond du cerveau, les fameuses oubliettes. 

Moliere et consorts est toujours d'actualité  avec le bourgeois gentilhomme, le medecin malgré lui ( covid) , l'avare, tartuffe etc.. oui ça parait décalé et pourtant cela décrit les travers de l'homme bien présents encore. 

Il y a que dans les banlieues ou le discours verbal ou écrit se résume à des onomatopées  genre: wesh ! zyva!  ta reum !. Quand on n'a plus les mots on passe aux armes.

Je me suis peut être mal exprimé, mais je n'ai pas dit supprimer cette culture, mais un peu moins rabâcher et inclure autre chose en plus ne ferait a mon avis pas de grand tord.
On a des jeunes de plus en plus diplômés mais qui bizzarement ont de plus en plus de mal à écrire une phrase sans fautes et sans parler petit nègre (pas que dans les banlieues !), donc les cours de Français ou on se tape molière de janvier a mars tous les ans de la 6 eme a la première (j'exagère un peu), ca fait un investissement énorme pour quel résultat ? (Finalement on revient sur une notion de rentabilité au travail pour l'éducation nationale, et donc qu'est ce qui serait le plus profitable au jeunes en peu de temps non ?) mais je dois pas penser comme tout le monde ...

Comment expliquer que notre génération fait moins de faute que les suivantes avec un niveau d'étude inférieur pourtant on en a bouffé du Molière 
Le problème vient du primaire ou je pense qu'il n'y a pas assez de moyens de mis et une fois que ça part en sucette c'est irrattrapable d'autan que les profs son laxistes sur l'orthographe

Honoré de Barzac a écrit:

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

la culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié. Croire que cela ne sert a rien est faux. La preuve, le fait de pouvoir faire un laïus vient justement des bases littéraires  acquises à l'école et restant dans le tréfond du cerveau, les fameuses oubliettes. 

Moliere et consorts est toujours d'actualité  avec le bourgeois gentilhomme, le medecin malgré lui ( covid) , l'avare, tartuffe etc.. oui ça parait décalé et pourtant cela décrit les travers de l'homme bien présents encore. 

Il y a que dans les banlieues ou le discours verbal ou écrit se résume à des onomatopées  genre: wesh ! zyva!  ta reum !. Quand on n'a plus les mots on passe aux armes.

+1000000000000000000

Biketman du 47 a écrit:

Mick040 a écrit:

Honoré de Barzac a écrit:

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

la culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié. Croire que cela ne sert a rien est faux. La preuve, le fait de pouvoir faire un laïus vient justement des bases littéraires  acquises à l'école et restant dans le tréfond du cerveau, les fameuses oubliettes. 

Moliere et consorts est toujours d'actualité  avec le bourgeois gentilhomme, le medecin malgré lui ( covid) , l'avare, tartuffe etc.. oui ça parait décalé et pourtant cela décrit les travers de l'homme bien présents encore. 

Il y a que dans les banlieues ou le discours verbal ou écrit se résume à des onomatopées  genre: wesh ! zyva!  ta reum !. Quand on n'a plus les mots on passe aux armes.

Je me suis peut être mal exprimé, mais je n'ai pas dit supprimer cette culture, mais un peu moins rabâcher et inclure autre chose en plus ne ferait a mon avis pas de grand tord.
On a des jeunes de plus en plus diplômés mais qui bizzarement ont de plus en plus de mal à écrire une phrase sans fautes et sans parler petit nègre (pas que dans les banlieues !), donc les cours de Français ou on se tape molière de janvier a mars tous les ans de la 6 eme a la première (j'exagère un peu), ca fait un investissement énorme pour quel résultat ? (Finalement on revient sur une notion de rentabilité au travail pour l'éducation nationale, et donc qu'est ce qui serait le plus profitable au jeunes en peu de temps non ?) mais je dois pas penser comme tout le monde ...

Comment expliquer que notre génération fait moins de faute que les suivantes avec un niveau d'étude inférieur pourtant on en a bouffé du Molière 
Le problème vient du primaire ou je pense qu'il n'y a pas assez de moyens de mis et une fois que ça part en sucette c'est irrattrapable d'autan que les profs son laxistes sur l'orthographe

Les lacunes de la jeune génération en langue écrite sont la conséquence du fait que les enfants ne lisent plus ...

iris a écrit:

Biketman du 47 a écrit:

Mick040 a écrit:

Honoré de Barzac a écrit:

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

la culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié. Croire que cela ne sert a rien est faux. La preuve, le fait de pouvoir faire un laïus vient justement des bases littéraires  acquises à l'école et restant dans le tréfond du cerveau, les fameuses oubliettes. 

Moliere et consorts est toujours d'actualité  avec le bourgeois gentilhomme, le medecin malgré lui ( covid) , l'avare, tartuffe etc.. oui ça parait décalé et pourtant cela décrit les travers de l'homme bien présents encore. 

Il y a que dans les banlieues ou le discours verbal ou écrit se résume à des onomatopées  genre: wesh ! zyva!  ta reum !. Quand on n'a plus les mots on passe aux armes.

Je me suis peut être mal exprimé, mais je n'ai pas dit supprimer cette culture, mais un peu moins rabâcher et inclure autre chose en plus ne ferait a mon avis pas de grand tord.
On a des jeunes de plus en plus diplômés mais qui bizzarement ont de plus en plus de mal à écrire une phrase sans fautes et sans parler petit nègre (pas que dans les banlieues !), donc les cours de Français ou on se tape molière de janvier a mars tous les ans de la 6 eme a la première (j'exagère un peu), ca fait un investissement énorme pour quel résultat ? (Finalement on revient sur une notion de rentabilité au travail pour l'éducation nationale, et donc qu'est ce qui serait le plus profitable au jeunes en peu de temps non ?) mais je dois pas penser comme tout le monde ...

Comment expliquer que notre génération fait moins de faute que les suivantes avec un niveau d'étude inférieur pourtant on en a bouffé du Molière 
Le problème vient du primaire ou je pense qu'il n'y a pas assez de moyens de mis et une fois que ça part en sucette c'est irrattrapable d'autan que les profs son laxistes sur l'orthographe

Les lacunes de la jeune génération en langue écrite sont la conséquence du fait que les enfants ne lisent plus ...

peut-être un peu ,mais pas que..
le niveau de l'enseignement(et des enseignants aussi!!) en a pris un sacré coup...

Je crois que Claude Allègre disait que le nombre de jours scolarisés sur une année  avaient fortement diminué .

la féminisation des professeurs des écoles
un maitre avec une grosse voix ramène peut être plus le calme
on ne bronchait pas autrefois avec mr c
y'avait pas de négociation qui durait la moitié du cours
une paire de baffes et c'était réglé

C'est mon frère qui avait fait rentrer ma voisine comme institutrice dans l'école privé voisine.

Il faut dire qu'elle travaillait à la Banque de France à Chalons et que le Lundi, elle y allait en vélo. Il y a 80 Km. En hiver, çà fait loin. On lui excusait des fois un peu de retard surtout car sur le porte-bagages, il y avait souvent quelques œufs ou un peu de farine.

Elle mesurai 1.56  M et était boulotte. Dans sa classe elle a eu jusque 43 garnements en CM2. Elle n'a jamais mis une gifle même au plus turbulent. 

Par contre, elle nous avait montré comment elle faisait quand le petit insupportable faisait des siennes.

Il y a de petits cheveux devant les oreilles. Vous les preniez et vous souleviez, ça fait très mal.

Moyennant quoi tous ses élèves savaient lire, écrire, compter en entrant en 6°. Ils savaient même réciter des poésies. 






Salut à toi Andrée.

iris a écrit:

Biketman du 47 a écrit:

Mick040 a écrit:

Honoré de Barzac a écrit:

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

la culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié. Croire que cela ne sert a rien est faux. La preuve, le fait de pouvoir faire un laïus vient justement des bases littéraires  acquises à l'école et restant dans le tréfond du cerveau, les fameuses oubliettes. 

Moliere et consorts est toujours d'actualité  avec le bourgeois gentilhomme, le medecin malgré lui ( covid) , l'avare, tartuffe etc.. oui ça parait décalé et pourtant cela décrit les travers de l'homme bien présents encore. 

Il y a que dans les banlieues ou le discours verbal ou écrit se résume à des onomatopées  genre: wesh ! zyva!  ta reum !. Quand on n'a plus les mots on passe aux armes.

Je me suis peut être mal exprimé, mais je n'ai pas dit supprimer cette culture, mais un peu moins rabâcher et inclure autre chose en plus ne ferait a mon avis pas de grand tord.
On a des jeunes de plus en plus diplômés mais qui bizzarement ont de plus en plus de mal à écrire une phrase sans fautes et sans parler petit nègre (pas que dans les banlieues !), donc les cours de Français ou on se tape molière de janvier a mars tous les ans de la 6 eme a la première (j'exagère un peu), ca fait un investissement énorme pour quel résultat ? (Finalement on revient sur une notion de rentabilité au travail pour l'éducation nationale, et donc qu'est ce qui serait le plus profitable au jeunes en peu de temps non ?) mais je dois pas penser comme tout le monde ...

Comment expliquer que notre génération fait moins de faute que les suivantes avec un niveau d'étude inférieur pourtant on en a bouffé du Molière 
Le problème vient du primaire ou je pense qu'il n'y a pas assez de moyens de mis et une fois que ça part en sucette c'est irrattrapable d'autan que les profs son laxistes sur l'orthographe

Les lacunes de la jeune génération en langue écrite sont la conséquence du fait que les enfants ne lisent plus ...

pour quelles raisons les lauréats du certificat d'étude de 1950, ont un niveau très largement supérieur à celui des gagnants du brevet et même de ceux du bac?
Parce que.... dictée tous les jours, exercices de grammaire (le cher Bled) à la suite, récitation des règles d'accords et autres, calculs mental quotidien, rédaction chaque semaine, enseignement  de géographie et d'histoire, non racisés, genrés etc... et personne pour les contester.
Silence et discipline dans les classes ET entrainement permanent de la mémoire. La répétition fixe les faits.
L'excellence en ligne de mire.....
D'ailleurs, les rares "écoles" qui utilisent encore ce qui précède réussissent parfaitement à obtenir d'excellents résultats.
Mais...quand à revenir à ces méthodes qui ont fait leurs preuves...........

nonord a écrit:

iris a écrit:

Biketman du 47 a écrit:

Mick040 a écrit:

Honoré de Barzac a écrit:

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

la culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié. Croire que cela ne sert a rien est faux. La preuve, le fait de pouvoir faire un laïus vient justement des bases littéraires  acquises à l'école et restant dans le tréfond du cerveau, les fameuses oubliettes. 

Moliere et consorts est toujours d'actualité  avec le bourgeois gentilhomme, le medecin malgré lui ( covid) , l'avare, tartuffe etc.. oui ça parait décalé et pourtant cela décrit les travers de l'homme bien présents encore. 

Il y a que dans les banlieues ou le discours verbal ou écrit se résume à des onomatopées  genre: wesh ! zyva!  ta reum !. Quand on n'a plus les mots on passe aux armes.

Je me suis peut être mal exprimé, mais je n'ai pas dit supprimer cette culture, mais un peu moins rabâcher et inclure autre chose en plus ne ferait a mon avis pas de grand tord.
On a des jeunes de plus en plus diplômés mais qui bizzarement ont de plus en plus de mal à écrire une phrase sans fautes et sans parler petit nègre (pas que dans les banlieues !), donc les cours de Français ou on se tape molière de janvier a mars tous les ans de la 6 eme a la première (j'exagère un peu), ca fait un investissement énorme pour quel résultat ? (Finalement on revient sur une notion de rentabilité au travail pour l'éducation nationale, et donc qu'est ce qui serait le plus profitable au jeunes en peu de temps non ?) mais je dois pas penser comme tout le monde ...

Comment expliquer que notre génération fait moins de faute que les suivantes avec un niveau d'étude inférieur pourtant on en a bouffé du Molière 
Le problème vient du primaire ou je pense qu'il n'y a pas assez de moyens de mis et une fois que ça part en sucette c'est irrattrapable d'autan que les profs son laxistes sur l'orthographe

Les lacunes de la jeune génération en langue écrite sont la conséquence du fait que les enfants ne lisent plus ...

peut-être un peu ,mais pas que..
le niveau de l'enseignement(et des enseignants aussi!!) en a pris un sacré coup...

bien souvant aujourd'hui ce n'est plus une vocation, profiter de la sécurité de l'emploi et du temps libre.
un prof motiver et pédagogue sait se faire entendre sans avoir à faire la police.
certaines zones sont plus difficile  personne ne veut y aller ils envois les jeunes profs . Ils sont bouffés d'avance

daniel89 a écrit:

iris a écrit:

Biketman du 47 a écrit:

Mick040 a écrit:

Honoré de Barzac a écrit:

Mick040 a écrit:Cuisiner c'est pas compliqué, mais ça prends quand même pas mal de temps, surtout quand on prépare les plats de nos grand mères !!! mais quand on aime bien manger ...

Je rejoins l'avis de bingo pour dire qu'au lieu de rabâcher entre autres des conneries littéraires (moliere et j'en passe) qui de toute façon passe aux oubliettes une fois qu'on rentre dans la vie active, ils feraient mieux de condenser et intégrer des cours de cuisine (il y a bien les cantines scolaires non ?), code de la route ou encore parler d'argent, comment en gagner, comment fonctionne notre sécu etc... Ca serai bien plus utile et ça met les jeunes en condition ! Et surtout, si on leur met quelque chose qui les interresse, il y a plus de chance que ça leur reste durant leur vie!

la culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié. Croire que cela ne sert a rien est faux. La preuve, le fait de pouvoir faire un laïus vient justement des bases littéraires  acquises à l'école et restant dans le tréfond du cerveau, les fameuses oubliettes. 

Moliere et consorts est toujours d'actualité  avec le bourgeois gentilhomme, le medecin malgré lui ( covid) , l'avare, tartuffe etc.. oui ça parait décalé et pourtant cela décrit les travers de l'homme bien présents encore. 

Il y a que dans les banlieues ou le discours verbal ou écrit se résume à des onomatopées  genre: wesh ! zyva!  ta reum !. Quand on n'a plus les mots on passe aux armes.

Je me suis peut être mal exprimé, mais je n'ai pas dit supprimer cette culture, mais un peu moins rabâcher et inclure autre chose en plus ne ferait a mon avis pas de grand tord.
On a des jeunes de plus en plus diplômés mais qui bizzarement ont de plus en plus de mal à écrire une phrase sans fautes et sans parler petit nègre (pas que dans les banlieues !), donc les cours de Français ou on se tape molière de janvier a mars tous les ans de la 6 eme a la première (j'exagère un peu), ca fait un investissement énorme pour quel résultat ? (Finalement on revient sur une notion de rentabilité au travail pour l'éducation nationale, et donc qu'est ce qui serait le plus profitable au jeunes en peu de temps non ?) mais je dois pas penser comme tout le monde ...

Comment expliquer que notre génération fait moins de faute que les suivantes avec un niveau d'étude inférieur pourtant on en a bouffé du Molière 
Le problème vient du primaire ou je pense qu'il n'y a pas assez de moyens de mis et une fois que ça part en sucette c'est irrattrapable d'autan que les profs son laxistes sur l'orthographe

Les lacunes de la jeune génération en langue écrite sont la conséquence du fait que les enfants ne lisent plus ...

pour quelles raisons les lauréats du certificat d'étude de 1950, ont un niveau très largement supérieur à celui des gagnants du brevet et même de ceux du bac?
Parce que.... dictée tous les jours, exercices de grammaire (le cher Bled) à la suite, récitation des règles d'accords et autres, calculs mental quotidien, rédaction chaque semaine, enseignement  de géographie et d'histoire, non racisés, genrés etc... et personne pour les contester.
Silence et discipline dans les classes ET entrainement permanent de la mémoire. La répétition fixe les faits.
L'excellence en ligne de mire.....
D'ailleurs, les rares "écoles" qui utilisent encore ce qui précède réussissent parfaitement à obtenir d'excellents résultats.
Mais...quand à revenir à ces méthodes qui ont fait leurs preuves...........

j'&ai encore les livres scolaires de ma mère qui était instit dans ces années là: j'en ai un sur le bureau éditions Nathan, écrit par A.Souché titre la récitation française au cours élémentaire.Et pas n'importe quelles récitations: anatole France, théophile Gautier, victor Hugo, la fontaine.... en cours élémentaire !

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