FNSEA

Rappel du premier message :

encore un qui ouvre les yeux !!!!
http://www.alternativelibertaire.org/?FNSEA-Un-syndicat-contre-les

ça se permet un directeur mieux payé qu un ministre ....!

c'est indexé sur notre revenu 

action reaction :

si on lit bien ils sont en dessous de la norme

bla bla bla, ça pue à plein nez l'enfumage ce message

Mediapart a retweeté




Amélie Poinssot
@AmeliePoinssot

·
21 min
[#réactions] Révélations
@Mediapart
: la #FNSEA publie un communiqué intitulé « un règlement de comptes en guise d'enquête ». Le syndicat n'y dément aucune de nos informations et « assume pleinement les niveaux de rémunération de ses cadres dirigeants »

PatogaZ a écrit:si on lit bien ils sont en dessous de la norme

tu vois la CR a encore du chemin a faire ....

Très ambigu le dernier paragraphe du communiqué de presse !!

carlo s a écrit:

PatogaZ a écrit:si on lit bien ils sont en dessous de la norme

tu vois la CR a encore du chemin a faire ....

je pensais justement à notre petit tour de France qui n' avait même pas coûté un centime à la CR : hébergement chez les camarades , on avait tout payé de notre poche , carburant , péages , cétypasbeau ????

Parmi les faits reprochés: Que l'ancienne directrice de la fnsea siège au conseil économique et sociale comme "agricultrice" alors qu'elle ne l'était pas me semble très limite!
Dans ce syndicat, ils sont tellement habitués à envoyer des salariés aux réunions que même au CESE ils en sont à s'y faire représenter. 

et cette apres midi à la pref 8 euros de parking pour ma gueule ...

le salaire est en dessous des normes mais ils vont porter plainte pour vol de d'informations !

bientot un nouveau slogan a la fédé  : pas de scrupule on vous en.....

carlo s a écrit:et cette apres midi à la pref 8 euros de parking pour ma gueule ...

ils vont te dire "faut prendre l' argent où il y en a "

Faut faire un ordre de mission à la Chambre carlos. Ils font comme ça les elus fnsea, ils disent qu'ils sont en représentation pour la chambre 

Je comprends mieux pourquoi ces gens ont des fermes au top et propre.

Enfin la dans l'article Il n'est parlé a aucun moment des élus nationaux qui s'en mettent plein les poches, juste les salariés dirigeant....

les élus nationaux...130€/jour loin de son exploitation et de sa famille!tu parles d'un scandale!

pollux a écrit:les élus nationaux...130€/jour loin de son exploitation et de sa famille!tu parles d'un scandale!

La tu es très loin du compte ou tu ne veux pas savoir la vérité!
Il est normal d'indemniser un élu qui se donne pour les autres mais à la fnsea le "système" a déraillé: faut-il te rappeler que chez groupama la dizaine d'administrateurs nationaux reçoivent chacun 130 000 euros annuels(jetons de présence +indemnités), que les sommes sont plus discrètes chez crédit agricole mais du même ordre certainement, que cela se cumule souvent avec d'autres indemnités de Coop, centre de gestion, interprofession, syndicat, etc... Et qu'il n'est pas possible d'accéder à  ces postes dores pour un non adhérent à " la grande maison".
Au passage, je vous signale que dans les Coop  il y a les postes visibles et les postes invisibles. Une coop comme tereos c'est entre 300 et 400 structures juridiques au travers ses filiales directes  et indirectes (etlesindemnites possibles très confidentielles).

Tout est dit, Fernand

Pollux, il n'y a pas plus aveugle que qu'un. Qui ne veut rien voir !

Merci la cigogne de ton soutien.
Le décès d'un élu national comme Cochonneau permet de montrer quelques uns de ses principaux postes:
Vice président du CESE ( l'indemnité d'un membre de base y est de 3500 boules/mois), président régional chambre agriculture (3200 boules pour un président départemental), président de l'apca, vice président avril ou sofiproteol, etc... Après il y a sans doute les postes locaux que je ne connais pas. Avec des indemnités plus élevées que le salaire d'un ministre, nous sommes loin du bénévolat!

Le soucis est effectivement dans le cumul de ces poste. Pour moi les indemnités de bases ne sont pas délirante  (mais pas non plus ridicule) lorsque tu occupe un poste.

En effet au niveau national, c'est tres chronophage, et si quelqu'un est à ce niveau la, il faut quand même etre impliqué...

Apres beaucoup de poste d'élus se font indemnisé sur présence, donc ce n'est pas u  salaire qu'in ne touche qu'en etant présent.

Mais on est d'accord, le soucis est le meme qu'en politique, ce sont les cumulards!

Rom89.
Il y cette le soucis des cumuls, c'est indéniable !
Mais pas que.
Il y a aussi le montant des indemnités délirante.
Comment veux-tu être bien défendue, quand des guignols comme çà tire leurs revenus d'avantage des structures qu'ils représentent que de leurs fermes ?
Et la structure qui les indemnise, elle prend le pignon où d'après toi ?
Sur les charges de fonctionnement de cette structure aux détriments du client en l'occurrence l'agriculteur de base.
C'est pour ça que la fd, c'est la défense du système, filière, ect, mais pas celui de l'agriculteur !!!

avant de dire que 130 euros par jour est du délire prenez une responsabilité, partez de chez vous et payer un salarié avec. Après qu'il faille réduire le train de vie des chambres et autres est un autre débat mais là je conçois qu'il est urgent de le faire.

+1000
La fédé c'est comme les politiques. Quand tu regardes le salaire pour une fonction politique, ca va ! Mais quand tu vois le cumul, la ca commence a chiffrer.

Comment un élus fnsea fait pour être élus chambre, élus fnsea, élus groupama, élus coop... Car dans toutes ses fonctions il doit être présent a un grands nombre de commissions...
Je suis dans les commissions chambres, nous sommes normalement 20-30 de convoqués. Au final c'est 10-15 qui viennent, les autres jamais tu les vois. Tu as ceux qui arrivent en retard et qui repartent avant mais qui n'oublis pas de signer la feuilles de présence !

La fnsea c'est le reflet exact de nos politique qui sont a vomir

sibalo a écrit:
Je suis dans les commissions chambres, nous sommes normalement 20-30 de convoqués. Au final c'est 10-15 qui viennent, les autres jamais tu les vois. Tu as ceux qui arrivent en retard et qui repartent avant mais qui n'oublient pas de signer la feuille de présence !

C'est exactement ce que faisait le maire de la commune où nous avons notre ferme au Conseil régional (vice-président). Arrivé en fin de matinée et reparti en début d'après-midi, il avait signé les deux feuilles d'émargement.

Du coup LR n'a pas voulu lui donner l'investiture aux législatives 2017. Il a eu la chance que la petite jeune LREM refuse l'investiture, cela a permis à ce gars qui a toujours eu des jobs semi-publics super bien payés, merci à papa fonctionnaire de l'avoir bien placé, d'être repêché par LREM et d'être élu face au sortant qui était l'un des plus actifs de la mandature 2012-2017 mais qui était député depuis fort longtemps (regroupement de circonscription).

Si je comprends bien ces pauvres personnes sont à plaindre car elles se "sacrifient" pour nous. Il n'y a vraiment plus de limite à la stupidité. Si ces postes étaient si ingras vous pensez qu'ils se battraient autant pour l'occuper? C'est normal qu'il y ait une indemnité mais alors qu'on fustige un politique trop payé on fait la même chose en tant qu'agri, et on trouve cela normal, il y a quand même matière à réflexion ???????

le jaune lui va bien !

carlo s a écrit:le jaune lui va bien !

Oui pour le jaune "bouton d'or"...



pour le jaune "fluo des ronds-points", c'est moins sûr!! 

Vu que la blague n'a pas trouvé preneur dans la rubrique "humour en vidéo", je la recolle ici, y aura peut-être plus d'amateurs....?
(en tout cas, moi je la trouve bien et même si ça déplaît à certains c'est pareil...!!!):

Profitez-en, c'est en promo...!!!   





Pour deux achetées, la troisième est offerte...


Pour le modèle "FNSEA",

 vous donnez pas la peine de chercher,

ça fait longtemps que l'usine ne fabrique plus...!!!  

LE CAM a écrit:avant de dire que 130 euros par jour est du délire prenez une responsabilité, partez de chez vous et payer un salarié avec. Après qu'il faille réduire le train de vie des chambres et autres est un autre débat mais là je conçois qu'il est urgent de le faire.

Je suis bénévole à Solidarité Paysans, j'ai pas redonné mes km réalisé pour 2019. Je tenais le stand conf 71 dimanche dernier sur une journée agroécologie, toujours en bénévole. Il y avait un guignol salarié fdsea qui tenait leur foutage de gueule:
https://www.fnsea.fr/nos-belles-initiatives/contrat-de-solutions/
 Il ne savait que répondre il faudra demander aux élus, qui n’ont pas eu les cou.... de venir.
Effectivement les abords de la ferme a Decerle sont mieux tenu depuis qu'il a sa paye d'eurodéputé

carlo s a écrit:

Marche pas tes liens Carlos.

La FNSEA


@FNSEA

·
2h
[#SIA2020] La tenue de notre traditionnel cocktail au #SIA aura permis une fois encore d’échanger avec une centaine de #parlementaires de manière constructive et conviviale sur nos enjeux actuels. #reformedesretraites #ZNT, #loiEGA
@AssembleeNat

@Senat








Christiane Lambert et Jérôme Despey

la cr

foie gras pour le GRAS de l assemblé !

nous n'avons pas les mêmes valeurs moyens 
forcément c'est moins attirant 

• selon mediapart
  
  

Fonds pour la gestion de l’emploi agricole: un système de prélèvements sociaux au bénéfice de la FNSEA
21 février 2020 Par Amélie Poinssot
Deuxième volet de notre enquête sur la FNSEA, à la veille de l'ouverture du Salon de l'agriculture. Selon nos informations, un fonds destiné à un observatoire de l’emploi agricole, financé par des cotisations obligatoires, alimenterait les caisses du syndicat majoritaire.

[size=13]Ce sont trois lettres apparemment inoffensives. GPE, pour Gestion Prévisionnelle de l’Emploi en agriculture. Trois lettres qui pèsent pourtant lourd dans les comptes de la FNSEA, le syndicat majoritaire du monde agricole.
Derrière ces trois lettres, ce sont en effet plus de sept millions d’euros qui transitent chaque année. Selon des informations de Mediapart, une partie de ce fonds financé par les cotisations sociales des employeurs agricoles, et censé contribuer à des expertises sur l’emploi dans l’agriculture, permettrait de payer des frais de fonctionnement et de renflouer les caisses du syndicat, en déficit depuis quelques années. Le 29 novembre dernier, au cours d’une réunion interne, des pertes à hauteur de 1,5 million d’euros sur 2019 ont été annoncées au personnel du syndicat.
Au départ, quand le dispositif est créé en 2002, l’idée ne manque pourtant pas d’intérêt : il s’agit de créer un observatoire de l’emploi agricole, de rendre les métiers du secteur plus attractifs, et de mettre en place des axes de développement dans l'une des branches de l’économie française qui a connu le plus vaste plan social de ces dernières décennies.
Depuis, la situation a continué de se détériorer : ces vingt dernières années, selon les statistiques du ministère de l'agriculture et de la MSA (Mutualité sociale agricole), près du quart des exploitations agricoles ont cessé leur activité. Une vague de suicides a profondément affecté le secteur – qu’Édouard Bergeon raconte dans son film Au nom de la terre, qui a fait plus de 1,5 million d’entrées à l’automne dernier – et les salariés agricoles, souvent saisonniers, connaissent une grande précarité. Si certains grands céréaliers tirent leur épingle du jeu, de plus en plus d’exploitations sont dépassées par un système très profitable aux industries agroalimentaires et, surendettés, de nombreux agriculteurs ne parviennent plus à dégager un revenu décent.

Manifestation de la FNSEA dans la Marne, en 2018. :copyright: AFP

Face à cette situation critique, le dispositif de la GPE pèse sur les exploitants agricoles, le financement de ce fonds étant alimenté par une cotisation patronale fixée à 0,20 % de la masse salariale.
L’architecture, complexe, est révélatrice du mécanisme mis en place par le syndicat historique du monde agricole depuis des décennies afin de conserver son ascendant sur les ressources du secteur.
Le produit de ces cotisations, prélevées comme toutes les cotisations sociales du monde agricole par la MSA, passe en effet par deux associations dites paritaires, l’AFNCA (Association nationale pour le financement de la négociation collective en agriculture) et Provea (association Prospective, recherches, orientations et valorisation de la gestion prévisionnelle de l’emploi en agriculture). Elles sont toutes deux domiciliées au 11 de la rue de la Baume à Paris... qui n’est autre que le siège de la FNSEA (voir notre infographie ci-dessous).
À de rares exceptions près, ce sont les mêmes personnes qui siègent dans les conseils d’administration des deux structures. Leurs comptes sont certifiés par le même commissaire aux comptes que celui qui intervient pour le syndicat. Et le secrétariat de Provea est assuré par Clément Faurax lui-même, le directeur général de la FNSEA. Quand nous essayons de joindre l’association par téléphone, on nous renvoie d’ailleurs directement à la direction de la communication du syndicat des exploitants agricoles.
Sur le site de la MSA, aucune information n’est disponible sur ces deux associations auxquelles cotisent les employeurs agricoles, qu’ils soient ou non syndiqués à la FNSEA. Ni l’une ni l’autre n’ont rendu leurs comptes publics. En France, toute association qui touche plus de 153 000 euros par an de subventions publiques y est tenue. L’AFNCA et Provea, par qui transitent chaque année quelque 15 millions d’euros issus de prélèvements sociaux, ne semblent pas soumises à cette obligation.
:copyright: Infographie Mediapart

C'est auprès du Journal officiel que nous obtenons les statuts des associations. Provea a pour objet « d’être un conseil des études, recherches et prospectives pour la gestion prévisionnelle des emplois en agriculture et son développement, d’organiser le financement de la gestion prévisionnelle des emplois et son développement […], d’examiner les résultats des travaux, études et réflexions […], de définir des orientations ou prospectives communes à destination des partenaires sociaux, et des différents acteurs du monde agricole ».
De son côté, l’association AFNCA est censée, selon ses statuts établis en 1992, « organiser le financement de l’information, de l’animation, des frais de déplacement et des rémunérations ou des indemnités de perte de revenus des salariés et des employeurs, désignés par leur organisation syndicale ou professionnelle, pour participer à la négociation collective […] ».
Problème, dans un cas comme dans l’autre : les partenaires sociaux du monde agricole qui ne sont pas liés aux réseaux FNSEA ne bénéficient pas de cette participation, le résultat des études sur l’emploi est peu lisible – seulement deux colloques ont été organisés par Provea depuis 2002 – et les sommes collectées ne sont guère paritaires dans la répartition.
Elles sont attribuées par Provea pour 75 % aux organisations professionnelles d’employeurs dites représentatives – c’est-à-dire à la FNSEA pour 72 % de la part patronale et à quelques autres organisations de filières pour le reste (en 2019, on y trouvait la Fédération nationale des coopératives d'utilisation de matériel agricole en commun – FNCUMA –, la Fédération nationale entrepreneurs des territoires – FNEDT –, l’Union nationale des entreprises du paysage – UNEP –, l’Union syndicale des rouisseurs tailleurs de lin de France – USRTL –, la Chambre nationale des artisans des travaux publics et du paysage – CNATP). La part attribuée aux syndicats de salariés (CGT, CFDT, FO, CFE-CGC, CFTC) n’est que de 25 %, tandis que les trois autres syndicats du monde agricole, Coordination rurale, Confédération paysanne, Modef, restent en dehors du système.[/size]

et oui normalement on a tous droit à sa carte moisson !

«La FNSEA a une mentalité d’assiégée» 26 février 2020 Par La rédaction de Mediapart Avec l’essayiste Gilles Luneau, Amélie Poinssot revient sur ses révélations concernant le principal syndicat agricole.

Ugolin a écrit:

«La FNSEA a une mentalité d’assiégée» 26 février 2020 Par La rédaction de Mediapart Avec l’essayiste Gilles Luneau, Amélie Poinssot revient sur ses révélations concernant le principal syndicat agricole.

La fuite du ministre de l'agriculture

https://youtu.be/ZiovoWa2DPw?t=999

Il n'a pas envie de perdre du temps pour répondre sur un sujet qui relève du privé.

Il veut peut-être juste pas se mouiller dans un truc monté en épingle comme les CVO et qui fait "pchiiiitt" à la fin!

pollux a écrit:Il veut peut-être juste pas se mouiller dans un truc monté en épingle comme les CVO et qui fait "pchiiiitt" à la fin!

Pourquoi ne pas lui poser la question des rémunérations des directeurs des coopératives ou de chez L'Oréal ? Un syndicat, ce n'est pas une entreprise publique.

jojogo a écrit:Pourquoi ne pas lui poser la question des rémunérations des directeurs des coopératives ou de chez L'Oréal ? Un syndicat, ce n'est pas une entreprise publique.

Une coopérative n'est pas une entreprise publique, c'est le prolongement de l’activé des paysans qui se regroupent pour une efficacité qu'ils n'auraient pas pu avoir à l'échelle de leurs fermes.

Il est donc souhaitable de savoir comment se répartissent les richesses créer par ce rôle.

Même si le détail des salaires de chacun peut rester "discret" on peut quand même savoir qu'elle est la masse salariale, çà permet de comparer avec celle des adhérents.

Après tu peut défendre ce que tu veux. Il y a le feu dans la boutique, retire tes billes vite fait, tu va avoir plus de mal après.

https://youtu.be/ZiovoWa2DPw?t=900

GL a écrit:

jojogo a écrit:Pourquoi ne pas lui poser la question des rémunérations des directeurs des coopératives ou de chez L'Oréal ? Un syndicat, ce n'est pas une entreprise publique.

Une coopérative n'est pas une entreprise publique.

Comme L'Oréal ou un syndicat, le Ministre n'a rien à dire sur la rémunération des personnes qui travaillent dans le privé, même si le financement de la structure se fait partiellement par le reversement de taxes.

Même à Zurich ou à Zumdorf (=plus petit village de Suisse avec 3 habitants ) on peut lire des news d'un grand syndicat franzose pas zouli-zouli

https://www.tele1.ch/artikel/152634/zumdorf---das-kleinste-dorf-der-schweiz

https://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=de&tl=fr&u=https%3A%2F%2Fwww.schweizerbauer.ch%2Fpolitik--wirtschaft%2Finternational%2Ff-bauernverband-unter-beschuss-55962.html


Source: plus grand journal agri CH

ils osent tout !!!

https://www.lavoixdunord.fr/749280/article/2020-05-06/sept-organisations-agricoles-appellent-rebatir-une-souverainete-alimentaire-en?from_direct=true&fbclid=IwAR0Fw7OqltJLDiRjWa_tUcI3TsN0Jfz6b9VnI3i4PgsI1gt05Idw-SVh198

toujours en avance :
https://www.ouest-france.fr/economie/agriculture/la-fnsea-annonce-son-propre-plan-de-reduction-des-pesticides-5377629

et maintenant le carbone !

https://www.ouest-france.fr/economie/agriculture/la-fnsea-veut-faire-des-agriculteurs-des-refroidisseurs-du-climat-6971427?fbclid=IwAR3YLE_d6GabQcxopisuEwUKTnfZ3SfIQXowXWDopiB1CDzsIn8H6UGIpIM

trop fort

Vraiment des Guignols !

Ils veulent promouvoir la méthanisation qui fait vivre encore un système (Matos, GNR, pièces d'usure, semence, ect) et en même temps sont contre et s'opposent au PV au sol au faible potentiel ! 
Cherchez l'erreur.

Un syndicat de solutions sans solutions !!! 
Si pour elle, pas pour les agris.