crise du lait en 2013 !!!

Rappel du premier message :


je ne suis pas devin , mais ça pue !!!!


Les éleveurs craignent une nouvelle crise du lait
mercredi 04 juillet 2012

La situation économique des exploitations inquiète.
Philippe Renault

« L'année 2013 risque d'être au niveau de 2009 », commence-t-on à murmurer dans les exploitations laitières. Depuis plusieurs mois, les éleveurs subissent une chute des prix du lait, qui va jusqu'à menacer la rentabilité de leurs exploitations. Avec un prix payé aux producteurs d'environ 275€/tonne, « on rencontre des difficultés à sortir les salaires et on est dans l'incapacité de rénover nos outils de production », raconte un éleveur du Poitou-Charentes.
Du côté de l'Institut de l'élevage, on se veut pourtant rassurant. En France, sous la pression d'une forte production aux printemps, les prix ont tendance à baisser tous les ans avant de remonter à l'amorce de l'été. « Les cours ont bien baissé, mais on est dans une phase de stabilisation », rassure ainsi Gérard You, économiste à l'Institut de l'élevage.

Charges en augmentation

Néanmoins, la production mondiale reste soutenue. Les États-Unis (premier producteur mondial), enregistrent des hausses de leur production de l'ordre de 2 % depuis deux mois, tandis que la collecte néo-zélandaise (premier exportateur mondial) connaît un rebond de 10 % sur les deux premiers mois de l'année. En France, la tendance est similaire. Sur les six premières semaines de la campagne 2012/2013, la hausse de la collecte est estimée à 2 %. Aujourd'hui les prix semblent résister, mais avec le pic de production automnal néo-zélandais, la tendance « risque d'être très lourde en septembre », craint Gérard You.

La situation économique des exploitations inquiète d'autant plus que les charges des éleveurs sont en constante augmentation. Les céréales connaissent une hausse conséquente depuis plusieurs semaines, ce qui a un impact direct sur le prix de l'alimentation du bétail, dont dépend grandement l'élevage laitier français. Cette hausse pourrait autoréguler la production mondiale, estime néanmoins Gérard You. « Si le rapport du prix lait sur grain se dégrade, la production sera moins stimulante », explique-t-il.

Mais en France, les producteurs de lait subissent déjà de « fortes charges structurelles. Malgré le prix de l'alimentation du bétail, leur intérêt n'est pas de réduire leur production », concède-t-il. Les éleveurs laitiers s'attendent en outre « à une nouvelle baisse (du prix du lait) à la fin de l'année », explique-t-on en Poitou-Charentes. Or, avec la conjoncture actuelle, « il y a des exploitations qui ne pourront pas supporter de nouvelles baisses du prix du lait », s'alarme-t-on.

Marius GARRIGUE.


http://www.ouest-france.fr/actu/AgricultureDet_-Les-eleveurs-craignent-une-nouvelle-crise-du-lait-_3640-2093290_actu.Htm





http://www.globaldairytrade.info/Results.aspx



quand je vois que ce sont les coop qui veulent plus de lait !!!!!!!!


c'est qui qui gére les coop ???????

va pas falloir venir se plaindre !!!!!!!!!!!!

rigoles pas , c est vrai en plus !

j ai un copain adherent ceta qui a fait une formation :"comment analyser mon revenu? " etc...

tekila a écrit:rigoles pas , c est vrai en plus !

j ai un copain adherent ceta qui a fait une formation :"comment analyser mon revenu? " etc...

C'est lamentable de nous proposer ces formations, perso, je prends ça comme une atteinte au peu de dignité qui nous reste!!!

Quand on dit que les prix sont trop bas, on nous dit de diminuer les charges!!! On est des 'branqueuttin" quoi????

Enfin bref....

2ddg a écrit:

camito a écrit:t'as pas fini d'ouvrir les yeux à ceux qui ne veulent pas voir !!

Tiens ds Horizon Agricole "REDONNER DU SOUFLE à L'ELEVAGE" ....président de chambre de la Somme !!!

Cette même Chambre avec ses FDJA casse toutes initiatives de revendications quand au prix du lait (métrise de production etc.).....voir reportage télé lors des grèves du lait !!!

une de leur solution encouragement de l'agriculture sociétale

trés utiles nos fdja ......à chaque crise ........et hop on prône les assolements en commun etc..........

Bientôt de retour des formations : " Redéfinir la stratégie de l'exploitation " .. " Maîtrise des charges , il y a encore des marges " ....."Augmenter le volume pour palier à la baisse du prix " ....
Formateurs et intervenants sont rodés suivant l'année .. les dossiers sont prêts les " clients " bientôt à l'écoute ...

"clients" excellent !

tekila a écrit:chez nous ,on a env 33% de la sau en sfp (mais,bett f ,herbe ) pour faire env 14000 l de lait par ha de sfp ,
les ha de culture de vente tournent"autour" de 1000 e d ebe

alors si je veux reduire un bon coup mon prix de revient ou prix d equilibre du lait ,j augmente de 30% la sfp en prairie et en luzerne pour ainsi acheter nettement moins de tx soya,colza et meme pulpes
comme ça ,je suis content , je diminue mon prix de revient ,tout le monde est content et personne ne parle biensur que je perds x mille euros sur les cultures de vente !!

+1, le prix de revient comme tt les chiffres, faut savoir les interprèter

tekila a écrit:chez nous ,on a env 33% de la sau en sfp (mais,bett f ,herbe ) pour faire env 14000 l de lait par ha de sfp ,
les ha de culture de vente tournent"autour" de 1000 e d ebe

alors si je veux reduire un bon coup mon prix de revient ou prix d equilibre du lait ,j augmente de 30% la sfp en prairie et en luzerne pour ainsi acheter nettement moins de tx soya,colza et meme pulpes
comme ça ,je suis content , je diminue mon prix de revient ,tout le monde est content et personne ne parle biensur que je perds x mille euros sur les cultures de vente !!

J'ai du mal a saisir ton raisonnement..
J'avoue que si j'avais de la plus place (chez nous pas du tout de céréales ou autres), je ferais plus de sfp plutot que des céréales.. d'une part parce que le lait, c'est ce qu'on fait de mieux (et ce qu'on préfère) et d'autre part parce qu'un hectare de sfp nous a toujours plus rapporté qu'un hectare de céréales...

ok ,
par contre je peux comprendre ton systeme ,
c est aussi selon les potentiels agronomiques des petites regions ,
nous aussi,justement ,si on fait du lait ,c est parce que on aime ça
mais on travaille aussi pour gagner de l argent et entre 1 ha de blé a env 1500 e de marge brute (peu de temps de tarvail) et 1 ha d herbe a moins de 10 t de ms par an ,des frais de recolte (car eloigné) et donc autant de travail(ou +) qu un blé ou colza ,
autant faire un peu + de mais(16,17,t ms) ou acheter un peu de pulpes donc accessoirement un peu + de soya !
ce qui n arrange pas le cout de production d un litre de lait mais qui donne une relative bonne rentabilité de la ferme en generale (ebe sur pdt)
en meme temps ,aujourd hui pour moi , un ha de mais(ou herbe retournable) pour les vl ,on doit le compter a presque 2000e en rapport avec le prix du blé que l on aurait pu faire a la place !
ce qui n arrange pas non plus le prix de revient du lait !

pour comparaison , les eleveurs de porcs en faf , je pense qu ils comptent leur prix d aliment en prenant les cours du blé ,orge (et non les charges operationnelles d un ha de blé) ,sinon , comment pourrez t il comparer avec l aliment de commerce ?

mail reçu de la part de la rédaction du plm:

Un prix du lait plutôt stable, mais des coûts de production en hausse…

Après une légère augmentation pour les premiers mois de 2012 (+ 3 % par rapport au 1er trimestre 2011) une baisse printanière - 3,5 % par rapport à 2011, vu l’évolution des cours des produits industriels et du prix allemand, le prix du lait sur le troisième trimestre devrait être inférieur au troisième trimestre de 2011.

Pour la fin de l’année, tout va dépendre de l’ampleur de la reprise des cours des produits industriels. Depuis début mai, le creux de collecte de l’hémisphère sud et la fin du pic de collecte en Europe ont en effet permis aux cotations du beurre et des poudres de repartir à la hausse, mais l’hémisphère sud est dans sa période creuse. Pour la fin d’année, tout dépendra des conditions climatiques qui influencera le début de campagne.

La baisse des prix des produits laitiers constatée depuis plusieurs mois est liée surproduction au niveau mondial. Heureusement, la demande continue de tirer le marché des poudres de lait écrémé et du lactosérum.

Reste à savoir jusque ou vont monter les coûts de production.

N'oubliez pas de rentrez vos prix du lait sur www.leprixdulait.fr

ça tombe bien , j etais en train de le lire et voici donc ce que je lui ai repondu :

"
bonjour,



je voudrais bien vous dire mon prix de juillet mais ma premiere livraison de juillet est deja vendue en magasin que je ne sais pas encore exactement son prix de base qui va m etre payé !

mon atc laiterie ,contacté ce jour ne sait pas me repondre ,il attends les "index "f1 et index allemand !



salutations
"

tekila a écrit:ça tombe bien , j etais en train de le lire et voici donc ce que je lui ai repondu :

"
bonjour,



je voudrais bien vous dire mon prix de juillet mais ma premiere livraison de juillet est deja vendue en magasin que je ne sais pas encore exactement son prix de base qui va m etre payé !

mon atc laiterie ,contacté ce jour ne sait pas me repondre ,il attends les "index "f1 et index allemand !



salutations
"

moi j'ai recu le prix par danone debut de semaine: A:339.86 et le B: 240.4. vaut mieux pas faire de B, mais avec 12.5% de A pour moi ya pas d'probléme je vais pas faire de B

tekila a écrit:

les ultra libéraux de bruxelles peuvent compter sur de bons collabo.....

on appelle aussi cela :du lobbying

je connais très bien les méfaits de la libre concurrence pour les rencontrer chaque jour en fruits et légumes , ça va faire un an que les producteurs Français vendent à perte subissant la pression de pays du sud à faible coût de Main d' oeuvre
La fin des quotas laitiers va ouvrir la porte à ces distorsions à la fois de coût mais aussi de contraintes diverses
on peut compter sur la France pour assommer ses producteurs grâce aux trois jokers (sécurité , environnement , bien être animal )
ailleurs il y a des arrangements avec le bon Dieu et les coûts bien inférieurs permettent de gagner là où en France on perd
Les improductifs sauront bien pourrir la vie de leurs producteurs , dans l' ignorance totale du fait qu'ils scient la branche sur laquelle ils sont assis
essayez déjà de leur supprimer la machine à café et vous verrez comment ça va réagir quand on les chatouille un peu

chez BELIN , c'est combien le cout de revient des 1000 L?
et dans la future grosse usine à lait de la somme il sera de combien?
cette usine va en faire crever combien des producteurs ?
et apres celle ci on va la construire où la 2eme et la 3eme ?
la crise du lait n'a jamais etait reglé et surtout pas grace à la contractualisation !!!!
le drame des producteurs c'est que dans chaque département vous avez des gens prets à produire 10 fois plus, uniquement par vanité ,orgueil et gloriole , toujours plus grand ,toujours plus gros que mon voisin

ja du 59 a écrit:

tekila a écrit:ça tombe bien , j etais en train de le lire et voici donc ce que je lui ai repondu :

"
bonjour,



je voudrais bien vous dire mon prix de juillet mais ma premiere livraison de juillet est deja vendue en magasin que je ne sais pas encore exactement son prix de base qui va m etre payé !

mon atc laiterie ,contacté ce jour ne sait pas me repondre ,il attends les "index "f1 et index allemand !



salutations
"

moi j'ai recu le prix par danone debut de semaine: A:339.86 et le B: 240.4. vaut mieux pas faire de B, mais avec 12.5% de A pour moi ya pas d'probléme je vais pas faire de B

pourquoi avoir réclamer et voter "oui" au prix "a" et "b" alors

petite fontaine a écrit: chez BELIN , c'est combien le cout de revient des 1000 L?
et dans la future grosse usine à lait de la somme il sera de combien?
cette usine va en faire crever combien des producteurs ?
et apres celle ci on va la construire où la 2eme et la 3eme ?
la crise du lait n'a jamais etait reglé et surtout pas grace à la contractualisation !!!!
le drame des producteurs c'est que dans chaque département vous avez des gens prets à produire 10 fois plus, uniquement par vanité ,orgueil et gloriole , toujours plus grand ,toujours plus gros que mon voisin

1000 vaches : pas de rentabilité !si elle a recourt à des salariés (en France)

une ferme laitière familiale et plus rentable qu'une ferme avec des salariés

PatogaZ a écrit:je connais très bien les méfaits de la libre concurrence pour les rencontrer chaque jour en fruits et légumes , ça va faire un an que les producteurs Français vendent à perte subissant la pression de pays du sud à faible coût de Main d' oeuvre
La fin des quotas laitiers va ouvrir la porte à ces distorsions à la fois de coût mais aussi de contraintes diverses
on peut compter sur la France pour assommer ses producteurs grâce aux trois jokers (sécurité , environnement , bien être animal )
ailleurs il y a des arrangements avec le bon Dieu et les coûts bien inférieurs permettent de gagner là où en France on perd
Les improductifs sauront bien pourrir la vie de leurs producteurs , dans l' ignorance totale du fait qu'ils scient la branche sur laquelle ils sont assis
essayez déjà de leur supprimer la machine à café et vous verrez comment ça va réagir quand on les chatouille un peu

si ,tu parles ici , entre autres , des fonctionnaires des ddtm, dsv etc...
pour mon cas personnel ,et pour le moment ,je n ai pas grand chose a leur reprocher ;pour avoir ete en contact avec eux au niveau de l elevage (quotas , installations classées etc...)ça s est passé comme il le fallait et ils (elles) ont su faire preuve d ecoute ,comprehension ,adaptation a la situation tout en ayant comme objectif d appliquer les instructions superieures (mimistere)

bref, ça m est arrivé ,en tant que petit responsable syndical d etre allé faire le boxon devant la dda avec certains jetant des oeufs pourris aux fenetres et meme du fumier etc...
avec la petite experience que j ai , on ne m y reprendra plus !!!!!

ensuite pour la main d oeuvre moins chere d autres pays ,je pense que ce n est pas si facile ,difficilement comparable avec les fruits et legumes ou il faut et faudra toujours beaucoup de main d oeuvre (meme non qualifiée)
le discours que j ai deja entendu en conseil fede c a d "si on ne s adapte pas a produire un lait pas cher , du lait d autres pays rentrera en france ",c est faux ,archi faux ,sans fondements verifiés ,ce n est que de la propagande d industriels transformateurs (privés ou pseudos coops)

le probleme passé et present du lait est l implication des politiques ,notamment europeens dans le dossier de la regulation des volumes produits etc....
et bien sur aussi la defense reelle des producteurs par leurs representants "officiels"
faut savoir , qu a bruxelles (a moins que je me trompe) la fnpl est representée par le copa -cogeca et je serai donc curieux d ecouter ce qui se dit quand ils sont en face de la commission ou du parlement europeen !
je maintiens (meme si ça ne me fera pas que des amis ) que si on etait reellement defendu , on irait chercher (ou du moins en parlerait) l argent de l europe qui etait couplé au quota jusqu en 2006 et qui est maintenant distribué a des agri qui ont arreté la production laitiere (suite au decouplage) ,et ce , pas pour me le redonner mais plutot pour abonder des fonds qui pourraient servir a faire la promotion des pdts ,la regulation de production conjoncturelle etc ....

tékila , il n' y a pas que l' agriculture gouvernementale dans les bureaucrates qui assassinent la profession , c' est réducteur d' assimiler toujours les directions départementales et régionales de l' agriculture à ceux qui compliquent la tâche de l' agriculture
il y en a bien d' autres et certains sont dans le camp même de l' agriculture
mais si tu comptes sur les politiques pour t' en sortir , dis toi bien que tu comptes sur pas grand chose

et à mon avis , ce n' est pas en pointant tes alliés du doigt que tu vas fédérer autour de toi (ce n' est que mon avis )

oui , d accord par rapport aux dda et autres responsables (parfois elus )etc ...

pour les politiques ,je comprends mais n empeches qu ils ont le pouvoir de faire ou defaire et qu ils feront quelque chose que si ils en sont poustiqués ,y a du lobbying en face , c est a nous de faire le notre avec les moyens que l on a (et y a pas que l argent!) et la dessus je connais des gars qui ont deja fait un peu de boulot et heureusement qui continuent mais ils ont besoin qu on les soutiennent !

ensuite ,c est certainement pas moi qui cherchera de la division dans notre metier ,mais ce n est pas non plus en fermant les yeux devant des incoherences que l on avancera ou que l on sera credible devant les autres contribuables ...
ensuite , c est vrai aussi que l apli , l emb ,ceux sont des organisations qui rassemblent uniquement des producteurs laitiers (actuels et qui veulent le rester),ce qui n est pas vieux dans la demarche ...

justement sur l eventuelle tentation de diviser ,on en parlait avec un collegue (comme nous eleveur et cerealier) :
a chaque fois que l on aborde la question des prix actuels des aliments ,de la hausse actuelle du blé ,colza etc ....,les "visiteurs " de nos fermes (intervenants ,representants ,vetos etc... ) ;ils nous repondent :" ah ,oui , on vous plaints les cereales sont trop cheres ,les cerealiers vont s en mettre plein la poche par rapport aux eleveurs ,etc..."
et là;on leur dit :
ben non , justement , et tant mieux pour les cerealiers (qu on est aussi ) si le ble monte ;nous ,ce que l on reclame , c est un prix du lait par rapport au travail ,au cout des matieres premieres (que personne ne peut maitriser) , ce n est pas une baisse articielle des aliments pour nous faire plaisir momentanement !
tu vas bientot revoir sur le journal syndical , action : "a cause des cereales trop cheres ,les eleveurs lait et porcs et ....ont de l aliment trop cher !!"
ça , c est facile !!

tekila a écrit:oui , d accord par rapport aux dda et autres responsables (parfois elus )etc ...

pour les politiques ,je comprends mais n empeches qu ils ont le pouvoir de faire ou defaire et qu ils feront quelque chose que si ils en sont poustiqués ,y a du lobbying en face , c est a nous de faire le notre avec les moyens que l on a (et y a pas que l argent!) et la dessus je connais des gars qui ont deja fait un peu de boulot et heureusement qui continuent mais ils ont besoin qu on les soutiennent !

ensuite ,c est certainement pas moi qui cherchera de la division dans notre metier ,mais ce n est pas non plus en fermant les yeux devant des incoherences que l on avancera ou que l on sera credible devant les autres contribuables ...
ensuite , c est vrai aussi que l apli , l emb ,ceux sont des organisations qui rassemblent uniquement des producteurs laitiers (actuels et qui veulent le rester),ce qui n est pas vieux dans la demarche ...

justement sur l eventuelle tentation de diviser ,on en parlait avec un collegue (comme nous eleveur et cerealier) :
a chaque fois que l on aborde la question des prix actuels des aliments ,de la hausse actuelle du blé ,colza etc ....,les "visiteurs " de nos fermes (intervenants ,representants ,vetos etc... ) ;ils nous repondent :" ah ,oui , on vous plaints les cereales sont trop cheres ,les cerealiers vont s en mettre plein la poche par rapport aux eleveurs ,etc..."
et là;on leur dit :
ben non , justement , et tant mieux pour les cerealiers (qu on est aussi ) si le ble monte ;nous ,ce que l on reclame , c est un prix du lait par rapport au travail ,au cout des matieres premieres (que personne ne peut maitriser) , ce n est pas une baisse articielle des aliments pour nous faire plaisir momentanement !
tu vas bientot revoir sur le journal syndical , action : "a cause des cereales trop cheres ,les eleveurs lait et porcs et ....ont de l aliment trop cher !!"
ça , c est facile !!

j' ai encore piqué une chouma à cause de ce que tu dis au dessus , une réunion , le gars balance : l' élevage va mal à cause du prix des céréales trop élevé
j' ai demandé la parole et je lui ai expliqué qu'on avait le choix entre "tous ruinés " ou "tous en bonne santé " et que son discours nous emmenait au "tous ruinés"
je lui ai dit que le lait et la viande n' étaient pas à leur juste prix et qu'il fallait s' entendre pour les remettre à ce juste prix , mais que tenir son langage entrainerait tout le monde vers le bas , en plus de la division que ça pouvait entrainer
Bref , depuis un an , la mode c' est d' emmener toutes les productions à des prix inférieurs au coût de revient et que c' était à Bruxelles que tout ça se décidait , qu'il y avait une redistribution des bassins de production afin de "rééquilibrer l' europe"
demandez donc à nos décideurs si ils acceptent de revoir leur rémunération au niveau du bureaucrate roumain et vous aurez trouvé un nouveau moyen de faire régner un grand silence

PatogaZ a écrit:
Bref , depuis un an , la mode c' est d' emmener toutes les productions à des prix inférieurs au coût de revient et que c' était à Bruxelles que tout ça se décidait , qu'il y avait une redistribution des bassins de production afin de "rééquilibrer l' europe"

faut arrêter avec "Bruxelles" qui décide contre la France !
si il y a bien un pays qui a un poids énorme dans l'agriculture Européenne c'est bien la France , et l'agrandissement de l'Europe(et donc indirectement une moindre importance de l'agricole) a AUSSI été décidé par la France , ça ne s'est pas fait contre sa volonté !
si des bassins de production intensive sont favorisés , la France a de quoi faire à ce niveau et on ne me fera pas avaler que c'est contraints et forçés que la situation évolue dans ce sens .

pato je suis d accord avec toi.la speculation animale n est pas retribuee de la juste maniere.pour ma part je n en veux pas aux cultos qui touchent un prix en rapport avec l augmentation des charges mais pour les eleveurs toutes speculations confondues cela doit changer et on a besoin de vous pour y arriver mais pas a votre detriment.les minutes sont comptees alors marchons dans la meme direction et soutenez nous dans ce combat oh combien difficile.

c'est tout a fait exact concernant la redistribution des cartes en elevage !!!
j'aurai pensé que le demenagement en bzh aurait au moins profité aux autres regions francaise!!
et bien non !!c'est parti ailleurs et ca ne reviendra plus !!
la norme de 50 mmg de nitrate ,pondue comme ca ,au pif en est un parfait revelateur !!et a été terriblement efficace pour hater le demenagement !!
certains observateurs souhaitent d'ailleurs durcir les regles du jeu au vu de la resistance des bretons !!
il y a une production qui est en train de disparaitre des ecrans radr en bzh ,c'est celle de la dinde !!
un outil recemment renové dans le 22 va fermer et l'unité de doux en dinde (450 personnes )tout les candidats a la reprise la fuient !!
le tourisme devait prendre la place !! on est le 7 juillet et les plages sont deserte en bzh !!il faudrait les chauffer !!
citroen a rennes devait tourner du feu de dieu !!!des bruits de fermeture de porte se font egalement entendre !!
montebourg deviens etrangement silencieux !! il completement depassé par les evemements le pauvre !!
les bretons vont devoir a nouveau emigrer !!!

ac/dc59 a écrit:

petite fontaine a écrit: chez BELIN , c'est combien le cout de revient des 1000 L?
et dans la future grosse usine à lait de la somme il sera de combien?
cette usine va en faire crever combien des producteurs ?
et apres celle ci on va la construire où la 2eme et la 3eme ?
la crise du lait n'a jamais etait reglé et surtout pas grace à la contractualisation !!!!
le drame des producteurs c'est que dans chaque département vous avez des gens prets à produire 10 fois plus, uniquement par vanité ,orgueil et gloriole , toujours plus grand ,toujours plus gros que mon voisin

1000 vaches : pas de rentabilité !si elle a recourt à des salariés (en France)

une ferme laitière familiale et plus rentable qu'une ferme avec des salariés

oui ACDC tout a fait d'accord
mais si c'est un robot qui trait, la plus besoin de main d'oeuvre ,plus de paysan non plus , du lait toujours en abondance pour ecrouler le marché ,pour finir peut etre comme le groupe DOUX , mais combien de paysans seront restés sur la paille avec le gigantisme ????

tekila a écrit:on appelle aussi cela :du lobbying

Facile de faire du lobbying avec les politiques qui ne travaillent que sur du court terme , le monde rural n'a d'intérêts que quand une élection arrive , ensuite on s'en amuse , on l'écrase , mieux vaut être du côté de ceux qui capte la valeur ajoutée que du côté de ceux qui la créent , et quand une personne sensée nous défendre enterre une étude ( que lui même avait demander ) car elle va à l'encontre des lobbyistes de tous poils et de ses intérêts perso on peut appeler ça de la traitrise :
traître : 17 synonymes.
Synonymes dangereux, déloyal, déserteur, espion, félon, fourbe, infidèle, judas, lâche, mouchard, parjure, perfide, renégat, sournois, transfuge, trompeur, vendu.

La page 15 à laquelle il est fait référence dans l'édito de l'Eleveur laitier .

Communiqué : AFFAIRE DOUX
L’APLI par ce communiqué, souhaite témoigner de son empathie et de son soutien total, aux
éleveurs et aux salariés de l’entreprise DOUX
Le parallèle entre la contractualisation laitière contestée par l’APLI et les tenants et aboutissants de
la contractualisation entre l’entreprise DOUX et ses producteurs est indéniable. La triste réalité des
déboires de la société DOUX et de ses fournisseurs n'est que la transposition de l'argumentaire des
laitiers.
En s’engageant sur des marchés low-cost, à faible valeur ajoutée, à forte volatilité et faiblement
sécurisés, DOUX a provoqué sa perte. En lait, à l'identique, des entreprises coopératives obsolètes
recherchent des débouchés pour des produits industriels (beurre-poudre) sur des marchés mondiaux
aux cours très aléatoires, tirant ainsi les prix à la production vers le bas et fragilisant les
producteurs.
Les éleveurs Doux, pourtant contractualisés, devront patienter jusqu’à la fin du plan d’apurement
de la dette pour être payés, le contrat obligeant même le fournisseur producteur à poursuivre son
engagement envers la société concernée. (Législation sur les procédures collectives).
Nous ne pouvons que constater toutes les formes de pressions qui ont pour seul but
l’asservissement du producteur.
L'APLI rappelle ses fondamentaux :
- la régulation de l'offre en fonction de la demande avec la prise en compte des coûts de production
- un prix rémunérateur pour le producteur afin de rétablir l’équité dans les filières
- un retour aux bases du système coopératif tel que défini par les principes de Rochdale
C’est avec ces objectifs que l’'APLI encourage les éleveurs DOUX à reprendre en mains leur outil
en créant une SCOP, en partenariat avec les salariés, à l'image de SEAFRANCE pour une
meilleure répartition des marges entre les différents acteurs de la filière. Il est possible de mettre
en place un modèle capitaliste véritablement coopératif au service des divers partenaires de la
filière, modèle transposable par la suite à d'autres secteurs économiques, qu'ils soient agricoles
ou industriels.
Sans cela, le profit financier restera le seul but de tout repreneur, au détriment des producteurs,
salariés et consommateurs.
Pour l’APLI, cette affaire Doux est bien la preuve que la contractualisation n'est pas une garantie
suffisante pour les producteurs mais qu’elle laisse la place à bien des dérives.
L'APLI appelle à la réflexion: Quelle agriculture souhaite t-on demain en France et en Europe ?
« Le changement, c’est maintenant » ne doit pas être seulement une promesse de campagne mais
une réalité de terrain.
APLI NATIONALE

http://www.channel4.com/news/dairy-farmers-threaten-to-disrupt-milk-supply
traduction :


Vendredi 06 Juillet 2012
Angry producteurs laitiers britanniques disent qu'ils vont protester contre les coupures à des prix du lait en perturbant les fournitures pendant les Jeux Olympiques.


Lait pas cher peut sembler une bonne chose pour les consommateurs, mais les dernières réductions de prix agricoles de grille à 2p par litre ont laissé les agriculteurs laitiers titubant.


Trois des fournisseurs du Royaume-Uni laitiers majeurs - Robert Wiseman Dairies, Arla Foods au Royaume-Uni et Dairy Crest - coupures annoncées aux prix qu'ils paient aux agriculteurs pour leur lait entre 1.65p et 2p par litre cette semaine.


Les coupures, qui suivent des réductions similaires de ces derniers mois, certains agriculteurs laitiers gagner 4p par litre de moins que l'an dernier.


La dernière série de réductions de prix sont départ de l'exploitation de la paille finale pour les producteurs laitiers qui ont été touchés par une combinaison de fortes précipitations, ce qui signifie qu'ils ont à garder le bétail plus cher, à l'intérieur, et la hausse rapide des prix des aliments.


«Intenable»


De nombreux agriculteurs ont déjà trouvé leur situation financière intenable. Quarante pour cent des petits producteurs laitiers ont cessé leurs activités au cours des 10 dernières années, de changer le visage des communautés rurales et, de plus en plus, les méthodes par lesquelles le lait est produit.


Selon la National Farmers Union (NFU), de nombreux producteurs laitiers sont déjà une "perte significative" pour le lait qu'ils produisent et sont "en colère contre le système".


Le jeudi Peter Kendall, le président de la NFU, avec les agriculteurs pour l'action président Handley David, qui s'est tenue «réunion de crise» afin de discuter quelles mesures pourraient être prises avant de 1 Août, lorsque les réductions sont prévues pour être introduites.


Alors que le Syndicat national des cultivateurs est la planification d'un sommet à Londres la semaine prochaine, où les producteurs laitiers se réuniront ministre de l'Agriculture, Jim Paice, les agriculteurs d'action prévoit une action directe centrée sur l'interruption de l'approvisionnement en lait au Royaume-Uni.


Les agriculteurs de l'Action président Handley David a déclaré que ces actions "pourrait prendre de nombreuses formes".


"Je ne dirais pas que je puisse cibler le Jeux Olympiques," a dit Handley émission Today de la BBC ce matin, "mais une partie de notre action est susceptible de perturber que, et c'est regrettable, mais, vous le savez, à la fin de la journée nous sommes dans la rue le désespoir. "


Bien que la forme exacte de ces perturbations pourraient prendre n'ont pas été décrits, certains agriculteurs ont parlé de verser leur production de lait dans le drain et le blocage de la distribution.


Responsabilité


Tous les détaillants ont adopté des stratégies en place pour traiter avec les fournisseurs de lait: Sainsbury, Tesco, Waitrose et Marks and Spencer payer au-dessus du coût de production, actuellement plus de 30p par litre.


Morrisons, Asda et la Co-op ont également des stratégies, mais ils fonctionnent différemment: le supermarché paie une prime pour le lait, qui est fixé au-dessus du prix standard - ou ce que le reste du marché tels que les détaillants à rabais et le secteur des services alimentaires paie.


Le problème pour les producteurs, c'est que ces régimes ne sont pas directement liés au coût de la production elle-même, qui a fortement augmenté ces derniers mois. En conséquence, certains supermarchés ne sont plus suffisantes pour permettre de payer les producteurs laitiers pour équilibrer leurs comptes.


La Co-op, le mardi soulevé la prime qu'ils paient sur le lait pour les agriculteurs de 1.35p-dessus du taux normal 2p. Le vendredi, un porte-parole pour la Co-op dit Channel 4 Nouvelles: "Dans un contexte d'un marché de détail concurrentiel, nous faisons tout notre possible pour tenter d'atténuer les pressions auxquelles font face les producteurs laitiers au cours de ces conditions commerciales difficiles."


Éthique


La société, qui se targue d'une approche éthique à la négociation, applique un régime de soutien aux agriculteurs à travers des ateliers et des démonstrations sur des gains d'efficience ainsi que de fournir des contributions aux frais vétérinaires.


Les transformateurs de produits laitiers ont accusé la détérioration des marchés des matières premières et les prix à la crème de leur décision de réduire davantage ce pour les agriculteurs sont déjà balancer des prix plus bas.


Mais le Syndicat national des cultivateurs a appelé les décisions de réduire les prix jusqu'à 2p par litre "un exemple catastrophique de l'hypocrisie et l'injustice", où les processeurs sont simplement de passage sur leurs pertes pour les producteurs, et a appelé les deux transformateurs et les supermarchés à prendre la responsabilité.


"Il est temps pour les transformateurs de lait liquide - et les détaillants et d'autres grands acheteurs - à assumer la responsabilité de cette chaîne d'approvisionnement totalement dysfonctionnel," la NFU des produits laitiers, président du conseil Mansel Raymond dit plus tôt cette semaine, se référant à la nature "agressif et déflationniste des négociations sur les prix entre les détaillants et les transformateurs ".


La NFU lance un appel à la fois les détaillants et les transformateurs à "s'engager dans une chaîne d'approvisionnement équitable et transparent", offrir aux agriculteurs un «juste retour» pour le lait qu'ils produisent.

Ca n'a pas attendu le soft landing de 2015 ... 10 juillet 2012 ils sont déjà de retour

eh ben voila
tant que les anglais étaient seuls à faire joujou à l'ultra-libéralisme, ils s'échinais entre eux
maintenant qu'on a mis tous leurs petits copains européens dans le même bain, ils se font éclabousser et commence a ne pas trouver ça marrant
bon allez y'a du boulot, faut installer un papeline à travers la channel pour les inonder de lait

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=cEB912T5ino


ah , ben ,les v la !

ac/dc59 a écrit:

petite fontaine a écrit: chez BELIN , c'est combien le cout de revient des 1000 L?
et dans la future grosse usine à lait de la somme il sera de combien?
cette usine va en faire crever combien des producteurs ?
et apres celle ci on va la construire où la 2eme et la 3eme ?
la crise du lait n'a jamais etait reglé et surtout pas grace à la contractualisation !!!!
le drame des producteurs c'est que dans chaque département vous avez des gens prets à produire 10 fois plus, uniquement par vanité ,orgueil et gloriole , toujours plus grand ,toujours plus gros que mon voisin

1000 vaches : pas de rentabilité !si elle a recourt à des salariés (en France)

une ferme laitière familiale et plus rentable qu'une ferme avec des salariés

OUI avec des retraités et des stagiaires non rémunérés.
et la main d’œuvre familiale avec un demi smig .

NON pas plus rentable mais avec une ceinture que l'on peut ajuster suivant la conjoncture ( pattes et patates a tous les repas).

tekila a écrit:https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=cEB912T5ino


ah , ben ,les v la !

dis moi ou je rêve
on dirait des adhérents fnpl du printemps 2009, des SDF (sorti de ferme) qu'on emmènent à la promenade

et oui !

et 3000 ,fallait les trouver!!
t as raison de dire du "printemps" ,car meme avec un si petit os a ronger , ils n ont plus "bouger" a l automne et meme apres !

Je pense que la crise devrait démarrer avant 2013 ou alors si certains agrobisnesmans (esprit filière) peuvent la repousser après les élections de janvier .

question à téquila ;

la mise aux normes

qu'en sera t ' il pour ceux qui n' ont pas éffectué la mise aux normes?

que les meilleurs gagnent .......ça résume les positions de la filière,de la fnpl ....

mais pas de polémique syndical ......
si ça fait mal pour certains.....d'autres ça ne peut que leur faire du bien !

camito a écrit:que les meilleurs gagnent .......ça résume les positions de la filière,de la fnpl ....

mais pas de polémique syndical ......
si ça fait mal pour certains.....d'autres ça ne peut que leur faire du bien !

j' en vois sur TN qui volent dans le panneau , et à ce niveau , le département 72 semble contenir les plus frappés "filière"

PatogaZ a écrit:

camito a écrit:que les meilleurs gagnent .......ça résume les positions de la filière,de la fnpl ....

mais pas de polémique syndical ......
si ça fait mal pour certains.....d'autres ça ne peut que leur faire du bien !

j' en vois sur TN qui volent dans le panneau , et à ce niveau , le département 72 semble contenir les plus frappés "filière"

oui , y a des solides chez mes voisins (fief sodial ) ,en plus ils causent fort , ça les rassure de penser qu'en agissant de la sorte , ils pourraient être mieux servis par la sainte coop lors de la fin des quotas

bon , ynapakemikirale !!

http://www.bbc.co.uk/news/business-18802585

https://www.youtube.com/watch?v=momEvOQpmGI

Si c'est les vaches qui salissent la route....

Ca peut s'arranger.....les cours de la viande sont bons ....le lait mal payé....

des prairies passeront en culture (j'en ai le droit car demande partielle d'acal il y a 2 ans ).

Pour les prairies les plus pentus ....4 chevaux ou boeufs ....et les talus tjrs là pour prendre plaisir à faire quad ou rhino ....

Plus d'animaux des bâtiments qui se libèrent .....matériel à l'abri....stockage récolte plus facile ....voir stockage caravane ...

beaucoup moins de travail ,traca...salarié temps partiel..

camito a écrit:Si c'est les vaches qui salissent la route....

Ca peut s'arranger.....les cours de la viande sont bons ....le lait mal payé....

des prairies passeront en culture (j'en ai le droit car demande partielle d'acal il y a 2 ans ).

Pour les prairies les plus pentus ....4 chevaux ou boeufs ....et les talus tjrs là pour prendre plaisir à faire quad ou rhino ....

Plus d'animaux des bâtiments qui se libèrent .....matériel à l'abri....stockage récolte plus facile ....voir stockage caravane ...

beaucoup moins de travail ,traca...salarié temps partiel..

Je n'est pas pu avoir cette réflexion lors de la dernière crise car nous avons un prêt
pour des travaux de mise au norme qui se termine en 2019,donc je pense apprendre a vivre avec des crises sans avoir le choix d'y échapper.

Et toujours en lutte contre cette politique a broyer les agriculteurs.

Lors de la dernière crise ....j'ai eu la réflection devant un responsable adasea.."les gars vont stopper ".
La réponse ...mais non ils sont trop endetté !
l'endettement spécifique ds certaines activitées c'est un contrat insidieu..
ds mon département ..ils ont tellement peur que l'élevage disparaissent que celà ne doit pas être dur d'obtenir un prêt...pour taurillons etc....

bravo a manau !!

http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2012/07/23/les-producteurs-laitiers-ont-chante-leur-ras-le-bol,1091961.php

camito a écrit:Lors de la dernière crise ....j'ai eu la réflection devant un responsable adasea.."les gars vont stopper ".
La réponse ...mais non ils sont trop endetté !
l'endettement spécifique ds certaines activitées c'est un contrat insidieu..
ds mon département ..ils ont tellement peur que l'élevage disparaissent que celà ne doit pas être dur d'obtenir un prêt...pour taurillons etc....

Oui ,mais l'avenir sans mis au norme me semblait incertain ,donc le piège c'est refermé surtout que nous sommes des installés après une autre expérience professionnel .La question c'est posée de continué l’élevage car l’investissement était important.

http://www.europeanmilkboard.org/fileadmin/Dokumente/Press_Release/Press_release_2012/120724_EMB_communique%CC%81_de_presse_contestation_producteurs_de_lait_Grande_Bretagne.pdf

http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/royaume-uni-tensions-autour-du-prix-du-lait-60291.html

http://www.agro-media.fr/actualit%C3%A9/usine-process/danone-publie-des-r%C3%A9sultats-en-hausse

http://rhone-alpes.france3.fr/info/rhone-alpes-grogne-des-producteurs-de-lait-75029706.html