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Considérations sur les controverses concernant le réchauffement "climatique"
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Considérations sur les controverses concernant le réchauffement "climatique"
excellent article , long mais petite parenthèse:Je trouve désespérant que certains renoncent à lire un article sous prétexte qu'il leur paraît trop long, c'est un signe de décrépitude intellectuelle gravement préoccupant; "la curiosité est le moteur de l'intelligence."
Il est un fait certain : notre époque se polarise sur le phénomène du réchauffement "climatique" qui, naguère étudié par des climatologues et des scientifiques de l’écologie du même nom, a fait l’objet d’une médiatisation poussée, d’une politisation et d’une idéologisation importantes, conséquence de l’activité des mouvements écologiques politisés et des lobbies directement intéressés par les aspects économiques en découlant.
Ces mouvements puissants, organisés, disposant de moyens financiers importants, comme Greenpeace, ont alors réussi, par une médiatisation télévisuelle intense et des films, comme celui d’Al Gore, et plus récemment celui de Yann Arthus-Bertrand, à distiller l’idée que les phénomènes auxquels nous assistons sont dus à l’activité humaine, et en particulier à l’accentuation de l’effet de serre.
Il existe toutefois d’autres hypothèses, scientifiques, qui permettent d’expliquer le phénomène dit de "réchauffement climatique". D’après les analyses menées sur les carottes de glace prélevées dans l’Antarctique, on arrive à retracer l’évolution de la température sur de très longues périodes, jusqu’à 400.000 ans, et on observe un cycle de 100.000 ans, avec un pic actuel analogue à celui d’il y a 100.000 ans.
Entre ces 2 pics, 5 fluctuations sont observées, et nous nous situons à mi-chemin entre l’optimum de l’Holocène, il y a 10.000 ans, et le prochain minimum. Nous serions ainsi en régime de refroidissement.
Pour ce qui concerne le pic de 100.000 ans, où nous nous trouvons aussi, il serait dû à des configurations astronomiques : ellipticité de l’orbite de la Terre, inclinaisons de son axe de rotation par rapport à l’écliptique, position du système solaire dans notre galaxie (il en fait le tour en 250 millions d’années) qui l’amène à recevoir davantage d’énergie si il se situe dans un bras galactique peuplé d’étoiles et non entre 2 bras où les rayonnements sont moindres.
Si la Terre est en moyenne plus près du Soleil (orbite circulaire) ou si son axe de rotation est perpendiculaire au rayon Terre-Soleil, elle reçoit un surcroît d’énergie par m². Si, en plus, le système solaire est dans un bras galactique, il reçoit beaucoup plus d’énergie de la part de ses étoiles et beaucoup plus de rayons cosmiques. Nous serions dans cette configuration.
Par ailleurs, l’activité solaire est variable, d’une part dans son demi-cycle de 11 ans, d’autre part pour son activité propre corrélée au nombre de taches solaires. Le petit âge glaciaire de 1350 à 1850, accentué de 1650 à 1850, était caractérisé par un très faible nombre de taches solaires, et on a ainsi pu corréler valablement la température avec la durée du cycle qui évolue de 9 à 13 ans (moyenne 11 ans). En fait, ceci est évident car la source principale d’énergie que reçoit la Terre est le Soleil !
Comme la Terre doit évacuer son énergie interne provenant essentiellement de la radioactivité de ses éléments, il est clair que si elle reçoit davantage d’énergie extérieure, sa température d’équilibre radiatif va croître pour assurer cet échange thermique.
On assiste ainsi à un réchauffement global de la planète, et non à un réchauffement climatique, dont les conséquences vont être multiples.
D’abord la Terre, plus chaude, va se dilater, ce qui conduit la douzaine de plaques à être plus mobiles : la subduction va augmenter, avec le volcanisme associé, que ce soit sur les continents ou sur les rides médio-océaniques, libérant d’énormes quantités de CO2.
Ensuite les océans vont se réchauffer dans leur masse, alors que le réchauffement climatique ne chaufferait que la couche superficielle (l’eau chaude est plus légère et flotte en surface). Les mesures montrent bien que le cœur des océans (mais aussi le fond des mines) se réchauffe.
Ce réchauffement de la masse libère alors d’une part le gaz carbonique dissous, mais d’autre part le méthane tapissant le fond des océans sous forme de clathrates (glace d’eau et de méthane), puisque c’est le fond des abysses qui se réchauffe.
Or, le méthane a une puissance d’effet de serre au moins 20 fois supérieure à celle du CO2, et on observera que le GIEC et autres propagandes n’évoquent que le CO2 et rarement le méthane. Celui-ci est d’ailleurs produit par les herbivores, mais aussi par toutes les espèces végétales qui vivent dans l’eau (rizières, mangroves, marécages etc.), et comme la moitié de la population mondiale utilise le riz pour sa survie, il ne serait pas écologiquement correct de demander leur suppression… sauf pour les thèses de Malthus (1766-1834).
Enfin, il est évident qu’une population mondiale qui est passée de 1 milliard en 1800 à 6 milliards en 2000 et qui nécessite de 2000 à 4000 kilocalories par jour, va consommer plus de ressources énergétiques (pétrole, gaz, charbon) mais aussi chimiques (engrais, textiles, produits chimiques etc.) et va forcément émettre beaucoup plus de CO2.
Mais, quoi qu’il en soit, ce CO2 anthropique ne représente que quelques pourcents dans le bilan global mondial, de 1 à 3%.
Autrement dit, l’effet anthropique n’est pas responsable de l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère, si ce n’est par le fait que la population mondiale de 6 milliards de personnes a forcément un effet, quel qu’il soit.
Conséquences des variations climatiques dues au réchauffement global
Lorsqu’on interroge la population sur les raisons de sa peur du "réchauffement climatique" alors qu’elle pourrait se réjouir de voir diminuer sa facture d’énergie de chauffage, laquelle se traduirait par moins d’émissions de CO2 des centrales thermiques, une moindre importation de gaz, pétrole et charbon, réduisant le déficit commercial, une diminution des dépenses de protection contre le froid (habitations, isolations, habillement etc.)
on constate que 4 catégories de conséquences sont évoquées : élévation du niveau des océans, modifications de la nature et de la répartition des espèces végétales et animale, sécheresses en certains lieux et inondations d’autres, problèmes dans la répartition des eaux pluviales.
Elévation du niveau des océans
Les océans recouvrant les 2/3 de la planète avec une profondeur moyenne de 3000 mètres, il faut une quantité d’énergie colossale pour en assurer le réchauffement de quelques degrés, et donc augmenter le volume par dilatation thermique. De plus, les océans se refroidissent par rayonnement et évaporation.
S’il s’agissait de "réchauffement climatique", ce serait donc du dessus que la chaleur nécessaire devrait provenir. Or, d’une part l’air a une très faible capacité calorifique, une conduction thermique réduite et un coefficient d’échange de basse valeur, ne lui permettant pas d’assurer le bilan thermique, et d’autre part l’eau chauffée en surface ne pourrait pas réchauffer l’eau profonde.
Retenir le "réchauffement climatique" implique donc un non réchauffement des cœurs des océans, et donc une non variation de leur niveau !
Par ailleurs, l’énergie solaire se réfléchit sur les nuages et les surfaces claires (effet d’albedo) et une grande partie est renvoyée dans l’espace. Pour réchauffer les océans, il faut donc que la chaleur provienne du manteau, ce qui implique le réchauffement global, indépendant de l’effet anthropique.
On évoque alors la fonte des glaciers. Ceux-ci ne fondent pas par "réchauffement climatique" (effet d’albedo conduisant le rayonnement solaire à être réfléchi, capacité calorifique de l’air froid réduite) mais diminuent de volume car, fondant par la base, ils s’écoulent plus rapidement vers les océans et, s’ils ne sont pas rechargés par des chutes de neige, le bilan charge/décharge diminue leur volume.
Comme presque 90% de l’eau stockée sous forme de glaciers se situe en Antarctique, la fonte des autres glaciers (Arctique, montagnes), même supposée totale, ne pourrait pas accroître de beaucoup le niveau des océans.
Reste ainsi la fonte des glaces de l’Antarctique, énorme continent recouvert d’une calotte de glace de 3000 mètres d’épaisseur.
Mais il se trouve que cette épaisseur s’accroît au lieu de diminuer ! Ce qui n’est pas étonnant, car les masses d’eau évaporée s’y condensent progressivement, les courants du manteau n’y apportant pas la chaleur suffisante pour le réchauffement de la base du continent et, de plus, la glace ne transmettant pas la chaleur.
Tout ceci indique que seul le réchauffement global est envisageable, et qu’il n’y a que peu de probabilité pour que le niveau des océans s’accroisse, si on tient compte en outre de l’augmentation de l’évaporation des océans.
On évoque la disparition de certaines petites iles ou atolls du Pacifique, mais en général cela est dû à l’enfoncement progressif des plaques continentales sous-jacentes qui les supportent. On oublie aussi les phénomènes d’isostasie qui conduisent des continents à s’élever, comme le Canada, ou d’autres à s’enfoncer (comme à Venise). Autrement dit, une élévation du niveau marin local peut être dû à un enfoncement du niveau terrestre ! Rien à voir avec le "réchauffement climatique".
Quant à la fonte de la banquise de l’Arctique, qui recouvre une partie de l’océan et non un continent, d’une part elle ne peut s’effectuer que par le dessous, donc par courant marin plus chaud provenant vraisemblablement de la ride médio-océanique qui porte l’Islande à proximité, d’autre part le niveau de l’eau ne peut s’accroître, puisque la glace flotte au-dessus.
Modification de la nature et de la répartition des espèces
Il est évident qu’il y aura adaptation des espèces, végétales et animales, en fonction du climat. Toutes les études passées l’ont montré depuis l’Holocène et bien avant. Ainsi les grands cycles (100.000 ans et 20.000 ans), toujours en cours, amèneront des modifications qui peuvent être prévues d’ores et déjà, et on ne voit pas pourquoi il en serait autrement, malgré le conservatisme des "écolos".
Quant à l’homme, de même qu’il s’est adapté aux grandes périodes froides puis chaudes, il a toutes les capacités pour s’adapter à ces modifications, surtout du fait de leur lenteur et parce qu’il en a les moyens technologiques.
Sécheresses en certains lieux et inondations dans d’autres
On l’a vu, le réchauffement global amène le globe à assurer son refroidissement par une nouvel équilibre dans le mouvement des courants mantelliques. Il y aura ainsi des zones terrestres qui seront réchauffées plus que d’autres, amenant des sécheresses locales, par réchauffement des sols.
Mais ailleurs, il y aura augmentation de l’évaporation, donc de la couche nuageuse, de sa quantité d’eau et d’énergie, ce qui conduira à davantage de précipitations, plus violentes, et à des modifications des mouvements généraux de l’atmosphère, cyclones, cellules nuageuses etc. D’où des inondations locales.
Tout ceci est bien connu, bien étudié, et fait partie de l’écologie scientifique. Il est bien évident que la succession des cycles (100.000 et 20.000 ans) se traduit par des modifications climatiques et qu’il y a de nombreux rééquilibrages comme ceux qui sont actuellement observés. La science actuelle décrit très bien ce qui s’est produit dans le passé et est en mesure d’établir des prévisions réalistes pour l’avenir.
Encore une fois, l’effet anthropique dans ces grands cycles naturels reste de faible portée, les énergies en cause étant incommensurables. A titre d’exemple, on peut comparer le dégagement de CO2 provenant des volcans (Pinatubo, Mount St Helen, volcans sous-marins des rides médio-océaniques…) à ceux d’origine anthropique, et s’apercevoir que la part attribuée à l’activité humaine est infime.
Problèmes dans la répartition des eaux pluviales
En conséquence directe des modifications climatiques précédentes, il y aura modification du régime des pluies, conduisant certaines régions du globe à un déficit, et d’autres à des excédents.
Cela peut conduire à des conflits pour l’accès à l’eau, à la gestion des fleuves, à des déplacements de populations. Mais, une fois encore, d’une part l’homme arrivera à trouver des solutions, d’autre part cela est une conséquence des grands cycles naturels. Il s’agira alors de problèmes politiques et de coopération internationale pour assurer la répartition de l’eau et tenter d’éviter des guerres pour son contrôle.
Hypothèses sur les motivations des mouvements écologiques
Quelles peuvent être, alors, les motivations de ces mouvements puissants qui veulent imposer leur modèle de réchauffement climatique d’origine anthropique ?
-) D’abord politique et écologique en prolongement et dans le cadre de la lutte contre l’énergie nucléaire civile qui, en Occident, n’a jamais fait de victime depuis un demi-siècle (la catastrophe de Tchernobyl étant abusivement assimilée à l’Occident, alors que la technologie soviétique en est très en-deçà et que les raisons de la catastrophe sont dues au débranchement des systèmes de sécurité par des personnels nommés en fonction de leur appartenance au Parti).
A noter aussi que le problème des déchets nucléaires de longue période avait été réglé dans Super-Phénix, à Marcoule, par insertion dans les crayons du cœur du réacteur, lequel a été arrêté dès l’arrivée des écologistes du gouvernement Jospin. En fait, ces déchets ultimes ne représentent que 3 fûts de 200 litres par an, en France, mais leur destruction aurait ruiné le fonds de commerce des écologistes. Donc problème idéologique et politique.
On fait croire ainsi à la population que les énergies de substitution, comme le solaire, l’éolien, la géothermie, les marées, peuvent remplacer l’énergie d’origine nucléaire et thermique, alors que les rendements annuels très faibles correspondent tout au plus à 1 à 3% de l’énergie nécessaire, et ceci à un coût d’au moins 20 fois plus élevé.
En conséquence de quoi l’abandon du nucléaire demanderait des centrales thermiques au gaz, pétrole ou charbon… ce qui dégagerait des quantités importantes de CO2 "responsables" de l’effet de serre. On comprend un certain malaise chez les écologistes !
-) Ensuite économique, car les lobbies fabriquant les éoliennes, appareils photovoltaïques, batteries etc. ont vite compris la rentabilité élevée qu’ils pourraient en tirer, malgré le faible rendement et le coût très élevé de l’énergie produite. Si on n’avait pas imposé à EDF de racheter au prix fort cette électricité, subventionné largement le propriétaire du terrain pour l’inciter à y disposer des éoliennes (et la commune corrélativement) personne n’accepterait de financer les surcoûts très importants… qui se retrouvent répartis sur les factures d’électricité de chaque consommateur et sur les taxes locales des communes.
Autrement dit, on impose par le biais de ces taxes obligatoires réparties astucieusement sur le plus grand nombre le financement de ces dispositifs non rentables économiquement.
A la réflexion, cela permet à des secteurs de Recherche et Développement de disposer de ressources qu’ils n’auraient pas pu obtenir autrement, et donc de recruter des chercheurs, ingénieurs et techniciens pour mettre au point et améliorer les rendements très faibles actuellement.
De plus, en cas de réussite, notre pays pourra vendre ces produits de haute technologie et améliorer sa balance des paiements. A ce titre, si la campagne d’économies d’énergie très médiatisée réussit, le surplus d’électricité pourra être vendu aux pays européens où les écologistes ont entravé l’énergie nucléaire et qui doivent importer de l’électricité.
En fait, tout ceci est bien réfléchi, bien monté, bien organisé et les intérêts économiques sont suffisamment élevés pour que tout soit mis en place en vue de la réussite.
A notre époque de médiatisation à outrance, c’est par le biais de l’action psychologique et de la propagande qu’il faut convaincre la population désinformée scientifiquement non seulement d’accepter toutes ces taxes (la dernière en cours étant le projet de taxe Rocard sur toutes les énergies, dont l’électricité nucléaire, qui pourtant n’émet pas de CO2 !) mais encore de croire que les allégations présentées comme "scientifiques" sont vraies et vont conduire la Terre au désastre si on ne fait rien.
On agit ainsi par la peur au moyen de films-catastrophes et, pour faire croire que ces faits sont scientifiques, on crée le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) qui, comme son nom l’indique, est en fait un groupe politique où la majorité des experts ne sont pas des scientifiques, et où les quelques scientifiques ayant accepté d’y participer sont dûment avertis du risque de perdre leur poste, leur situation ou leurs crédits s’ils ne sont pas "écologiquement corrects". J’ai vérifié ce point personnellement.
Quant aux autres scientifiques, indépendants du GIEC, des campagnes médiatiques sont organisées pour les discréditer, s’ils osent dire la vérité (cas de M. Allègre, scientifique, géophysicien, Directeur du BRGM, qui dispose de l’assise scientifique nécessaire au contraire de tous les journalistes, cinéastes, écologistes et autres "experts" qui se répandent dans les médias) ou alors des pressions dissuasives sont exercées pour qu’ils gardent le silence (type CNRS).
Si on analyse les rapports du GIEC, on constate une grande indétermination dans les prévisions (existence de 4 scénarios), des résultats contradictoires sur les zones réchauffées ou refroidies, sur les précipitations et leur localisation, sur les dates, etc. Cela est dû essentiellement à la modélisation informatique et à la puissance des ordinateurs disponibles, encore insuffisante.
En fait, tout n’est qu’un modèle mathématique où les équations sont si nombreuses et si compliquées qu’on ne sait ni ne peut les résoudre !
Comme on veut toutefois alimenter la machine médiatique, on procède à des simplifications ; par exemple, on néglige l’effet des océans, de la couverture nuageuse, des glaces polaires, et les mailles de calcul sont de plusieurs centaines de kms. Par ailleurs, on parle de température "moyenne" de la planète, ce qui est une variable mathématique, alors qu’elle est extrêmement variable en réalité (- 50° aux pôles, + 50° au Sahara, entre les deux à la surface des océans et en région tempérée). On fait donc au mieux, d’où les différences de résultats entre les équipes, et on ne peut même pas retrouver le climat passé connu depuis 1950, alors qu’on se permet de faire des prédictions sur 100 ans…
Quant à l’évolution de la température "moyenne" de la Terre, elle n’a aucun sens car les séries de mesures antérieures sont d’une part locales, d’autre part assez peu nombreuses, assez imprécises, non homogènes avec les mesures actuelles et enfin relativement récentes.
Quant au niveau "moyen" des océans, les coefficients de marées sont de l’ordre de plusieurs mètres, les ondes de marées parcourant tous les océans (2/3 de la surface du globe) deux fois par jour et l’imprécision sur le niveau "moyen" est supérieure à la hausse supposée de ceux-ci. Même par satellite, dont l’orbite est très fluctuante en altitude, on ne peut mesurer valablement une variation infime par rapport aux ondes de marées. Reste ainsi l’observation d’une mer fermée comme la Méditerranée dont le niveau apparaît comme stable, depuis longtemps…
En résumé, les rapports du GIEC sont des modèles mathématiques simplifiés, très éloignés encore de la réalité très complexe, incapables de retracer le passé et donc de prévoir l’avenir. Ayant fait personnellement beaucoup de calcul scientifique sur la modélisation du fonctionnement des installations de l’industrie chimique, je peux apprécier les difficultés inhérentes à la résolution des équations mathématiques très compliquées, et ainsi les écarts substantiels entre la théorie et la pratique. Il est simplement consternant de voir ce que l’idéologie et la propagande ont fait médiatiquement de ces résultats qui ne sont que des élucubrations mathématiques simplifiées.
Résumé, en guise de conclusion
Le soi-disant "réchauffement climatique" dû à l’activité anthropique est une mystification bien montée, bien organisée, bien financée par des mouvements puissants, contrôlant les médias, ayant des objectifs politiques, idéologiques, économiques et financiers.
Profitant de la désinformation scientifique de la population, ils agissent par le biais de l’action psychologique et de la propagande, en utilisant la peur, l’émotion et la désinformation généralisée et systématique, voire des pressions sur les scientifiques.
Les intérêts sont tels (politiques pour les écologistes, économiques pour les lobbies, financiers pour l’Etat par le biais des taxes, et la relance de secteurs industriels non rentables, etc.) que la vérité scientifique est ignorée, bafouée ou même contredite.
De nombreux arguments montrent qu’il s’agit d’un réchauffement global de la planète, d’origine naturelle, connu et retracé selon des cycles de 100.000 ans et 20.000 ans, lié essentiellement à des configurations astronomiques selon la position de la Terre sur son orbite, du système solaire dans la galaxie, et de l’activité propre des cycles solaires.
Ce réchauffement explique bien celui des océans, avec dégagement du gaz carbonique et du méthane qu’ils contiennent, l’activité volcanique terrestre et sous-marine par mobilité accrue des plaques continentales due à la dilatation thermique du globe, et la répartition des zones arides en liaison avec les courants mantelliques, ce que n’arrive pas à faire le modèle du réchauffement climatique.
Les conséquences climatiques sont bien étudiées, connues par l’analyse du passé lors des cycles précédents et leur énoncé (sécheresses, inondations, cyclones, variation du niveau des océans …) sert d’ailleurs à alimenter les films-catastrophes.
L’effet anthropique allégué, malgré le passage de la population mondiale de 1 à 6 milliards d’individus depuis 2 siècles, représente au plus 3% des émissions mondiales de CO2, ce qui est négligeable, alors que l’effet du méthane, 20 fois plus puissant, est escamoté.
En effet, celui-ci est produit au fond des océans, dans les rizières et par les ruminants et, sauf à supprimer la moitié de la population comme le souhaitait Malthus, on ne le mentionne pas car on ne peut ni le taxer, ni le réduire, au contraire du CO2 .
Ce réchauffement global, cyclique et naturel, ne peut évidemment pas être enrayé par l’homme. Les énergies en jeu sont colossales et incommensurables avec celles mises en jeu par l’humanité qui, dans sa situation actuelle, continuera sa consommation pour de simples raisons de survie.
On rappelle que chaque être humain a besoin de 2.000 à 4.000 kilo-calories par jour. Donc l’éventuelle réduction de consommation d’énergie qu’elle pourrait consentir, en y consacrant des moyens financiers prélevés sur ceux dont elle a besoin pour son développement, représenterait un écart de faible importance au total.
Ainsi, l’humanité ferait bien de prendre en compte sérieusement ce phénomène naturel du réchauffement global de la planète, sans avoir l’orgueil de vouloir le réduire (image d’un enfant tapant de ses mains sur une muraille pour tenter de l’abattre !), et de prendre des mesures positives et rationnelles pour faire face à ses conséquences inéluctables, par exemple pour ce qui concerne la gestion de l’eau (barrages et retenues, digues et canaux, traitement et réseaux d’alimentation en eau potable, etc.) et l’utilisation de l’énergie nécessaire au développement (nucléaire, solaire…) mais aussi les transformations chimiques appliquées au charbon pour la production de toutes les molécules nécessaires (carburant, engrais, textiles, produits chimique, etc.).
Autrement dit, au lieu de taxer l’économie pour financer des projets très coûteux et non rentables économiquement, ce qui l’affaiblit, et ceci au profits de lobbies et de mouvements qui ne considèrent que leurs intérêts égoïstes à court terme, on ferait mieux de travailler au vrai développement au service de l’humanité, en prenant en considération les conséquences d’un phénomène naturel qui s’impose à elle, et qu’elle subira inexorablement malgré les gesticulations et les agitations des écologistes.
Les moyens financiers peuvent être dégagés (cf. les milliards injectés dans les circuits bancaires pour enrayer la crise financière récente ou les milliards affectés aux armements dans tous les pays du monde, etc.) et le génie de l’homme a toujours réussi à trouver les moyens de s’adapter aux évolutions naturelles de la planète. Encore faut-il qu’une prise de conscience basée sur la vérité et non sur le mensonge se produise et que l’humanité toute entière se mobilise pour faire face à un phénomène global qui la concerne sans distinction.
Ceci implique un nouveau paradigme à l’échelle des politiques mondiales et donc un changement radical dans le mental des populations, c’est-à-dire un saut caractéristique dans l’évolution humaine. Il se pourrait que nous assistions à l’éclosion de cette transformation mais, compte tenu des décalages mentaux, voire leur arriération, que l’on peut estimer grâce à la teneur des messages délivrés par les médias, il semble qu’il faudra encore beaucoup de temps pour qu’elle se produise, tellement les passions et les intérêts matérialistes dominent et offrent de résistances.
En conséquence, et c’est bien consternant, il est probable que les vraies mesures pour faire face (sans avoir la prétention d’en enrayer les causes) aux conséquences inéluctables du réchauffement global, et non pas climatique, ne seront pas prises posément en temps utile mais plutôt sous la contrainte des événements, d’origine naturelle et non anthropique.
C’est le drame du genre humain qui, dans son aveuglement passionnel et ses intérêts matérialistes à court terme, n’a jamais voulu écouter la voix de la sagesse et de la raison mais doit s’y résigner après avoir subi des souffrances qu’il aurait pu éviter. Et c’est très probablement ce que nous observerons encore une fois.
Triste épilogue pour ces considérations sur le soi-disant "réchauffement climatique" !
(J.L. Roger-2 septembre 2009)
Il est un fait certain : notre époque se polarise sur le phénomène du réchauffement "climatique" qui, naguère étudié par des climatologues et des scientifiques de l’écologie du même nom, a fait l’objet d’une médiatisation poussée, d’une politisation et d’une idéologisation importantes, conséquence de l’activité des mouvements écologiques politisés et des lobbies directement intéressés par les aspects économiques en découlant.
Ces mouvements puissants, organisés, disposant de moyens financiers importants, comme Greenpeace, ont alors réussi, par une médiatisation télévisuelle intense et des films, comme celui d’Al Gore, et plus récemment celui de Yann Arthus-Bertrand, à distiller l’idée que les phénomènes auxquels nous assistons sont dus à l’activité humaine, et en particulier à l’accentuation de l’effet de serre.
Il existe toutefois d’autres hypothèses, scientifiques, qui permettent d’expliquer le phénomène dit de "réchauffement climatique". D’après les analyses menées sur les carottes de glace prélevées dans l’Antarctique, on arrive à retracer l’évolution de la température sur de très longues périodes, jusqu’à 400.000 ans, et on observe un cycle de 100.000 ans, avec un pic actuel analogue à celui d’il y a 100.000 ans.
Entre ces 2 pics, 5 fluctuations sont observées, et nous nous situons à mi-chemin entre l’optimum de l’Holocène, il y a 10.000 ans, et le prochain minimum. Nous serions ainsi en régime de refroidissement.
Pour ce qui concerne le pic de 100.000 ans, où nous nous trouvons aussi, il serait dû à des configurations astronomiques : ellipticité de l’orbite de la Terre, inclinaisons de son axe de rotation par rapport à l’écliptique, position du système solaire dans notre galaxie (il en fait le tour en 250 millions d’années) qui l’amène à recevoir davantage d’énergie si il se situe dans un bras galactique peuplé d’étoiles et non entre 2 bras où les rayonnements sont moindres.
Si la Terre est en moyenne plus près du Soleil (orbite circulaire) ou si son axe de rotation est perpendiculaire au rayon Terre-Soleil, elle reçoit un surcroît d’énergie par m². Si, en plus, le système solaire est dans un bras galactique, il reçoit beaucoup plus d’énergie de la part de ses étoiles et beaucoup plus de rayons cosmiques. Nous serions dans cette configuration.
Par ailleurs, l’activité solaire est variable, d’une part dans son demi-cycle de 11 ans, d’autre part pour son activité propre corrélée au nombre de taches solaires. Le petit âge glaciaire de 1350 à 1850, accentué de 1650 à 1850, était caractérisé par un très faible nombre de taches solaires, et on a ainsi pu corréler valablement la température avec la durée du cycle qui évolue de 9 à 13 ans (moyenne 11 ans). En fait, ceci est évident car la source principale d’énergie que reçoit la Terre est le Soleil !
Comme la Terre doit évacuer son énergie interne provenant essentiellement de la radioactivité de ses éléments, il est clair que si elle reçoit davantage d’énergie extérieure, sa température d’équilibre radiatif va croître pour assurer cet échange thermique.
On assiste ainsi à un réchauffement global de la planète, et non à un réchauffement climatique, dont les conséquences vont être multiples.
D’abord la Terre, plus chaude, va se dilater, ce qui conduit la douzaine de plaques à être plus mobiles : la subduction va augmenter, avec le volcanisme associé, que ce soit sur les continents ou sur les rides médio-océaniques, libérant d’énormes quantités de CO2.
Ensuite les océans vont se réchauffer dans leur masse, alors que le réchauffement climatique ne chaufferait que la couche superficielle (l’eau chaude est plus légère et flotte en surface). Les mesures montrent bien que le cœur des océans (mais aussi le fond des mines) se réchauffe.
Ce réchauffement de la masse libère alors d’une part le gaz carbonique dissous, mais d’autre part le méthane tapissant le fond des océans sous forme de clathrates (glace d’eau et de méthane), puisque c’est le fond des abysses qui se réchauffe.
Or, le méthane a une puissance d’effet de serre au moins 20 fois supérieure à celle du CO2, et on observera que le GIEC et autres propagandes n’évoquent que le CO2 et rarement le méthane. Celui-ci est d’ailleurs produit par les herbivores, mais aussi par toutes les espèces végétales qui vivent dans l’eau (rizières, mangroves, marécages etc.), et comme la moitié de la population mondiale utilise le riz pour sa survie, il ne serait pas écologiquement correct de demander leur suppression… sauf pour les thèses de Malthus (1766-1834).
Enfin, il est évident qu’une population mondiale qui est passée de 1 milliard en 1800 à 6 milliards en 2000 et qui nécessite de 2000 à 4000 kilocalories par jour, va consommer plus de ressources énergétiques (pétrole, gaz, charbon) mais aussi chimiques (engrais, textiles, produits chimiques etc.) et va forcément émettre beaucoup plus de CO2.
Mais, quoi qu’il en soit, ce CO2 anthropique ne représente que quelques pourcents dans le bilan global mondial, de 1 à 3%.
Autrement dit, l’effet anthropique n’est pas responsable de l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère, si ce n’est par le fait que la population mondiale de 6 milliards de personnes a forcément un effet, quel qu’il soit.
Conséquences des variations climatiques dues au réchauffement global
Lorsqu’on interroge la population sur les raisons de sa peur du "réchauffement climatique" alors qu’elle pourrait se réjouir de voir diminuer sa facture d’énergie de chauffage, laquelle se traduirait par moins d’émissions de CO2 des centrales thermiques, une moindre importation de gaz, pétrole et charbon, réduisant le déficit commercial, une diminution des dépenses de protection contre le froid (habitations, isolations, habillement etc.)
on constate que 4 catégories de conséquences sont évoquées : élévation du niveau des océans, modifications de la nature et de la répartition des espèces végétales et animale, sécheresses en certains lieux et inondations d’autres, problèmes dans la répartition des eaux pluviales.
Elévation du niveau des océans
Les océans recouvrant les 2/3 de la planète avec une profondeur moyenne de 3000 mètres, il faut une quantité d’énergie colossale pour en assurer le réchauffement de quelques degrés, et donc augmenter le volume par dilatation thermique. De plus, les océans se refroidissent par rayonnement et évaporation.
S’il s’agissait de "réchauffement climatique", ce serait donc du dessus que la chaleur nécessaire devrait provenir. Or, d’une part l’air a une très faible capacité calorifique, une conduction thermique réduite et un coefficient d’échange de basse valeur, ne lui permettant pas d’assurer le bilan thermique, et d’autre part l’eau chauffée en surface ne pourrait pas réchauffer l’eau profonde.
Retenir le "réchauffement climatique" implique donc un non réchauffement des cœurs des océans, et donc une non variation de leur niveau !
Par ailleurs, l’énergie solaire se réfléchit sur les nuages et les surfaces claires (effet d’albedo) et une grande partie est renvoyée dans l’espace. Pour réchauffer les océans, il faut donc que la chaleur provienne du manteau, ce qui implique le réchauffement global, indépendant de l’effet anthropique.
On évoque alors la fonte des glaciers. Ceux-ci ne fondent pas par "réchauffement climatique" (effet d’albedo conduisant le rayonnement solaire à être réfléchi, capacité calorifique de l’air froid réduite) mais diminuent de volume car, fondant par la base, ils s’écoulent plus rapidement vers les océans et, s’ils ne sont pas rechargés par des chutes de neige, le bilan charge/décharge diminue leur volume.
Comme presque 90% de l’eau stockée sous forme de glaciers se situe en Antarctique, la fonte des autres glaciers (Arctique, montagnes), même supposée totale, ne pourrait pas accroître de beaucoup le niveau des océans.
Reste ainsi la fonte des glaces de l’Antarctique, énorme continent recouvert d’une calotte de glace de 3000 mètres d’épaisseur.
Mais il se trouve que cette épaisseur s’accroît au lieu de diminuer ! Ce qui n’est pas étonnant, car les masses d’eau évaporée s’y condensent progressivement, les courants du manteau n’y apportant pas la chaleur suffisante pour le réchauffement de la base du continent et, de plus, la glace ne transmettant pas la chaleur.
Tout ceci indique que seul le réchauffement global est envisageable, et qu’il n’y a que peu de probabilité pour que le niveau des océans s’accroisse, si on tient compte en outre de l’augmentation de l’évaporation des océans.
On évoque la disparition de certaines petites iles ou atolls du Pacifique, mais en général cela est dû à l’enfoncement progressif des plaques continentales sous-jacentes qui les supportent. On oublie aussi les phénomènes d’isostasie qui conduisent des continents à s’élever, comme le Canada, ou d’autres à s’enfoncer (comme à Venise). Autrement dit, une élévation du niveau marin local peut être dû à un enfoncement du niveau terrestre ! Rien à voir avec le "réchauffement climatique".
Quant à la fonte de la banquise de l’Arctique, qui recouvre une partie de l’océan et non un continent, d’une part elle ne peut s’effectuer que par le dessous, donc par courant marin plus chaud provenant vraisemblablement de la ride médio-océanique qui porte l’Islande à proximité, d’autre part le niveau de l’eau ne peut s’accroître, puisque la glace flotte au-dessus.
Modification de la nature et de la répartition des espèces
Il est évident qu’il y aura adaptation des espèces, végétales et animales, en fonction du climat. Toutes les études passées l’ont montré depuis l’Holocène et bien avant. Ainsi les grands cycles (100.000 ans et 20.000 ans), toujours en cours, amèneront des modifications qui peuvent être prévues d’ores et déjà, et on ne voit pas pourquoi il en serait autrement, malgré le conservatisme des "écolos".
Quant à l’homme, de même qu’il s’est adapté aux grandes périodes froides puis chaudes, il a toutes les capacités pour s’adapter à ces modifications, surtout du fait de leur lenteur et parce qu’il en a les moyens technologiques.
Sécheresses en certains lieux et inondations dans d’autres
On l’a vu, le réchauffement global amène le globe à assurer son refroidissement par une nouvel équilibre dans le mouvement des courants mantelliques. Il y aura ainsi des zones terrestres qui seront réchauffées plus que d’autres, amenant des sécheresses locales, par réchauffement des sols.
Mais ailleurs, il y aura augmentation de l’évaporation, donc de la couche nuageuse, de sa quantité d’eau et d’énergie, ce qui conduira à davantage de précipitations, plus violentes, et à des modifications des mouvements généraux de l’atmosphère, cyclones, cellules nuageuses etc. D’où des inondations locales.
Tout ceci est bien connu, bien étudié, et fait partie de l’écologie scientifique. Il est bien évident que la succession des cycles (100.000 et 20.000 ans) se traduit par des modifications climatiques et qu’il y a de nombreux rééquilibrages comme ceux qui sont actuellement observés. La science actuelle décrit très bien ce qui s’est produit dans le passé et est en mesure d’établir des prévisions réalistes pour l’avenir.
Encore une fois, l’effet anthropique dans ces grands cycles naturels reste de faible portée, les énergies en cause étant incommensurables. A titre d’exemple, on peut comparer le dégagement de CO2 provenant des volcans (Pinatubo, Mount St Helen, volcans sous-marins des rides médio-océaniques…) à ceux d’origine anthropique, et s’apercevoir que la part attribuée à l’activité humaine est infime.
Problèmes dans la répartition des eaux pluviales
En conséquence directe des modifications climatiques précédentes, il y aura modification du régime des pluies, conduisant certaines régions du globe à un déficit, et d’autres à des excédents.
Cela peut conduire à des conflits pour l’accès à l’eau, à la gestion des fleuves, à des déplacements de populations. Mais, une fois encore, d’une part l’homme arrivera à trouver des solutions, d’autre part cela est une conséquence des grands cycles naturels. Il s’agira alors de problèmes politiques et de coopération internationale pour assurer la répartition de l’eau et tenter d’éviter des guerres pour son contrôle.
Hypothèses sur les motivations des mouvements écologiques
Quelles peuvent être, alors, les motivations de ces mouvements puissants qui veulent imposer leur modèle de réchauffement climatique d’origine anthropique ?
-) D’abord politique et écologique en prolongement et dans le cadre de la lutte contre l’énergie nucléaire civile qui, en Occident, n’a jamais fait de victime depuis un demi-siècle (la catastrophe de Tchernobyl étant abusivement assimilée à l’Occident, alors que la technologie soviétique en est très en-deçà et que les raisons de la catastrophe sont dues au débranchement des systèmes de sécurité par des personnels nommés en fonction de leur appartenance au Parti).
A noter aussi que le problème des déchets nucléaires de longue période avait été réglé dans Super-Phénix, à Marcoule, par insertion dans les crayons du cœur du réacteur, lequel a été arrêté dès l’arrivée des écologistes du gouvernement Jospin. En fait, ces déchets ultimes ne représentent que 3 fûts de 200 litres par an, en France, mais leur destruction aurait ruiné le fonds de commerce des écologistes. Donc problème idéologique et politique.
On fait croire ainsi à la population que les énergies de substitution, comme le solaire, l’éolien, la géothermie, les marées, peuvent remplacer l’énergie d’origine nucléaire et thermique, alors que les rendements annuels très faibles correspondent tout au plus à 1 à 3% de l’énergie nécessaire, et ceci à un coût d’au moins 20 fois plus élevé.
En conséquence de quoi l’abandon du nucléaire demanderait des centrales thermiques au gaz, pétrole ou charbon… ce qui dégagerait des quantités importantes de CO2 "responsables" de l’effet de serre. On comprend un certain malaise chez les écologistes !
-) Ensuite économique, car les lobbies fabriquant les éoliennes, appareils photovoltaïques, batteries etc. ont vite compris la rentabilité élevée qu’ils pourraient en tirer, malgré le faible rendement et le coût très élevé de l’énergie produite. Si on n’avait pas imposé à EDF de racheter au prix fort cette électricité, subventionné largement le propriétaire du terrain pour l’inciter à y disposer des éoliennes (et la commune corrélativement) personne n’accepterait de financer les surcoûts très importants… qui se retrouvent répartis sur les factures d’électricité de chaque consommateur et sur les taxes locales des communes.
Autrement dit, on impose par le biais de ces taxes obligatoires réparties astucieusement sur le plus grand nombre le financement de ces dispositifs non rentables économiquement.
A la réflexion, cela permet à des secteurs de Recherche et Développement de disposer de ressources qu’ils n’auraient pas pu obtenir autrement, et donc de recruter des chercheurs, ingénieurs et techniciens pour mettre au point et améliorer les rendements très faibles actuellement.
De plus, en cas de réussite, notre pays pourra vendre ces produits de haute technologie et améliorer sa balance des paiements. A ce titre, si la campagne d’économies d’énergie très médiatisée réussit, le surplus d’électricité pourra être vendu aux pays européens où les écologistes ont entravé l’énergie nucléaire et qui doivent importer de l’électricité.
En fait, tout ceci est bien réfléchi, bien monté, bien organisé et les intérêts économiques sont suffisamment élevés pour que tout soit mis en place en vue de la réussite.
A notre époque de médiatisation à outrance, c’est par le biais de l’action psychologique et de la propagande qu’il faut convaincre la population désinformée scientifiquement non seulement d’accepter toutes ces taxes (la dernière en cours étant le projet de taxe Rocard sur toutes les énergies, dont l’électricité nucléaire, qui pourtant n’émet pas de CO2 !) mais encore de croire que les allégations présentées comme "scientifiques" sont vraies et vont conduire la Terre au désastre si on ne fait rien.
On agit ainsi par la peur au moyen de films-catastrophes et, pour faire croire que ces faits sont scientifiques, on crée le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) qui, comme son nom l’indique, est en fait un groupe politique où la majorité des experts ne sont pas des scientifiques, et où les quelques scientifiques ayant accepté d’y participer sont dûment avertis du risque de perdre leur poste, leur situation ou leurs crédits s’ils ne sont pas "écologiquement corrects". J’ai vérifié ce point personnellement.
Quant aux autres scientifiques, indépendants du GIEC, des campagnes médiatiques sont organisées pour les discréditer, s’ils osent dire la vérité (cas de M. Allègre, scientifique, géophysicien, Directeur du BRGM, qui dispose de l’assise scientifique nécessaire au contraire de tous les journalistes, cinéastes, écologistes et autres "experts" qui se répandent dans les médias) ou alors des pressions dissuasives sont exercées pour qu’ils gardent le silence (type CNRS).
Si on analyse les rapports du GIEC, on constate une grande indétermination dans les prévisions (existence de 4 scénarios), des résultats contradictoires sur les zones réchauffées ou refroidies, sur les précipitations et leur localisation, sur les dates, etc. Cela est dû essentiellement à la modélisation informatique et à la puissance des ordinateurs disponibles, encore insuffisante.
En fait, tout n’est qu’un modèle mathématique où les équations sont si nombreuses et si compliquées qu’on ne sait ni ne peut les résoudre !
Comme on veut toutefois alimenter la machine médiatique, on procède à des simplifications ; par exemple, on néglige l’effet des océans, de la couverture nuageuse, des glaces polaires, et les mailles de calcul sont de plusieurs centaines de kms. Par ailleurs, on parle de température "moyenne" de la planète, ce qui est une variable mathématique, alors qu’elle est extrêmement variable en réalité (- 50° aux pôles, + 50° au Sahara, entre les deux à la surface des océans et en région tempérée). On fait donc au mieux, d’où les différences de résultats entre les équipes, et on ne peut même pas retrouver le climat passé connu depuis 1950, alors qu’on se permet de faire des prédictions sur 100 ans…
Quant à l’évolution de la température "moyenne" de la Terre, elle n’a aucun sens car les séries de mesures antérieures sont d’une part locales, d’autre part assez peu nombreuses, assez imprécises, non homogènes avec les mesures actuelles et enfin relativement récentes.
Quant au niveau "moyen" des océans, les coefficients de marées sont de l’ordre de plusieurs mètres, les ondes de marées parcourant tous les océans (2/3 de la surface du globe) deux fois par jour et l’imprécision sur le niveau "moyen" est supérieure à la hausse supposée de ceux-ci. Même par satellite, dont l’orbite est très fluctuante en altitude, on ne peut mesurer valablement une variation infime par rapport aux ondes de marées. Reste ainsi l’observation d’une mer fermée comme la Méditerranée dont le niveau apparaît comme stable, depuis longtemps…
En résumé, les rapports du GIEC sont des modèles mathématiques simplifiés, très éloignés encore de la réalité très complexe, incapables de retracer le passé et donc de prévoir l’avenir. Ayant fait personnellement beaucoup de calcul scientifique sur la modélisation du fonctionnement des installations de l’industrie chimique, je peux apprécier les difficultés inhérentes à la résolution des équations mathématiques très compliquées, et ainsi les écarts substantiels entre la théorie et la pratique. Il est simplement consternant de voir ce que l’idéologie et la propagande ont fait médiatiquement de ces résultats qui ne sont que des élucubrations mathématiques simplifiées.
Résumé, en guise de conclusion
Le soi-disant "réchauffement climatique" dû à l’activité anthropique est une mystification bien montée, bien organisée, bien financée par des mouvements puissants, contrôlant les médias, ayant des objectifs politiques, idéologiques, économiques et financiers.
Profitant de la désinformation scientifique de la population, ils agissent par le biais de l’action psychologique et de la propagande, en utilisant la peur, l’émotion et la désinformation généralisée et systématique, voire des pressions sur les scientifiques.
Les intérêts sont tels (politiques pour les écologistes, économiques pour les lobbies, financiers pour l’Etat par le biais des taxes, et la relance de secteurs industriels non rentables, etc.) que la vérité scientifique est ignorée, bafouée ou même contredite.
De nombreux arguments montrent qu’il s’agit d’un réchauffement global de la planète, d’origine naturelle, connu et retracé selon des cycles de 100.000 ans et 20.000 ans, lié essentiellement à des configurations astronomiques selon la position de la Terre sur son orbite, du système solaire dans la galaxie, et de l’activité propre des cycles solaires.
Ce réchauffement explique bien celui des océans, avec dégagement du gaz carbonique et du méthane qu’ils contiennent, l’activité volcanique terrestre et sous-marine par mobilité accrue des plaques continentales due à la dilatation thermique du globe, et la répartition des zones arides en liaison avec les courants mantelliques, ce que n’arrive pas à faire le modèle du réchauffement climatique.
Les conséquences climatiques sont bien étudiées, connues par l’analyse du passé lors des cycles précédents et leur énoncé (sécheresses, inondations, cyclones, variation du niveau des océans …) sert d’ailleurs à alimenter les films-catastrophes.
L’effet anthropique allégué, malgré le passage de la population mondiale de 1 à 6 milliards d’individus depuis 2 siècles, représente au plus 3% des émissions mondiales de CO2, ce qui est négligeable, alors que l’effet du méthane, 20 fois plus puissant, est escamoté.
En effet, celui-ci est produit au fond des océans, dans les rizières et par les ruminants et, sauf à supprimer la moitié de la population comme le souhaitait Malthus, on ne le mentionne pas car on ne peut ni le taxer, ni le réduire, au contraire du CO2 .
Ce réchauffement global, cyclique et naturel, ne peut évidemment pas être enrayé par l’homme. Les énergies en jeu sont colossales et incommensurables avec celles mises en jeu par l’humanité qui, dans sa situation actuelle, continuera sa consommation pour de simples raisons de survie.
On rappelle que chaque être humain a besoin de 2.000 à 4.000 kilo-calories par jour. Donc l’éventuelle réduction de consommation d’énergie qu’elle pourrait consentir, en y consacrant des moyens financiers prélevés sur ceux dont elle a besoin pour son développement, représenterait un écart de faible importance au total.
Ainsi, l’humanité ferait bien de prendre en compte sérieusement ce phénomène naturel du réchauffement global de la planète, sans avoir l’orgueil de vouloir le réduire (image d’un enfant tapant de ses mains sur une muraille pour tenter de l’abattre !), et de prendre des mesures positives et rationnelles pour faire face à ses conséquences inéluctables, par exemple pour ce qui concerne la gestion de l’eau (barrages et retenues, digues et canaux, traitement et réseaux d’alimentation en eau potable, etc.) et l’utilisation de l’énergie nécessaire au développement (nucléaire, solaire…) mais aussi les transformations chimiques appliquées au charbon pour la production de toutes les molécules nécessaires (carburant, engrais, textiles, produits chimique, etc.).
Autrement dit, au lieu de taxer l’économie pour financer des projets très coûteux et non rentables économiquement, ce qui l’affaiblit, et ceci au profits de lobbies et de mouvements qui ne considèrent que leurs intérêts égoïstes à court terme, on ferait mieux de travailler au vrai développement au service de l’humanité, en prenant en considération les conséquences d’un phénomène naturel qui s’impose à elle, et qu’elle subira inexorablement malgré les gesticulations et les agitations des écologistes.
Les moyens financiers peuvent être dégagés (cf. les milliards injectés dans les circuits bancaires pour enrayer la crise financière récente ou les milliards affectés aux armements dans tous les pays du monde, etc.) et le génie de l’homme a toujours réussi à trouver les moyens de s’adapter aux évolutions naturelles de la planète. Encore faut-il qu’une prise de conscience basée sur la vérité et non sur le mensonge se produise et que l’humanité toute entière se mobilise pour faire face à un phénomène global qui la concerne sans distinction.
Ceci implique un nouveau paradigme à l’échelle des politiques mondiales et donc un changement radical dans le mental des populations, c’est-à-dire un saut caractéristique dans l’évolution humaine. Il se pourrait que nous assistions à l’éclosion de cette transformation mais, compte tenu des décalages mentaux, voire leur arriération, que l’on peut estimer grâce à la teneur des messages délivrés par les médias, il semble qu’il faudra encore beaucoup de temps pour qu’elle se produise, tellement les passions et les intérêts matérialistes dominent et offrent de résistances.
En conséquence, et c’est bien consternant, il est probable que les vraies mesures pour faire face (sans avoir la prétention d’en enrayer les causes) aux conséquences inéluctables du réchauffement global, et non pas climatique, ne seront pas prises posément en temps utile mais plutôt sous la contrainte des événements, d’origine naturelle et non anthropique.
C’est le drame du genre humain qui, dans son aveuglement passionnel et ses intérêts matérialistes à court terme, n’a jamais voulu écouter la voix de la sagesse et de la raison mais doit s’y résigner après avoir subi des souffrances qu’il aurait pu éviter. Et c’est très probablement ce que nous observerons encore une fois.
Triste épilogue pour ces considérations sur le soi-disant "réchauffement climatique" !
(J.L. Roger-2 septembre 2009)
Invité- Invité
Re: Considérations sur les controverses concernant le réchauffement "climatique"
je l'ai déjà dit dans deux posts il y a plusieurs mois, mon voisin et ami Danois qui a et travaille encore sur le carottage qui a été fait au groenland, l'a démontré, nous ne sommes pas au premier réchauffement climatique connu (déjà vers le 16e siècle il existait) pour lui le problème du co2 est un faux problème, le vrai problème pour les années à venir est: l'eau !!! avec de l'eau le co2 ne montera pas dans les couches de l'atmosphère, car il pourra avoir une vie suffisante sur terre et une agriculture ainsi que des forêts en surface suffisante pour capter le co2 ,comme cela a toujours été le cas depuis longtemps !
Sa devise est : nous savons que nous allons inéluctablement vers l'extinction de notre règne, mais nous voulons y aller en première classe !
Sa devise est : nous savons que nous allons inéluctablement vers l'extinction de notre règne, mais nous voulons y aller en première classe !
Invité- Invité
Re: Considérations sur les controverses concernant le réchauffement "climatique"
Je ne comprends pas cette devise : que vient-elle faire dans le débat du réchauffement ??
Parle-t-til de la fin des humains ? dans cent ans ????
Parle-t-til de la fin des humains ? dans cent ans ????
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Rhin-CHAMPAGNE
Re: Considérations sur les controverses concernant le réchauffement "climatique"
il parle bien de la fin des humains, mais pas sur un siècle, dans plusieurs milliers d'années ! notre espèce est comme toutes les espèces qui se trouvent sur terre, en perpétuelle évolution mais sur une échelle qui nous dépasse .SNIF a écrit:Je ne comprends pas cette devise : que vient-elle faire dans le débat du réchauffement ??
Parle-t-til de la fin des humains ? dans cent ans ????
On connait aujourd'hui, 1 800 000 espèces vivantes sur terre, il en disparait une cinquantaine par siècle ... alors il y a encore de beaux jours devant nous !
Invité- Invité
Re: Considérations sur les controverses concernant le réchauffement "climatique"
Le temps des climatosceptiques
Hervé Juvin et président d'Eurogroup Institute - 01/01/2010
Un mot vient d'apparaître dans le dictionnaire du politiquement incorrect : "climatosceptique". Il désigne à la vindicte ceux qui ne se rangent pas au catastrophisme de rigueur en matière de réchauffement climatique. Il est vrai que leur hérésie peut surprendre, au moment où plus un G8, plus un G20, plus une conférence régionale, ne se tiennent sans que le réchauffement climatique soit inscrit en tête d'agenda, avant le terrorisme ou le développement. Et lorsqu'en France Augustin de Romanet, directeur général de la Caisse des dépôts, premier acteur français de la finance carbone, constate que ce sera l'un des grands marchés de demain, au même titre que l'eau, les terres arables et le pétrole.
Alors, pourquoi faut-il que certains refusent de céder à l'enthousiasme général ? L'explication la plus rationnelle veut qu'ils soient prudents devant la formation d'une nouvelle bulle financière, promise à l'éclatement comme toutes les autres. Mais il est d'autres raisons, de portée plus générale. Ceux qui sont hostiles à tout dogme venu d'en haut supportent mal la nouvelle "religion verte", ses apôtres, son catéchisme et ses Tables de la Loi. Certains sont même tentés de commettre le sacrilège suprême, qui consiste à mettre en doute l'importance du réchauffement dû aux gaz à effet de serre sans pour autant être payés par les pétroliers.
Beaucoup, démocrates irréprochables, attachés à l'idée que les citoyens ont le droit de décider de ce qui les concerne, commencent aussi à juger insupportable le conformisme écologique, le déballage des bons sentiments et les empiétements sur la liberté individuelle auxquels donne lieu la nouvelle pensée dominante. Car tout se passe comme si la lutte contre le réchauffement permettait de supprimer la frontière qui sépare, dans toute démocratie, le domaine public de la sphère privée : interdire les baignoires dans les hôtels, limiter automatiquement la chaleur dans les bureaux et les appartements, contrôler les déplacements professionnels autorisés, contraindre tel acteur à acheter bio, comme on l'envisage de plus en plus, marque une nouvelle étape dans l'envahissement du domaine privé par le pouvoir. Certains projets de fiscalité verte, voire de bonus-malus comportementaux, ne sont pas loin d'instituer un simulacre de "totalitarisme vert".
Comme l'accueil fait à la votation suisse au sujet des minarets, comme le traitement réservé aux adversaires du projet de Constitution européenne, le mauvais sort promis aux climatosceptiques a peu à voir avec le respect de la démocratie comprise comme libre choix des peuples, ni d'ailleurs avec la réflexion scientifique, ouverte par principe au doute méthodologique. Cela relève plutôt de la demande de religieux postmoderne, charriant le couple masochiste de la faute originelle et du sacrifice rédempteur. Nous n'en avons pas fini avec le débat sur la laïcité.
Hervé Juvin et président d'Eurogroup Institute - 01/01/2010
Un mot vient d'apparaître dans le dictionnaire du politiquement incorrect : "climatosceptique". Il désigne à la vindicte ceux qui ne se rangent pas au catastrophisme de rigueur en matière de réchauffement climatique. Il est vrai que leur hérésie peut surprendre, au moment où plus un G8, plus un G20, plus une conférence régionale, ne se tiennent sans que le réchauffement climatique soit inscrit en tête d'agenda, avant le terrorisme ou le développement. Et lorsqu'en France Augustin de Romanet, directeur général de la Caisse des dépôts, premier acteur français de la finance carbone, constate que ce sera l'un des grands marchés de demain, au même titre que l'eau, les terres arables et le pétrole.
Alors, pourquoi faut-il que certains refusent de céder à l'enthousiasme général ? L'explication la plus rationnelle veut qu'ils soient prudents devant la formation d'une nouvelle bulle financière, promise à l'éclatement comme toutes les autres. Mais il est d'autres raisons, de portée plus générale. Ceux qui sont hostiles à tout dogme venu d'en haut supportent mal la nouvelle "religion verte", ses apôtres, son catéchisme et ses Tables de la Loi. Certains sont même tentés de commettre le sacrilège suprême, qui consiste à mettre en doute l'importance du réchauffement dû aux gaz à effet de serre sans pour autant être payés par les pétroliers.
Beaucoup, démocrates irréprochables, attachés à l'idée que les citoyens ont le droit de décider de ce qui les concerne, commencent aussi à juger insupportable le conformisme écologique, le déballage des bons sentiments et les empiétements sur la liberté individuelle auxquels donne lieu la nouvelle pensée dominante. Car tout se passe comme si la lutte contre le réchauffement permettait de supprimer la frontière qui sépare, dans toute démocratie, le domaine public de la sphère privée : interdire les baignoires dans les hôtels, limiter automatiquement la chaleur dans les bureaux et les appartements, contrôler les déplacements professionnels autorisés, contraindre tel acteur à acheter bio, comme on l'envisage de plus en plus, marque une nouvelle étape dans l'envahissement du domaine privé par le pouvoir. Certains projets de fiscalité verte, voire de bonus-malus comportementaux, ne sont pas loin d'instituer un simulacre de "totalitarisme vert".
Comme l'accueil fait à la votation suisse au sujet des minarets, comme le traitement réservé aux adversaires du projet de Constitution européenne, le mauvais sort promis aux climatosceptiques a peu à voir avec le respect de la démocratie comprise comme libre choix des peuples, ni d'ailleurs avec la réflexion scientifique, ouverte par principe au doute méthodologique. Cela relève plutôt de la demande de religieux postmoderne, charriant le couple masochiste de la faute originelle et du sacrifice rédempteur. Nous n'en avons pas fini avec le débat sur la laïcité.
Invité- Invité
Re: Considérations sur les controverses concernant le réchauffement "climatique"
Chaud devant !
La concentration dans l’atmosphère du CO2, principal responsable du réchauffement climatique, est au plus haut depuis 3 millions d’années. Il rend ainsi inéluctable la hausse dramatique de la température de la planète et du niveau des océans en quelques siècles, mettent en garde des chercheurs.
Les scientifiques estimaient jusqu’alors que le niveau actuel de dioxyde de carbone, un peu supérieur à 400 parties par million (ppm), n’était pas plus important que celui d’il y a 800 000 ans, lors d’une période marquée par des cycles de réchauffement et de refroidissement de la Terre qui se poursuivraient aujourd’hui sans le réchauffement lié aux activités humaines.
Des arbres en Antarctique
Mais des carottes de glace et de sédiments marins prélevés à l’endroit le plus froid de la planète révèlent désormais que la barre des 400 ppm a en fait été dépassée pour la dernière fois il y a 3 millions d’années, pendant le Pliocène. Les températures étaient alors 3 à 4°C plus élevées, des arbres poussaient en Antarctique et le niveau des océans était 15 mètres plus haut.
Ces analyses sont corroborées par un nouveau modèle climatique développé par le Potsdam Institute for Climate Impact Research (PIK).
« La fin du Pliocène est relativement proche de nous en terme de niveaux de CO2 », explique à l’AFP Matteo Willeit, chercheur au PIK et principal auteur d’une étude publiée cette semaine.
Vers +3°C
« Nos modèles suggèrent qu’au Pliocène il n’y avait ni cycle glaciaire ni grosses calottes glaciaires dans l’hémisphère nord. Le CO2 était trop élevé et le climat trop chaud pour le permettre ».
L’accord de Paris sur le climat de 2015 vise à limiter le réchauffement de la planète à +2°C, voire +1,5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle.
Mais en 2017, les émissions de gaz à effet de serre ont dépassé tous les records dans l’histoire humaine, et les engagements des États signataires de l’Accord de Paris conduiraient le monde vers +3°C.
Océans 15 à 20 mètres plus élevés
Pour des chercheurs réunis cette semaine à Londres, il y a des leçons à tirer du Pliocène.
« Les températures mondiales étaient 3 à 4 °C plus élevées qu’aujourd’hui et le niveau de la mer 15 à 20 mètres plus haut », commente Martin Siegert, professeur de géoscience à l’Imperial College de Londres.
Aujourd’hui, avec 1°C de plus qu’à l’époque pré-industrielle, la Terre subit déjà les impacts du dérèglement climatique, des inondations aux sécheresses.
Pour Siegert, avoir dépassé 400 ppm de CO2 n’implique pas une hausse du niveau des mers de l’ampleur de celle du Pliocène de façon imminente, mais à moins que l’Homme n’arrive à retirer le CO2 de l’atmosphère à grande échelle, des impacts majeurs sont inévitables, tôt ou tard.
« Ca ne s’arrête pas à 2100 »
En se basant sur les concentrations de CO2, les glaciologues prédisent une augmentation du niveau des océans entre 50 cm et un mètre d’ici la fin de ce siècle, indique le chercheur.
« Il serait difficile que cela soit plus, parce que la fonte prend du temps. Mais ça ne s’arrête pas à 2100, ça continue ».
En octobre, les scientifiques du Giec tiraient la sonnette d’alarme: pour rester sous les 1,5°C, il faudrait réduire les émissions de CO2 de près de 50% d’ici 2030.
Mais malgré les promesses, ces émissions liés aux énergies fossiles et à l’agriculture augmentent inexorablement.
« A 400 ppm, nous restons sur la trajectoire d’un climat similaire au Pliocène », prévient Tina van De Flierdt, professeur de géochimie isotopique à l’Imperial College.
La calotte glaciaire du Groenland, qui contient assez d’eau pour faire augmenter le niveau des mers de 7 mètres, avait alors disparu. Et celle de l’ouest de l’Antarctique, « qui contient environ 5 mètres, avait probablement disparu ».
« Expérience folle »
Les chercheurs estiment que l’atmosphère a précédemment déjà connu des niveaux de CO2 bien supérieurs à 400 ppm, mais le gaz avait mis des millions d’années à s’accumuler.
De leur côté, les émissions liées à l’activité humaine ont fait grimper les niveaux de CO2 de plus de 40% en un siècle et demi.
Avec une concentration à 412 ppm, et en progression, certains experts estiment qu’un réchauffement de la planète de 3 à 4°C est probablement inéluctable.
La dernière fois que le CO2 était aussi présent dans l’atmosphère, il avait ensuite été capturé par les arbres, les plantes, les animaux, puis enterrés avec eux à leur mort.
« Et ce que nous faisons depuis 150 ans, c’est de le déterrer et de le renvoyer dans l’atmosphère », souligne Siegert. « C’est une expérience folle ».
Source : © 2019 AFP
Invité- Invité
Re: Considérations sur les controverses concernant le réchauffement "climatique"
comment faire comprendre les cycles de la terre à des personnes qui ne savent même pas repiquer une salade,
par contre ils veulent installer une agriculture à paris sur les façades, facile, y a ka, !!
et comme dit précédemment, cette peur intelligemment distillée, c'est un énorme fonds de commerce, combien de parasites, payés avec nos impots, vivent sur cette fausse économie médiatique,
pas une minute dans le monde sans devoir entendre la fin du monde à cause du réchauffement, donc tu ranges ta voiture et tu achete une électrique alors qu'une analyse de cycle de vie (ACV) pour produire un véhicule électrique et ses accesseoires démontre que c'est plus "polluant" que la fabrication et l'alimentation d'un diésel, mais faire entendre celà à un sourd qui veut pas entendre, autant rester couché, comme disait Montfort, dieu reconnaitra les siens,
mon résumé = une vaste escroquerie
par contre ils veulent installer une agriculture à paris sur les façades, facile, y a ka, !!
et comme dit précédemment, cette peur intelligemment distillée, c'est un énorme fonds de commerce, combien de parasites, payés avec nos impots, vivent sur cette fausse économie médiatique,
pas une minute dans le monde sans devoir entendre la fin du monde à cause du réchauffement, donc tu ranges ta voiture et tu achete une électrique alors qu'une analyse de cycle de vie (ACV) pour produire un véhicule électrique et ses accesseoires démontre que c'est plus "polluant" que la fabrication et l'alimentation d'un diésel, mais faire entendre celà à un sourd qui veut pas entendre, autant rester couché, comme disait Montfort, dieu reconnaitra les siens,
mon résumé = une vaste escroquerie
EtienneCH4- + membre techno +
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