100 a 190€ t ,cout de revient de fabrication du sucre en europe ,hors cout des betteraves

100€ c est en pologne ,190€ c est en france .pour un prix institutionel de 400€ ca laisse de 200 a 300 € pour les bett .soit 28€ a 42€t .les betteraviers polonais sont bien lotis

Mais en Pologne, mis à part le niveau des salaires, et le coût de l'énergie, ils ne sont jamais sûr de récolter toutes leurs betteraves... et lorsqu'il neige tôt, ils ont vite la moitié des betteraves reste en terre. ca fait monter le coût...

la belgique et les pays bas sont pas mal place aussi .

Nous avons des campagnes trop courtes et des énergies trop chères... (ainsi que la main d’œuvre...)

une bonne raison de ne pas payer la betterave

Le sucre est tombé à son plus bas niveau en six ans et demi à New York, plombé par un réal brésilien faible.



Les cours du sucre se sont effondrés jeudi à New York et à Londres. Sur le Liffe de Londres, le sucre blanc est tombé à 342,80 dollars la tonne, son plus bas niveau depuis janvier 2009. Le sucre brut coté à New York a atteint son plus bas niveau en six ans et demi, à 10,64 cents, plombés par la faiblesse du réal brésilien.



« La faiblesse continue du réal, en l'absence de nouvelles informations concernant les fondamentaux de marché, a causé une nouvelle baisse du contrat à terme d'octobre à New York », ont expliqué à l'AFP les analystes de Sucden Financial. La faiblesse du réal tend en effet à pousser les producteurs brésiliens à vendre leurs stocks afin de recevoir plus de réais pour des produits vendus à l'extérieur en dollar. Le Brésil est le premier producteur de sucre au monde.



Cette situation est de nature à aggraver la surabondance d'offre qui règne sur le marché du sucre depuis des années et qui n'est pas prête de se résorber. En effet, pour ne rien arranger, selon plusieurs analystes, l'Inde serait en train de considérer de subventionner l'exportation de 4 millions de tonnes de sucre pour la saison 2015/2016 afin de réduire les stocks du pays et soutenir les prix locaux. « Cela a ajouté de la pression sur les cours », ont constaté les analystes de Czarnikow

pierraug a écrit:Nous avons des campagnes trop courtes et des énergies trop chères... (ainsi que la main d’œuvre...)

On a aussi peut être des industriels qui ont du mal a se serrer la ceinture......
Du genre le superbe siege social de CU. Ils auraient pu faire un bâtiment plus classique et bien moins onéreux
La variable d'ajustement c'est toujours les memes

sibalo a écrit:

pierraug a écrit:Nous avons des campagnes trop courtes et des énergies trop chères... (ainsi que la main d’œuvre...)

On a aussi peut être des industriels qui ont du mal a se serrer la ceinture......
Du genre le superbe siege social de CU. Ils auraient pu faire un bâtiment plus classique et bien moins onéreux
La variable d'ajustement c'est toujours les memes

Tu croie

mccain a écrit:

sibalo a écrit:

pierraug a écrit:Nous avons des campagnes trop courtes et des énergies trop chères... (ainsi que la main d’œuvre...)

On a aussi peut être des industriels qui ont du mal a se serrer la ceinture......
Du genre le superbe siege social de CU. Ils auraient pu faire un bâtiment plus classique et bien moins onéreux
La variable d'ajustement c'est toujours les memes

Tu croie

A les entendre, il n'est pas censé couté plus cher que le loyer de l'actuel (très groumant en énergie en plus)

Mais le projet a été démarré avant la baisse des cours...

Et puis c'est votre problème... vous êtes propriétaire...

Oui c'est notre problème tu as raison. Comment le conseil d'administration a pu laisser passer ca....
Pas couté plus cher mouais.... On aurait préféré qu'il coute moins chers, que l'autre.

C'est une culture qui commence a me dégouter....
On ne métrise rien dans ces foutu coop. Pour eux a 25€ on gagne encore d'argent. Ils veulent encore et toujours augmenter les surfaces avec de nouveaux producteurs....
On matraque les sols les que c'est humide, le blé suivant n'est pas le meilleur...

J'ai déjà mit 20% de moins cette année, vu la conjointure. Je crois que je vais encore diminuer l'année prochaine