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nuages sur l' horizon de l' Europe
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AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: politique générale , syndicalisme :: Politique politicienne
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nuages sur l' horizon de l' Europe
Des risques de turbulences graves grandissent sur l’horizon de l’Europe
24 mars 2013 |
Classé dans: Europe,France,Présidence Hollande |
Posté par: Guy Millière
La France va mal. La courbe du chômage continue à monter, et montera sans doute jusqu’à la fin de l’année.
Combien de chômeurs supplémentaires le
pays comptera-t-il alors ? Deux cent mille ? Trois cent mille ? Le
nombre de pauvres grimpe lui aussi, et le nombre de pauvres en France
(gens qui vivent avec la moitié du revenu médian, soit environ neuf cent
euros par mois) s’approche des neuf millions, sur soixante cinq
millions d’habitants. La malnutrition gagne du terrain. Les bidonvilles
refont leur apparition, et le long du trajet qui me conduit à
l’université où j’enseigne, j’en compte cinq, sur un trajet de quinze
kilomètres. Les usines continuent à fermer, les unes après les autres.
Que fait le gouvernement ? Il crée des impôts supplémentaires, des taxes
diverses, ce qui détruit l’épargne, ruine les potentialités
d’investissements, lamine la consommation, et entretient donc la
stagnation économique Que propose l’opposition ? Pas grand chose de très
différent, et ce qui semble être à l’ordre du jour est le retour de
Nicolas Sarkozy. Entre un socialiste mou et un socialiste autoritaire,
lequel choisir ? En embuscade, il y a Marine Le Pen, qui a emprunté son
programme économique à l’aile gauche du Parti Socialiste et qui,
lorsqu’elle parle de finance et de capitalisme semble copier sur
Mélenchon.
Si on regarde vers le Sud, on trouvera
aisément des situations plus catastrophiques que celle de la France. En
Grèce, en Espagne, au Portugal, en Italie, les mois de récession
succèdent aux mois de dépression. Les chômeurs et les pauvres sont plus
nombreux encore. Les gouvernements en place font peu ou prou ce que fait
le gouvernement français. Les forces d’opposition tiennent un discours
pas très éloigné de celui tenus par le gouvernement.
En embuscade, il y a des partis qui
ressemblent au Front National : en Grèce, c’est un mouvement ouvertement
nazi qui occupe cette place, Aube dorée. En Italie, c’est un mouvement
d’un autre type, mené par un comique, Beppe Grillo, présenté souvent en
France comme une sorte de Coluche, mais que, à regarder de près, il
serait plus exact de comparer à Dieudonné ou, comme l’a fait le magazine
anglais The Spectator récemment, à Benito Mussolini, encore qu’il semble plus antisémite que ne l’était Benito Mussolini lui-même.
Peu de pays en Europe vont bien en
réalité. Et ceux qui semblent aller bien souffrent d’autres maux :
l’Allemagne ainsi est en situation de sinistre démographique quasiment
irrémédiable. Ceux qui étudient la natalité considèrent que, lorsque les
courbes de naissance d’une population tombent en dessous d’1,5 enfant
par femme, une mort collective graduelle est enclenchée. Ceux qui
semblent aller bien, par ailleurs, ne vont pas aussi bien qu’on le dit
économiquement parlant : l’Allemagne, pour la citer à nouveau, est en
phase de stagnation.
Peu de pays échappent aux engrenages dans lesquels l’Europe se trouve prise.
Les Etats providence édifiés après la
Deuxième Guerre Mondiale ont produit, comme c’était prévisible, leurs
effets pervers, et ont mené à des systèmes de retraite par répartition
destinés à devenir ruineux avec l’accroissement de l’espérance de vie et
condamnés à la banqueroute en cas de baisse des naissances, des
systèmes de santé destinés à exploser sous l’effet d’une fiction de
gratuité et des systèmes d’allocations qui ont ravagé les incitations à
travailler.
Le pessimisme par rapport à l’avenir et
la préférence pour le présent inculqués ont conduit à avoir moins
d’enfant. Le relativisme également inculqué a conduit à une immigration
musulmane qui n’a as été incitée à s’intégrer socialement et a, par
contre, été pleinement intégrée aux Etats providence.
Les Etats providence ont fait monter les
taxes, les impôts, les réglementations, détruit les incitations à
épargner et à investir, conduit à dépenser sans compter et à s’endetter.
Le discours disséminé par médias et
appareils d’éducation grâce aux Etats providence a largement effacé les
relations de cause à effet, et disséminé l’idée que des gens avaient des
« créances » sur la « société », alors que d’autres devaient « payer »
les créances. Le nombre de ceux à qui il était demandé de payer s’est
accru. Le nombre de ceux condamnés à payer a diminué et continuera à
diminuer.
S’est ajouté la confiscation de la
démocratie par les instances européennes, composées de gens dignes de
l’ère de la monarchie absolue et du despotisme éclairé. S’est ajouté la
construction de l’euro. Quand je vois des gens qui se disent libéraux se
rallier à la construction européenne et à l’euro, je suis consterné,
car cela signifie des ralliements à des positions constructivistes,
aussi éloignées que c’est imaginable du libéralisme.
L’Union Européenne est aujourd’hui une
autocratie technocratique tempérée par l’émeute et les émeutes sont
rares : des technocrates se réunissent à Bruxelles pour définir des
règles et des objectifs chiffrés ne tenant aucun compte de la situation
réelle des populations réelles.
L’euro, je l’ai expliqué de nombreuses
fois, est une monnaie commune imposée à des pays qui ont des systèmes
fiscaux, sociaux, entrepreneuriaux différents, et des cultures
différentes.
Des taux d’intérêts valides pour
l’Allemagne ont été utilisés pour des pays au sein desquels la
conjoncture économique aurait impliqué des taux différents, en ont
découlé des mésinvestissements et des effets de bulle divers.
Des écarts de productivité se sont
creusés que les gouvernements de certains pays ont compensé
provisoirement en s’endettant jusqu’au vertige et jusqu’à la
banqueroute.
La variable d’ajustement que constitue
la dévaluation n’existant plus, il ne reste plus comme variable
d’ajustement que le chômage, la déflation, la baisse forcée du niveau de
vie.
Economiquement la « rigueur » imposée à
la Grèce, au Portugal, à l’Espagne, à l’Italie et à la France
aujourd’hui est inepte et absurde : elle est destinée à tenter à toute
force de sauver l’euro, quitte à plonger dans le désespoir des peuples
entiers.
Augmenter les prélèvements obligatoires
en situation de stagnation ou de récession aggrave toujours la situation
et ne permet pas de rentrées fiscales supplémentaires, puisque cela
détruit l’activité économique. Diminuer les dépenses des gouvernements
en situation d’endettement est une décision positive, mais ne permet pas
de désendetter le pays si les rentrées fiscales ne sont pas en
parallèle plus importantes, et celles-ci ne peuvent devenir plus
importantes que si l’activité économique est libérée.
Des pays qui ont connu une perte de
compétitivité ne peuvent retrouver leur compétitivité avec des
prélèvements obligatoires supplémentaires : il leur faudrait au
contraire alléger leurs taxes, charges, réglementations pour avoir le
moindre espoir, et la « discipline » interne à la zone euro le leur
interdit.
La France va mal. Elle n’irait pas mieux
si l’UMP était au pouvoir. Aucun parti susceptible d’accéder au pouvoir
n’est porteur de perspectives permettant d’envisager un retour au
dynamisme.
La situation est la même en Grèce, au Portugal, en Espagne, en Italie et à Chypre.
Les partis qui sont en embuscade ne
représentent aucun futur viable, mais ils expriment une colère et une
frustration grandissantes et très explicables.
Dans les conditions actuelles, ils n’ont aucune chance d’arriver au
pouvoir. Que pourrait-il se passer si la colère et la frustration
grandissaient encore ? Que se passerait-il si un gouvernement d’un pays
de la zone euro décidait de quitter l’euro. Je ne vais pas jusqu’à
penser que des risques de coup d’Etat existent en Europe, mais des
potentialités de turbulences graves sont très présents et grandissent
sur l’horizon.
Ils existent en Espagne. Ils existent en
Grèce. Ils existent en Italie. Et ceux qui ne voient pas la dimension
mussolinienne de Beppe Grillo, ceux qui ne voient pas chez lui un
antisémitisme à la Dieudonné, ceux qui ne voient pas ses liens avec la
République islamique d’Iran devraient s’intéresser aux faits d’un peu
plus près.
L’Europe a un passé turbulent, souvent
violent, parfois nauséabond : elle n’est pas le continent impeccable
décrit par la propagande officielle venue de Bruxelles. Elle a semblé
chasser ses vieux démons, mais la construction européenne a pris, sous
certains angles, des allures de machine infernale susceptible de
réveiller ce qui est censé avoir été chassé.
L’Espagne n’est sortie du franquisme
qu’au milieu des années soixante dix. La « révolution des oeillets » a
eu lieu au Portugal dans la même période. Le « régime des colonels » en
Grèce est tombé au même moment. Cela fait moins de quarante années.
Il y a moins de soixante dix ans, Hitler
et Mussolini mouraient dans les décombres, et Pétain était condamné.
Moins de soixante dix ans. C’est peu.
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aimez cet article ? Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir les
nouveaux articles de Dreuz, une fois par jour en fin d’après-midi.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info
24 mars 2013 |
Classé dans: Europe,France,Présidence Hollande |
Posté par: Guy Millière
La France va mal. La courbe du chômage continue à monter, et montera sans doute jusqu’à la fin de l’année.
Combien de chômeurs supplémentaires le
pays comptera-t-il alors ? Deux cent mille ? Trois cent mille ? Le
nombre de pauvres grimpe lui aussi, et le nombre de pauvres en France
(gens qui vivent avec la moitié du revenu médian, soit environ neuf cent
euros par mois) s’approche des neuf millions, sur soixante cinq
millions d’habitants. La malnutrition gagne du terrain. Les bidonvilles
refont leur apparition, et le long du trajet qui me conduit à
l’université où j’enseigne, j’en compte cinq, sur un trajet de quinze
kilomètres. Les usines continuent à fermer, les unes après les autres.
Que fait le gouvernement ? Il crée des impôts supplémentaires, des taxes
diverses, ce qui détruit l’épargne, ruine les potentialités
d’investissements, lamine la consommation, et entretient donc la
stagnation économique Que propose l’opposition ? Pas grand chose de très
différent, et ce qui semble être à l’ordre du jour est le retour de
Nicolas Sarkozy. Entre un socialiste mou et un socialiste autoritaire,
lequel choisir ? En embuscade, il y a Marine Le Pen, qui a emprunté son
programme économique à l’aile gauche du Parti Socialiste et qui,
lorsqu’elle parle de finance et de capitalisme semble copier sur
Mélenchon.
Si on regarde vers le Sud, on trouvera
aisément des situations plus catastrophiques que celle de la France. En
Grèce, en Espagne, au Portugal, en Italie, les mois de récession
succèdent aux mois de dépression. Les chômeurs et les pauvres sont plus
nombreux encore. Les gouvernements en place font peu ou prou ce que fait
le gouvernement français. Les forces d’opposition tiennent un discours
pas très éloigné de celui tenus par le gouvernement.
En embuscade, il y a des partis qui
ressemblent au Front National : en Grèce, c’est un mouvement ouvertement
nazi qui occupe cette place, Aube dorée. En Italie, c’est un mouvement
d’un autre type, mené par un comique, Beppe Grillo, présenté souvent en
France comme une sorte de Coluche, mais que, à regarder de près, il
serait plus exact de comparer à Dieudonné ou, comme l’a fait le magazine
anglais The Spectator récemment, à Benito Mussolini, encore qu’il semble plus antisémite que ne l’était Benito Mussolini lui-même.
Peu de pays en Europe vont bien en
réalité. Et ceux qui semblent aller bien souffrent d’autres maux :
l’Allemagne ainsi est en situation de sinistre démographique quasiment
irrémédiable. Ceux qui étudient la natalité considèrent que, lorsque les
courbes de naissance d’une population tombent en dessous d’1,5 enfant
par femme, une mort collective graduelle est enclenchée. Ceux qui
semblent aller bien, par ailleurs, ne vont pas aussi bien qu’on le dit
économiquement parlant : l’Allemagne, pour la citer à nouveau, est en
phase de stagnation.
Peu de pays échappent aux engrenages dans lesquels l’Europe se trouve prise.
Les Etats providence édifiés après la
Deuxième Guerre Mondiale ont produit, comme c’était prévisible, leurs
effets pervers, et ont mené à des systèmes de retraite par répartition
destinés à devenir ruineux avec l’accroissement de l’espérance de vie et
condamnés à la banqueroute en cas de baisse des naissances, des
systèmes de santé destinés à exploser sous l’effet d’une fiction de
gratuité et des systèmes d’allocations qui ont ravagé les incitations à
travailler.
Le pessimisme par rapport à l’avenir et
la préférence pour le présent inculqués ont conduit à avoir moins
d’enfant. Le relativisme également inculqué a conduit à une immigration
musulmane qui n’a as été incitée à s’intégrer socialement et a, par
contre, été pleinement intégrée aux Etats providence.
Les Etats providence ont fait monter les
taxes, les impôts, les réglementations, détruit les incitations à
épargner et à investir, conduit à dépenser sans compter et à s’endetter.
Le discours disséminé par médias et
appareils d’éducation grâce aux Etats providence a largement effacé les
relations de cause à effet, et disséminé l’idée que des gens avaient des
« créances » sur la « société », alors que d’autres devaient « payer »
les créances. Le nombre de ceux à qui il était demandé de payer s’est
accru. Le nombre de ceux condamnés à payer a diminué et continuera à
diminuer.
S’est ajouté la confiscation de la
démocratie par les instances européennes, composées de gens dignes de
l’ère de la monarchie absolue et du despotisme éclairé. S’est ajouté la
construction de l’euro. Quand je vois des gens qui se disent libéraux se
rallier à la construction européenne et à l’euro, je suis consterné,
car cela signifie des ralliements à des positions constructivistes,
aussi éloignées que c’est imaginable du libéralisme.
L’Union Européenne est aujourd’hui une
autocratie technocratique tempérée par l’émeute et les émeutes sont
rares : des technocrates se réunissent à Bruxelles pour définir des
règles et des objectifs chiffrés ne tenant aucun compte de la situation
réelle des populations réelles.
L’euro, je l’ai expliqué de nombreuses
fois, est une monnaie commune imposée à des pays qui ont des systèmes
fiscaux, sociaux, entrepreneuriaux différents, et des cultures
différentes.
Des taux d’intérêts valides pour
l’Allemagne ont été utilisés pour des pays au sein desquels la
conjoncture économique aurait impliqué des taux différents, en ont
découlé des mésinvestissements et des effets de bulle divers.
Des écarts de productivité se sont
creusés que les gouvernements de certains pays ont compensé
provisoirement en s’endettant jusqu’au vertige et jusqu’à la
banqueroute.
La variable d’ajustement que constitue
la dévaluation n’existant plus, il ne reste plus comme variable
d’ajustement que le chômage, la déflation, la baisse forcée du niveau de
vie.
Economiquement la « rigueur » imposée à
la Grèce, au Portugal, à l’Espagne, à l’Italie et à la France
aujourd’hui est inepte et absurde : elle est destinée à tenter à toute
force de sauver l’euro, quitte à plonger dans le désespoir des peuples
entiers.
Augmenter les prélèvements obligatoires
en situation de stagnation ou de récession aggrave toujours la situation
et ne permet pas de rentrées fiscales supplémentaires, puisque cela
détruit l’activité économique. Diminuer les dépenses des gouvernements
en situation d’endettement est une décision positive, mais ne permet pas
de désendetter le pays si les rentrées fiscales ne sont pas en
parallèle plus importantes, et celles-ci ne peuvent devenir plus
importantes que si l’activité économique est libérée.
Des pays qui ont connu une perte de
compétitivité ne peuvent retrouver leur compétitivité avec des
prélèvements obligatoires supplémentaires : il leur faudrait au
contraire alléger leurs taxes, charges, réglementations pour avoir le
moindre espoir, et la « discipline » interne à la zone euro le leur
interdit.
La France va mal. Elle n’irait pas mieux
si l’UMP était au pouvoir. Aucun parti susceptible d’accéder au pouvoir
n’est porteur de perspectives permettant d’envisager un retour au
dynamisme.
La situation est la même en Grèce, au Portugal, en Espagne, en Italie et à Chypre.
Les partis qui sont en embuscade ne
représentent aucun futur viable, mais ils expriment une colère et une
frustration grandissantes et très explicables.
Dans les conditions actuelles, ils n’ont aucune chance d’arriver au
pouvoir. Que pourrait-il se passer si la colère et la frustration
grandissaient encore ? Que se passerait-il si un gouvernement d’un pays
de la zone euro décidait de quitter l’euro. Je ne vais pas jusqu’à
penser que des risques de coup d’Etat existent en Europe, mais des
potentialités de turbulences graves sont très présents et grandissent
sur l’horizon.
Ils existent en Espagne. Ils existent en
Grèce. Ils existent en Italie. Et ceux qui ne voient pas la dimension
mussolinienne de Beppe Grillo, ceux qui ne voient pas chez lui un
antisémitisme à la Dieudonné, ceux qui ne voient pas ses liens avec la
République islamique d’Iran devraient s’intéresser aux faits d’un peu
plus près.
L’Europe a un passé turbulent, souvent
violent, parfois nauséabond : elle n’est pas le continent impeccable
décrit par la propagande officielle venue de Bruxelles. Elle a semblé
chasser ses vieux démons, mais la construction européenne a pris, sous
certains angles, des allures de machine infernale susceptible de
réveiller ce qui est censé avoir été chassé.
L’Espagne n’est sortie du franquisme
qu’au milieu des années soixante dix. La « révolution des oeillets » a
eu lieu au Portugal dans la même période. Le « régime des colonels » en
Grèce est tombé au même moment. Cela fait moins de quarante années.
Il y a moins de soixante dix ans, Hitler
et Mussolini mouraient dans les décombres, et Pétain était condamné.
Moins de soixante dix ans. C’est peu.
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Dernière édition par PatogaZ le Dim 24 Mar 2013 - 20:18, édité 1 fois
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
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au bout de la baie de Somme
Re: nuages sur l' horizon de l' Europe
on en est aux hors d'oeuvre, l'entrée, c'est 2014, et le plat de résistance, c'est après
dgé- schtroumpf grognon du forum
- Messages : 43696
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Re: nuages sur l' horizon de l' Europe
dgé a écrit:on en est aux hors d'oeuvre, l'entrée, c'est 2014, et le plat de résistance, c'est après
pourvus que certains puissent encore partir en vacances cet ete !!!!apres la rentree ??? on va voir ! nouvelle semaine a la con dans l education avec se mercredi matin pour faire chier le monde !!!!
faut qu il y ai le bordel au plus tard en septembre !!!!!!!!!!!
williams 475- + membre techno +
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Age : 62
SEYCHES
Re: nuages sur l' horizon de l' Europe
Vue les problèmes qu'il y a en france en ce moment, et l'absence totale de réaction des citoyens, c'est trop calme....
On ne sait pas dire l'avenir, mais le respect des autres sera anéanti complètement, car on entretient trop les différences, et elles se creusent chaque jour...
On ne sait plus quoi penser de l'avenir... Et une entreprise qui ne sait regarder loin devant, c'est une entreprise qui recule....
On ne sait pas dire l'avenir, mais le respect des autres sera anéanti complètement, car on entretient trop les différences, et elles se creusent chaque jour...
On ne sait plus quoi penser de l'avenir... Et une entreprise qui ne sait regarder loin devant, c'est une entreprise qui recule....
Invité- Invité
elie- + membre techno +
- département : 06
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Date d'inscription : 01/11/2012
Age : 85
Puget-théniers 06260
Re: nuages sur l' horizon de l' Europe
je viens de trouver sur plusieurs posts dans d autres forums le nouveau nom de notre cher "" flamby "
beaucoup de monde l appellent maintenant "" hollandouille "" produit perimé derivé du celebre pays du fromage !!!!
beaucoup de monde l appellent maintenant "" hollandouille "" produit perimé derivé du celebre pays du fromage !!!!
williams 475- + membre techno +
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Messages : 4428
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 62
SEYCHES
Re: nuages sur l' horizon de l' Europe
andouille chaude et purée ,c'est excellent !!williams 475 a écrit: je viens de trouver sur plusieurs posts dans d autres forums le nouveau nom de notre cher "" flamby "
beaucoup de monde l appellent maintenant "" hollandouille "" produit perimé derivé du celebre pays du fromage !!!!
il ne doit pas en rentrer beaucoup dans les cuisines de l'elysée !!!
par contre le fournisseur de fruits de mer a doublé ses ventes dpuis le changement de locataire !!
c'est bourré d'omega 3 ,ca donne la gnac !!
d"ailleurs il va encore nous faire un brin de causette dans la semaine !!
hermine 22- + membre techno +
- département : 22
Messages : 37831
Date d'inscription : 23/10/2009
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bretagne
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