duree de detention des actions d entreprises cotees

selon un banquier allemand ,il y a quelques annes les actions etaient en portefeuille 4 ans .maintenant avec le trading haute frequence 22 secondes.
la catastrophe est en route .

Il ne faut pas le dire, les traders sont l'avenir de l'homme d'eux-mêmes !!

Effarant
22s pour gagner de l'argent ,le monde est devenu fou

22 secondes,ça parait peu 

Pour le trading haute fréquence ce sont surtout des mathématiciens qui sont recrutés pas des économistes!

je me trompe peut être mais il me semble que 50% du marché des actions est traité par des logiciels d achat et de vente automatique

Pas surprenant , déjà diffusé des reportages là dessus ; le but , c' est la moindre prise de risque : petit profit à la hausse avec de gros montants (c' est toujours mieux de gros profits mais plus risqué) ; petites pertes si ça baisse (ça fait moins "mal" de perdre peu )
Pour jouer à ça , l' humain n' est pas assez rapide , donc remplacer par de l' automatisme informatique

c'est pas des personnes physique qui font cela mais logarythme qu'elles créent...

Après reflexion j'y crois pas du tout. Si on regarde le volume moyen de transactions dans une journée pour une action lamba,on voit bien qu'une faible proprotion des actions d'une entreprise change de main. 22seconde ça signifierait que la totalité des actions changent de mains des dizaines de fois au cours d'une même séance.

je retrouve pas la video d un trader allemand ,c etait dans le figaro fr .
la prochaine cible des financiers sera l etat francais.

"En 1940, les actions américaines étaient conservées sept ans en moyenne, contre 22 secondes en 2012. Derrière ce changement radical, la généralisation du Trading à Haute Fréquence. Quelles conséquences et quels risques pour la bourse ?"

http://www.trendsetter.fr/2012/09/28/14726/la-duree-de-detention-moyenne-des-actions-en-chute-libre/

Déjà dit mille fois, ce n'est pas les grosses boîtes traitées en bourse qui font la résistance d'un pays aux chocs économiques.

En cas de coups durs,  c'est bien les bourses des petits et moyens patrons qui font la différence