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crise du lait en 2013 !!!
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AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: Elevages en tout genre :: Bovins :: Bovins lait
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crise du lait en 2013 !!!
Rappel du premier message :
je ne suis pas devin , mais ça pue !!!!
Les éleveurs craignent une nouvelle crise du lait
mercredi 04 juillet 2012
La situation économique des exploitations inquiète.
Philippe Renault
« L'année 2013 risque d'être au niveau de 2009 », commence-t-on à murmurer dans les exploitations laitières. Depuis plusieurs mois, les éleveurs subissent une chute des prix du lait, qui va jusqu'à menacer la rentabilité de leurs exploitations. Avec un prix payé aux producteurs d'environ 275€/tonne, « on rencontre des difficultés à sortir les salaires et on est dans l'incapacité de rénover nos outils de production », raconte un éleveur du Poitou-Charentes.
Du côté de l'Institut de l'élevage, on se veut pourtant rassurant. En France, sous la pression d'une forte production aux printemps, les prix ont tendance à baisser tous les ans avant de remonter à l'amorce de l'été. « Les cours ont bien baissé, mais on est dans une phase de stabilisation », rassure ainsi Gérard You, économiste à l'Institut de l'élevage.
Charges en augmentation
Néanmoins, la production mondiale reste soutenue. Les États-Unis (premier producteur mondial), enregistrent des hausses de leur production de l'ordre de 2 % depuis deux mois, tandis que la collecte néo-zélandaise (premier exportateur mondial) connaît un rebond de 10 % sur les deux premiers mois de l'année. En France, la tendance est similaire. Sur les six premières semaines de la campagne 2012/2013, la hausse de la collecte est estimée à 2 %. Aujourd'hui les prix semblent résister, mais avec le pic de production automnal néo-zélandais, la tendance « risque d'être très lourde en septembre », craint Gérard You.
La situation économique des exploitations inquiète d'autant plus que les charges des éleveurs sont en constante augmentation. Les céréales connaissent une hausse conséquente depuis plusieurs semaines, ce qui a un impact direct sur le prix de l'alimentation du bétail, dont dépend grandement l'élevage laitier français. Cette hausse pourrait autoréguler la production mondiale, estime néanmoins Gérard You. « Si le rapport du prix lait sur grain se dégrade, la production sera moins stimulante », explique-t-il.
Mais en France, les producteurs de lait subissent déjà de « fortes charges structurelles. Malgré le prix de l'alimentation du bétail, leur intérêt n'est pas de réduire leur production », concède-t-il. Les éleveurs laitiers s'attendent en outre « à une nouvelle baisse (du prix du lait) à la fin de l'année », explique-t-on en Poitou-Charentes. Or, avec la conjoncture actuelle, « il y a des exploitations qui ne pourront pas supporter de nouvelles baisses du prix du lait », s'alarme-t-on.
Marius GARRIGUE.
http://www.ouest-france.fr/actu/AgricultureDet_-Les-eleveurs-craignent-une-nouvelle-crise-du-lait-_3640-2093290_actu.Htm
http://www.globaldairytrade.info/Results.aspx
quand je vois que ce sont les coop qui veulent plus de lait !!!!!!!!
c'est qui qui gére les coop ???????
va pas falloir venir se plaindre !!!!!!!!!!!!
je ne suis pas devin , mais ça pue !!!!
Les éleveurs craignent une nouvelle crise du lait
mercredi 04 juillet 2012
La situation économique des exploitations inquiète.
Philippe Renault
« L'année 2013 risque d'être au niveau de 2009 », commence-t-on à murmurer dans les exploitations laitières. Depuis plusieurs mois, les éleveurs subissent une chute des prix du lait, qui va jusqu'à menacer la rentabilité de leurs exploitations. Avec un prix payé aux producteurs d'environ 275€/tonne, « on rencontre des difficultés à sortir les salaires et on est dans l'incapacité de rénover nos outils de production », raconte un éleveur du Poitou-Charentes.
Du côté de l'Institut de l'élevage, on se veut pourtant rassurant. En France, sous la pression d'une forte production aux printemps, les prix ont tendance à baisser tous les ans avant de remonter à l'amorce de l'été. « Les cours ont bien baissé, mais on est dans une phase de stabilisation », rassure ainsi Gérard You, économiste à l'Institut de l'élevage.
Charges en augmentation
Néanmoins, la production mondiale reste soutenue. Les États-Unis (premier producteur mondial), enregistrent des hausses de leur production de l'ordre de 2 % depuis deux mois, tandis que la collecte néo-zélandaise (premier exportateur mondial) connaît un rebond de 10 % sur les deux premiers mois de l'année. En France, la tendance est similaire. Sur les six premières semaines de la campagne 2012/2013, la hausse de la collecte est estimée à 2 %. Aujourd'hui les prix semblent résister, mais avec le pic de production automnal néo-zélandais, la tendance « risque d'être très lourde en septembre », craint Gérard You.
La situation économique des exploitations inquiète d'autant plus que les charges des éleveurs sont en constante augmentation. Les céréales connaissent une hausse conséquente depuis plusieurs semaines, ce qui a un impact direct sur le prix de l'alimentation du bétail, dont dépend grandement l'élevage laitier français. Cette hausse pourrait autoréguler la production mondiale, estime néanmoins Gérard You. « Si le rapport du prix lait sur grain se dégrade, la production sera moins stimulante », explique-t-il.
Mais en France, les producteurs de lait subissent déjà de « fortes charges structurelles. Malgré le prix de l'alimentation du bétail, leur intérêt n'est pas de réduire leur production », concède-t-il. Les éleveurs laitiers s'attendent en outre « à une nouvelle baisse (du prix du lait) à la fin de l'année », explique-t-on en Poitou-Charentes. Or, avec la conjoncture actuelle, « il y a des exploitations qui ne pourront pas supporter de nouvelles baisses du prix du lait », s'alarme-t-on.
Marius GARRIGUE.
http://www.ouest-france.fr/actu/AgricultureDet_-Les-eleveurs-craignent-une-nouvelle-crise-du-lait-_3640-2093290_actu.Htm
http://www.globaldairytrade.info/Results.aspx
quand je vois que ce sont les coop qui veulent plus de lait !!!!!!!!
c'est qui qui gére les coop ???????
va pas falloir venir se plaindre !!!!!!!!!!!!
Invité- Invité
Re: crise du lait en 2013 !!!
[quote="Jean Tleman"][quote="petit chat 29"]4 ans que ça baratine , apli conf cr ............... qu'ont ils fait de mieux ????????????????????
[b]RIEN ![/b][/quote]
Je croyais qu'un chat retombait toujours sur ses pattes : 109:
Cette fois tu déconnes complètement!!!!!
La cr via l'opl n'a certes pas attiré tous les regards sur elle, mais elle travaille très sérieusement sur le dossier dans le cadre légal, à savoir les suites de la LMA le paquet lait.
Juste pour info la cr est derrière 2 grandes OP transversales et est en passe d'en agréer d'autres.
Et le projet ne s'arrête pas là.
en agréer d autres ! tu peux expliquer :99:
La cr et l'apli ne font pas que "baratiner" , tu peux en être certain :81:
[/quote]
[b]RIEN ![/b][/quote]
Je croyais qu'un chat retombait toujours sur ses pattes : 109:
Cette fois tu déconnes complètement!!!!!
La cr via l'opl n'a certes pas attiré tous les regards sur elle, mais elle travaille très sérieusement sur le dossier dans le cadre légal, à savoir les suites de la LMA le paquet lait.
Juste pour info la cr est derrière 2 grandes OP transversales et est en passe d'en agréer d'autres.
Et le projet ne s'arrête pas là.
en agréer d autres ! tu peux expliquer :99:
La cr et l'apli ne font pas que "baratiner" , tu peux en être certain :81:
[/quote]
Invité- Invité
Re: crise du lait en 2013 !!!
tout le monde en a marre de l élevage par ici et pourtant l herbe est verte toute l année ........
dans toute les communes cette année il y a des gens qui arrêtent le lait dégoutés par les prix
je dirais 2 ou 3 en moyenne par commune
dans toute les communes cette année il y a des gens qui arrêtent le lait dégoutés par les prix
je dirais 2 ou 3 en moyenne par commune
gan 29- + membre techno +
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finistère
Re: crise du lait en 2013 !!!
En Allemagne, les coûts de production du lait dépassent largement 40 centimes le kilo
par Marcel, le 18 Janvier 2013 08h55
Un rapport scientifique présenté conjointement par l’EMB et le MEG Milch Board fait toute la lumière sur les coûts de production dans le secteur laitier. A l’avenir, ces données seront actualisées chaque trimestre.
Berlin, le 17 janvier 2013
Il était attendu de longue date, ce calcul fiable et continu des coûts de production pour le secteur du lait. Un calcul qui, dans sa formule, intègre aussi, de façon équitable, le temps de travail des chefs d’exploitation et de leur famille, qui permette une différenciation selon les régions mais livre malgré tout des chiffres comparables à l’échelon de l’UE. Le rapport commandé à la fin de l’année 2011 par le European Milk Board (EMB) et le MEG Milch Board auprès du Bureau de l’Agriculture et de la Sociologie agricole (BAL) applique cette formule afin de mesurer les coûts de production sur la totalité du territoire allemand. L’étude se fonde sur les données du Réseau d’Information comptable agricole (RICA) de la Commission européenne. Par conséquent, cette analyse repose sur des bases fiables, représentatives et étendues. Dans le souci d’actualiser les données européennes disponibles, la formule est complétée des indices de prix d’intrants agricoles tels que le fourrage, les engrais, les semences et l’énergie, notés par le Bureau fédéral des Statistiques en Allemagne.
Un autre pilier essentiel de cette méthode de calcul est la variable des revenus, qui intègre le travail presté par le gérant de l’exploitation et leurs proches.
Aujourd’hui, les conclusions pour l’Allemagne sont disponibles et seront actualisées chaque trimestre. Pour les autres états-membres de l’UE, les coûts seront calculés selon la même méthode dans les mois et les années à venir. Ainsi, les résultats obtenus partout en UE pourront aisément être comparés, un atout indéniable sur un marché d’envergure internationale.
Conclusions de l’étude
Pour le mois d’octobre 2012, le calcul des coûts de production en Allemagne (pour un lait à 3,3 % de protéine et 4,0 % de matière grasse, hors TVA) livre les résultats suivants : dans le nord du pays (Rhénanie du Nord-Westphalie, Basse-Saxe, Schleswig-Holstein), les coûts de production du lait s’élèvent, en moyenne, à 43,06 centimes par kilogramme de lait. Il est tenu compte des subventions ; en l’occurrence, ces aides sont déjà déduites des coûts totaux.
Dans le sud (Sarre, Bavière, Bade-Wurtemberg, Rhénanie-Palatinat, Hesse), les coûts de production, compte tenu des subventions, atteignent, en moyenne, 51,03 centimes par kilogramme de lait. A l’est (Thuringe, Saxe, Saxe-Anhalt, Brandebourg, Mecklembourg-Poméranie occidentale), le calcul donne un résultat de 45,07 centimes par kilogramme de lait.
European Milk Board : « Les décideurs politiques doivent se servir de ces données ! »
Ces données éclairent le chemin vers l’obtention de prix rémunérateurs. L’EMB estime qu’il est essentiel que les décideurs politiques utilisent ces données et mettent en place une agence de surveillance européenne. Les coûts calculés doivent servir de base à la fixation d’un prix équitable pour le lait. Un tel prix équitable peut être atteint par des ajustements souples des volumes sur le marché. Seules ces conditions-cadres peuvent véritablement améliorer la position des producteurs sur la chaîne de valorisation du lait.
La présente étude démontre clairement le fossé béant séparant les coûts de production encourus et les prix versés aux producteurs. Par conséquent, l’EMB revendique, pour l’Allemagne et au vu des coûts actuellement recensés, un prix producteur de 50 centimes pour chaque kilo de lait vendu. L’année dernière, ce kilo de lait n’a atteint en Allemagne, en moyenne, qu’un maigre prix de 31,50 centimes.
MEG Milch Board: « Cette étude permet des partenaires à la négociation à pied égal »
Une étape est franchie : le MEG Milch Board s’est acquitté d’une tâche essentielle prévue par ses statuts et, de concert avec le European Milk Board (EMB), a contribué à l’établissement d’un rapport scientifique sur les coûts actuels de production du lait. Il s’agit d’une étude unique qui jette un éclairage précis et inédit sur les producteurs de lait, leur situation actuelle et l’orientation nécessaire du marché à l’avenir. Grâce à ce rapport, le changement de cap amorcé par les décideurs politiques peut être appuyé dans le but de renforcer la position concurrentielle des producteurs de lait sur la chaîne alimentaire.
En effet :
La présente étude d’experts permettra à tous les producteurs et à tous les groupements de producteurs d’être des partenaires à pied égal à la table des négociations. Si jusqu’à présent, il avait fallu argumenter dans le vague, désormais, de solides données sur les coûts peuvent être avancées, comme il est de coutume dans l’économie libérale. Qu’importe, dans un premier temps, si ces coûts désormais objectivés et confirmés après un examen poussé ne peuvent être pleinement répercutés. Le plus important est que l’offre de service proposée par le MEG Milch Board par le biais de ce rapport soit adoptée par un nombre croissant de producteurs. Le regroupement des producteurs de lait soutenu de toutes parts, y compris le monde politique, demeure plus que jamais LE mot d’ordre du moment. Un taux de regroupement élevé démultipliera l’effet percutant de ce rapport consacré aux coûts de production du lait.
Les statistiques récoltées seront transcrites dans un indice, au plus tard, durant le premier trimestre 2013. Cet INDICE DE REFERENCE DU LAIT permettra de suivre, rapidement et en temps réel, l’évolution progressive des coûts. Les détails concernant cet indice seront prochainement présentés par le MEG Milch Board.
http://www.agri-web.eu/actualite.php?PHPSESSID=432ba645635ec43779de984bafed41cf
par Marcel, le 18 Janvier 2013 08h55
Un rapport scientifique présenté conjointement par l’EMB et le MEG Milch Board fait toute la lumière sur les coûts de production dans le secteur laitier. A l’avenir, ces données seront actualisées chaque trimestre.
Berlin, le 17 janvier 2013
Il était attendu de longue date, ce calcul fiable et continu des coûts de production pour le secteur du lait. Un calcul qui, dans sa formule, intègre aussi, de façon équitable, le temps de travail des chefs d’exploitation et de leur famille, qui permette une différenciation selon les régions mais livre malgré tout des chiffres comparables à l’échelon de l’UE. Le rapport commandé à la fin de l’année 2011 par le European Milk Board (EMB) et le MEG Milch Board auprès du Bureau de l’Agriculture et de la Sociologie agricole (BAL) applique cette formule afin de mesurer les coûts de production sur la totalité du territoire allemand. L’étude se fonde sur les données du Réseau d’Information comptable agricole (RICA) de la Commission européenne. Par conséquent, cette analyse repose sur des bases fiables, représentatives et étendues. Dans le souci d’actualiser les données européennes disponibles, la formule est complétée des indices de prix d’intrants agricoles tels que le fourrage, les engrais, les semences et l’énergie, notés par le Bureau fédéral des Statistiques en Allemagne.
Un autre pilier essentiel de cette méthode de calcul est la variable des revenus, qui intègre le travail presté par le gérant de l’exploitation et leurs proches.
Aujourd’hui, les conclusions pour l’Allemagne sont disponibles et seront actualisées chaque trimestre. Pour les autres états-membres de l’UE, les coûts seront calculés selon la même méthode dans les mois et les années à venir. Ainsi, les résultats obtenus partout en UE pourront aisément être comparés, un atout indéniable sur un marché d’envergure internationale.
Conclusions de l’étude
Pour le mois d’octobre 2012, le calcul des coûts de production en Allemagne (pour un lait à 3,3 % de protéine et 4,0 % de matière grasse, hors TVA) livre les résultats suivants : dans le nord du pays (Rhénanie du Nord-Westphalie, Basse-Saxe, Schleswig-Holstein), les coûts de production du lait s’élèvent, en moyenne, à 43,06 centimes par kilogramme de lait. Il est tenu compte des subventions ; en l’occurrence, ces aides sont déjà déduites des coûts totaux.
Dans le sud (Sarre, Bavière, Bade-Wurtemberg, Rhénanie-Palatinat, Hesse), les coûts de production, compte tenu des subventions, atteignent, en moyenne, 51,03 centimes par kilogramme de lait. A l’est (Thuringe, Saxe, Saxe-Anhalt, Brandebourg, Mecklembourg-Poméranie occidentale), le calcul donne un résultat de 45,07 centimes par kilogramme de lait.
European Milk Board : « Les décideurs politiques doivent se servir de ces données ! »
Ces données éclairent le chemin vers l’obtention de prix rémunérateurs. L’EMB estime qu’il est essentiel que les décideurs politiques utilisent ces données et mettent en place une agence de surveillance européenne. Les coûts calculés doivent servir de base à la fixation d’un prix équitable pour le lait. Un tel prix équitable peut être atteint par des ajustements souples des volumes sur le marché. Seules ces conditions-cadres peuvent véritablement améliorer la position des producteurs sur la chaîne de valorisation du lait.
La présente étude démontre clairement le fossé béant séparant les coûts de production encourus et les prix versés aux producteurs. Par conséquent, l’EMB revendique, pour l’Allemagne et au vu des coûts actuellement recensés, un prix producteur de 50 centimes pour chaque kilo de lait vendu. L’année dernière, ce kilo de lait n’a atteint en Allemagne, en moyenne, qu’un maigre prix de 31,50 centimes.
MEG Milch Board: « Cette étude permet des partenaires à la négociation à pied égal »
Une étape est franchie : le MEG Milch Board s’est acquitté d’une tâche essentielle prévue par ses statuts et, de concert avec le European Milk Board (EMB), a contribué à l’établissement d’un rapport scientifique sur les coûts actuels de production du lait. Il s’agit d’une étude unique qui jette un éclairage précis et inédit sur les producteurs de lait, leur situation actuelle et l’orientation nécessaire du marché à l’avenir. Grâce à ce rapport, le changement de cap amorcé par les décideurs politiques peut être appuyé dans le but de renforcer la position concurrentielle des producteurs de lait sur la chaîne alimentaire.
En effet :
La présente étude d’experts permettra à tous les producteurs et à tous les groupements de producteurs d’être des partenaires à pied égal à la table des négociations. Si jusqu’à présent, il avait fallu argumenter dans le vague, désormais, de solides données sur les coûts peuvent être avancées, comme il est de coutume dans l’économie libérale. Qu’importe, dans un premier temps, si ces coûts désormais objectivés et confirmés après un examen poussé ne peuvent être pleinement répercutés. Le plus important est que l’offre de service proposée par le MEG Milch Board par le biais de ce rapport soit adoptée par un nombre croissant de producteurs. Le regroupement des producteurs de lait soutenu de toutes parts, y compris le monde politique, demeure plus que jamais LE mot d’ordre du moment. Un taux de regroupement élevé démultipliera l’effet percutant de ce rapport consacré aux coûts de production du lait.
Les statistiques récoltées seront transcrites dans un indice, au plus tard, durant le premier trimestre 2013. Cet INDICE DE REFERENCE DU LAIT permettra de suivre, rapidement et en temps réel, l’évolution progressive des coûts. Les détails concernant cet indice seront prochainement présentés par le MEG Milch Board.
http://www.agri-web.eu/actualite.php?PHPSESSID=432ba645635ec43779de984bafed41cf
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à 150 mêtres du centre du monde
Re: crise du lait en 2013 !!!
une emission en belgique :
http://www.rtbf.be/laune/revoir/detail_la-clef-des-champs?uid=159423174668&idshedule=e4621bff819db51d7c143dc0a3684223&catchupId=13-TMTEC100-002-PR-1&serieId=13-TMTEC100-000-PR#.UPrI8nrVklk.facebook
http://www.rtbf.be/laune/revoir/detail_la-clef-des-champs?uid=159423174668&idshedule=e4621bff819db51d7c143dc0a3684223&catchupId=13-TMTEC100-002-PR-1&serieId=13-TMTEC100-000-PR#.UPrI8nrVklk.facebook
Re: crise du lait en 2013 !!!
achille a écrit:petit chat 29 a écrit:toutes les charges sauf amortissements et FF .
selon le CER , c'est tout !! en + avec 1.5 smic !!! chez moi selon le CER , c'est 270 € !!!
faut voir l'historique de la ferme coût divers ....phase de dvpt ou pas ...
camito- + membre techno +
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Plateau Picard sud
Re: crise du lait en 2013 !!!
http://www.pauljorion.com/blog/?p=49840
encore un peu de lecture ,c est un résumé assez clairvoyant sur la situation laitiere actuelle (et future ?)
encore un peu de lecture ,c est un résumé assez clairvoyant sur la situation laitiere actuelle (et future ?)
Re: crise du lait en 2013 !!!
tekila a écrit:http://www.pauljorion.com/blog/?p=49840
encore un peu de lecture ,c est un résumé assez clairvoyant sur la situation laitiere actuelle (et future ?)
camito- + membre techno +
- Messages : 2890
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Age : 59
Plateau Picard sud
Re: crise du lait en 2013 !!!
tekila a écrit:http://www.pauljorion.com/blog/?p=49840
encore un peu de lecture ,c est un résumé assez clairvoyant sur la situation laitiere actuelle (et future ?)
très bonne analyse et qui renforce l'idée d'une Europe qui se désengage et donc à terme disparaît .
Invité- Invité
Re: crise du lait en 2013 !!!
oui , c est ce que j en pensais aussi
mais quand on voit que en betterave ,ils ont reussi (planteurs et indus ,coops) a faire reculer bruxelles de qq annees au moins
on dit tjs (ou on entend tout au moins ) c est la faute a bruxelles ,c est eux qui decident ,mais quand meme ça depend de ce qu il y a en face ;de la resistance ,des lobbys ...
mais quand on voit que en betterave ,ils ont reussi (planteurs et indus ,coops) a faire reculer bruxelles de qq annees au moins
on dit tjs (ou on entend tout au moins ) c est la faute a bruxelles ,c est eux qui decident ,mais quand meme ça depend de ce qu il y a en face ;de la resistance ,des lobbys ...
Re: crise du lait en 2013 !!!
à mon avis en ce qui concerne les betteraves il y a moins de lutte entre les états composant l'Europe tandis qu'en lait il y a les états du nord qui ont des vues expansionnistes et productivistes à outrance .
Invité- Invité
Re: crise du lait en 2013 !!!
ouai , les etats du nord
:http://www.reussir-lait.com/actualites/danemark-les-limites-de-la-substitution-capital-travail&fldSearch=eleveurs+danois:VR6Y3RJP.html
:http://www.reussir-lait.com/actualites/danemark-les-limites-de-la-substitution-capital-travail&fldSearch=eleveurs+danois:VR6Y3RJP.html
Re: crise du lait en 2013 !!!
sans les photos...
Danemark: les limites de la substitution capital-travail
20 décembre 2011 A. Conté
La forte efficacité productive des Danois est incontestable. Mais ils ont été rattrapés en 2008-3009 par leur modèle de financement « acrobatique ».
LES EXPLOITATIONS LAITIÈRES DANOISES sont lourdement endettées, en moyenne 2 millions d’euros, avec des étables neuves à 7 à 8000 ¤/vache. - © C. Perrot
Les exploitations danoises sont passées en peu de temps de troupeaux de 40 Rouges danoises au pâturage et en étables entravées, à des troupeaux de 100 à 300 Holstein en ration complète et stabulation libre. Les lourds investissements nécessaires ont été financés par un système de crédit hypothécaire rechargeable dans lequel les prêts sont accordés en fonction du montant des actifs présentés (et non de la capacité de remboursement).
Cette facilité d’accès au crédit a créé au cours des années 2000 une bulle foncière et financière qui a éclaté en 2008: tant que le prix du foncier qui servait à garantir le crédit montait (il a plus que doublé entre 2002 et 2008 jusqu’à 35 000 €/ha), le système fonctionnait. Il a chuté de 40 %, et le robinet du crédit s’est fermé. Pour gérer cet endettement colossal des exploitations, les banques ont eu recours à des emprunts indexés au franc suisse qui ont entraîné des pertes importantes. Les exploitations danoises ont vu ainsi leurs frais financiers propulsés à 153 €/1000 litres à cause des pertes sur les instruments financiers !
Résultat, onze banques régionales ont fait faillite depuis 18 mois. 7 % des éleveurs sont « insolvables » (passif supérieur à l’actif). «Mais il y a peu de vraies faillites, grâce à des ventes arrangées par les banques entre des agriculteurs fragilisées et d’autres plus solides (ceux qui ont investi en 2002-2003). Les banques ont une gestion énergique de la crise, elles veulent tenir le marché foncier, vital pour leur survie », explique Christophe Perrot.
Peu de vraies faillites grâce à des ventes arrangées
Cela conduira-t-il à une production partiellement intégrée ? « Il y a pour des managers des opportunités de reprise de bâtiments en location en salariant l’ancien propriétaire. » Ce système à très forte productivité du travail — 1 million de litres par UTA avec des vaches à 9000 kg — peut donner des résultats exceptionnels comme en 2007 mais il peut aussi multiplier les pertes comme en 2009. « Sa rentabilité n’est assurée qu’avec un prix du lait élevé et un intérêt bas », analyse-t-il.
Les éleveurs danois bénéficient d’un prix du lait plus élevé qu’ailleurs. Pour plusieurs raisons: le taux de matière grasse élevé, l’importance de l’agriculture biologique (10 % des élevages) et l’efficacité de la coopérative Arla où les producteurs sont fortement impliqués. Ainsi en 2009, les coopérateurs ont bénéficié d’un complément de prix exceptionnel de 28 €/t.
Malgré les difficultés actuelles, le Danemark ne remet pas en cause ses choix stratégiques. Les investissements des élevages laitiers ont tout de même été divisés par dix et une surveillance mensuelle des comptes d’exploitation (cash flow) a été mise en place. En 2012- 2013, les Danois s’attendent à de faibles revenus particulièrement dans les grands troupeaux de plus de 250 vaches.
Au final, la production future du Danemark ne devrait que faiblement augmenter. Pour d’autres motifs: en cause, de fortes contraintes environnementales qui bloquent tout accroissement du cheptel national.
Danemark: les limites de la substitution capital-travail
20 décembre 2011 A. Conté
La forte efficacité productive des Danois est incontestable. Mais ils ont été rattrapés en 2008-3009 par leur modèle de financement « acrobatique ».
LES EXPLOITATIONS LAITIÈRES DANOISES sont lourdement endettées, en moyenne 2 millions d’euros, avec des étables neuves à 7 à 8000 ¤/vache. - © C. Perrot
Les exploitations danoises sont passées en peu de temps de troupeaux de 40 Rouges danoises au pâturage et en étables entravées, à des troupeaux de 100 à 300 Holstein en ration complète et stabulation libre. Les lourds investissements nécessaires ont été financés par un système de crédit hypothécaire rechargeable dans lequel les prêts sont accordés en fonction du montant des actifs présentés (et non de la capacité de remboursement).
Cette facilité d’accès au crédit a créé au cours des années 2000 une bulle foncière et financière qui a éclaté en 2008: tant que le prix du foncier qui servait à garantir le crédit montait (il a plus que doublé entre 2002 et 2008 jusqu’à 35 000 €/ha), le système fonctionnait. Il a chuté de 40 %, et le robinet du crédit s’est fermé. Pour gérer cet endettement colossal des exploitations, les banques ont eu recours à des emprunts indexés au franc suisse qui ont entraîné des pertes importantes. Les exploitations danoises ont vu ainsi leurs frais financiers propulsés à 153 €/1000 litres à cause des pertes sur les instruments financiers !
Résultat, onze banques régionales ont fait faillite depuis 18 mois. 7 % des éleveurs sont « insolvables » (passif supérieur à l’actif). «Mais il y a peu de vraies faillites, grâce à des ventes arrangées par les banques entre des agriculteurs fragilisées et d’autres plus solides (ceux qui ont investi en 2002-2003). Les banques ont une gestion énergique de la crise, elles veulent tenir le marché foncier, vital pour leur survie », explique Christophe Perrot.
Peu de vraies faillites grâce à des ventes arrangées
Cela conduira-t-il à une production partiellement intégrée ? « Il y a pour des managers des opportunités de reprise de bâtiments en location en salariant l’ancien propriétaire. » Ce système à très forte productivité du travail — 1 million de litres par UTA avec des vaches à 9000 kg — peut donner des résultats exceptionnels comme en 2007 mais il peut aussi multiplier les pertes comme en 2009. « Sa rentabilité n’est assurée qu’avec un prix du lait élevé et un intérêt bas », analyse-t-il.
Les éleveurs danois bénéficient d’un prix du lait plus élevé qu’ailleurs. Pour plusieurs raisons: le taux de matière grasse élevé, l’importance de l’agriculture biologique (10 % des élevages) et l’efficacité de la coopérative Arla où les producteurs sont fortement impliqués. Ainsi en 2009, les coopérateurs ont bénéficié d’un complément de prix exceptionnel de 28 €/t.
Malgré les difficultés actuelles, le Danemark ne remet pas en cause ses choix stratégiques. Les investissements des élevages laitiers ont tout de même été divisés par dix et une surveillance mensuelle des comptes d’exploitation (cash flow) a été mise en place. En 2012- 2013, les Danois s’attendent à de faibles revenus particulièrement dans les grands troupeaux de plus de 250 vaches.
Au final, la production future du Danemark ne devrait que faiblement augmenter. Pour d’autres motifs: en cause, de fortes contraintes environnementales qui bloquent tout accroissement du cheptel national.
Re: crise du lait en 2013 !!!
normal : marché fluctuant et de lourds investissements structurels .tekila a écrit:sans les photos...
Danemark: les limites de la substitution capital-travail
20 décembre 2011 A. Conté
La forte efficacité productive des Danois est incontestable. Mais ils ont été rattrapés en 2008-3009 par leur modèle de financement « acrobatique ».
LES EXPLOITATIONS LAITIÈRES DANOISES sont lourdement endettées, en moyenne 2 millions d’euros, avec des étables neuves à 7 à 8000 ¤/vache. - © C. Perrot
Les exploitations danoises sont passées en peu de temps de troupeaux de 40 Rouges danoises au pâturage et en étables entravées, à des troupeaux de 100 à 300 Holstein en ration complète et stabulation libre. Les lourds investissements nécessaires ont été financés par un système de crédit hypothécaire rechargeable dans lequel les prêts sont accordés en fonction du montant des actifs présentés (et non de la capacité de remboursement).
Cette facilité d’accès au crédit a créé au cours des années 2000 une bulle foncière et financière qui a éclaté en 2008: tant que le prix du foncier qui servait à garantir le crédit montait (il a plus que doublé entre 2002 et 2008 jusqu’à 35 000 €/ha), le système fonctionnait. Il a chuté de 40 %, et le robinet du crédit s’est fermé. Pour gérer cet endettement colossal des exploitations, les banques ont eu recours à des emprunts indexés au franc suisse qui ont entraîné des pertes importantes. Les exploitations danoises ont vu ainsi leurs frais financiers propulsés à 153 €/1000 litres à cause des pertes sur les instruments financiers !
Résultat, onze banques régionales ont fait faillite depuis 18 mois. 7 % des éleveurs sont « insolvables » (passif supérieur à l’actif). «Mais il y a peu de vraies faillites, grâce à des ventes arrangées par les banques entre des agriculteurs fragilisées et d’autres plus solides (ceux qui ont investi en 2002-2003). Les banques ont une gestion énergique de la crise, elles veulent tenir le marché foncier, vital pour leur survie », explique Christophe Perrot.
Peu de vraies faillites grâce à des ventes arrangées
Cela conduira-t-il à une production partiellement intégrée ? « Il y a pour des managers des opportunités de reprise de bâtiments en location en salariant l’ancien propriétaire. » Ce système à très forte productivité du travail — 1 million de litres par UTA avec des vaches à 9000 kg — peut donner des résultats exceptionnels comme en 2007 mais il peut aussi multiplier les pertes comme en 2009. « Sa rentabilité n’est assurée qu’avec un prix du lait élevé et un intérêt bas », analyse-t-il.
Les éleveurs danois bénéficient d’un prix du lait plus élevé qu’ailleurs. Pour plusieurs raisons: le taux de matière grasse élevé, l’importance de l’agriculture biologique (10 % des élevages) et l’efficacité de la coopérative Arla où les producteurs sont fortement impliqués. Ainsi en 2009, les coopérateurs ont bénéficié d’un complément de prix exceptionnel de 28 €/t.
Malgré les difficultés actuelles, le Danemark ne remet pas en cause ses choix stratégiques. Les investissements des élevages laitiers ont tout de même été divisés par dix et une surveillance mensuelle des comptes d’exploitation (cash flow) a été mise en place. En 2012- 2013, les Danois s’attendent à de faibles revenus particulièrement dans les grands troupeaux de plus de 250 vaches.
Au final, la production future du Danemark ne devrait que faiblement augmenter. Pour d’autres motifs: en cause, de fortes contraintes environnementales qui bloquent tout accroissement du cheptel national.
ça ne peut que coincer .
Invité- Invité
Re: crise du lait en 2013 !!!
le Danemark, c'etait le modéle d'il y a 10ans, on voit bien ou ils en sont maintenant...
J'ai vu un reportage sur ce pays, des superbes exploitations, mais super endettées.... des fermes avec 2000ha et 2000truies naisseur engraisseur, le gars n'y arrivé plus, obligé de licencier mais le boulot est toujours là...
Ce pays est devenu importateur de plusieurs matiéres premiéres alors qu'auparavant c'etait l'inverse.... c'est un beau modéle...moué bof
Leur blé n'est plus de qualité à cause des restrictions écolos niveau produits phytos (trt fusa)
Bref, un systéme écolo qui "assassine" les agriculteurs....
J'ai vu un reportage sur ce pays, des superbes exploitations, mais super endettées.... des fermes avec 2000ha et 2000truies naisseur engraisseur, le gars n'y arrivé plus, obligé de licencier mais le boulot est toujours là...
Ce pays est devenu importateur de plusieurs matiéres premiéres alors qu'auparavant c'etait l'inverse.... c'est un beau modéle...moué bof
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Bref, un systéme écolo qui "assassine" les agriculteurs....
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Re: crise du lait en 2013 !!!
et surtout en élevage un libéralisme à la Ficher Boel.BV-Fan a écrit:le Danemark, c'etait le modéle d'il y a 10ans, on voit bien ou ils en sont maintenant...
J'ai vu un reportage sur ce pays, des superbes exploitations, mais super endettées.... des fermes avec 2000ha et 2000truies naisseur engraisseur, le gars n'y arrivé plus, obligé de licencier mais le boulot est toujours là...
Ce pays est devenu importateur de plusieurs matiéres premiéres alors qu'auparavant c'etait l'inverse.... c'est un beau modéle...moué bof
Leur blé n'est plus de qualité à cause des restrictions écolos niveau produits phytos (trt fusa)
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Re: crise du lait en 2013 !!!
eleveur50 a écrit:et surtout en élevage un libéralisme à la Ficher Boel.BV-Fan a écrit:le Danemark, c'etait le modéle d'il y a 10ans, on voit bien ou ils en sont maintenant...
J'ai vu un reportage sur ce pays, des superbes exploitations, mais super endettées.... des fermes avec 2000ha et 2000truies naisseur engraisseur, le gars n'y arrivé plus, obligé de licencier mais le boulot est toujours là...
Ce pays est devenu importateur de plusieurs matiéres premiéres alors qu'auparavant c'etait l'inverse.... c'est un beau modéle...moué bof
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Bref, un systéme écolo qui "assassine" les agriculteurs....
soyez patients , c' est en train d' arriver chez nous
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
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Re: crise du lait en 2013 !!!
ouai, bof ,pourtant ,on l avait rechauffé mne fisher boel :
http://www.web-agri.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article/fischer-boel-producteur-lait-bruxelles-dacian-ciolos-crise-lait-1145-61112.html
donc ,on pourrait encore etre pire
http://www.web-agri.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article/fischer-boel-producteur-lait-bruxelles-dacian-ciolos-crise-lait-1145-61112.html
donc ,on pourrait encore etre pire
Re: crise du lait en 2013 !!!
PatogaZ a écrit:eleveur50 a écrit:et surtout en élevage un libéralisme à la Ficher Boel.BV-Fan a écrit:le Danemark, c'etait le modéle d'il y a 10ans, on voit bien ou ils en sont maintenant...
J'ai vu un reportage sur ce pays, des superbes exploitations, mais super endettées.... des fermes avec 2000ha et 2000truies naisseur engraisseur, le gars n'y arrivé plus, obligé de licencier mais le boulot est toujours là...
Ce pays est devenu importateur de plusieurs matiéres premiéres alors qu'auparavant c'etait l'inverse.... c'est un beau modéle...moué bof
Leur blé n'est plus de qualité à cause des restrictions écolos niveau produits phytos (trt fusa)
Bref, un systéme écolo qui "assassine" les agriculteurs....
soyez patients , c' est en train d' arriver chez nous
Les banques française ne vont prendre les risques pris par les danoises.
Mais la concentration aura lieu même avec un prix du lait correct.
La productivité augmente mais le revenu stagne .
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Re: crise du lait en 2013 !!!
http://www.apli-nationale.org/TELECHARGEMENTS/Broschpre_Vollkostenstudie_FR_FINAL.pdf
500 € les milles litres LeFoll va être ravis .
500 € les milles litres LeFoll va être ravis .
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Re: crise du lait en 2013 !!!
comment que tu peu faire pour raconter des conneries pareil toi !!!! pour l'instant c'est toujours la brave féedé qui a les commandes non ....petit chat 29 a écrit:4 ans que ça baratine , apli conf cr ............... qu'ont ils fait de mieux ????????????????????
RIEN !
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Re: crise du lait en 2013 !!!
ac/dc59 a écrit:petit chat 29 a écrit:4 ans que ça baratine , apli conf cr ............... qu'ont ils fait de mieux ????????????????????
RIEN !
ils ne peuvent rien faire pour l'instant ,ils ne sont pas aux manettes il y en a vraiement qui plongent la tête dans le sable pour ne pas ce rendre compte de leur conneries ...tu crois pas ???
sinon aprés le pv , tu ne regarde pas du coté du biogaz un chat ça voit loin
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Re: crise du lait en 2013 !!!
http://www.radio-canada.ca/emissions/bien_dans_son_assiette/2012-2013/Reportage.asp?idDoc=271415
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Re: crise du lait en 2013 !!!
le son et l image ,
https://www.youtube.com/watch?v=r9DdT9NH6-o&feature=player_embedded#!
https://www.youtube.com/watch?v=r9DdT9NH6-o&feature=player_embedded#!
Re: crise du lait en 2013 !!!
un article sur un blog non agricole
http://www.pauljorion.com/blog/?p=50773
http://www.pauljorion.com/blog/?p=50773
Re: crise du lait en 2013 !!!
tekila a écrit:un article sur un blog non agricole
http://www.pauljorion.com/blog/?p=50773
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Re: crise du lait en 2013 !!!
tekila a écrit:un article sur un blog non agricole
http://www.pauljorion.com/blog/?p=50773
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Plateau Picard sud
Re: crise du lait en 2013 !!!
j'ai causé 2mn avec le comptable qui etait hier a la maison !!
les comptes de pas mal de laitier vire au rouge !!
triskalia propose d'ailleurs 30 e tonne d'avance remboursable cet été !!
ca tourne en rond cette affaire !!
papin de chez unico tremble a l'ldée que le minerai pourrait disparaitre
la france en importera de chine un de ces jours !!
les comptes de pas mal de laitier vire au rouge !!
triskalia propose d'ailleurs 30 e tonne d'avance remboursable cet été !!
ca tourne en rond cette affaire !!
papin de chez unico tremble a l'ldée que le minerai pourrait disparaitre
la france en importera de chine un de ces jours !!
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Re: crise du lait en 2013 !!!
et v la une intervention radiophonique de s papin ,il parle deja mieux que son collegue breton !!
http://www.francebleu.fr/infos/fb-breizh-izel-l-invite-de-7h20/serge-papin
http://www.francebleu.fr/infos/fb-breizh-izel-l-invite-de-7h20/serge-papin
Re: crise du lait en 2013 !!!
https://www.youtube.com/watch?v=myeIybtycvg
et oui , toujours un decalage !
quand le prix va remonter ,dans six mois , on produira plus et donc encombrerons deja le marché ....
et si on ecoute ce monsieur , les laiteries ,aujourd hui y gagneraient a faire des pdts industriels en export donc elles pourraient mettre la pression aux gms sur les volumes disponibles et donc une tension sur le prix a la hausse ,non ?
on va surement me dire que c est plus compliqué que cela
et oui , toujours un decalage !
quand le prix va remonter ,dans six mois , on produira plus et donc encombrerons deja le marché ....
et si on ecoute ce monsieur , les laiteries ,aujourd hui y gagneraient a faire des pdts industriels en export donc elles pourraient mettre la pression aux gms sur les volumes disponibles et donc une tension sur le prix a la hausse ,non ?
on va surement me dire que c est plus compliqué que cela
Re: crise du lait en 2013 !!!
on n ' était pas trop nombreux !!!
http://www.lepopulaire.fr/limousin/actualite/departement/haute-vienne/2013/04/02/les-eleveurs-en-colere-occupe-l-asp-1500320.html
http://limousin.france3.fr/2013/04/02/les-agriculteurs-du-centre-ouest-manifestent-limoges-pour-alerter-sur-leur-situation-226941.html
http://www.lepopulaire.fr/limousin/actualite/departement/haute-vienne/2013/04/02/les-eleveurs-en-colere-occupe-l-asp-1500320.html
http://limousin.france3.fr/2013/04/02/les-agriculteurs-du-centre-ouest-manifestent-limoges-pour-alerter-sur-leur-situation-226941.html
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