Nouvelle émission de Cash investigation sur l'industrie agroalimentaire

tof a écrit:Bah pas mal cette émission !
Comme quoi les journalistes fouille merde sont utiles parfois !
J'y connaissait rien en lait,mais pas pu m'empêcher de faire le rapprochement avec les coop céréalières et leur opacité

PatogaZ a écrit:

fernand a écrit:pour une fois, cash investigation était très bien!
Damien Lacombe, le fils de, avait plus de difficulté à répondre à des questions simples que quand il est face aux agriculteurs!
Gros regret, que Véronique Le Floch n'ait pas été invitée sur le plateau, elle aurait pu mettre les uns et les autres devant leurs contradictions, mais c'était peutêtre trop... après il y a quand même l'argent dela pub en jeu sur France 2 !

La CR pue le pétrole aux yeux des médias et élise Lucet n' échappe pas à cette règle , il est récurrent de voir le premier et le troisième syndicat de France à la table , mais jamais le second
je pense que nous avons de trop fortes personnalités pour les journaleux qui ne veulent pas affronter les lions

papy48 a écrit:ça m'etonnerait que les 500 000 000  soit pour reprendre yoplait , a mon avis c'est plutôt pour reprendre un canard boiteux pour devenir encore plus gros

papy48 a écrit:ça m'etonnerait que les 500 000 000  soit pour reprendre yoplait , a mon avis c'est plutôt pour reprendre un canard boiteux pour devenir encore plus gros

bzh centre a écrit:

fernand a écrit:en AG de nos coop, il faut que nous osions poser des questions à la façon Lucet!

je l'ai déja fait avec des questions pertinentes et qui dérangent, je dois assumer seul maintenant ,les moutons suivent le chef de meute ,

sibalo a écrit:Une réflexion d'un petit paysan peut être un peu con (moi en l'occurrence )
Le demi milliard d'euros chez sodiaal qui va encore grossir chaque année vu la non redistribution et faire des petits.
Dans 20ans ou 30ans avec la politique des normes et des prix il ne va plus rester qu'un laitier par canton (enfin chez nous il n'y en aura bientôt plus). Donc il ne restera plus grand monde par rapport a aujourd'hui.
Ceux qui ont arrêté comme mon père il y a 10ans et ceux qui arrenteront, une partie de l'argent qui est en réserve leur appartient autant qu'a ceux qui seront encore coopérateurs.

Mais dans 20ans ou 30ans le conseil d'administration peut dire on va reverser une partie de nos réserves non obligatoire que nous avons accumulé depuis 1/2 siècle aux coopérateurs. Seul ceux qui seront resté en bénéficieront dont tous les administrateurs et copains. Ca va représenter de sacré somme d'argent par coopérateurs Et les gens qui auront jeté l'éponge vu qu'il n'y a rien a gagner n'auront pas le droit de retoucher la partie qui ne leur a jamais été versé lorsqu'ils étaient producteurs.
C'est normal ca ? Je trouve pas ca normal

sibalo a écrit:Une réflexion d'un petit paysan peut être un peu con (moi en l'occurrence )
Le demi milliard d'euros chez sodiaal qui va encore grossir chaque année vu la non redistribution et faire des petits.
Dans 20ans ou 30ans avec la politique des normes et des prix il ne va plus rester qu'un laitier par canton (enfin chez nous il n'y en aura bientôt plus). Donc il ne restera plus grand monde par rapport a aujourd'hui.
Ceux qui ont arrêté comme mon père il y a 10ans et ceux qui arrenteront, une partie de l'argent qui est en réserve leur appartient autant qu'a ceux qui seront encore coopérateurs.

Mais dans 20ans ou 30ans le conseil d'administration peut dire on va reverser une partie de nos réserves non obligatoire que nous avons accumulé depuis 1/2 siècle aux coopérateurs. Seul ceux qui seront resté en bénéficieront dont tous les administrateurs et copains. Ca va représenter de sacré somme d'argent par coopérateurs Et les gens qui auront jeté l'éponge vu qu'il n'y a rien a gagner n'auront pas le droit de retoucher la partie qui ne leur a jamais été versé lorsqu'ils étaient producteurs.
C'est normal ca ? Je trouve pas ca normal

sibalo a écrit:Une réflexion d'un petit paysan peut être un peu con (moi en l'occurrence )
Le demi milliard d'euros chez sodiaal qui va encore grossir chaque année vu la non redistribution et faire des petits.
Dans 20ans ou 30ans avec la politique des normes et des prix il ne va plus rester qu'un laitier par canton (enfin chez nous il n'y en aura bientôt plus). Donc il ne restera plus grand monde par rapport a aujourd'hui.
Ceux qui ont arrêté comme mon père il y a 10ans et ceux qui arrenteront, une partie de l'argent qui est en réserve leur appartient autant qu'a ceux qui seront encore coopérateurs.

Mais dans 20ans ou 30ans le conseil d'administration peut dire on va reverser une partie de nos réserves non obligatoire que nous avons accumulé depuis 1/2 siècle aux coopérateurs. Seul ceux qui seront resté en bénéficieront dont tous les administrateurs et copains. Ca va représenter de sacré somme d'argent par coopérateurs Et les gens qui auront jeté l'éponge vu qu'il n'y a rien a gagner n'auront pas le droit de retoucher la partie qui ne leur a jamais été versé lorsqu'ils étaient producteurs.
C'est normal ca ? Je trouve pas ca normal

newcr a écrit:ma coop cette année n'abonde pas la réserve légal car elle est pas obligée d'abonder si les réserves légales dépassent les capitaux propres.
en clair la caisse est pleine...

personne ne bronche dans la salle!!!! hallucinant.

personne n'a meme demandé si ils redonnais des compléments de prix sur la recolte 2016.

LE CAM a écrit:

PatogaZ a écrit:

fernand a écrit:pour une fois, cash investigation était très bien!
Damien Lacombe, le fils de, avait plus de difficulté à répondre à des questions simples que quand il est face aux agriculteurs!
Gros regret, que Véronique Le Floch n'ait pas été invitée sur le plateau, elle aurait pu mettre les uns et les autres devant leurs contradictions, mais c'était peutêtre trop... après il y a quand même l'argent dela pub en jeu sur France 2 !

La CR pue le pétrole aux yeux des médias et élise Lucet n' échappe pas à cette règle , il est récurrent de voir le premier et le troisième syndicat de France à la table , mais jamais le second
je pense que nous avons de trop fortes personnalités pour les journaleux qui ne veulent pas affronter les lions

je suis comme vous surpris, quelle ne fait pas parti des intervenants à la fin du reportage, mais faudrait poser la question à Véronique le FLOCh pour savoir si elle n'a pas été invité ou n'a pas pu y participé. Vous là connaissez très bien, donc posé lui la question. En tout cas elle a fait une très bonne explication de la répartition des bénéfices. maintenant à sodiaal d'expliqué à quoi va servir cette manne financière mit de coté (plus de 500 millions d'euros). Il y a surement des éléments que nous n’avons pas dans la stratégie  et qui ne peuvent peut-êtres pas être divulgué sous risque de tout faire capoté? Yoplait sous le giron à 51% d'un américain, cette information est connu de tous depuis très longtemps et c'est gens sont comme lactalise des requins, et là une chose est sur le fleuron de sodial n'est plus administré par les producteurs. Là comme chez lactalis on ne publie pas les chiffres sur la rémunération des cadres, une chose est sur une grosse parti de ces bénéfices ne va pas dans la holding sodial international. On peut espéré que la manne de 500 000 000 euros est prévu pour un jour reprendre le monopole de la gestion de yoplait. Malheureusement, entre temps beaucoup seront resté sur le bord de la route.

PatogaZ a écrit:il faut faire faire un courrier par la CRUN à elise Lucet pour "s'étonner" du fait que le second syndicat n' ait pas été invité , on verra bien la réponse

pinocio a écrit:C'est vachement drôle de vous lire
Quand Lucette parle d'environnement elle est traitée de tous les noms, quand elle parle de ceux qui vous saignent, elle est portée aux nues

pinocio a écrit:C'est vachement drôle de vous lire
Quand Lucette parle d'environnement elle est traitée de tous les noms, quand elle parle de ceux qui vous saignent, elle est portée aux nues

LE CAM a écrit:

pinocio a écrit:C'est vachement drôle de vous lire
Quand Lucette parle d'environnement elle est traitée de tous les noms, quand elle parle de ceux qui vous saignent, elle est portée aux nues

je ne te cache pas que j'étais septique avant l'émission, car elle nous a bien égratigné sur d'autre sujet.

pinocio a écrit:C'est vachement drôle de vous lire
Quand Lucette parle d'environnement elle est traitée de tous les noms, quand elle parle de ceux qui vous saignent, elle est portée aux nues

ADBLUE a écrit:Les deux plus gros industriels laitiers français, l’un privé (Lactalis) et l’autre coopératif (Sodiaal), étaient en position d’accusés hier soir dans l’émission Cash investigation intitulée « Produits laitiers : où va l’argent du beurre ? », diffusée sur France 2.

Les représentants de Lactalis et Sodiaal, confrontés aux questions d’Élise Lucet, la journaliste vedette de l’émission Cash Investigation, ont dû passer un mauvais moment. Ils semblaient bien peu à l’aise pour répondre à ses questions, très accusatrices en général. La communication de crise n’est le fort ni de l’un, ni de l’autre, même si tous deux ont réagi en créant des comptes Twitter pour Lactalis et en publiant un communiqué sur son site internet pour Sodiaal.

« Il est où, le pognon ? ! »
Soumis à un feu roulant de questions et de mises en cause, Damien Lacombe, président de Sodiaal, n’a visiblement pas pu convaincre Élise Lucet. Ni même eu le temps d’expliquer de façon intelligible aux téléspectateurs en quoi consistent un prix A et un prix B, ou de répondre à la question d’un éleveur, lors d’une manifestation : « Il est où, le pognon ? ! » La coopérative répond aujourd’hui dans un communiqué aux « allégations » de l’émission (lire l’encadré)..

Quant à Lactalis, le groupe a ouvert hier un compte Twitter et multiplié les tweets pour répondre aux accusations diverses. Mais avec ses 1 800 abonnés,  quel poids pèse-t-il face aux 109 000 abonnés de « Cash » et à ses millions de téléspectateurs ?

Communiquer, c’est un métier !

(*) téléchargez le communiqué de Sodiaal.

Sodiaal réfute les accusations
« L’ADN de Sodiaal, c’est la transparence », rétorque la coopérative dans un communiqué.
• « Au vu du niveau exceptionnel de la crise laitière, Sodiaal a redistribué en 2017 un montant équivalent à 106 % du résultat de 2016 à ses producteurs/adhérents, soit 25 millions d’euros, et non 3,5 millions comme prétendu dans l’émission », explique la coopérative dans son communiqué (voir ci-dessus (*)). Cash Investigation parlait de l’année 2015. Mais il est vrai que la pratique des « ristournes » n’a pas été expliquée aux téléspectateurs, et les chiffres de 2017 non évoqués, les reportages étant antérieurs à la clôture des comptes.

• Sodiaal estime que Cash Investigation fait une « confusion technique entre les comptes sociaux d’une seule entité, Sodiaal International, et les comptes consolidés de l’ensemble de la coopérative. En particulier, le montant de 526 millions d’euros indûment qualifié de « trésor de guerre » ne correspond qu’à un actif au bilan social de Sodiaal International, et non à de la trésorerie. » Malgré ces explications, il n’est pas sûr que les éleveurs, et encore moins les téléspectateurs, s’y retrouvent. La coopérative devra sans doute faire un effort supplémentaire, si ce n’est de transparence, du moins de pédagogie.

• « Tous les revenus de la coopérative sont perçus et imposés en France, y compris ceux issus de la marque de yaourts Liberté (1) citée dans le reportage. »

• Sodiaal explique aussi que le système de double prix (A et B) est « destiné à permettre à ceux qui le souhaitaient de produire davantage, sans mettre en péril la rémunération de tous les autres ». Il aurait été mis en place « à la demande des producteurs ».

(1) marque détenue par la société Liberté Marques, domiciliée au Luxembourg, paradis fiscal bien connu. Ses deux actionnaires sont General Mills et Sodiaal via une cascade de sociétés.

ADBLUE a écrit:Les deux plus gros industriels laitiers français, l’un privé (Lactalis) et l’autre coopératif (Sodiaal), étaient en position d’accusés hier soir dans l’émission Cash investigation intitulée « Produits laitiers : où va l’argent du beurre ? », diffusée sur France 2.

Les représentants de Lactalis et Sodiaal, confrontés aux questions d’Élise Lucet, la journaliste vedette de l’émission Cash Investigation, ont dû passer un mauvais moment. Ils semblaient bien peu à l’aise pour répondre à ses questions, très accusatrices en général. La communication de crise n’est le fort ni de l’un, ni de l’autre, même si tous deux ont réagi en créant des comptes Twitter pour Lactalis et en publiant un communiqué sur son site internet pour Sodiaal.

« Il est où, le pognon ? ! »
Soumis à un feu roulant de questions et de mises en cause, Damien Lacombe, président de Sodiaal, n’a visiblement pas pu convaincre Élise Lucet. Ni même eu le temps d’expliquer de façon intelligible aux téléspectateurs en quoi consistent un prix A et un prix B, ou de répondre à la question d’un éleveur, lors d’une manifestation : « Il est où, le pognon ? ! » La coopérative répond aujourd’hui dans un communiqué aux « allégations » de l’émission (lire l’encadré)..

Quant à Lactalis, le groupe a ouvert hier un compte Twitter et multiplié les tweets pour répondre aux accusations diverses. Mais avec ses 1 800 abonnés,  quel poids pèse-t-il face aux 109 000 abonnés de « Cash » et à ses millions de téléspectateurs ?

Communiquer, c’est un métier !

(*) téléchargez le communiqué de Sodiaal.

Sodiaal réfute les accusations
« L’ADN de Sodiaal, c’est la transparence », rétorque la coopérative dans un communiqué.
• « Au vu du niveau exceptionnel de la crise laitière, Sodiaal a redistribué en 2017 un montant équivalent à 106 % du résultat de 2016 à ses producteurs/adhérents, soit 25 millions d’euros, et non 3,5 millions comme prétendu dans l’émission », explique la coopérative dans son communiqué (voir ci-dessus (*)). Cash Investigation parlait de l’année 2015. Mais il est vrai que la pratique des « ristournes » n’a pas été expliquée aux téléspectateurs, et les chiffres de 2017 non évoqués, les reportages étant antérieurs à la clôture des comptes.

• Sodiaal estime que Cash Investigation fait une « confusion technique entre les comptes sociaux d’une seule entité, Sodiaal International, et les comptes consolidés de l’ensemble de la coopérative. En particulier, le montant de 526 millions d’euros indûment qualifié de « trésor de guerre » ne correspond qu’à un actif au bilan social de Sodiaal International, et non à de la trésorerie. » Malgré ces explications, il n’est pas sûr que les éleveurs, et encore moins les téléspectateurs, s’y retrouvent. La coopérative devra sans doute faire un effort supplémentaire, si ce n’est de transparence, du moins de pédagogie.

• « Tous les revenus de la coopérative sont perçus et imposés en France, y compris ceux issus de la marque de yaourts Liberté (1) citée dans le reportage. »

• Sodiaal explique aussi que le système de double prix (A et B) est « destiné à permettre à ceux qui le souhaitaient de produire davantage, sans mettre en péril la rémunération de tous les autres ». Il aurait été mis en place « à la demande des producteurs ».

(1) marque détenue par la société Liberté Marques, domiciliée au Luxembourg, paradis fiscal bien connu. Ses deux actionnaires sont General Mills et Sodiaal via une cascade de sociétés.

marie70 a écrit:c etait  une  bonne  émission  pour  faire  comprendre  aux consommateurs   que  tout  le  monde  s en  met  dans la  poche  sauf  les producteurs !! 

et  c est  vrai pour  toutes les productions !

cdric22 a écrit:

marie70 a écrit:c etait  une  bonne  émission  pour  faire  comprendre  aux consommateurs   que  tout  le  monde  s en  met  dans la  poche  sauf  les producteurs !! 

et  c est  vrai pour  toutes les productions !

oui c'est vrai moi j 'ai eu une autre version de la vision de l'emission  , j'ai discuté avec un epicier ce matin, il me demandait si les agriculteurs etaient pas plus betes que la moyenne  , comment dans une coop qui leur appartient  ils se font traiter comme des chiens

pinocio a écrit:C'est vachement drôle de vous lire
Quand Lucette parle d'environnement elle est traitée de tous les noms, quand elle parle de ceux qui vous saignent, elle est portée aux nues

nonord a écrit:

pinocio a écrit:C'est vachement drôle de vous lire
Quand Lucette parle d'environnement elle est traitée de tous les noms, quand elle parle de ceux qui vous saignent, elle est portée aux nues

j'ai pensé exactement la même chose  mais n'ai pas osé l'écrire ça ne change en rien ce que je pense de lucé

hermine 22 a écrit:deux jours plus tot
ndl aurait envoyé paitre la lucet

grabouille a écrit:

ADBLUE a écrit:Les deux plus gros industriels laitiers français, l’un privé (Lactalis) et l’autre coopératif (Sodiaal), étaient en position d’accusés hier soir dans l’émission Cash investigation intitulée « Produits laitiers : où va l’argent du beurre ? », diffusée sur France 2.

Les représentants de Lactalis et Sodiaal, confrontés aux questions d’Élise Lucet, la journaliste vedette de l’émission Cash Investigation, ont dû passer un mauvais moment. Ils semblaient bien peu à l’aise pour répondre à ses questions, très accusatrices en général. La communication de crise n’est le fort ni de l’un, ni de l’autre, même si tous deux ont réagi en créant des comptes Twitter pour Lactalis et en publiant un communiqué sur son site internet pour Sodiaal.

« Il est où, le pognon ? ! »
Soumis à un feu roulant de questions et de mises en cause, Damien Lacombe, président de Sodiaal, n’a visiblement pas pu convaincre Élise Lucet. Ni même eu le temps d’expliquer de façon intelligible aux téléspectateurs en quoi consistent un prix A et un prix B, ou de répondre à la question d’un éleveur, lors d’une manifestation : « Il est où, le pognon ? ! » La coopérative répond aujourd’hui dans un communiqué aux « allégations » de l’émission (lire l’encadré)..

Quant à Lactalis, le groupe a ouvert hier un compte Twitter et multiplié les tweets pour répondre aux accusations diverses. Mais avec ses 1 800 abonnés,  quel poids pèse-t-il face aux 109 000 abonnés de « Cash » et à ses millions de téléspectateurs ?

Communiquer, c’est un métier !

(*) téléchargez le communiqué de Sodiaal.

Sodiaal réfute les accusations
« L’ADN de Sodiaal, c’est la transparence », rétorque la coopérative dans un communiqué.
• « Au vu du niveau exceptionnel de la crise laitière, Sodiaal a redistribué en 2017 un montant équivalent à 106 % du résultat de 2016 à ses producteurs/adhérents, soit 25 millions d’euros, et non 3,5 millions comme prétendu dans l’émission », explique la coopérative dans son communiqué (voir ci-dessus (*)). Cash Investigation parlait de l’année 2015. Mais il est vrai que la pratique des « ristournes » n’a pas été expliquée aux téléspectateurs, et les chiffres de 2017 non évoqués, les reportages étant antérieurs à la clôture des comptes.

• Sodiaal estime que Cash Investigation fait une « confusion technique entre les comptes sociaux d’une seule entité, Sodiaal International, et les comptes consolidés de l’ensemble de la coopérative. En particulier, le montant de 526 millions d’euros indûment qualifié de « trésor de guerre » ne correspond qu’à un actif au bilan social de Sodiaal International, et non à de la trésorerie. » Malgré ces explications, il n’est pas sûr que les éleveurs, et encore moins les téléspectateurs, s’y retrouvent. La coopérative devra sans doute faire un effort supplémentaire, si ce n’est de transparence, du moins de pédagogie.

• « Tous les revenus de la coopérative sont perçus et imposés en France, y compris ceux issus de la marque de yaourts Liberté (1) citée dans le reportage. »

• Sodiaal explique aussi que le système de double prix (A et B) est « destiné à permettre à ceux qui le souhaitaient de produire davantage, sans mettre en péril la rémunération de tous les autres ». Il aurait été mis en place « à la demande des producteurs ».

(1) marque détenue par la société Liberté Marques, domiciliée au Luxembourg, paradis fiscal bien connu. Ses deux actionnaires sont General Mills et Sodiaal via une cascade de sociétés.

que de mauvaise fois avec le prix A et B !!!!!
puisque tous le monde a du A et du B sur sa paye meme celui qui a gardé sa production historique

cdric22 a écrit:

marie70 a écrit:c etait  une  bonne  émission  pour  faire  comprendre  aux consommateurs   que  tout  le  monde  s en  met  dans la  poche  sauf  les producteurs !! 

et  c est  vrai pour  toutes les productions !

oui c'est vrai moi j 'ai eu une autre version de la vision de l'emission  , j'ai discuté avec un epicier ce matin, il me demandait si les agriculteurs etaient pas plus betes que la moyenne  , comment dans une coop qui leur appartient  ils se font traiter comme des chiens

alceste a écrit:

tof a écrit:Bah pas mal cette émission !
Comme quoi les journalistes fouille merde sont utiles parfois !
J'y connaissait rien en lait,mais pas pu m'empêcher de faire le rapprochement avec les coop céréalières et leur opacité

+1 , je ne suis pas du monde des laitiers, mais ce que j'ai retenu des éléveurs qui s'adressent à lacta ou sodiaal "où est le pognon? "
mais c'est quand meme incroyable qu'ils n'affichent pas leurs comptes...

tot ou tard a écrit:

cdric22 a écrit:

marie70 a écrit:c etait  une  bonne  émission  pour  faire  comprendre  aux consommateurs   que  tout  le  monde  s en  met  dans la  poche  sauf  les producteurs !! 

et  c est  vrai pour  toutes les productions !

oui c'est vrai moi j 'ai eu une autre version de la vision de l'emission  , j'ai discuté avec un epicier ce matin, il me demandait si les agriculteurs etaient pas plus betes que la moyenne  , comment dans une coop qui leur appartient  ils se font traiter comme des chiens

syndrome de Stockholm pour une majorité
et pour une autre partie au regard de ce que l'on a entendu hier soir et de la pensée de certains ici
je me dis que beaucoup ne devait pas être né en 2009 ou ils avaient encore la goutte de lait au bout du nez...
qui a parlé a l’époque de coût de production...le fameux 400 euros qu'on nous a tant reproché...
je ne connais personne qui a redonné du trop perçu en dec 2014 lorsqu'il était au delà de 400...
que la contractualisation s’était donner les pleins pouvoirs aux laiteries ...
les op verticales ...une fumisterie
les quotas A B C ...un piege
ect...ect...
absolument tout ce que l'on a dénoncé en 2009 c'est avéré a la virgule près...ou en pire...
aujourd'hui on nous parle d'aop...çà existe déjà ca s'appelle cniel fnpl ...ca marche..?
l'autre lanbmerda nationale qui parle de prendre dans la poche du consommateur...qu'est qui faut encore pour que les ( veaux ) que sont les laitiers
comprennent  que la fede n'est la que pour accompagner dans la soumission les producteurs pour les intérêts de l'agro et en premier lieu les coops...(10ieme plan )

je vais finir par croire que mon principal défaut c'est ,avec d'autres, d'avoir eu raison trop tôt....

merci veronique

carlo s a écrit:bernard lannes à été éviter mad lambert n a pas voulu débattre avec lui !
*
sinon elle ne venait pas .... peur de ses contradictions ??

les journalistes on fait leur choix la conf face à la FNSEA

un reportage  tourné chez véronique le floch
affiché CR ????surprise du montage ...
donc on a pas tout pour faire le tri ...

cdric22 a écrit:

marie70 a écrit:c etait  une  bonne  émission  pour  faire  comprendre  aux consommateurs   que  tout  le  monde  s en  met  dans la  poche  sauf  les producteurs !! 

et  c est  vrai pour  toutes les productions !

oui c'est vrai moi j 'ai eu une autre version de la vision de l'emission  , j'ai discuté avec un epicier ce matin, il me demandait si les agriculteurs etaient pas plus betes que la moyenne  , comment dans une coop qui leur appartient  ils se font traiter comme des chiens