panne moteur !!!!

Mercredi 31 décembre 2014, un pilote amateur d’une quarantaine d’années venait de décoller de l’aérodrome de Coulommiers-Voisins, en Seine-et-Marne, aux commandes d’un petit avion lorsqu'une panne moteur l’a contraint à faire un atterrissage d'urgence. Totalisant plus de 400 heures de vol, le pilote est parvenu à se poser dans un champ se trouvant au bout de la piste d’atterrissage de l’aérodrome. L'homme s'en est sorti indemne et son avion n'a quasiment pas été endommagé, à l’exception du train d’atterrissage, cassé au moment où l'aéronef a touché le sol, et du moteur à réparer.

c est chaud quand même  

ils n'ont pas tous cette chance la

pas de gros bobos, tu rigole, avion mort

tout objet lancé en l'air d'une façon ou d'une autre, redescend sur terre également d'une façon ou d'une autre (précepte aéronautique )

c'est la loi, de l’apesanteur je crois

plusieurs choses tout de même

une panne moteur c'est toujours stressant, mais on apprend a gérer ça en école de pilotage
la je vois, vraisemblablement une incapacité a choisir un endroit ou se poser et pourtant la plaine est large mais c'est primordial  
cette incapacité entraine une errance avec un balancement des ailes , donc de faux virages sans mettre de palonnier
le problème c'est que tout virage entraine une perte de finesse qui de facto entraine une perte de vitesse , sans moteur c'est gênant
ensuite visiblement le pilote refuse le sol  et fini par un posé sur un bout d'aile ou sur une roue et sans arrondir
ce n'est pas le crache le mieux géré que j'ai pu voir

cela dit j'ai un jour été obligé de me poser sur un terrain de foot et j'ai cassé un train aussi , donc ...

vous pouvez pas imaginer comme un terrain de foot c'est petit ...

et surtout :
L'hélice devant l'avion est un gros ventilateur conçu pour garder le pilote au frais. Lorsqu'il s'arrête, vous commencez à avoir chaud. Il est donc important de le faire fonctionner pendant toute la durée du vol.

ouais! bein quand je vois ça je préfère le planché des vaches

palmito a écrit:plusieurs choses tout de même

une panne moteur c'est toujours stressant, mais on apprend a gérer ça en école de pilotage
la je vois, vraisemblablement une incapacité a choisir un endroit ou se poser et pourtant la plaine est large mais c'est primordial  
cette incapacité entraine une errance avec un balancement des ailes , donc de faux virages sans mettre de palonnier
le problème c'est que tout virage entraine une perte de finesse qui de facto entraine une perte de vitesse , sans moteur c'est gênant
ensuite visiblement le pilote refuse le sol  et fini par un posé sur un bout d'aile ou sur une roue et sans arrondir
ce n'est pas le crache le mieux géré que j'ai pu voir

cela dit j'ai un jour été obligé de me poser sur un terrain de foot et j'ai cassé un train aussi , donc ...

vous pouvez pas imaginer comme un terrain de foot c'est petit ...

et surtout :
L'hélice devant l'avion est un gros ventilateur conçu pour garder le pilote au frais. Lorsqu'il s'arrête, vous commencez à avoir chaud. Il est donc important de le faire fonctionner pendant toute la durée du vol.

donc les avions avec les ventilos sur le coté sa serre a rien

dans le labour ça roule pas bien !.....

Va voler moins bien aprés ça !

Il pourra dire à l'agri de mieux régler la charrue, il fait une raie à chaque passage

Il est obligé garder autant de vitesse sans moteur ?

Peut être que si il avait foncé dans la SNA bartas il aurait moins tapé.

oui tout simplement pour des questions bassement physiques : moins la vitesse horizontale est élevée plus la vitesse de chute verticale est importante

autrement dit il est plus sur de se poser avec un taux de chute de 1m/s qu'avec un taux de 20m/s

Résultat des courses :