Les pucerons n'aiment pas le colza. A l'heure de l'interdiction du Gaucho....

Des copains me racontaient qu'ils ne traitaient pas les pucerons en automne car ils laissaient un peu de colza. C'est un répulsifs pour ces porteurs de virus.

A l'heure ou prend effet l'interdiction des trois néonicotinoïdes (thiaméthoxam, imidaclopride et clothianidine) cette voie mérite réflexion.

Un peu de colza dans un champs de blé est facile a maitriser.

Avez vous des informations dans ce sens ?.

Un nid a merde plutot les repousses de colza..... j'ai passé 5 ans a faire des comptages pucerons en patate quand on connait le potentiel de multiplication de l'animal Jai du mal a croire qu'il va se dire "tiens je vais rester sur mon colza il faut plus chaud qd on est 500 par feuille"
Lol

ca fait 2 ans, mais cet automne était pire, gros pucerons vert du verger sous les feuilles, le colza jaunissait, et là il a disparu.........

délai de retournement de colza + couvert obligatoire = recrudescence de certains insectes Vs retrait d'insecticides efficaces

on le grave où: sur le front, sur les fesses, sur le torse ou sur les bras des escolos fashos

pour les pucerons,sur certaines varietes de patate ca fout un beau bordel sur la qualité des tubercules !!!!

j'ai semé en "direct" mon blé dans les repousses de colzas (vers le 15/10), pas mal de colonies de pucerons sur les gros colzas qui ont mis des semaines à dépérir au milieu du blé qui apparaissait, aucun insecticide, je vous dirai au printemps si c'était une belle bêtise.

Même  pas peur ? 

un petit HS: ici l'ITB a fait des essais avec des betteraves sans enrobage type néonic. sur les semences, les résultats ont été les suivants:
-témoin, avec semences enrobées néonic : 100% rendement
-sans protection de semences et malgré 2 ou 3 insecticides en végétation : -15%
-sans protection ni aucun insecticide en végétation: - 5%
cela voudrait dire que les insecticides qui nous restent font plus de mal que de bien. A réfléchir.

si seulement on pouvait croire toutes nos études qui doivent être pourri d’écolos fraichement sorti des écoles

fernand a écrit:un petit HS: ici l'ITB a fait des essais avec des betteraves sans enrobage type néonic. sur les semences, les résultats ont été les suivants:
-témoin, avec semences enrobées néonic : 100% rendement
-sans protection de semences et malgré 2 ou 3 insecticides en végétation : -15%
-sans protection ni aucun insecticide en végétation: - 5%
cela voudrait dire que les insecticides qui nous restent font plus de mal que de bien. A réfléchir.

Je suis presque d’accord car j’ai remarqué ce phénomène sur haricot vert plein champ. J’avais une bande 4m que j’avais zappé en desherbage de rattrapage je sais plus pourquoi j’ai pas ouvert le tronçon. Il y avait 10cm de différence en hauteur de végétation et beaucoup plus dense et pour finir pas forcément tres sale. Le racinaire aurait suffit pour toute la parcelle. 
J’en déduit qu’on cogne fort et finalement au détriment de la culture parfois. Je suis ni pour ni contre le bio mais quand je vois les rendements chez eux qui sont quasi identique aux notres ça laisse dubitatif. Et surtout ils vendent 2x plus cher...

fernand, dans les essais ont t'ils fait la richesse en sucre????

La résistance des insectes aux produits de synthèses n'ai pas une sélection par les résistants comme on pourrait le croire mais une reconnaissance des insectes de la fréquences de ces substances.

Je recherche mes sources et je les mets en ligne.

Marc Henry dans sa présentation de la physique quantique ( moi aussi je pensais que c'était un gros mot )  parle de ce genre de chose.

Mes amis, nous cultivons moitié de la surface de ce pays e nos marchands pensaient que nous étions des imbéciles.

je dit peut être une bêtise mais ces les mêmes sur colza et blé ?

y'a tous les pucerons différents sur blé sauf cendrés à l'automne

Les maraichers utilisent aussi le sureau pour limiter les attaques de pucerons.

Au printemps, cet arbre est dans les premiers a subir des colonisations de pucerons noirs. C'est les manchons qu'on voit sur les branches.

L'enjeu est d'avoir les prédateurs présent quand les attaques vont arriver sur les cultures.

Cette année , j'ai fait un essai contre les pucerons avec du purin d'ortie.... sur citrouille !

Franchement , j'ai été épaté . 
Deux jours après , plus de pucerons sous les feuilles. 


Un technicien de chambre a fait des essais sur haricot vert plein champ : bons résultats également .

GL a écrit:Les maraichers utilisent aussi le sureau pour limiter les attaques de pucerons.

Au printemps, cet arbre est dans les premiers a subir des colonisations de pucerons noirs. C'est les manchons qu'on voit sur les branches.

L'enjeu est d'avoir les prédateurs présent quand les attaques vont arriver sur les cultures.

Tu peux développer ? 

Ils utilisent le sureau pour avertir de l'arrivée des pucerons ou bien pour lutter contre? J'ai pas compris

GL a écrit:La résistance des insectes aux produits de synthèses n'ai pas une sélection par les résistants comme on pourrait le croire mais une reconnaissance des insectes de la fréquences de ces substances.

Je recherche mes sources et je les mets en ligne.

Marc Henry dans sa présentation de la physique quantique ( moi aussi je pensais que c'était un gros mot )  parle de ce genre de chose.

Mes amis, nous cultivons moitié de la surface de ce pays e nos marchands pensaient que nous étions des imbéciles.

Moitié , c'est pas 36 % .... Tu peux expliquer la difference ? 

Tu sais ce qu'a dit Einstein a propos de la physique quantique au fait.....

36% de terres cultivées + 15% de pâtures = 51% de terres agricoles

yaya a écrit:

GL a écrit:Les maraichers utilisent aussi le sureau pour limiter les attaques de pucerons.

Au printemps, cet arbre est dans les premiers a subir des colonisations de pucerons noirs. C'est les manchons qu'on voit sur les branches.

L'enjeu est d'avoir les prédateurs présent quand les attaques vont arriver sur les cultures.

Tu peux développer ? 

Ils utilisent le sureau pour avertir de l'arrivée des pucerons ou bien pour lutter contre? J'ai pas compris

Ce n'est pas pour avertir, c'est pour commencer à avoir une population de prédateur au moment de l'arrivée des pucerons sur cultures.

Sur cette image, on aperçoit une fourmi.



Cette insecte de la famille des Formicidae ( comme les guêpes ou les abeilles ) élève des pucerons pour les "traire" ou plus exactement se nourrir de leur sécrétion ( sans doute de la sève transformée ). 

Tous ceux qui ont lu Bernard Werber savent que grâce à leur système de communication olfactif, elles sont capable de résoudre des problèmes complexes bien plus facilement qu'un ordinateur.



Toute ressemblance entre cette drôle de bestiole





et le primate qui est en train d'écrire est tout de même très osé