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fuel ,mauvaise surprise
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fuel ,mauvaise surprise
à partir de l'annèe prochaine , le fuel pour les engins agricole ne conviendra plus pour les chaudières fuel d'aprés mon fournisseur , car il attaque le cuivre
dont il faudra acheter du fuel pour chauffage pour nos zingues
dont il faudra acheter du fuel pour chauffage pour nos zingues
Invité- Invité
Re: fuel ,mauvaise surprise
Il y a déjà deux topics ouverts sur ce sujet en deux jours !!ac/dc59 a écrit:à partir de l'annèe prochaine , le fuel pour les engins agricole ne conviendra plus pour les chaudières fuel d'aprés mon fournisseur , car il attaque le cuivre
dont il faudra acheter du fuel pour chauffage pour nos zingues
Invité- Invité
Re: fuel ,mauvaise surprise
Tu t'en fous, tu te chauffe pas au fuel.
GL- + membre techno +
- Messages : 24961
Date d'inscription : 10/09/2009
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Re: fuel ,mauvaise surprise
pinocio a écrit:Il y a déjà deux topics ouverts sur ce sujet en deux jours !!ac/dc59 a écrit:à partir de l'annèe prochaine , le fuel pour les engins agricole ne conviendra plus pour les chaudières fuel d'aprés mon fournisseur , car il attaque le cuivre
dont il faudra acheter du fuel pour chauffage pour nos zingues
j'avais pas vu , !
Invité- Invité
Re: fuel ,mauvaise surprise
GL a écrit:Tu t'en fous, tu te chauffe pas au fuel.
Exact ,comment t'as fait pour deviner
en 2009 -2010 7 tonnes de mäis , la prochaine saison je ne sais pas encore ,
Invité- Invité
Re: fuel ,mauvaise surprise
J'ai du poêle qui doit arriver la semaine prochaine à la maison qui permet de chauffer l'essentiel de la maison avec 2 T de maïs (500 €/an).
On va commencer à causer.
A 3000 € du bout ( 50 €/mois sur du 60 mois ) et du maïs au prix du granulés de bois, on va commencer à causer.
La consommation de chauffage est le plus souvent de l'ordre de 2000 €/Ha dans de la maison, du pavillon.
Je ne parle même pas du chauffagiste qui ne veut même plus se déplacer en cas de panne.
7 T de maïs à 80 €, çà fait bien 560 €, tu es un mauvais français Xavier, un paysan qui fréquente n'importe qui.
On va commencer à causer.
A 3000 € du bout ( 50 €/mois sur du 60 mois ) et du maïs au prix du granulés de bois, on va commencer à causer.
La consommation de chauffage est le plus souvent de l'ordre de 2000 €/Ha dans de la maison, du pavillon.
Je ne parle même pas du chauffagiste qui ne veut même plus se déplacer en cas de panne.
7 T de maïs à 80 €, çà fait bien 560 €, tu es un mauvais français Xavier, un paysan qui fréquente n'importe qui.
GL- + membre techno +
- Messages : 24961
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 110
Assis
Re: fuel ,mauvaise surprise
GL a écrit:J'ai du poêle qui doit arriver la semaine prochaine à la maison qui permet de chauffer l'essentiel de la maison avec 2 T de maïs (500 €/an).
On va commencer à causer.
A 3000 € du bout ( 50 €/mois sur du 60 mois ) et du maïs au prix du granulés de bois, on va commencer à causer.
La consommation de chauffage est le plus souvent de l'ordre de 2000 €/Ha dans de la maison, du pavillon.
Je ne parle même pas du chauffagiste qui ne veut même plus se déplacer en cas de panne.
7 T de maïs à 80 €, çà fait bien 560 €, tu es un mauvais français Xavier, un paysan qui fréquente n'importe qui.
pour la petite histoire , ils m'ont vite remis dans le rang ,EUX les bon Français quand j'ai commencè à dèvelopper l'énergie en circuit court , maintenant je vend mon colza à un gars qui n'est pas Français et auquel je lui est tout appris en matière d'énergie liquide (gros mot Français de dire hvp) il l'utilise en cogènération ils ont tout compris eux les mauvais Français
Invité- Invité
Re: fuel ,mauvaise surprise
ou peut on trouver des fourniseurs de chaudiere type gaziniere plaque chauffante en france svp
Invité- Invité
Re: fuel ,mauvaise surprise
l' idée de qui
Dépenses fiscales/Lois de finances
La défiscalisation des biocarburants aurait coûté 3,8 Mds € à l'Etat en 10 ans (rapport)
Publié le jeudi 08 juillet 2010 - 18h39
Alors que le débat d'orientation sur les finances publiques pour les années 2011-2013 a commencé mardi matin à l'Assemblée nationale, un rapport d'information de la commission des finances sur l’application des mesures fiscales contenues dans les lois de finances précédentes pointe le déficit de recettes (100 milliards d'euros selon Les Echos du 5 juillet 2010) qu'aurait subi l'Etat depuis les années 2000.
Le rapport dénonce notamment la « défiscalisation coûteuse et largement inutile » – amenée à disparaître en 2012 – dont a bénéficié la filière des biocarburants depuis 2002.
« Au total, entre 2002 et 2011, ce sont près de 3,8 milliards d’euros que l’État aura investis dans le soutien à la production des biocarburants, soit une moyenne de 380 millions d’euros par an », déplore-t-il.
Selon le rapport, « entre 2002 et 2008, la dépense fiscale en faveur des biocarburants a été multipliée par plus de cinq et aurait atteint 1,09 milliard d’euros en 2008 si la loi de finances pour 2008 n’avait pas réduit les montants de la défiscalisation, diminuant ainsi le coût de celle-ci à 720 millions d’euros. A la suite de la diminution progressive des montants de défiscalisation par la loi de finances pour 2009, l’évolution de la dépense fiscale est désormais maîtrisée jusqu’en 2011, où elle atteindra cependant encore 480 millions d’euros », précise-t-il.
La défiscalisation (réduction de la TIPP, la taxe intérieure sur les produits pétroliers) était « nécessaire pour créer ex nihilo les deux filières françaises de production de biocarburants », éthanol et diester, afin de compenser le surcoût de production de ceux-ci par rapport à leurs équivalents fossiles, rappelle le rapport. « Cependant, jamais l’Administration des douanes ni une autre administration n’a été en mesure de connaître les coûts de production réels des biocarburants. Secondaire à l’époque, tant les surcoûts étaient évidents, cette question appelle désormais une réponse urgente en raison du coût considérable de cette dépense fiscale dans un contexte de crise des finances publiques », se justifie-t-il.
En outre, les surcoûts de production des biocarburants par rapport à leurs équivalents fossiles « sont aujourd’hui incertains – en raison de la hausse du prix du pétrole, des économies d’échelle et des gains de productivité –, mais également inconnus », ajoute le rapport.
Le rapport pointe également du doigt l'aide à la distribution via la TGAP sur les carburants qui complète la défiscalisation dans le soutien à la production de biocarburants. Les taux de cette TGAP « ont été fixés à un niveau si élevé qu’elle constitue par elle-même une quasi-obligation d’incorporation pour les distributeurs et un soutien fort au prix de vente pour les producteurs, explique le rapport. « Ceux-ci disposent donc de débouchés assurés à un prix garanti », conclut-il.
Dépenses fiscales/Lois de finances
La défiscalisation des biocarburants aurait coûté 3,8 Mds € à l'Etat en 10 ans (rapport)
Publié le jeudi 08 juillet 2010 - 18h39
Alors que le débat d'orientation sur les finances publiques pour les années 2011-2013 a commencé mardi matin à l'Assemblée nationale, un rapport d'information de la commission des finances sur l’application des mesures fiscales contenues dans les lois de finances précédentes pointe le déficit de recettes (100 milliards d'euros selon Les Echos du 5 juillet 2010) qu'aurait subi l'Etat depuis les années 2000.
Le rapport dénonce notamment la « défiscalisation coûteuse et largement inutile » – amenée à disparaître en 2012 – dont a bénéficié la filière des biocarburants depuis 2002.
« Au total, entre 2002 et 2011, ce sont près de 3,8 milliards d’euros que l’État aura investis dans le soutien à la production des biocarburants, soit une moyenne de 380 millions d’euros par an », déplore-t-il.
Selon le rapport, « entre 2002 et 2008, la dépense fiscale en faveur des biocarburants a été multipliée par plus de cinq et aurait atteint 1,09 milliard d’euros en 2008 si la loi de finances pour 2008 n’avait pas réduit les montants de la défiscalisation, diminuant ainsi le coût de celle-ci à 720 millions d’euros. A la suite de la diminution progressive des montants de défiscalisation par la loi de finances pour 2009, l’évolution de la dépense fiscale est désormais maîtrisée jusqu’en 2011, où elle atteindra cependant encore 480 millions d’euros », précise-t-il.
La défiscalisation (réduction de la TIPP, la taxe intérieure sur les produits pétroliers) était « nécessaire pour créer ex nihilo les deux filières françaises de production de biocarburants », éthanol et diester, afin de compenser le surcoût de production de ceux-ci par rapport à leurs équivalents fossiles, rappelle le rapport. « Cependant, jamais l’Administration des douanes ni une autre administration n’a été en mesure de connaître les coûts de production réels des biocarburants. Secondaire à l’époque, tant les surcoûts étaient évidents, cette question appelle désormais une réponse urgente en raison du coût considérable de cette dépense fiscale dans un contexte de crise des finances publiques », se justifie-t-il.
En outre, les surcoûts de production des biocarburants par rapport à leurs équivalents fossiles « sont aujourd’hui incertains – en raison de la hausse du prix du pétrole, des économies d’échelle et des gains de productivité –, mais également inconnus », ajoute le rapport.
Le rapport pointe également du doigt l'aide à la distribution via la TGAP sur les carburants qui complète la défiscalisation dans le soutien à la production de biocarburants. Les taux de cette TGAP « ont été fixés à un niveau si élevé qu’elle constitue par elle-même une quasi-obligation d’incorporation pour les distributeurs et un soutien fort au prix de vente pour les producteurs, explique le rapport. « Ceux-ci disposent donc de débouchés assurés à un prix garanti », conclut-il.
camito- + membre techno +
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Date d'inscription : 07/12/2009
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