anticiper sa transmission

article intéressant avec un exemple à l'appui



Hébergé par Imagesia, le meilleur hébergeur d'images du net !



Hébergé par Imagesia, le meilleur hébergeur d'images du net !

Si une donation a était faite en 2010 on doit attendre 6 ou 15 ans avant de pouvoir en refaire une ?

lesagri67 a écrit:Si une donation a était faite en 2010 on doit attendre 6 ou 15 ans avant de pouvoir en refaire une ?

15 ans

article intéressant avec un exemple à l'appui
.

faut qu on se mette a poil"""""pour économiser """"""""" quatre sous

Pour ma part ca va un soucis de moins.

               

Tu es déjà a poil ???

snif a écrit:Tu es déjà a poil ???

Noon je vais passer a table .

article interessant
dans la prochaine decenie il faudra penser a partager sinon les enfant vont se battre pour des clopinettes

article interessant .
Mon grand-père est décédé à 103 ans . Il n'avait rien préparé , et avait encore des biens en indivision avec les héritiers de son frère . çà fait un beau sac de noeuds et des tensions entre ses enfants .

je trouve qu'on ne donne jamais assez tôt

la peur de manquer et la maison de retraite !!!!!!!!!!!

.

ADBLUE a écrit:je trouve qu'on ne donne jamais assez tôt

la peur de manquer et la maison de retraite !!!!!!!!!!!

Pas si sùr ...
Quelques règles de base :se garder l'usufruit et se garder des biens en pleine propriété ,sa maison d'habitation par ex ...

iris a écrit:

ADBLUE a écrit:je trouve qu'on ne donne jamais assez tôt

la peur de manquer et la maison de retraite !!!!!!!!!!!

Pas si sùr ...
Quelques règles de base :se garder l'usufruit et se garder des biens en pleine propriété ,sa maison d'habitation par ex ...

bien sur formuler autrement il y a des moyens de transmettre sans se retrouver à poil

La quinzaine de la transmission qui se tient du 14 au 25 novembre, a été l’occasion de rappeler, encore une fois, à quel point le cédant doit préparer tôt la transmission de son exploitation. Au moins 10 ans avant, voire « dès l’installation ! », a lancé Raymond Vial, élu en charge de ce dossier pour les Chambres d’agriculture, lors d’un débat à l’Assemblée permanente (APCA) à Paris le 22 novembre. C’est un défi pour la profession, mais également pour la société qui bénéficie des emplois induits et des paysages.

45 % des fermes à céder dans 10 ans
Anticiper, donc, d’autant que les départs se feront par vagues de 15 000 retraités par an dans les prochaines années. Au niveau national, 45 % des actuels chefs d’exploitations prendront potentiellement leur retraite dans les 10 ans. Plusieurs partiront avant 65 ans, pour des raisons économiques, de santé ou de changements de carrière. Autant dire que l’offre sera abondante ! Avec quelle répercussion sur les prix ?

Réguler les prix des exploitations
Si le foncier ou les vignobles, valeurs refuges pour les investisseurs, ont peu de chance de se dévaluer, qu’en sera-t-il des actifs dans un marché saturé ? Prudence donc dans les investissements défiscalisants en fin de carrière : ils alourdissent le poids de la reprise et ne seront pas toujours bien valorisés… « Il faut une régulation des prix des entreprises agricoles, comme ça existe pour le foncier, préconise Emmanuel Hyest, directeur de la FNSafer. Il faut des références de prix selon la rentabilité des fermes. En vendant au plus offrant on tue la compétitivité ! » Il faudra trouver une issue à l’éternel débat entre valeur patrimoniale et économique.

A noter qu’aujourd’hui 30 % des repreneurs sont des hors-cadre familial, et que leur proportion va progresser.

19 agriculteurs ont plus de 100 ans !
Certes tous les exploitants ne partiront pas à 62 ans. Pension de retraite insuffisante, volonté de garder la maîtrise du patrimoine, manque de repreneur, goût du métier… Les raisons de poursuivre ne manquent pas, à en croire la MSA qui recense même 19 exploitants centenaires ! Quitter le métier, surtout s’il faut vendre à un tiers, est une « petite mort ». Certains conseillent de revoir le statut du fermage pour inciter les cédants à sauter le pas plus facilement. La transmission est le dernier projet de l’exploitant : sa réussite est une condition pour bien vivre sa retraite.

ADBLUE a écrit:je trouve qu'on ne donne jamais assez tôt

la peur de manquer et la maison de retraite !!!!!!!!!!!

Moins on donne et plus ils devront se battre  pour remplir la gamelle et donc maximizzzze les chances de réussir....

Donc, réduire les impôts sur le revenu (tous à 10%) et  mettre 30% sur les successions. Et paf

Oui peccadille.
Des centres de gestion ont révélé que les fermes données sont les moîns préformantes.


19 centenaires agri...
Sur ACE, on n'est pas surpris pui qu'on en a pas mal.peut être une dizaine...

En esperant que ca evolue dans ce sens là même si j'y crois peu...