Sujets similaires
Statistiques
Nous avons 4382 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est jerome74
Nos membres ont posté un total de 3169975 messages dans 88290 sujets
Petites annonces
Pas d'annonces disponibles.
après le coca voilà l'aspirine
+39
bastien
charpa
8Antoine0
marcus24
yaya
electron
riccou
mtx28
tf76
Chris35
sarltpas
indo 3.6.3
lagaff3
snif
nico67
Sweepy
sevi
vtp
iris
sd 4500
oli
Etienne
bidou02
V51
vhv
fusa 32
MA 31
rb42
BV-Fan
jef81
PatogaZ
eugene
nico21
ancomex
carlo s
Aspicot
dgé
jejeonthenet
br000
43 participants
AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: Cultures et tours de plaines :: Produits phytos, oligos, adjuvants
Page 2 sur 4
Page 2 sur 4 • 1, 2, 3, 4
après le coca voilà l'aspirine
Rappel du premier message :
aspirine qui contient de l'acide salicylique aurait des vertus sur ladéfense immunitaire des végétaux. y a t il qqun qui en met ds ses fongi. moi je vais en mettre en fongi blé.
aspirine qui contient de l'acide salicylique aurait des vertus sur ladéfense immunitaire des végétaux. y a t il qqun qui en met ds ses fongi. moi je vais en mettre en fongi blé.
br000- + membre techno +
- Messages : 1743
Date d'inscription : 13/09/2009
Age : 57
Hainaut/wallonie/belgique
Re: après le coca voilà l'aspirine
normalement c est pur a 100 pour 100 1 kilo de produit egal 1 kilo d aspirine
fusa 32- + membre techno +
- Messages : 17707
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 62
gers 15 km d AUCH
Re: après le coca voilà l'aspirine
baba a écrit:ça marche pô les suppos ?
monsieur est un connaisseur !!!!
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: après le coca voilà l'aspirine
PatogaZ a écrit:baba a écrit:ça marche pô les suppos ?
monsieur est un connaisseur !!!!
Et les aspirines effervescentes , les bubulles ça peut aider ???
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
Cet effet de liquefaction pour le sang par exemple pour l'aspirine, est temporaire?
Je m'explique une fois que l'asperine n'est plus présent dans l'organisme, le sang redevient-il un peu plus "visqueu"?
Ca permet de se donner une idée pour savoir si il faut fractionner les apports ou tout apporter d'un coup.
Je m'explique une fois que l'asperine n'est plus présent dans l'organisme, le sang redevient-il un peu plus "visqueu"?
Ca permet de se donner une idée pour savoir si il faut fractionner les apports ou tout apporter d'un coup.
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
maxou le roumain a écrit:Cet effet de liquefaction pour le sang par exemple pour l'aspirine, est temporaire?
Je m'explique une fois que l'asperine n'est plus présent dans l'organisme, le sang redevient-il un peu plus "visqueu"?
Ca permet de se donner une idée pour savoir si il faut fractionner les apports ou tout apporter d'un coup.
non , c' est comme avec les humains , il faut prendre son petit cachet régulièrement !!!!
le sucre pulvérisé sur la cuticule se dégrade en enzymes et fait office de phytoprotecteur , d'où les résultats obtenus !!!!
Hier réunion avec VF avec deux utilisateurs épsotop coca
l' un n' a rien vu et l' autre a eu un effet fulgurant
je pense que dans le premier cas il y avait une carence qui a bloqué le maïs , le second a vu son maïs passer du jaune au vert vif en 48 heures
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: après le coca voilà l'aspirine
l'aspirine se mélange avec tout type de phyto?Ca a une grande incidence sur le pH de l'eau
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
maxou le roumain a écrit:l'aspirine se mélange avec tout type de phyto?Ca a une grande incidence sur le pH de l'eau
ce n' est pas à mélanger avec des phytos !!!! faire en solo si vous voulez essayer
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: après le coca voilà l'aspirine
attention, en général chez les vétérinaires c'est de l'aspirine non soluble à 26€ pour les 5kg que tu peux dissoudre avec du bicarbonate de soude 8,7€ les 25kg (1g d'aspirine pr 2g de bicarbonate)
et sinon il y a de la soluble à 40€/kg.
et sinon il y a de la soluble à 40€/kg.
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
jul a écrit:attention, en général chez les vétérinaires c'est de l'aspirine non soluble à 26€ pour les 5kg que tu peux dissoudre avec du bicarbonate de soude 8,7€ les 25kg (1g d'aspirine pr 2g de bicarbonate)
et sinon il y a de la soluble à 40€/kg.
Bon, comme j'ai pas trop envie de jouer avec le bicarbonate, prenons l'aspirine soluble à 35 gr/ha (grosso modo) vendu à 40 Euros/kg = 1.52 Euros /ha ok. (Plusieurs passage/ha)
Où j'achète, via internet, cet aspirine soluble, n'étant pas éleveur ?
Deuxièmement, ceux qui ont entendu ceux qui l'ont mélangé , cela donne quoi ?
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
Pas de réponse ?
Jul, pato, chez qui qui qu'il faut en commander ?
Sujet trop tabou, peut-être ? (décrochage de satellites en vue ?)
Jul, pato, chez qui qui qu'il faut en commander ?
Sujet trop tabou, peut-être ? (décrochage de satellites en vue ?)
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
si pour pato l aspire ne peut pas faire de tord , je suis pas sure que les widaliens seront daccord avec lui
pour ceux qui voudrais essayer , il faut savoir que l acide sallycilique est toxique a forte dose et qu une application apres contamination cumule l a. s produite par la plante avec l application a.s .. de meme que cela entraine aussi une consommation d energie de la part de la plante.
il faut( pour avoir le meilleur resultat ), traiter deux jours avant contamination
pour le coca , je crois que l acide phosphorique est l agent qui agit comme fongicide bien que la forme phosphonate : sel de l acide phosphorique , est plus efficace.
quelqu un a t il deja essaye du pk2
pour ceux qui voudrais essayer , il faut savoir que l acide sallycilique est toxique a forte dose et qu une application apres contamination cumule l a. s produite par la plante avec l application a.s .. de meme que cela entraine aussi une consommation d energie de la part de la plante.
il faut( pour avoir le meilleur resultat ), traiter deux jours avant contamination
pour le coca , je crois que l acide phosphorique est l agent qui agit comme fongicide bien que la forme phosphonate : sel de l acide phosphorique , est plus efficace.
quelqu un a t il deja essaye du pk2
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
Punaise, pour un premier post, tu déchires...
Là je crois qu'on tiens un clone d' "agritof" ? non ?
Là je crois qu'on tiens un clone d' "agritof" ? non ?
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
moulin a vent a écrit:si pour pato l aspire ne peut pas faire de tord , je suis pas sure que les widaliens seront daccord avec lui
pour ceux qui voudrais essayer , il faut savoir que l acide sallycilique est toxique a forte dose et qu une application apres contamination cumule l a. s produite par la plante avec l application a.s .. de meme que cela entraine aussi une consommation d energie de la part de la plante.
il faut( pour avoir le meilleur resultat ), traiter deux jours avant contamination
pour le coca , je crois que l acide phosphorique est l agent qui agit comme fongicide bien que la forme phosphonate : sel de l acide phosphorique , est plus efficace.
quelqu un a t il deja essaye du pk2
Plus sérieusement, j'ai bien compris que le sallycilate s'utilise en préventif (2 jours avant la contamination ? encore faut-il savoir quand elle pense tomber...).
Concernant les doses maxi avant intoxication, tu penses à combien car là c'est 35gr/ha par application... 2 applications max je pense... (en préventif).
Concernant le coca (à ne pas mettre avec l'aspirine, sinon il va falloir en mettre de l'anti-mousse ), comment obtient on le sel de l'acide phosphorique (ton phosphanate)????
pK2 ? kesako ?
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
salut aven
je pense qu en preventif et pas trop de pression phyto 35 g cela ne doit pas poser de pb avec pour les eliciteurs une remanence de 15j par aplication
pour le coca qui est un soda on utilise de l acide phosphorique dans sa fabriquation et la question que je me pose est:somme nous sous forme po3 ou po4 quand on epand.
la formule du coca est secrete ,et savoir si il y a eu oxydation ??? je suis qu un simple paysan et faut pas trop m en demander
le pk2 c du phosphonate de potassium considere comme un engrais foliaire et j ai pu voir des essais pdt en bio et non bio contre le mildiou + , et c justement une forme po3 et qui + et a un effet elliciteur( dose 3 - 4 l / ha ) .permetrait de diviser les doses de fongi par deux en non bio
je t invite a faire un essais:boire un verre coca suivi d un bonbon menthos effet assure histoire de trinquer
je pense qu en preventif et pas trop de pression phyto 35 g cela ne doit pas poser de pb avec pour les eliciteurs une remanence de 15j par aplication
pour le coca qui est un soda on utilise de l acide phosphorique dans sa fabriquation et la question que je me pose est:somme nous sous forme po3 ou po4 quand on epand.
la formule du coca est secrete ,et savoir si il y a eu oxydation ??? je suis qu un simple paysan et faut pas trop m en demander
le pk2 c du phosphonate de potassium considere comme un engrais foliaire et j ai pu voir des essais pdt en bio et non bio contre le mildiou + , et c justement une forme po3 et qui + et a un effet elliciteur( dose 3 - 4 l / ha ) .permetrait de diviser les doses de fongi par deux en non bio
je t invite a faire un essais:boire un verre coca suivi d un bonbon menthos effet assure histoire de trinquer
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
moulin a vent a écrit:le pk2 c du phosphonate de potassium considere comme un engrais foliaire et j ai pu voir des essais pdt en bio et non bio contre le mildiou + , et c justement une forme po3 et qui + et a un effet elliciteur( dose 3 - 4 l / ha ) .permetrait de diviser les doses de fongi par deux en non bio
bonjour moulin a vent et bienvenue, peux tu développer un peu tu m interesses c est quoi le mode d action, je n ai pas bien compris, c est un produit bio ou pas???
vhv- + membre techno +
- Messages : 3471
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 43
esmery hallon 80400
Re: après le coca voilà l'aspirine
vhv a écrit:moulin a vent a écrit:le pk2 c du phosphonate de potassium considere comme un engrais foliaire et j ai pu voir des essais pdt en bio et non bio contre le mildiou + , et c justement une forme po3 et qui + et a un effet elliciteur( dose 3 - 4 l / ha ) .permetrait de diviser les doses de fongi par deux en non bio
bonjour moulin a vent et bienvenue, peux tu développer un peu tu m interesses c est quoi le mode d action, je n ai pas bien compris, c est un produit bio ou pas???
...çà appartient à la nouvelle famille de produits en vogue : SDN / SDP (éliciteurs)...
J'ai déjà entendu parler de NUTRI-PHITE dans ce registre; sinon voici une doc à lire pages 19 et 20. :king:
V51- + membre techno +
- Messages : 1808
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 58
Marne
Re: après le coca voilà l'aspirine
Encore un peu de lecture... :study: ,encore en : pages 19 et 20.
V51- + membre techno +
- Messages : 1808
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 58
Marne
Re: après le coca voilà l'aspirine
salut
apres v51 j ai plus grand chose a dire si ce n est qu il y a souvent sinergie en assotiation avec d autres produit comme par ex le folpel sur pdt.
le pk2 ou phosphonate de potassium : h2pho3+koh est le sel de l acide phosphonique dont l acidite a ete reduit par l hydroxyde de potassium et done k2hpo3 qui est un fongicide
comme l ethyl phosphonate :h2pho3+ ethanole +aluminium pour neutraliser donne le fosetil-al anti oidium sur ble
qui a + d info sur le coca
apres v51 j ai plus grand chose a dire si ce n est qu il y a souvent sinergie en assotiation avec d autres produit comme par ex le folpel sur pdt.
le pk2 ou phosphonate de potassium : h2pho3+koh est le sel de l acide phosphonique dont l acidite a ete reduit par l hydroxyde de potassium et done k2hpo3 qui est un fongicide
comme l ethyl phosphonate :h2pho3+ ethanole +aluminium pour neutraliser donne le fosetil-al anti oidium sur ble
qui a + d info sur le coca
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
es ce que l'apport d'acide phosphorique liquide pur est possible sur culture, à raison de 5l/ha = 3.5 unité phosphore ?
dgé- schtroumpf grognon du forum
- Messages : 43696
Date d'inscription : 10/09/2009
000
Re: après le coca voilà l'aspirine
Up !
Pk serait il déconnant de faire une association Coca + Aspi + micro dose fongicide ?
Pk serait il déconnant de faire une association Coca + Aspi + micro dose fongicide ?
bidou02- + membre techno +
- Messages : 51464
Date d'inscription : 21/09/2009
Age : 39
Pas loin de Marly Gomont (02)
Re: après le coca voilà l'aspirine
non , c' est en forgeant qu'on devient forgeron
et c' est en lisant qu'on devient liseron
et c' est en sciant que léonard devint scie !!!
et c' est en lisant qu'on devient liseron
et c' est en sciant que léonard devint scie !!!
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Utilisation d'infra-doses de sucres en protection des cultures
Je me permets de vous répondre en ce qui concerne l'utilisation des sucres pour induire la résistance des plantes. 1-Vous pouvez consulter le site de l'ITAB et les communiocations des journées fruits et legumes" de décembre 2009. Vous pourrez y lire ma communication.
2-Je vous envoie par ailleurs quelques recommandations si vous voulez essayer cette méthode. Son efficacité dépend entre autres du respect de certaines règle et aussi de la culture, de la variété, de l'agresseur. Nos essais en conditions agricoles ont été faits sur pommier contre le carpocapse. Pour les autres situations tout reste à tester.
Action inductrice de résistance de la
plante à un bio-agresseur par des infra-doses de sucres solubles pulvérisés sur
la plante.
Conseils pour tester cette action sur une culture vis-à-vis d’un bio-agresseur
Sylvie DERRIDJ, Ingénieur de
recherche INRA Versailles.
Sur la base de résultats
positifs d’induction de résistance de la plante obtenus en vergers sur la
carpocapse en conditions naturelles plusieurs années, je préconise certaines
règles à respecter rigoureusement dans le cas d’application d’infra-doses de
sucres pour protéger une culture. Ces points sont essentiels pour espérer des
effets du même ordre puis permettre une comparaison entre cultures et
bio-agresseurs.
1-
Utiliser
des INFRA –DOSES
DE SUCRES c’est à dire des quantités inférieures ou égales à 100ppm
(10 g pour 100L). Le sucre utilisé dans ces conditions constitue un SIGNAL pour la plante. Ce signal est SYSTEMIQUE,
il est transmis à toute la plante racines comprises. Ces infra-doses ne
devraient pas avoir d’action directe sur les bio-agresseurs (prise de
nourriture des insectes, développement de champignons ou bactéries épiphytes…).
2-
NATURE DU SUCRE SOLUBLE : Le saccharose qui s’hydrolyse
en fructose + glucose, le glucose et le fructose peuvent induire une résistance
de la plante à un bio-agresseur. L’action du sucre va dépendre de la molécule
elle-même, de la plante (espèce et stade physiologique) et du bio-agresseur. Le
fructose est le sucre qui a les effets les plus généraux. Il peut être acheté chez
un fournisseur de produits chimiques de synthèse comme par exemple SIGMA-
ALDRICH qui fournit les laboratoires de recherche. Le saccharose « sucre
en morceau » a été le plus souvent testé en conditions naturelles afin de
se mettre dans les conditions les plus accessibles pour l’utilisateur qui peut
se fournir facilement à peu de frais (même pour les pays pauvres les quantités
étant faibles cela peut être accessible). Une fois les mécanismes mieux connus
il n’est pas impossible d’envisager l’utilisation d’autres sucres solubles.
3-
PREPARATION DE LA SOLUTION
SUCREE : La
solution de sucre doit être préparée JUSTE AVANT sa pulvérisation. Les sucres sont
utilisés très rapidement par de nombreux micro-organismes. Ceux-ci peuvent les
détruire et les transformer avant la pulvérisation de la solution si celle-ci n’est
pas pratiquée immédiatement après sa constitution. L’eau de ville peut être
utilisée, il n’est pas utile de prendre une eau spéciale.
4-
MOMENTS DE LA PULVERISATION
DU SUCRE :
*Il faut pulvériser
le sucre PREVENTIVEMENT
à l’infestation ou à la contamination par le
bio-agresseur (au moins 20 jours avant) ne pas attendre l’apparition des dégâts.
Il s’agit d’une induction de phénomènes qui interviennent en amont de l’attaque
puis après l’attaque (défense). En effet, la reconnaissance de l’hôte semble concernée
dans ce type de résistance, c’est le cas en particulier pour le Botrytis, le
carpocapse et la pyrale du maïs. Le signal sucre s’enchaîne en cascade dans
différentes voies de signalisation et ce sont les réactions de la plante à un
moment donné qui la rend résistante à un bio-agresseur ou à un autre (voie de
signalisation croisées avec celles qui interviennent dans les systèmes de
défense, de résistance aux stress, de croissance et des transports puits/source
(résultats INRA+recherches en cours au SCRI en Ecosse). Selon la plante et le
bio-agresseur le temps après lequel la résistance est visible est donc
variable. Nos essais en serre ont eu des résultats variant selon ces deux
facteurs entre 6 (champignon, nématode) et 20 jours (insecte).
*Tous les
essais expérimentaux en serre ou en conditions de verger ont été pratiqués avec
des pulvérisations de sucre LE MATIN DE BONNE HEURE, en
début de photosynthèse avant 9 heures solaires. Le sucre pulvérisé le matin sur
la feuille pourrait constituer un stress du à une désynchronisation de sa
présence dans divers sites de la plante (hypothèse à vérifier : effets sur
les rythmes circadiens des cellules de gardes des stomates ou dans la plante).
*APPAREILLAGE :
Les pulvérisateurs utilisés pour les produits phytosanitaires devraient pouvoir
être utilisés pour pulvériser la solution sucrée. Lorsqu’il s’agit de tester le
sucre seul, il faut que le pulvérisateur n’ait PLUS DE TRACES d’aucun autre
produit. Dans le cas d’essais randomisés il faudra donc commencer par le
traitement eau seule puis sucre seul, puis continuer avec les autres cas. Une
solution plus sure est l’utilisation d’un appareil différent pour le sucre seul
de celui utilisé pour les autres produits ou mélanges avec le sucre.
L’effet étant
systémique il n’est pas indispensable de pulvériser d’une manière exhaustive
toute la plante ou l’arbre. C’est la raison pour laquelle il faut aussi traiter
avant l’arrivée du bio-agresseur, de manière à ce que les mécanismes aient le
temps de se mettre en place.
*FREQUENCE :
Il semble que des pulvérisations successives restent efficaces contrairement aux
cas de certains éliciteurs de défense qui ne peuvent s’appliquer plusieurs fois
de suite. Des essais ont été faits avec pour démarrer 2 traitements espacés de
5 jours, dans ce cas les effets sont identiques à ceux obtenus ave un seul
traitement. Nous avons utilisé la fréquence de 20 jours entre les
pulvérisations du sucre dans le cas des lépidoptères sur maïs ou pommier, leurs
ravages ayant lieu sur une période longue de 4 mois. Il faut affiner les effets
de la fréquence du traitement qui reste encore un élément important de la
technologie et de la recherche des mécanismes.
*CONDITIONS
ATMOSPHERIQUES:
Le signal sucre est perçu très rapidement par la plante, certains paramètres de
la physiologie de la tomate varient dans l’heure qui suit le traitement. S’il
pleut dans la journée il n’est pas utile de recommencer le traitement fait le
matin de bonne heure.
5- QUELLES CULTURES ? QUELS
BIO-AGRESSEURS ? Pour l’instant nous avons peu d’idée quant à
la généralisation du mécanisme et à l’ampleur de son efficacité en conditions
agronomiques. Les effets ont été observés sur des champignons, nématodes, insectes
sur tomate, haricot, maïs, et pommier. Le panel permet d’espérer que les
mécanismes engendrés relèvent de mécanismes naturels fondamentaux que la plante
utilise pour se protéger. La question est aussi de savoir si les sélections
variétales ont gardé ce mécanisme présent dans la plante ? Il semble qu’il
existe des variations de réponse selon la variété de pommier et de maïs. Les
tomates déjà résistantes aux nématodes réagissent avec plus d’efficacité à la
pulvérisation du sucre qu’une variété sensible.
Chaque situation est à tester et à expérimenter : espèce cultivée,
variété, bio-agresseurs, type de sucre, infra-dose, fréquence, seul ou en
association et avec quoi. Ce sont les essais menés par les
producteurs, les chambres d’agricultures, divers instituts et leur synthèse qui
permettront de faire le point des efficacités sur l’ensemble des cas analysés
avec le même protocole et en respectant les points cités dans ce texte.
Les expériences poursuivies par les
chercheurs concernent le carpocapse /pomme, la pyrale du maïs/maïs avant la
phase de reproduction, le botrytis/jeunes haricot et tomates, le nématode/jeune
tomate (voir conférence fruits et légumes Décembre 2009). Les thrips sont
probablement sensibles à la résistance induite par le sucre, les cucurbitacées
et la fraise semblant plus réceptrices que le poivron (le chrysanthème en cours
de recherche aux Pays-Bas).
LES PRODUITS PHYTOSANITAIRES (lutte chimique ou biologique) peuvent avoir des
effets éliciteurs de défense des plantes soit par la molécule active et/ou par
leur formulation. Cela peut aller à l’encontre de l’efficacité des sucres (voies
de signalisations antagonistes) ou ne pas avoir d’effets additifs ou faibles,
ceux-ci relevant des mêmes mécanismes ou de mécanismes proches. C’est pourquoi
il est fortement conseillé pour conclure à l’effet des sucres sur une culture et
un bio-agresseur, d’étudier dans tous les cas les effets du SUCRE SEUL
et de les comparer à ceux des produits ou combinaisons du produit avec le sucre.
Remarque :
Je suis à la retraite
depuis Mars 2010, mais je reste chargée de mission INRA jusqu’à la fin Novembre
2010. Mission dont j’ai fait la demande pour, entre autres, mettre en place des
projets de coordinations d’application de cette technologie.
Vous pouvez m’envoyer
vos protocoles et me poser vos questions
soit par téléphone
au 01 39 56 34 68 soit par e-mail : sylvie.derridj@versailles.inra.fr.
Je peux éventuellement
également me déplacer pour vous exposer les travaux exécutés ainsi que leurs
résultats, répondre à vos questions et participer à l’élaboration de
groupements d’études coordonnées.
L’exploitation de cette
technologie tient à notre volonté de trouver de nouvelles solutions
alternatives au traitement de nos cultures en réduisant les pesticides et/ou en
améliorant l’efficacité des méthodes de protections biologiques. La rigueur des
protocoles suivis assurera son avenir.
Versailles
le 30.04.2010
2-Je vous envoie par ailleurs quelques recommandations si vous voulez essayer cette méthode. Son efficacité dépend entre autres du respect de certaines règle et aussi de la culture, de la variété, de l'agresseur. Nos essais en conditions agricoles ont été faits sur pommier contre le carpocapse. Pour les autres situations tout reste à tester.
Action inductrice de résistance de la
plante à un bio-agresseur par des infra-doses de sucres solubles pulvérisés sur
la plante.
Conseils pour tester cette action sur une culture vis-à-vis d’un bio-agresseur
Sylvie DERRIDJ, Ingénieur de
recherche INRA Versailles.
Sur la base de résultats
positifs d’induction de résistance de la plante obtenus en vergers sur la
carpocapse en conditions naturelles plusieurs années, je préconise certaines
règles à respecter rigoureusement dans le cas d’application d’infra-doses de
sucres pour protéger une culture. Ces points sont essentiels pour espérer des
effets du même ordre puis permettre une comparaison entre cultures et
bio-agresseurs.
1-
Utiliser
des INFRA –DOSES
DE SUCRES c’est à dire des quantités inférieures ou égales à 100ppm
(10 g pour 100L). Le sucre utilisé dans ces conditions constitue un SIGNAL pour la plante. Ce signal est SYSTEMIQUE,
il est transmis à toute la plante racines comprises. Ces infra-doses ne
devraient pas avoir d’action directe sur les bio-agresseurs (prise de
nourriture des insectes, développement de champignons ou bactéries épiphytes…).
2-
NATURE DU SUCRE SOLUBLE : Le saccharose qui s’hydrolyse
en fructose + glucose, le glucose et le fructose peuvent induire une résistance
de la plante à un bio-agresseur. L’action du sucre va dépendre de la molécule
elle-même, de la plante (espèce et stade physiologique) et du bio-agresseur. Le
fructose est le sucre qui a les effets les plus généraux. Il peut être acheté chez
un fournisseur de produits chimiques de synthèse comme par exemple SIGMA-
ALDRICH qui fournit les laboratoires de recherche. Le saccharose « sucre
en morceau » a été le plus souvent testé en conditions naturelles afin de
se mettre dans les conditions les plus accessibles pour l’utilisateur qui peut
se fournir facilement à peu de frais (même pour les pays pauvres les quantités
étant faibles cela peut être accessible). Une fois les mécanismes mieux connus
il n’est pas impossible d’envisager l’utilisation d’autres sucres solubles.
3-
PREPARATION DE LA SOLUTION
SUCREE : La
solution de sucre doit être préparée JUSTE AVANT sa pulvérisation. Les sucres sont
utilisés très rapidement par de nombreux micro-organismes. Ceux-ci peuvent les
détruire et les transformer avant la pulvérisation de la solution si celle-ci n’est
pas pratiquée immédiatement après sa constitution. L’eau de ville peut être
utilisée, il n’est pas utile de prendre une eau spéciale.
4-
MOMENTS DE LA PULVERISATION
DU SUCRE :
*Il faut pulvériser
le sucre PREVENTIVEMENT
à l’infestation ou à la contamination par le
bio-agresseur (au moins 20 jours avant) ne pas attendre l’apparition des dégâts.
Il s’agit d’une induction de phénomènes qui interviennent en amont de l’attaque
puis après l’attaque (défense). En effet, la reconnaissance de l’hôte semble concernée
dans ce type de résistance, c’est le cas en particulier pour le Botrytis, le
carpocapse et la pyrale du maïs. Le signal sucre s’enchaîne en cascade dans
différentes voies de signalisation et ce sont les réactions de la plante à un
moment donné qui la rend résistante à un bio-agresseur ou à un autre (voie de
signalisation croisées avec celles qui interviennent dans les systèmes de
défense, de résistance aux stress, de croissance et des transports puits/source
(résultats INRA+recherches en cours au SCRI en Ecosse). Selon la plante et le
bio-agresseur le temps après lequel la résistance est visible est donc
variable. Nos essais en serre ont eu des résultats variant selon ces deux
facteurs entre 6 (champignon, nématode) et 20 jours (insecte).
*Tous les
essais expérimentaux en serre ou en conditions de verger ont été pratiqués avec
des pulvérisations de sucre LE MATIN DE BONNE HEURE, en
début de photosynthèse avant 9 heures solaires. Le sucre pulvérisé le matin sur
la feuille pourrait constituer un stress du à une désynchronisation de sa
présence dans divers sites de la plante (hypothèse à vérifier : effets sur
les rythmes circadiens des cellules de gardes des stomates ou dans la plante).
*APPAREILLAGE :
Les pulvérisateurs utilisés pour les produits phytosanitaires devraient pouvoir
être utilisés pour pulvériser la solution sucrée. Lorsqu’il s’agit de tester le
sucre seul, il faut que le pulvérisateur n’ait PLUS DE TRACES d’aucun autre
produit. Dans le cas d’essais randomisés il faudra donc commencer par le
traitement eau seule puis sucre seul, puis continuer avec les autres cas. Une
solution plus sure est l’utilisation d’un appareil différent pour le sucre seul
de celui utilisé pour les autres produits ou mélanges avec le sucre.
L’effet étant
systémique il n’est pas indispensable de pulvériser d’une manière exhaustive
toute la plante ou l’arbre. C’est la raison pour laquelle il faut aussi traiter
avant l’arrivée du bio-agresseur, de manière à ce que les mécanismes aient le
temps de se mettre en place.
*FREQUENCE :
Il semble que des pulvérisations successives restent efficaces contrairement aux
cas de certains éliciteurs de défense qui ne peuvent s’appliquer plusieurs fois
de suite. Des essais ont été faits avec pour démarrer 2 traitements espacés de
5 jours, dans ce cas les effets sont identiques à ceux obtenus ave un seul
traitement. Nous avons utilisé la fréquence de 20 jours entre les
pulvérisations du sucre dans le cas des lépidoptères sur maïs ou pommier, leurs
ravages ayant lieu sur une période longue de 4 mois. Il faut affiner les effets
de la fréquence du traitement qui reste encore un élément important de la
technologie et de la recherche des mécanismes.
*CONDITIONS
ATMOSPHERIQUES:
Le signal sucre est perçu très rapidement par la plante, certains paramètres de
la physiologie de la tomate varient dans l’heure qui suit le traitement. S’il
pleut dans la journée il n’est pas utile de recommencer le traitement fait le
matin de bonne heure.
5- QUELLES CULTURES ? QUELS
BIO-AGRESSEURS ? Pour l’instant nous avons peu d’idée quant à
la généralisation du mécanisme et à l’ampleur de son efficacité en conditions
agronomiques. Les effets ont été observés sur des champignons, nématodes, insectes
sur tomate, haricot, maïs, et pommier. Le panel permet d’espérer que les
mécanismes engendrés relèvent de mécanismes naturels fondamentaux que la plante
utilise pour se protéger. La question est aussi de savoir si les sélections
variétales ont gardé ce mécanisme présent dans la plante ? Il semble qu’il
existe des variations de réponse selon la variété de pommier et de maïs. Les
tomates déjà résistantes aux nématodes réagissent avec plus d’efficacité à la
pulvérisation du sucre qu’une variété sensible.
Chaque situation est à tester et à expérimenter : espèce cultivée,
variété, bio-agresseurs, type de sucre, infra-dose, fréquence, seul ou en
association et avec quoi. Ce sont les essais menés par les
producteurs, les chambres d’agricultures, divers instituts et leur synthèse qui
permettront de faire le point des efficacités sur l’ensemble des cas analysés
avec le même protocole et en respectant les points cités dans ce texte.
Les expériences poursuivies par les
chercheurs concernent le carpocapse /pomme, la pyrale du maïs/maïs avant la
phase de reproduction, le botrytis/jeunes haricot et tomates, le nématode/jeune
tomate (voir conférence fruits et légumes Décembre 2009). Les thrips sont
probablement sensibles à la résistance induite par le sucre, les cucurbitacées
et la fraise semblant plus réceptrices que le poivron (le chrysanthème en cours
de recherche aux Pays-Bas).
LES PRODUITS PHYTOSANITAIRES (lutte chimique ou biologique) peuvent avoir des
effets éliciteurs de défense des plantes soit par la molécule active et/ou par
leur formulation. Cela peut aller à l’encontre de l’efficacité des sucres (voies
de signalisations antagonistes) ou ne pas avoir d’effets additifs ou faibles,
ceux-ci relevant des mêmes mécanismes ou de mécanismes proches. C’est pourquoi
il est fortement conseillé pour conclure à l’effet des sucres sur une culture et
un bio-agresseur, d’étudier dans tous les cas les effets du SUCRE SEUL
et de les comparer à ceux des produits ou combinaisons du produit avec le sucre.
Remarque :
Je suis à la retraite
depuis Mars 2010, mais je reste chargée de mission INRA jusqu’à la fin Novembre
2010. Mission dont j’ai fait la demande pour, entre autres, mettre en place des
projets de coordinations d’application de cette technologie.
Vous pouvez m’envoyer
vos protocoles et me poser vos questions
soit par téléphone
au 01 39 56 34 68 soit par e-mail : sylvie.derridj@versailles.inra.fr.
Je peux éventuellement
également me déplacer pour vous exposer les travaux exécutés ainsi que leurs
résultats, répondre à vos questions et participer à l’élaboration de
groupements d’études coordonnées.
L’exploitation de cette
technologie tient à notre volonté de trouver de nouvelles solutions
alternatives au traitement de nos cultures en réduisant les pesticides et/ou en
améliorant l’efficacité des méthodes de protections biologiques. La rigueur des
protocoles suivis assurera son avenir.
Versailles
le 30.04.2010
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
Bonjour , un article dans le journal "La France Agricole " du 23 Avril sur : le sucre devient pesticide , relate vos travaux .
Etienne- + membre techno +
- Messages : 1105
Date d'inscription : 21/03/2010
Age : 64
14 Basse Normandie
Re: après le coca voilà l'aspirine
merci pour les infos Sylvie DERRIDJ !!!!
quelle efficacité sur pyrale du maïs ???? résultats d'essais ????
quelle efficacité sur pyrale du maïs ???? résultats d'essais ????
oli- + membre techno +
- Messages : 9291
Date d'inscription : 12/09/2009
Age : 110
désert de l'ouest 45
Re: après le coca voilà l'aspirine
Nos essais de pulvérisation de sucre sur maïs en serre aux stades végétatifs montrent une réduction de la ponte de la pyrale d'environ 30% avec le fructose 0.1 ppm et 25% saccharose 10ppm. Cette réduction est homogène sur toute la plante.
Aux stades reproducteurs il n'y a pas de réduction du nombre de pontes mais délocalisation de celle-ci. Elles se trouvent plus souvent sur la face supérieure des feuilles au lieu de se trouver très majoritairement sur la face inférieure. Deux essais ont été faits sur maïs sucré par le FREDON au champ. Ceux-ci ont montré une réduction des dégâts les plus ennuyeux sur ce genre d'épis à la récolte.
En ce qui concerne les essais au champ nous manquons de données.
Aux stades reproducteurs il n'y a pas de réduction du nombre de pontes mais délocalisation de celle-ci. Elles se trouvent plus souvent sur la face supérieure des feuilles au lieu de se trouver très majoritairement sur la face inférieure. Deux essais ont été faits sur maïs sucré par le FREDON au champ. Ceux-ci ont montré une réduction des dégâts les plus ennuyeux sur ce genre d'épis à la récolte.
En ce qui concerne les essais au champ nous manquons de données.
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
merci et bienvenue madame sylvie derridj
j'ai mis du coca les deux précédente récolte sur mais grain et je me suis dispenser de faire un insecticide contre la pyrale parceque premiérement j'ai jugé que les vols de papillons etais insignifiant et deuxiémement la forte présence d'auxiliaire qui sont mes allié que je ne voulais pas détruire(sd et tcs oblige)
par contre j'ai fauché pour un voisin l'année derniére ,lui n'avait rien fait ,j'ai constaté quand méme pas mal de dégats alors que ma parcelle seul le contour étais un peut touché cette année je ne fais pas de mais grain mai de l'orge de printemps ,je vais tester sur lémas qui sont une plaie sur cette culture
petite question svp ; que pensé vous de la spartame
ps: ne pas faire attention au fautes
a+ merci de votre presence sur ace
j'ai mis du coca les deux précédente récolte sur mais grain et je me suis dispenser de faire un insecticide contre la pyrale parceque premiérement j'ai jugé que les vols de papillons etais insignifiant et deuxiémement la forte présence d'auxiliaire qui sont mes allié que je ne voulais pas détruire(sd et tcs oblige)
par contre j'ai fauché pour un voisin l'année derniére ,lui n'avait rien fait ,j'ai constaté quand méme pas mal de dégats alors que ma parcelle seul le contour étais un peut touché cette année je ne fais pas de mais grain mai de l'orge de printemps ,je vais tester sur lémas qui sont une plaie sur cette culture
petite question svp ; que pensé vous de la spartame
ps: ne pas faire attention au fautes
a+ merci de votre presence sur ace
sd 4500- + membre techno +
- département : cote dort pas beaucoup (21)
Messages : 1835
Date d'inscription : 18/09/2009
Age : 56
nid des oiseaux de nuit
Re: après le coca voilà l'aspirine
Quel plaisir de vous lire madame Derridj, ça redonne du peps, de savoir que des gens comme vous sont prêts à partager leur savoir avec des agris qui cherchent eux aussi à comprendre comment fonctionne cette magnifique usine qu'est la plante , merci .
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
Pinocio a tout dit ,bonjour Madame ,j'espère que vous serez bien avec nous ...
iris- + Admin +
- Messages : 12087
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 70
France de l'extérieur 57
Re: après le coca voilà l'aspirine
Qu'en est il des abeilles lors de ce genre d'applications ?
vtp- + membre techno +
- Messages : 628
Date d'inscription : 11/09/2009
Lonrai (61)
Re: après le coca voilà l'aspirine
sylvie derridj a écrit:Je me permets de vous répondre en ce qui concerne l'utilisation des sucres pour induire la résistance des plantes. 1-Vous pouvez consulter le site de l'ITAB et les communiocations des journées fruits et legumes" de décembre 2009. Vous pourrez y lire ma communication.
2-Je vous envoie par ailleurs quelques recommandations si vous voulez essayer cette méthode. Son efficacité dépend entre autres du respect de certaines règle et aussi de la culture, de la variété, de l'agresseur. Nos essais en conditions agricoles ont été faits sur pommier contre le carpocapse. Pour les autres situations tout reste à tester.
LES PRODUITS PHYTOSANITAIRES (lutte chimique ou biologique) peuvent avoir des
effets éliciteurs de défense des plantes soit par la molécule active et/ou par
leur formulation. Cela peut aller à l’encontre de l’efficacité des sucres (voies
de signalisations antagonistes) ou ne pas avoir d’effets additifs ou faibles,
ceux-ci relevant des mêmes mécanismes ou de mécanismes proches. C’est pourquoi
il est fortement conseillé pour conclure à l’effet des sucres sur une culture et
un bio-agresseur, d’étudier dans tous les cas les effets du SUCRE SEUL
et de les comparer à ceux des produits ou combinaisons du produit avec le sucre.
Versailles
le 30.04.2010
Bienvenue Mme Derridj et ravi de voir la présence d'une experte de votre rang sur ce forum.
Pour ceux que ça intéresse, le lien vers la communication évoqué dans le premier point avait été posté là.
Sinon une question sur le paragraphe que j'ai retiré plus haut de votre intervention. Votre remarque sur l'interaction entre sucre et produits phytos est lié à des conditions protocolaires d'expérimentation (en d'autres termes, pour pouvoir conclure statistiquement sur l'effet du sucre, il faut respecter un certain protocole) ou alors vos observations font que l'application simultanée de produits phytos et de sucre perturbent l'effet SDN de ce dernier.
Enfin dernière remarque, si on utilise un produit qui contient environ 120g de sucre/L qu'on le dilue entre 30 et 100 fois soit une solution de 12 à 40 ppm, est-ce suffisant pour voir un effet quelconque?
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
1-Le protocole qui permet de distinguer les effets du sucre seul, de ceux du pdt phyto. seul et de leur combinaison doit tester ces 3 combinaisons + celle avec aucun traitement. Il est donc nécessaire si l'on veut conclure "statistiquement" d'avoir ces 4 cas et de les randomiser en les répétant au moins 4 fois. Il s'agit d'expérimentations et cela entraîne des pertes de rendement.
Les résultats que je communique ont été faits dans les régles d'expérimentions. Pour le pommier cela a été fait par la société ANADIAG dans le respect de toutes les normes expérimentales pour tester des produits phytosanitaires.
Le lien qui détaille un peu plus ces expériences doit être pris sur le site "ITAB" journées fruits et lègumes décembre 2009. J'ai une autre communication en PDF mais je ne sais pas comment vous la communiquer.
2-L'hypothèse que j'emets sur l'action élicitrice des formulations est basée sur une expérience avec la carpovirusine à laquelle il a été enlevé la partie sucre de la formulation.
J'ai des collègues pathologistes qui ont observé l'action élicitrice de fungicides.
3-La plante est un système extrêmement complexe avec des systèmes d'adaptation aux stress, aux agressions abiotiques et biotiques. Les voies de signalisation mise en oeuvre lors d'une agression sont multiples et s'enchevetrent. Nous ne savons pas encore pourquoi les sucres provoquent de telles réactions. Nous savons que les voies induites interfèrent avec les voies de signalisation de défence et les systèmes hormonaux. Le déclenchement de la signalisation est rapide (qq heures) puis s'étend en cascade sur un temps relativement long (plusieurs jours). Chaque étape peut avoir une incidence sur autre organisme lié à la plante.
3-Nos effets sont obtenus avec 10ppm de saccharose en serre et en conditions agronomique nous avons utilisé 100ppm (10g pour 100l). Il faudrait donc diluer votre produit pour obtenir environ 100ppm = 10g/100L =0.1g/L ou 0.12g /L pour induire une résistance. Je ne pense pas que les 2 dg de plus changeront grand chose.
Je sais que cela paraît incroyable mais lorsque nous avons essayé des doses plus élevées cela marche moins bien et vous prenez le risque de favoriser les champignons pathogènes.
Bien appliquer mes recommandations.
Je suis à l'écoute de vos essais et résultats.
Cordialement
Les résultats que je communique ont été faits dans les régles d'expérimentions. Pour le pommier cela a été fait par la société ANADIAG dans le respect de toutes les normes expérimentales pour tester des produits phytosanitaires.
Le lien qui détaille un peu plus ces expériences doit être pris sur le site "ITAB" journées fruits et lègumes décembre 2009. J'ai une autre communication en PDF mais je ne sais pas comment vous la communiquer.
2-L'hypothèse que j'emets sur l'action élicitrice des formulations est basée sur une expérience avec la carpovirusine à laquelle il a été enlevé la partie sucre de la formulation.
J'ai des collègues pathologistes qui ont observé l'action élicitrice de fungicides.
3-La plante est un système extrêmement complexe avec des systèmes d'adaptation aux stress, aux agressions abiotiques et biotiques. Les voies de signalisation mise en oeuvre lors d'une agression sont multiples et s'enchevetrent. Nous ne savons pas encore pourquoi les sucres provoquent de telles réactions. Nous savons que les voies induites interfèrent avec les voies de signalisation de défence et les systèmes hormonaux. Le déclenchement de la signalisation est rapide (qq heures) puis s'étend en cascade sur un temps relativement long (plusieurs jours). Chaque étape peut avoir une incidence sur autre organisme lié à la plante.
3-Nos effets sont obtenus avec 10ppm de saccharose en serre et en conditions agronomique nous avons utilisé 100ppm (10g pour 100l). Il faudrait donc diluer votre produit pour obtenir environ 100ppm = 10g/100L =0.1g/L ou 0.12g /L pour induire une résistance. Je ne pense pas que les 2 dg de plus changeront grand chose.
Je sais que cela paraît incroyable mais lorsque nous avons essayé des doses plus élevées cela marche moins bien et vous prenez le risque de favoriser les champignons pathogènes.
Bien appliquer mes recommandations.
Je suis à l'écoute de vos essais et résultats.
Cordialement
Invité- Invité
réponse générale pour les éliciteurs de défence
Je vois vos listes de produits qui ont été essayés ou qui vont l'être. Je ne suis pas étonnée que certains produits tels que l'acide salycilique, le coca cola, sel, .... et autres engendrent des réactions de la plante qui aboutissent à des systèmes de défense. Dans certains cas la plante en réaction à l'application d'un produit, produit à son tour des métabolites dits secondaires qui peuvent être toxiques ou allergènes. Ce qui serait intéressant ce serait qu'à partir de vos expériences positives vous fassiez remonter ces informations et qu'elles soient étudiées scientifiquement. Les SDN sont à la mode et les labo. qui cherchent des produits efficaces en conditions naturelles pourraient vérifier, expliquer les mécanismes et les utiliser.
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
Très intéressant, et quel plaisir de vous lire Sylvie Derridj, bienvenue sur ce forum de testeur "kamikaze" phyto.
Apparemment, nous sommes sur la bonne voie avec le coca à 1L/50L pour 1 ha, mais à priori c'est bien plus complexe que çà, surtout avec la "touille" de matière active que nous avons parfois...
La méthode à 1 L de coca à chaque passage de pulvé dans la parcelle (systématique) semble judicieuse.
Merci encore pour vos lumières
Apparemment, nous sommes sur la bonne voie avec le coca à 1L/50L pour 1 ha, mais à priori c'est bien plus complexe que çà, surtout avec la "touille" de matière active que nous avons parfois...
La méthode à 1 L de coca à chaque passage de pulvé dans la parcelle (systématique) semble judicieuse.
Merci encore pour vos lumières
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
merci pour l' intérêt que vous portez à notre forum , nous sommes honorés par votre présence parmi nous , et surtout par l' apport technique que vous apportez à tous ceux qui veulent mettre le minimum de chimie dans leurs sols
nous sommes à votre écoute et bien sûr , nous sommes prêts à tout essayer pour garder une productivité tout en utilisant le moins d' intrants possible
merci à vous
nous sommes à votre écoute et bien sûr , nous sommes prêts à tout essayer pour garder une productivité tout en utilisant le moins d' intrants possible
merci à vous
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
- Messages : 96289
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 65
au bout de la baie de Somme
Re: après le coca voilà l'aspirine
bienvenue Sylvie,c'est très passionnant de vous lire!
sevi- + membre techno +
- département : 61
Messages : 38274
Date d'inscription : 11/09/2009
basse normandie
Re: après le coca voilà l'aspirine
Bravo pour votre intervention, c'est passionnant!
Sweepy- + membre techno +
- Messages : 1115
Date d'inscription : 24/09/2009
Age : 55
dans le Calvados
Re: après le coca voilà l'aspirine
sylvie derridj a écrit:
3-Nos effets sont obtenus avec 10ppm de saccharose en serre et en conditions agronomique nous avons utilisé 100ppm (10g pour 100l). Il faudrait donc diluer votre produit pour obtenir environ 100ppm = 10g/100L =0.1g/L ou 0.12g /L pour induire une résistance. Je ne pense pas que les 2 dg de plus changeront grand chose.
Je sais que cela paraît incroyable mais lorsque nous avons essayé des doses plus élevées cela marche moins bien et vous prenez le risque de favoriser les champignons pathogènes.
Bien appliquer mes recommandations.
Je suis à l'écoute de vos essais et résultats.
Cordialement
Quand je parlais de produit à 120 g de sucre par litre, je voulais parler des sodas finissant par cola.
Sinon je remets le lien direct vers votre présentation :voici un pdf qu'il faut lire.
Invité- Invité
A propos de l'aspatame
Malgré son pouvoir sucrant l'aspartame n'est pas un sucre mais un dérivé d'acides aminés. Il est peu soluble à l'eau et fragile en milieu basique. A priori il ne devrait pas constituer un signal pour la plante du même ordre que les sucres solubles. Le fructose, glucose et saccharose ne constituent pas non plus des signaux identiques pour la plante et la résistance induite.
On ne peut exclure que l'aspartame constitue aussi un signal qui déclenche une réaction de la plante. Un acide aminé peut induire chez la plante la formation de métabolites secondaires.
On ne peut exclure que l'aspartame constitue aussi un signal qui déclenche une réaction de la plante. Un acide aminé peut induire chez la plante la formation de métabolites secondaires.
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
merci pour votre réponse madame derridj j'ai souvent lus que l'aspartame est trés toxique , notre amis patogaz ne doit pas avoir tout a fait tord ,quand il dit que le coca light est un bon insecticide a mon avis il ne doit pas en boire de celui la esce que je peut en conclure d'une facon simpliste et qui n' engage que moi , le coca normal pour soigner la plante
le coca light pour soigner les insectes
le but du jeu étant écologique et économique
et continuer de m'instruire j'en est bien besoint comme vous pouvez le constater
a+
le coca light pour soigner les insectes
le but du jeu étant écologique et économique
et continuer de m'instruire j'en est bien besoint comme vous pouvez le constater
a+
sd 4500- + membre techno +
- département : cote dort pas beaucoup (21)
Messages : 1835
Date d'inscription : 18/09/2009
Age : 56
nid des oiseaux de nuit
Re: après le coca voilà l'aspirine
Cela confirme ce qu'on disait au sujet du coca.
Le principal, ce n'est pas qu'il commence par coca mais bien qu'il contienne du saccharose (vrai sucre).
Par rapport au coca que vous voulez acheter, pour les discounts, faites
attention à la composition.
Or beaucoup de "coca" discount
contiennent de l'aspartame sans que ce soit clairement précisé. Certains sont
encore plus vicieux, il est marqué "édulcorant" et ensuite "contient une
source de phénylalanine", ce qui veut dire aspartame.
Le principal, ce n'est pas qu'il commence par coca mais bien qu'il contienne du saccharose (vrai sucre).
Par rapport au coca que vous voulez acheter, pour les discounts, faites
attention à la composition.
Or beaucoup de "coca" discount
contiennent de l'aspartame sans que ce soit clairement précisé. Certains sont
encore plus vicieux, il est marqué "édulcorant" et ensuite "contient une
source de phénylalanine", ce qui veut dire aspartame.
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
Les soda light ont quand même un effet starter sur les jeunes plantes (genre maïs à 4-5 feuilles).
La caféine et l'acide phosphorique sont très efficaces à ce stade là. Par contre, après vers l'apparition des premiers vols de pyrale je pense qu'il faut passer en cola sucré.
Quelqu'un aurait-il vu une différence sur les attaques de méligèthes en colza?
Le glucose pur n'aurait-il pas un effet similaire?
La caféine et l'acide phosphorique sont très efficaces à ce stade là. Par contre, après vers l'apparition des premiers vols de pyrale je pense qu'il faut passer en cola sucré.
Quelqu'un aurait-il vu une différence sur les attaques de méligèthes en colza?
Le glucose pur n'aurait-il pas un effet similaire?
nico67- + Membre Accro +
- département : 67
Messages : 131
Date d'inscription : 08/03/2010
Age : 41
67
Re: après le coca voilà l'aspirine
Le coca et l'epso réduiraient t'ils les effets phyto sur maïs ? contrairement aux autres années aucun effets secondaire après les deux désherbages assez musclés ( flore composée en général de PSD , liseron, ravenelles,cheno quelques chardons...)
prévision de pluies > 5 l trophée à trois feuilles malheureusement pas d'eau ( 2mm) donc pas ou peu d'effet les psd + autres bricoles se développaient
donc 15 jours plus tard 0.28 nisshin} 0.28 milagro + 0.175 banvel
les deux fois dans 50 litres d'eau + 3 Kg epso + 1 l coca+ 0.1 héliosol
Le maïs est plus vert que chez tout mes voisins ... hasard ou quelqu'un a t'il constaté ce phénomène ?
prévision de pluies > 5 l trophée à trois feuilles malheureusement pas d'eau ( 2mm) donc pas ou peu d'effet les psd + autres bricoles se développaient
donc 15 jours plus tard 0.28 nisshin} 0.28 milagro + 0.175 banvel
les deux fois dans 50 litres d'eau + 3 Kg epso + 1 l coca+ 0.1 héliosol
Le maïs est plus vert que chez tout mes voisins ... hasard ou quelqu'un a t'il constaté ce phénomène ?
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
euh moi je l'ai cramé avec Heliosol + Epso donc y'a des limites à tout je crois
bidou02- + membre techno +
- Messages : 51464
Date d'inscription : 21/09/2009
Age : 39
Pas loin de Marly Gomont (02)
Re: après le coca voilà l'aspirine
bidou02 a écrit:euh moi je l'ai cramé avec Heliosol + Epso donc y'a des limites à tout je crois
Juste helio et epso ? à quelle dose sinon ?
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
0,3 Mika 0,3 Pampa 0,2 Helio 3 SMgo 140 L/ha bouillie traitement milieu semaine derniere par temps frais et humide pulvérisateur Artec piloté par un demoiselle blonde de 37 ans
plus de renseignements encore ?
c'était mon 1er essai, maintenant je vais encore rebaisser les doses (d'habitude avec 0,3 + 0,3 des fois on se demandait si on avait passé un T1 tellement c'est sales dans les marais... là on aurait dit un Reglone !)
plus de renseignements encore ?
c'était mon 1er essai, maintenant je vais encore rebaisser les doses (d'habitude avec 0,3 + 0,3 des fois on se demandait si on avait passé un T1 tellement c'est sales dans les marais... là on aurait dit un Reglone !)
bidou02- + membre techno +
- Messages : 51464
Date d'inscription : 21/09/2009
Age : 39
Pas loin de Marly Gomont (02)
Re: après le coca voilà l'aspirine
On veut bien la photo de la pilote dans la rubrique "Belles"
snif- + membre techno +
- département : Barrois du 52
Messages : 17203
Date d'inscription : 19/09/2009
Age : 62
Rhin-CHAMPAGNE
Re: après le coca voilà l'aspirine
elle a pilote un "artec " par ou !!!
tu as de la chance d'avoir de l'aide ...
tu as de la chance d'avoir de l'aide ...
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
c'est bon arrêtez le phantasme elle est mariée
bidou02- + membre techno +
- Messages : 51464
Date d'inscription : 21/09/2009
Age : 39
Pas loin de Marly Gomont (02)
Re: après le coca voilà l'aspirine
hier soir j ai fais un ptit tour dans les essais derriers mais
la bande coca est plus en avance que les autres
et un peu plus haute .....
si non peu de maladie dans l'ensemble
je vois un un vert plus sous-tenu avec SMg....
la bande coca est plus en avance que les autres
et un peu plus haute .....
si non peu de maladie dans l'ensemble
je vois un un vert plus sous-tenu avec SMg....
Invité- Invité
Re: après le coca voilà l'aspirine
peux on utiliser le coca sur toutes les céréales,luzerne et graminées. et le melanger avec n'inporte quel herbicide.
Invité- Invité
Page 2 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Sujets similaires
» après le coca , le pepsi !!!!
» Blé dur : aprés le gel voilà la mosaique.
» Après les portiques privés, voila les radars privés.
» Blé dur : aprés le gel voilà la mosaique.
» Après les portiques privés, voila les radars privés.
AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: Cultures et tours de plaines :: Produits phytos, oligos, adjuvants
Page 2 sur 4
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum