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Du bio, toujours plus de bio...
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Du bio, toujours plus de bio...
Rappel du premier message :
...ou l'augmentation de la conso comme des conversions.
http://vosmedias.actualites.bourse.lefigaro.fr/Interstitial/Figaro/Bourse/2017/08/02/59818dd141805.html?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Economie
...ou l'augmentation de la conso comme des conversions.
http://vosmedias.actualites.bourse.lefigaro.fr/Interstitial/Figaro/Bourse/2017/08/02/59818dd141805.html?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Economie
Dernière édition par Isangie le Mar 8 Aoû 2017 - 22:06, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Du bio, toujours plus de bio...
EtienneCH4 a écrit:depuis le commencement de la christianisation, il y a eu des ermites partout,
certains sont devenus des saints,
99,99 % sont passés dans l'oubli, les pionniers du bio pur et dur ce sera pareil.
Aujourd'hui, pour répondre au sacro-saint "marché", les puissances financières du bio commencent à étudier la faisabilité d'industrialisation, idem Italie, Espagne, Mexique, Colombie, (et la Chine), les rêveurs auront la nécessité de trouver d'autres nuages.regardez les étalages en grand surface, vérifiez les étiquettes et provenances, le bio agro-industriel est en route, y compris les plats cuisinés à haute teneur de chimie, (et tout est certifié bio)
+10000000000000000
Tout les antioxydants et autres conservateurs, introduits dans l'industrie agro-alimentataire sont certainement bien plus cancérigènes que les matières premières issues de l'agriculture conventionnelle.
Il serait surement plus sage pour le consommateur de manger bien fermier que de manger du bio de l'industrie agro-alimentaire !
la cigogne- + membre techno +
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Date d'inscription : 12/09/2009
vienne en autres riches
Re: Du bio, toujours plus de bio...
allez pour casser un peu plus certains bien pensant et soi disant bien faisant :
j'ai eu plusieurs demande d'achat d'oeufs
-une éleveuse particulière qui voulait developper son élevage bio d'une cinquantaine de poules .
elle voulait m'acheter des oeufs surtout pas marqués de mon numéro d'élevage !!
-un autre ,agri ,faisant les marchés "oeufs fermiers "
pareil ! je peux t'en prendre pas mal ,j'ai pas assez de poules !
et quand je dis plusieurs ,c'est plusieurs !!!
faire du fric en trompant ses semblables ,c'est dans la nature de pas mal d'humains !
pas la mienne ,
et pas un généralité heureusement !
j'ai eu plusieurs demande d'achat d'oeufs
-une éleveuse particulière qui voulait developper son élevage bio d'une cinquantaine de poules .
elle voulait m'acheter des oeufs surtout pas marqués de mon numéro d'élevage !!
-un autre ,agri ,faisant les marchés "oeufs fermiers "
pareil ! je peux t'en prendre pas mal ,j'ai pas assez de poules !
et quand je dis plusieurs ,c'est plusieurs !!!
faire du fric en trompant ses semblables ,c'est dans la nature de pas mal d'humains !
pas la mienne ,
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herve56- + membre techno +
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Age : 61
56 sud
Re: Du bio, toujours plus de bio...
la cigogne a écrit:
Tout les antioxydants et autres conservateurs, introduits dans l'industrie agro-alimentataire sont certainement bien plus cancérigènes que les matières premières issues de l'agriculture conventionnelle.
As tu quelques éléments sur les anti oxydants ?.
GL- + membre techno +
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Age : 110
Assis
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Suite au scandale des oeufs, la demande des oeufs bio fermiers... explose.
Évidemment certains ont compris
Évidemment certains ont compris
eramond- + membre techno +
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Age : 37
81-31
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Tiens GL
Ton E321 est servi :
[url=today.wecook.fr/les-8-additifs-alimentaires-les-dangereux-sante/]today.wecook.fr/les-8-additifs-alimentaires-les-dangereux-sante/[/url]
Ps :je n'arrive pas à mettre le lien direct.
Ton E321 est servi :
[url=today.wecook.fr/les-8-additifs-alimentaires-les-dangereux-sante/]today.wecook.fr/les-8-additifs-alimentaires-les-dangereux-sante/[/url]
Ps :je n'arrive pas à mettre le lien direct.
la cigogne- + membre techno +
- Messages : 8389
Date d'inscription : 12/09/2009
vienne en autres riches
Re: Du bio, toujours plus de bio...
herve56 a écrit:allez pour casser un peu plus certains bien pensant et soi disant bien faisant :
j'ai eu plusieurs demande d'achat d'oeufs
-une éleveuse particulière qui voulait developper son élevage bio d'une cinquantaine de poules .
elle voulait m'acheter des oeufs surtout pas marqués de mon numéro d'élevage !!
-un autre ,agri ,faisant les marchés "oeufs fermiers "
pareil ! je peux t'en prendre pas mal ,j'ai pas assez de poules !
et quand je dis plusieurs ,c'est plusieurs !!!
faire du fric en trompant ses semblables ,c'est dans la nature de pas mal d'humains !
pas la mienne ,
et pas un généralité heureusement !
un grand classique !
erwin- + membre techno +
- département : 54
Messages : 14431
Date d'inscription : 23/09/2009
Age : 49
south Belgium
Re: Du bio, toujours plus de bio...
erwin a écrit:
pas la mienne ,
un grand classique !
Les belges sur ce coup là .....
GL- + membre techno +
- Messages : 24947
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Age : 110
Assis
Re: Du bio, toujours plus de bio...
les français ne sont pas mieux !
des oeufs achetés à l'étranger ,plombés salmonelles , parce que moins chers !!!
un coup de pasteurisation et c'est bon !!
des oeufs achetés à l'étranger ,plombés salmonelles , parce que moins chers !!!
un coup de pasteurisation et c'est bon !!
herve56- + membre techno +
- Messages : 5691
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 61
56 sud
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Si,après la période de conversion,enfin je pense.iris a écrit:Medard86 a écrit:Sauf erreur,les boues de step sont interdites en bio,ce qui semble logique.hermine 22 a écrit:est ce qu'en bio boue des villes et compost sont autorisé ?
dans la négative ,que sera t'il fait des ces millions de tonnes le jour ou la france basculera en bio ?
fermer les pharmacies sera t'il suffisant ?
Alors un agri qui a épandu des boues dans ses champs ne peut plus passer en bio ?
Medard86- + membre techno +
- Messages : 4915
Date d'inscription : 27/07/2010
Age : 57
le pays de Rabelais
Re: Du bio, toujours plus de bio...
herve56 a écrit:les français ne sont pas mieux !
des oeufs achetés à l'étranger ,plombés salmonelles , parce que moins chers !!!
un coup de pasteurisation et c'est bon !!
J'ai chercher ou trouver les chiffres en matière de commerce des œufs et des produits issus de cette matière première, as tu une idée ou les trouver ?.
Par contre, dans une enquête de 2013 nos contrôleurs ont trouvés "quelques erreurs".
http://www.lafranceagricole.fr/actualites/oeufs-nombreuses-anomalies-aux-stades-du-conditionnement-et-de-la-distribution-dgccrf-1,0,88313328.html
Il faut dire qu'on avait trouver un peu de fraude sur les œufs bio, 11 millions avaient passé la frontière italienne.
http://www.agraalimentation.fr/cocorette-r-agit-la-condamnation-d-un-de-ses-franchis-s-pour-fraudes-art355938-9.html
GL- + membre techno +
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Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 110
Assis
Re: Du bio, toujours plus de bio...
concernant les terres ayant reçu des boues de ville, je pense que le délai est de 10 ans avant de pouvoir prétendre au bio, et après analyse, because les métaux lourds,
à noter qu'en prairie on a trouvé des œufs d'helminthe vivant 3 ans après un épandage, plus quelques autres bactéries coriaces, superbe rapport européen bien enfoui et retiré des circuits par les majors du traitement de l'eau Vivendi et Suez, qui pilotent le syndicat de l'épandage,
aussi une équipe de scientifiques trop zélés qui ont fait des analyses sur les pistes de ski nourries en épandage pendant l'été, vite dans le tiroir, interdiction d'éditer. (Jura)
etc.... il y a des tonnes de rapports, mais il n'y a pas d'autre solution économique en dehors de l'épandage, c'est ce qui coûte le moins cher, et certains paysans en sont même contents, alors pourquoi s'emmerder à vouloir faire mieux.
à noter qu'en prairie on a trouvé des œufs d'helminthe vivant 3 ans après un épandage, plus quelques autres bactéries coriaces, superbe rapport européen bien enfoui et retiré des circuits par les majors du traitement de l'eau Vivendi et Suez, qui pilotent le syndicat de l'épandage,
aussi une équipe de scientifiques trop zélés qui ont fait des analyses sur les pistes de ski nourries en épandage pendant l'été, vite dans le tiroir, interdiction d'éditer. (Jura)
etc.... il y a des tonnes de rapports, mais il n'y a pas d'autre solution économique en dehors de l'épandage, c'est ce qui coûte le moins cher, et certains paysans en sont même contents, alors pourquoi s'emmerder à vouloir faire mieux.
EtienneCH4- + membre techno +
- département : sud Manche et centre Chine
Messages : 8196
Date d'inscription : 09/09/2015
Age : 83
Lapenty et Wuhan
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Il y a aussi des solutions de dépollution de certains métaux avec des plantes.
GL- + membre techno +
- Messages : 24947
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Age : 110
Assis
Re: Du bio, toujours plus de bio...
il y a des solutions pour tout, suffit d'y mettre le prix,GL a écrit:Il y a aussi des solutions de dépollution de certains métaux avec des plantes.
concernant la dépollution des terres avec certaines plantes, l'important est de ne pas avoir besoin du terrain avant 15 ou 20 ans, c'est pour cela que cette solution a été abandonnée sur les friches industrielles en projet immobilier.
Aujourd'hui il faut que tout aille vite.
EtienneCH4- + membre techno +
- département : sud Manche et centre Chine
Messages : 8196
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Age : 83
Lapenty et Wuhan
Re: Du bio, toujours plus de bio...
GL a écrit:Il y a aussi des solutions de dépollution de certains métaux avec des plantes.
Et après qu"est ce qu"on fait de ces plantes imprégnées de métaux ?
spontus- + membre techno +
- Messages : 8681
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Age : 62
nord- est du finistère
Re: Du bio, toujours plus de bio...
L'usage de plantes pour dépolluer des sols permet de concentrer la pollution pour la confiner.
Il est plus facile de stocker quelques M² de cendres "chargées" que de laisser ces polluants diffus dans la sols.
Quand on brûle du saule en TCR, on se retrouve avec moins de 0.05 % de cendres contenant les polluants du sol.
Il est plus facile de stocker quelques M² de cendres "chargées" que de laisser ces polluants diffus dans la sols.
Quand on brûle du saule en TCR, on se retrouve avec moins de 0.05 % de cendres contenant les polluants du sol.
GL- + membre techno +
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Age : 110
Assis
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Et une contradiction de plus venant de toiGL a écrit:L'usage de plantes pour dépolluer des sols permet de concentrer la pollution pour la confiner.Il est plus facile de stocker quelques M² de cendres "chargées" que de laisser ces polluants diffus dans la sols.
Quand on brûle du saule en TCR, on se retrouve avec moins de 0.05 % de cendres contenant les polluants du sol.
tu es d'accord pour confiner des polluants dans peu de place, mais tu es contre l'enfouissement de déchets radioactifs , il faudra que tu m'expliques ta logique un jour
Invité- Invité
Re: Du bio, toujours plus de bio...
pinocio a écrit:Et une contradiction de plus venant de toiGL a écrit:L'usage de plantes pour dépolluer des sols permet de concentrer la pollution pour la confiner.Il est plus facile de stocker quelques M² de cendres "chargées" que de laisser ces polluants diffus dans la sols.
Quand on brûle du saule en TCR, on se retrouve avec moins de 0.05 % de cendres contenant les polluants du sol.
tu es d'accord pour confiner des polluants dans peu de place, mais tu es contre l'enfouissement de déchets radioactifs , il faudra que tu m'expliques ta logique un jour
Bruler les déchets radioactifs pour qu'ils prennent moins de place.
Robust- + membre techno +
- département : Oise
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Sud Ouest de l'Oise (Vexin)
Re: Du bio, toujours plus de bio...
GL ne parle pas de déchets radioactifs.
Brûler des déchets, par ex. des ordures ménagères, pour en réduire le volume et produire de l'énergie est très courant.
Donc calmos svp les agressions gratuites à 2 balles envers GL. Pour des admins soit-disants responsables c'est moyen. Et c'est adressé à Pinocio!
Brûler des déchets, par ex. des ordures ménagères, pour en réduire le volume et produire de l'énergie est très courant.
Donc calmos svp les agressions gratuites à 2 balles envers GL. Pour des admins soit-disants responsables c'est moyen. Et c'est adressé à Pinocio!
Peccadille- + membre techno +
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Date d'inscription : 24/02/2010
Suisse (francophone)
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Le nucléaire est très fortement marqué par le secret et le mensonge.
Il faut avoir regarder le film "Atomes crochus" de Rémi Mauget pour voir comment Pierfitte a mis en place l'usine de retraitement de La Hague.
Ils ont été jusqu’à raconter que c'était une usine pour fabriquer des casseroles en aluminium.
Aujourd'hui encore, quand on cisaille des assemblages, les enregistreurs du Nord de l'Europe voit passer de la radio activité.
Les matériaux radio actifs ont donc des caractéristiques bien différentes des métaux lourds. Les allemands sont en train de revenir sur leurs politique de stockage profond des déchets mais on est en France.....
Notre génération a produit pour son développement des saloperies qu'on aimerait bien cacher sous le tapis, les mettre hors de contrôle est une drôle de gageur.
Il faut avoir regarder le film "Atomes crochus" de Rémi Mauget pour voir comment Pierfitte a mis en place l'usine de retraitement de La Hague.
Ils ont été jusqu’à raconter que c'était une usine pour fabriquer des casseroles en aluminium.
Aujourd'hui encore, quand on cisaille des assemblages, les enregistreurs du Nord de l'Europe voit passer de la radio activité.
Les matériaux radio actifs ont donc des caractéristiques bien différentes des métaux lourds. Les allemands sont en train de revenir sur leurs politique de stockage profond des déchets mais on est en France.....
Notre génération a produit pour son développement des saloperies qu'on aimerait bien cacher sous le tapis, les mettre hors de contrôle est une drôle de gageur.
GL- + membre techno +
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Assis
Re: Du bio, toujours plus de bio...
ca doit etre autre chose que du cisaillage a mon avis pour que ca se retrouve de l'autre bout de l'europeGL a écrit:Le nucléaire est très fortement marqué par le secret et le mensonge.
Il faut avoir regarder le film "Atomes crochus" de Rémi Mauget pour voir comment Pierfitte a mis en place l'usine de retraitement de La Hague.
Ils ont été jusqu’à raconter que c'était une usine pour fabriquer des casseroles en aluminium.
Aujourd'hui encore, quand on cisaille des assemblages, les enregistreurs du Nord de l'Europe voit passer de la radio activité.
Les matériaux radio actifs ont donc des caractéristiques bien différentes des métaux lourds. Les allemands sont en train de revenir sur leurs politique de stockage profond des déchets mais on est en France.....
Notre génération a produit pour son développement des saloperies qu'on aimerait bien cacher sous le tapis, les mettre hors de contrôle est une drôle de gageur.
par ce que a ce moment la ,le sujet bio ,il va falloir le supprimer
hermine 22- + membre techno +
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bretagne
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Gl ta photo montage avec des bidons jaunes enfouis c est un peu craché sur les ingénieurs qui conçoivent les stockages sous terre
fergie62- + membre techno +
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Artesië
Re: Du bio, toujours plus de bio...
il en existe égalements du même gout pour salir notre professionfergie62 a écrit:Gl ta photo montage avec des bidons jaunes enfouis c est un peu craché sur les ingénieurs qui conçoivent les stockages sous terre
sur celle de gl ,peut t'on imaginer un journaliste accompagner le chargeur ?
hermine 22- + membre techno +
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bretagne
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Les allemands sont en train de revenir sur leur politique de methanisation mais on est en France
Les allemands nous sauces l'air avec leur usines a charbons mais on est en France
Les allemands hein .......
Les allemands nous sauces l'air avec leur usines a charbons mais on est en France
Les allemands hein .......
bob89- + membre techno +
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auxerre
Re: Du bio, toujours plus de bio...
pour revenir dans le sujet, un aperçu du dessous des cartes:
dans Economie Matin
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Panique dans l'assiette, ils se nourrissent de nos peurs de Gil Rivière-Wekstein publié aux éditions le Publieur en 2017, révèle à ses lecteurs les pratiques fallacieuses qui gangrènent l'industrie agroalimentaire. En voici un extrait :
« En 1998, Greenpeace publie sur Internet une liste noire des produits susceptibles de contenir des OGM”. Il met en cause des groupes comme Nestlé ou United Biscuits après s’être contenté de relever l’utilisation de soja et de maïs, sans réaliser le moindre test pour vérifier la présence d’OGM dans les aliments incriminés ! L’objectif n’en fut pas moins atteint : la plupart des industriels épinglés ont préféré modifier leurs recettes afin d’en exclure tout ingrédient soupçonnable d’être génétiquement modifié. » En faisant plier ces géants de l’industrie agro-alimentaire, Thilo Bode a su redonner la visibilité nécessaire à la multinationale verte et, par la même occasion, la sortir de ses difficultés financières...
Greenpeace cherche à imposer un cahier des charges écolo aux grandes surfaces
Sauf que depuis l’arrêt des cultures OGM dans les principaux pays de l’Union européenne, il est désormais difficile de mobiliser l’opinion publique sur ce non-sujet. En outre, les questions agricoles n’ont jamais vraiment été au cœur des actions de Greenpeace. Toutefois, depuis mai 2015, l’association écologiste radicale a entrepris une série d’initiatives inédites visant à mettre en cause le modèle agricole européen en général, et l’agriculture française en particulier. Et qui dit Greenpeace, dit nécessairement actions spectaculaires.
Ainsi, le 13 mai 2015, une quinzaine de militants professionnels a déployé devant les locaux d’InVivo, une grande structure agricole au chiffre d’affaires de 6,4 milliards d’euros, une banderole accusant ses dirigeants « d’empoisonner les agriculteurs au lieu de les servir ». Le slogan a largement été diffusé sur les réseaux sociaux. L’opération coup de poing s’inscrit dans un plan de communication plus vaste, avec notamment sa campagne européenne « I know who grew it », lancée simultanément. Traduite en français par « Je sais ce que je mange », celle-ci propose aux sympathisants de la multinationale verte de « défier l’agro-business » et de s’engager « pour une agriculture et une alimentation plus saines ». À cette action, s’ajoutent deux autres : le lancement du financement « participatif » dédié à l’« agriculture paysanne » – autrement dit une levée de fonds –, et la « Course Zéro Pesticide », qui consiste à exercer une pression sur les six principales enseignes de la distribution française (Auchan, Carrefour, Casino, E.Leclerc, Intermarché, Système U) afin qu’elles imposent au travers de leur cahier des charges des engagements inaccessibles pour les producteurs de pommes et de pommes de terre.
Greenpeace contribue à la fabrique de la peur
Greenpeace complète l’arsenal de cette campagne avec un site Internet sur lequel figurent deux personnages animés – Reinette la pomme et Nicolas la pomme de terre – représentant « deux des filières empoisonnées par les pesticides ». Point d’orgue de la mobilisation, la multinationale rend public le mois suivant un simulacre de rapport intitulé Pommes empoisonnées : mettre fin à la contamination des vergers par les pesticides grâce à l’agriculture écologique.
Sans surprise, la fabrique de la peur fonctionne et les conclusions alarmistes sont largement reprises dans les principaux médias. « L’alerte de Greenpeace sur les teneurs en pesticides dans les vergers », titre ainsi Le Figaro. « Greenpeace s’attaque aux pommes pleines de pesticides », reprend France Info. « Greenpeace : Les pommes des supermarchés bourrées de pesticides », annonce OuestFrance, tandis que Le Parisien avertit que « les pommes de la grande distribution [sont] produites à grand renfort de pesticides ». Après avoir installé un climat général anxiogène, Greenpeace se focalise ensuite sur une seule enseigne, suivant la technique de communication baptisée name and shame (littéralement « nommer et couvrir de honte ») et développée dans le monde anglo-saxon. Cette méthode consiste à pointer du doigt une entreprise spécifique au motif d’un mauvais comportement. Face à la virulence de telles attaques, même sans fondements légitimes, aucune cible ne peut s’en sortir indemne. C’est ce qu’a vécu l’enseigne E.Leclerc quand elle a été dans le collimateur de l’ONG, avec la campagne antipesticides intitulée « Leclerc obscur ». Greenpeace multiplie les actions : blocage de la centrale d’achats Socamil, mobilisation de leurs militants à Landerneau d’où est originaire Michel-Édouard Leclerc, ainsi qu’une pétition lui demandant « de prendre ses responsabilités ». En juillet 2016, la multinationale verte accentue la pression en rendant publiques des analyses de jus achetés dans un hypermarché E.Leclerc et réalisées par ses soins. Tous les jus, sans exception, contenaient des résidus de pesticides. L’annonce est une fois de plus fortement médiatisée, avec une fausse pub de Greenpeace clamant : « Découvrez le jus multi-pesticides », « Faites aimer les pesticides à vos enfants ». C’en est trop, Michel-Édouard Leclerc capitule et annonce une collaboration avec Greenpeace.
100 % des dons de Greenpeace proviennent de particuliers
Débutée en mai 2015, cette opération s’inscrit dans la logique de sa « machine à sous », comme en témoigne le traditionnel appel aux dons lancé suite à cette multiplication d’actions. « La campagne Agriculture écologique de Greenpeace bat son plein. Face aux dérives manifestes de l’agriculture intensive, Greenpeace met tout en œuvre pour qu’émerge un autre modèle agricole, garantissant une alimentation saine aujourd’hui et demain. De nombreuses activités et publications voient le jour grâce à nos adhérents fidèles ! 100 % de nos dons proviennent des particuliers, comme vous », claironne Greenpeace pour motiver l’appel aux dons. Depuis le lancement de sa « Course Zéro Pesticide » en 2015, Greenpeace adresse chaque année un petit bilan de ses actions à ses sympathisants. Les quelques « avancées » notifiées en février 2017 – dont la belle progression d’E.Leclerc qui occupe désormais la troisième place – sont accompagnées d’un message personnalisé pour obtenir un don : « Afin de continuer notre travail auprès des enseignes et qu’elles poursuivent leurs avancées vers l’élimination des pesticides de leur système de production, nous avons besoin de vous et de votre soutien financier. »
90 % du street marketing est géré par des anciens de Greenpeace
Ce système de collecte de fonds fonctionne depuis 1995 au sein de l’ONG écologiste. À cette époque, Greenpeace Autriche a demandé à une agence spécialisée nommée Dialog Direct d’initier un programme consistant à envoyer ses fameux « recruteurs » dans la rue. Le succès financier est au rendez-vous et Greenpeace International incite la majorité de ses bureaux nationaux à adopter ce programme. C’est ce que fait sa filière française deux ans plus tard. « Notre principale technique de recrutement d’adhérents reste le dialogue direct. Des équipes, dans la rue, proposent aux passants d’adhérer. Cette option est plus efficace que celle qui consiste à attendre passivement devant un stand », confirme Pascal Husting, ancien directeur de Greenpeace France et actuel n°2 de Greenpeace International. « Après une courte formation dans un hôtel, ces équipes battent le pavé pendant quarante heures par semaine pour 8,4 euros l’heure. Les contrats sont de deux semaines, renouvelables si le “rendement“ est bon », note Pierre Kohler dans son livre, publié en 2008. « Nous avons été les développeurs de ce mode opératoire au milieu des années 1990. Aujourd’hui, en France, 90 % du marché du street marketing est géré par des anciens de Greenpeace. Notre choix ? Intégrer cette activité en interne, ce qui génère des taux de recrutement largement supérieurs », confirme Husting. En France, cette « professionnalisation » du militantisme ne s’est toutefois pas faite sans heurts. « Nous sommes sortis de la logique voulant qu’un salarié de Greenpeace soit recruté de manière prioritaire parmi les militants. Ce qui a bien sûr engendré des tensions énormes en interne. Sur les 45 salariés présents au moment de mon arrivée, 25 ont quitté Greenpeace », explique Pascal Husting. Sauf qu’une telle réorganisation de collecte de fonds confiée à des professionnels reste très onéreuse. En effet, presqu’un tiers du budget de Greenpeace France est consacré à récupérer de l’argent – 5,5 millions d’euros sur 18 millions. C’est le lourd constat que révèle un rapport publié par la Cour des Comptes en octobre 2012. Elle déplore d’une part que « plus de 30 % des ressources y sont consacrées », et d’autre part que « la part de l’emploi des ressources au profit des campagnes menées en France par Greenpeace France est minoritaire dans le total de l’emploi des ressources ». La pestophobie étant devenue un grand sport national français, il est tout naturel de retrouver Greenpeace sur ce créneau porteur, car se tromper de thème de campagne peut coûter très cher. « La logique de Greenpeace est de décliner ses campagnes qui font sens et créent de la valeur ajoutée sur l’international, voire le régional », poursuit Pascal Husting. Tout y est parfaitement résumé !
Lien d'achat du livre : http://www.paniquedanslassiette.com/
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à partir de cette démonstration on arrive à comprendre certaines choses !!
dans Economie Matin
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Panique dans l'assiette, ils se nourrissent de nos peurs de Gil Rivière-Wekstein publié aux éditions le Publieur en 2017, révèle à ses lecteurs les pratiques fallacieuses qui gangrènent l'industrie agroalimentaire. En voici un extrait :
« En 1998, Greenpeace publie sur Internet une liste noire des produits susceptibles de contenir des OGM”. Il met en cause des groupes comme Nestlé ou United Biscuits après s’être contenté de relever l’utilisation de soja et de maïs, sans réaliser le moindre test pour vérifier la présence d’OGM dans les aliments incriminés ! L’objectif n’en fut pas moins atteint : la plupart des industriels épinglés ont préféré modifier leurs recettes afin d’en exclure tout ingrédient soupçonnable d’être génétiquement modifié. » En faisant plier ces géants de l’industrie agro-alimentaire, Thilo Bode a su redonner la visibilité nécessaire à la multinationale verte et, par la même occasion, la sortir de ses difficultés financières...
Greenpeace cherche à imposer un cahier des charges écolo aux grandes surfaces
Sauf que depuis l’arrêt des cultures OGM dans les principaux pays de l’Union européenne, il est désormais difficile de mobiliser l’opinion publique sur ce non-sujet. En outre, les questions agricoles n’ont jamais vraiment été au cœur des actions de Greenpeace. Toutefois, depuis mai 2015, l’association écologiste radicale a entrepris une série d’initiatives inédites visant à mettre en cause le modèle agricole européen en général, et l’agriculture française en particulier. Et qui dit Greenpeace, dit nécessairement actions spectaculaires.
Ainsi, le 13 mai 2015, une quinzaine de militants professionnels a déployé devant les locaux d’InVivo, une grande structure agricole au chiffre d’affaires de 6,4 milliards d’euros, une banderole accusant ses dirigeants « d’empoisonner les agriculteurs au lieu de les servir ». Le slogan a largement été diffusé sur les réseaux sociaux. L’opération coup de poing s’inscrit dans un plan de communication plus vaste, avec notamment sa campagne européenne « I know who grew it », lancée simultanément. Traduite en français par « Je sais ce que je mange », celle-ci propose aux sympathisants de la multinationale verte de « défier l’agro-business » et de s’engager « pour une agriculture et une alimentation plus saines ». À cette action, s’ajoutent deux autres : le lancement du financement « participatif » dédié à l’« agriculture paysanne » – autrement dit une levée de fonds –, et la « Course Zéro Pesticide », qui consiste à exercer une pression sur les six principales enseignes de la distribution française (Auchan, Carrefour, Casino, E.Leclerc, Intermarché, Système U) afin qu’elles imposent au travers de leur cahier des charges des engagements inaccessibles pour les producteurs de pommes et de pommes de terre.
Greenpeace contribue à la fabrique de la peur
Greenpeace complète l’arsenal de cette campagne avec un site Internet sur lequel figurent deux personnages animés – Reinette la pomme et Nicolas la pomme de terre – représentant « deux des filières empoisonnées par les pesticides ». Point d’orgue de la mobilisation, la multinationale rend public le mois suivant un simulacre de rapport intitulé Pommes empoisonnées : mettre fin à la contamination des vergers par les pesticides grâce à l’agriculture écologique.
Sans surprise, la fabrique de la peur fonctionne et les conclusions alarmistes sont largement reprises dans les principaux médias. « L’alerte de Greenpeace sur les teneurs en pesticides dans les vergers », titre ainsi Le Figaro. « Greenpeace s’attaque aux pommes pleines de pesticides », reprend France Info. « Greenpeace : Les pommes des supermarchés bourrées de pesticides », annonce OuestFrance, tandis que Le Parisien avertit que « les pommes de la grande distribution [sont] produites à grand renfort de pesticides ». Après avoir installé un climat général anxiogène, Greenpeace se focalise ensuite sur une seule enseigne, suivant la technique de communication baptisée name and shame (littéralement « nommer et couvrir de honte ») et développée dans le monde anglo-saxon. Cette méthode consiste à pointer du doigt une entreprise spécifique au motif d’un mauvais comportement. Face à la virulence de telles attaques, même sans fondements légitimes, aucune cible ne peut s’en sortir indemne. C’est ce qu’a vécu l’enseigne E.Leclerc quand elle a été dans le collimateur de l’ONG, avec la campagne antipesticides intitulée « Leclerc obscur ». Greenpeace multiplie les actions : blocage de la centrale d’achats Socamil, mobilisation de leurs militants à Landerneau d’où est originaire Michel-Édouard Leclerc, ainsi qu’une pétition lui demandant « de prendre ses responsabilités ». En juillet 2016, la multinationale verte accentue la pression en rendant publiques des analyses de jus achetés dans un hypermarché E.Leclerc et réalisées par ses soins. Tous les jus, sans exception, contenaient des résidus de pesticides. L’annonce est une fois de plus fortement médiatisée, avec une fausse pub de Greenpeace clamant : « Découvrez le jus multi-pesticides », « Faites aimer les pesticides à vos enfants ». C’en est trop, Michel-Édouard Leclerc capitule et annonce une collaboration avec Greenpeace.
100 % des dons de Greenpeace proviennent de particuliers
Débutée en mai 2015, cette opération s’inscrit dans la logique de sa « machine à sous », comme en témoigne le traditionnel appel aux dons lancé suite à cette multiplication d’actions. « La campagne Agriculture écologique de Greenpeace bat son plein. Face aux dérives manifestes de l’agriculture intensive, Greenpeace met tout en œuvre pour qu’émerge un autre modèle agricole, garantissant une alimentation saine aujourd’hui et demain. De nombreuses activités et publications voient le jour grâce à nos adhérents fidèles ! 100 % de nos dons proviennent des particuliers, comme vous », claironne Greenpeace pour motiver l’appel aux dons. Depuis le lancement de sa « Course Zéro Pesticide » en 2015, Greenpeace adresse chaque année un petit bilan de ses actions à ses sympathisants. Les quelques « avancées » notifiées en février 2017 – dont la belle progression d’E.Leclerc qui occupe désormais la troisième place – sont accompagnées d’un message personnalisé pour obtenir un don : « Afin de continuer notre travail auprès des enseignes et qu’elles poursuivent leurs avancées vers l’élimination des pesticides de leur système de production, nous avons besoin de vous et de votre soutien financier. »
90 % du street marketing est géré par des anciens de Greenpeace
Ce système de collecte de fonds fonctionne depuis 1995 au sein de l’ONG écologiste. À cette époque, Greenpeace Autriche a demandé à une agence spécialisée nommée Dialog Direct d’initier un programme consistant à envoyer ses fameux « recruteurs » dans la rue. Le succès financier est au rendez-vous et Greenpeace International incite la majorité de ses bureaux nationaux à adopter ce programme. C’est ce que fait sa filière française deux ans plus tard. « Notre principale technique de recrutement d’adhérents reste le dialogue direct. Des équipes, dans la rue, proposent aux passants d’adhérer. Cette option est plus efficace que celle qui consiste à attendre passivement devant un stand », confirme Pascal Husting, ancien directeur de Greenpeace France et actuel n°2 de Greenpeace International. « Après une courte formation dans un hôtel, ces équipes battent le pavé pendant quarante heures par semaine pour 8,4 euros l’heure. Les contrats sont de deux semaines, renouvelables si le “rendement“ est bon », note Pierre Kohler dans son livre, publié en 2008. « Nous avons été les développeurs de ce mode opératoire au milieu des années 1990. Aujourd’hui, en France, 90 % du marché du street marketing est géré par des anciens de Greenpeace. Notre choix ? Intégrer cette activité en interne, ce qui génère des taux de recrutement largement supérieurs », confirme Husting. En France, cette « professionnalisation » du militantisme ne s’est toutefois pas faite sans heurts. « Nous sommes sortis de la logique voulant qu’un salarié de Greenpeace soit recruté de manière prioritaire parmi les militants. Ce qui a bien sûr engendré des tensions énormes en interne. Sur les 45 salariés présents au moment de mon arrivée, 25 ont quitté Greenpeace », explique Pascal Husting. Sauf qu’une telle réorganisation de collecte de fonds confiée à des professionnels reste très onéreuse. En effet, presqu’un tiers du budget de Greenpeace France est consacré à récupérer de l’argent – 5,5 millions d’euros sur 18 millions. C’est le lourd constat que révèle un rapport publié par la Cour des Comptes en octobre 2012. Elle déplore d’une part que « plus de 30 % des ressources y sont consacrées », et d’autre part que « la part de l’emploi des ressources au profit des campagnes menées en France par Greenpeace France est minoritaire dans le total de l’emploi des ressources ». La pestophobie étant devenue un grand sport national français, il est tout naturel de retrouver Greenpeace sur ce créneau porteur, car se tromper de thème de campagne peut coûter très cher. « La logique de Greenpeace est de décliner ses campagnes qui font sens et créent de la valeur ajoutée sur l’international, voire le régional », poursuit Pascal Husting. Tout y est parfaitement résumé !
Lien d'achat du livre : http://www.paniquedanslassiette.com/
<<
à partir de cette démonstration on arrive à comprendre certaines choses !!
EtienneCH4- + membre techno +
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Lapenty et Wuhan
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Si la consommation de charbon chez nos voisins n'est pas stable, elle est en faible progression sur le charbon.
C'est surtout une politique d'électricité chère qui fait revoir complétement autrement l'usage de cette ressource et la réserver a des usages nobles et parcimonieux.
Alors que la France s'enterre à essayer de construire des EPR qui sont de véritable gouffres financiers, il y a quand même en Europe une centrale neuve qui n'a jamais été mise en route.
Puisque l'on parle de déchets, je rappelle que dans la première centrale qu'on essaye de démonter, on a encore pas atteind le vif du sujet. C'est du côté de Brennilis.
Les travaux entamés en 1995 qui ont couté 20 fois le prix prévu n'ont toujours pas attaquer le cœur du problème.
L'enjeu est de taille. Si nos électriciens ne sont capable de démonter cette petite installation, comment feraient ils pour des grandes.
Entre des métaux lourds en quantité faible et des des déchets radio actifs, il n'y a donc guère de points communs.
C'est surtout une politique d'électricité chère qui fait revoir complétement autrement l'usage de cette ressource et la réserver a des usages nobles et parcimonieux.
Alors que la France s'enterre à essayer de construire des EPR qui sont de véritable gouffres financiers, il y a quand même en Europe une centrale neuve qui n'a jamais été mise en route.
Puisque l'on parle de déchets, je rappelle que dans la première centrale qu'on essaye de démonter, on a encore pas atteind le vif du sujet. C'est du côté de Brennilis.
Les travaux entamés en 1995 qui ont couté 20 fois le prix prévu n'ont toujours pas attaquer le cœur du problème.
L'enjeu est de taille. Si nos électriciens ne sont capable de démonter cette petite installation, comment feraient ils pour des grandes.
Entre des métaux lourds en quantité faible et des des déchets radio actifs, il n'y a donc guère de points communs.
GL- + membre techno +
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
le problème avec les anti-nucléaires c'est qu'ils arrivent à distiller leurs idées dans n'importe quel sujet, cela se nomme également pollution,
ce serait bien qu'un gentil administrateur puisse créer un sujet spécial "anti nuc" afin d'y coller tous les hors sujets qui arrivent un peu partout.
ce serait bien qu'un gentil administrateur puisse créer un sujet spécial "anti nuc" afin d'y coller tous les hors sujets qui arrivent un peu partout.
EtienneCH4- + membre techno +
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Lapenty et Wuhan
Re: Du bio, toujours plus de bio...
EtienneCH4 a écrit:pour revenir dans le sujet, un aperçu du dessous des cartes:
dans Economie Matin
<<
IL y a un autre soucis chez ce géant de la communication, c'est la démocratie. Qui décide des campagnes, de la cible. Cela reste un grand mystère. Pourtant les pouvoirs qui sont mis entre les mains de ce contre pouvoir vaut bien celui de nos barons de l'industrie.
Regardez de plus près à qui Greenpeace "ne s'attaque pas" donnerait sans doute quelques éléments.
GL- + membre techno +
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
EtienneCH4 a écrit:le problème avec les anti-nucléaires c'est qu'ils arrivent à distiller leurs idées dans n'importe quel sujet, cela se nomme également pollution,
ce serait bien qu'un gentil administrateur puisse créer un sujet spécial "anti nuc" afin d'y coller tous les hors sujets qui arrivent un peu partout.
C'est un administrateur qui a fait dériver le sujet
"Et une contradiction de plus venant de toi
tu es d'accord pour confiner des polluants dans peu de place, mais tu es contre l'enfouissement de déchets radioactifs , il faudra que tu m'expliques ta logique un jour "
Il ne faut te tromper de cible Etienne.
GL- + membre techno +
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Assis
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Quand on te met le nez dans ta crotte GL, tu cherches à passer pour une victime, tu te trouves à court d'arguments et tu essayes de noyer le poisson .GL a écrit:EtienneCH4 a écrit:le problème avec les anti-nucléaires c'est qu'ils arrivent à distiller leurs idées dans n'importe quel sujet, cela se nomme également pollution,
ce serait bien qu'un gentil administrateur puisse créer un sujet spécial "anti nuc" afin d'y coller tous les hors sujets qui arrivent un peu partout.
C'est un administrateur qui a fait dériver le sujet
"Et une contradiction de plus venant de toi
tu es d'accord pour confiner des polluants dans peu de place, mais tu es contre l'enfouissement de déchets radioactifs , il faudra que tu m'expliques ta logique un jour "
Il ne faut te tromper de cible Etienne.
la preuve par un simple spoiler de ce que tu as posté en trente lignes derrière mon message de 4 mots ...
GL a écrit:
- Spoiler:
Le nucléaire est très fortement marqué par le secret et le mensonge.
Il faut avoir regarder le film "Atomes crochus" de Rémi Mauget pour voir comment Pierfitte a mis en place l'usine de retraitement de La Hague.
Ils ont été jusqu’à raconter que c'était une usine pour fabriquer des casseroles en aluminium.
Aujourd'hui encore, quand on cisaille des assemblages, les enregistreurs du Nord de l'Europe voit passer de la radio activité.
Les matériaux radio actifs ont donc des caractéristiques bien différentes des métaux lourds. Les allemands sont en train de revenir sur leurs politique de stockage profond des déchets mais on est en France.....
Notre génération a produit pour son développement des saloperies qu'on aimerait bien cacher sous le tapis, les mettre hors de contrôle est une drôle de gageur.GL a écrit:Si la consommation de charbon chez nos voisins n'est pas stable, elle est en faible progression sur le charbon.
C'est surtout une politique d'électricité chère qui fait revoir complétement autrement l'usage de cette ressource et la réserver a des usages nobles et parcimonieux.
Alors que la France s'enterre à essayer de construire des EPR qui sont de véritable gouffres financiers, il y a quand même en Europe une centrale neuve qui n'a jamais été mise en route.
Puisque l'on parle de déchets, je rappelle que dans la première centrale qu'on essaye de démonter, on a encore pas atteind le vif du sujet. C'est du côté de Brennilis.
Les travaux entamés en 1995 qui ont couté 20 fois le prix prévu n'ont toujours pas attaquer le cœur du problème.
L'enjeu est de taille. Si nos électriciens ne sont capable de démonter cette petite installation, comment feraient ils pour des grandes.
Entre des métaux lourds en quantité faible et des des déchets radio actifs, il n'y a donc guère de points communs.GL a écrit:EtienneCH4 a écrit:pour revenir dans le sujet, un aperçu du dessous des cartes:
dans Economie Matin
<<
IL y a un autre soucis chez ce géant de la communication, c'est la démocratie. Qui décide des campagnes, de la cible. Cela reste un grand mystère. Pourtant les pouvoirs qui sont mis entre les mains de ce contre pouvoir vaut bien celui de nos barons de l'industrie.
Regardez de plus près à qui Greenpeace "ne s'attaque pas" donnerait sans doute quelques éléments.
Invité- Invité
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Bon, suite mauvaise manip de Pinocio, mon message a été effacé. A sa demande, je reformule mes propos, même si maintenant on se trouve un peu hors contexte.
Pour faire simple, je trouve les fréquentes remarques dudit Pinocio envers GL très très peu élégantes. Surtout de la part d'un admin. GL est systématiquement pris en grippe et tourné en bourrique, oui çà rime..., quelque soit ses propos.
Voilà oui, nous avons tous nos petits et grands travers. Perso, j'ai même la chance d'être dépositaire de très nombreuses malfaçons. Donc OUI à la chatouille occasionnelle. Mais NON à l'abattage public récurrent.
The end for me pour ce sujet.
Pour faire simple, je trouve les fréquentes remarques dudit Pinocio envers GL très très peu élégantes. Surtout de la part d'un admin. GL est systématiquement pris en grippe et tourné en bourrique, oui çà rime..., quelque soit ses propos.
Voilà oui, nous avons tous nos petits et grands travers. Perso, j'ai même la chance d'être dépositaire de très nombreuses malfaçons. Donc OUI à la chatouille occasionnelle. Mais NON à l'abattage public récurrent.
The end for me pour ce sujet.
Peccadille- + membre techno +
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
Peccadille a écrit:Bon, suite mauvaise manip de Pinocio, mon message a été effacé. A sa demande, je reformule mes propos, même si maintenant on se trouve un peu hors contexte.
Pour faire simple, je trouve les fréquentes remarques dudit Pinocio envers GL très très peu élégantes. Surtout de la part d'un admin. GL est systématiquement pris en grippe et tourné en bourrique, oui çà rime..., quelque soit ses propos.
Voilà oui, nous avons tous nos petits et grands travers. Perso, j'ai même la chance d'être dépositaire de très nombreuses malfaçons. Donc OUI à la chatouille occasionnelle. Mais NON à l'abattage public récurrent.
The end for me pour ce sujet.
si GL ne persistait pas dans ce que lui reproche pinoc, ce ne serait pas récurent !
erwin- + membre techno +
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
je remets l'histoire greenpeace, car avec les hors sujets on est arrivé à oublier le principal.
Avec tous les "scandales" alimentaires ou agri montés en épingle, pensez vous que la greenmaffia arrose les journalistes pour mettre l'huile sur le feu ??
Avec tous les "scandales" alimentaires ou agri montés en épingle, pensez vous que la greenmaffia arrose les journalistes pour mettre l'huile sur le feu ??
EtienneCH4 a écrit:pour revenir dans le sujet, un aperçu du dessous des cartes:
dans Economie Matin
<<
Panique dans l'assiette, ils se nourrissent de nos peurs de Gil Rivière-Wekstein publié aux éditions le Publieur en 2017, révèle à ses lecteurs les pratiques fallacieuses qui gangrènent l'industrie agroalimentaire. En voici un extrait :
« En 1998, Greenpeace publie sur Internet une liste noire des produits susceptibles de contenir des OGM”. Il met en cause des groupes comme Nestlé ou United Biscuits après s’être contenté de relever l’utilisation de soja et de maïs, sans réaliser le moindre test pour vérifier la présence d’OGM dans les aliments incriminés ! L’objectif n’en fut pas moins atteint : la plupart des industriels épinglés ont préféré modifier leurs recettes afin d’en exclure tout ingrédient soupçonnable d’être génétiquement modifié. » En faisant plier ces géants de l’industrie agro-alimentaire, Thilo Bode a su redonner la visibilité nécessaire à la multinationale verte et, par la même occasion, la sortir de ses difficultés financières...
Greenpeace cherche à imposer un cahier des charges écolo aux grandes surfaces
Sauf que depuis l’arrêt des cultures OGM dans les principaux pays de l’Union européenne, il est désormais difficile de mobiliser l’opinion publique sur ce non-sujet. En outre, les questions agricoles n’ont jamais vraiment été au cœur des actions de Greenpeace. Toutefois, depuis mai 2015, l’association écologiste radicale a entrepris une série d’initiatives inédites visant à mettre en cause le modèle agricole européen en général, et l’agriculture française en particulier. Et qui dit Greenpeace, dit nécessairement actions spectaculaires.
Ainsi, le 13 mai 2015, une quinzaine de militants professionnels a déployé devant les locaux d’InVivo, une grande structure agricole au chiffre d’affaires de 6,4 milliards d’euros, une banderole accusant ses dirigeants « d’empoisonner les agriculteurs au lieu de les servir ». Le slogan a largement été diffusé sur les réseaux sociaux. L’opération coup de poing s’inscrit dans un plan de communication plus vaste, avec notamment sa campagne européenne « I know who grew it », lancée simultanément. Traduite en français par « Je sais ce que je mange », celle-ci propose aux sympathisants de la multinationale verte de « défier l’agro-business » et de s’engager « pour une agriculture et une alimentation plus saines ». À cette action, s’ajoutent deux autres : le lancement du financement « participatif » dédié à l’« agriculture paysanne » – autrement dit une levée de fonds –, et la « Course Zéro Pesticide », qui consiste à exercer une pression sur les six principales enseignes de la distribution française (Auchan, Carrefour, Casino, E.Leclerc, Intermarché, Système U) afin qu’elles imposent au travers de leur cahier des charges des engagements inaccessibles pour les producteurs de pommes et de pommes de terre.
Greenpeace contribue à la fabrique de la peur
Greenpeace complète l’arsenal de cette campagne avec un site Internet sur lequel figurent deux personnages animés – Reinette la pomme et Nicolas la pomme de terre – représentant « deux des filières empoisonnées par les pesticides ». Point d’orgue de la mobilisation, la multinationale rend public le mois suivant un simulacre de rapport intitulé Pommes empoisonnées : mettre fin à la contamination des vergers par les pesticides grâce à l’agriculture écologique.
Sans surprise, la fabrique de la peur fonctionne et les conclusions alarmistes sont largement reprises dans les principaux médias. « L’alerte de Greenpeace sur les teneurs en pesticides dans les vergers », titre ainsi Le Figaro. « Greenpeace s’attaque aux pommes pleines de pesticides », reprend France Info. « Greenpeace : Les pommes des supermarchés bourrées de pesticides », annonce OuestFrance, tandis que Le Parisien avertit que « les pommes de la grande distribution [sont] produites à grand renfort de pesticides ». Après avoir installé un climat général anxiogène, Greenpeace se focalise ensuite sur une seule enseigne, suivant la technique de communication baptisée name and shame (littéralement « nommer et couvrir de honte ») et développée dans le monde anglo-saxon. Cette méthode consiste à pointer du doigt une entreprise spécifique au motif d’un mauvais comportement. Face à la virulence de telles attaques, même sans fondements légitimes, aucune cible ne peut s’en sortir indemne. C’est ce qu’a vécu l’enseigne E.Leclerc quand elle a été dans le collimateur de l’ONG, avec la campagne antipesticides intitulée « Leclerc obscur ». Greenpeace multiplie les actions : blocage de la centrale d’achats Socamil, mobilisation de leurs militants à Landerneau d’où est originaire Michel-Édouard Leclerc, ainsi qu’une pétition lui demandant « de prendre ses responsabilités ». En juillet 2016, la multinationale verte accentue la pression en rendant publiques des analyses de jus achetés dans un hypermarché E.Leclerc et réalisées par ses soins. Tous les jus, sans exception, contenaient des résidus de pesticides. L’annonce est une fois de plus fortement médiatisée, avec une fausse pub de Greenpeace clamant : « Découvrez le jus multi-pesticides », « Faites aimer les pesticides à vos enfants ». C’en est trop, Michel-Édouard Leclerc capitule et annonce une collaboration avec Greenpeace.
100 % des dons de Greenpeace proviennent de particuliers
Débutée en mai 2015, cette opération s’inscrit dans la logique de sa « machine à sous », comme en témoigne le traditionnel appel aux dons lancé suite à cette multiplication d’actions. « La campagne Agriculture écologique de Greenpeace bat son plein. Face aux dérives manifestes de l’agriculture intensive, Greenpeace met tout en œuvre pour qu’émerge un autre modèle agricole, garantissant une alimentation saine aujourd’hui et demain. De nombreuses activités et publications voient le jour grâce à nos adhérents fidèles ! 100 % de nos dons proviennent des particuliers, comme vous », claironne Greenpeace pour motiver l’appel aux dons. Depuis le lancement de sa « Course Zéro Pesticide » en 2015, Greenpeace adresse chaque année un petit bilan de ses actions à ses sympathisants. Les quelques « avancées » notifiées en février 2017 – dont la belle progression d’E.Leclerc qui occupe désormais la troisième place – sont accompagnées d’un message personnalisé pour obtenir un don : « Afin de continuer notre travail auprès des enseignes et qu’elles poursuivent leurs avancées vers l’élimination des pesticides de leur système de production, nous avons besoin de vous et de votre soutien financier. »
90 % du street marketing est géré par des anciens de Greenpeace
Ce système de collecte de fonds fonctionne depuis 1995 au sein de l’ONG écologiste. À cette époque, Greenpeace Autriche a demandé à une agence spécialisée nommée Dialog Direct d’initier un programme consistant à envoyer ses fameux « recruteurs » dans la rue. Le succès financier est au rendez-vous et Greenpeace International incite la majorité de ses bureaux nationaux à adopter ce programme. C’est ce que fait sa filière française deux ans plus tard. « Notre principale technique de recrutement d’adhérents reste le dialogue direct. Des équipes, dans la rue, proposent aux passants d’adhérer. Cette option est plus efficace que celle qui consiste à attendre passivement devant un stand », confirme Pascal Husting, ancien directeur de Greenpeace France et actuel n°2 de Greenpeace International. « Après une courte formation dans un hôtel, ces équipes battent le pavé pendant quarante heures par semaine pour 8,4 euros l’heure. Les contrats sont de deux semaines, renouvelables si le “rendement“ est bon », note Pierre Kohler dans son livre, publié en 2008. « Nous avons été les développeurs de ce mode opératoire au milieu des années 1990. Aujourd’hui, en France, 90 % du marché du street marketing est géré par des anciens de Greenpeace. Notre choix ? Intégrer cette activité en interne, ce qui génère des taux de recrutement largement supérieurs », confirme Husting. En France, cette « professionnalisation » du militantisme ne s’est toutefois pas faite sans heurts. « Nous sommes sortis de la logique voulant qu’un salarié de Greenpeace soit recruté de manière prioritaire parmi les militants. Ce qui a bien sûr engendré des tensions énormes en interne. Sur les 45 salariés présents au moment de mon arrivée, 25 ont quitté Greenpeace », explique Pascal Husting. Sauf qu’une telle réorganisation de collecte de fonds confiée à des professionnels reste très onéreuse. En effet, presqu’un tiers du budget de Greenpeace France est consacré à récupérer de l’argent – 5,5 millions d’euros sur 18 millions. C’est le lourd constat que révèle un rapport publié par la Cour des Comptes en octobre 2012. Elle déplore d’une part que « plus de 30 % des ressources y sont consacrées », et d’autre part que « la part de l’emploi des ressources au profit des campagnes menées en France par Greenpeace France est minoritaire dans le total de l’emploi des ressources ». La pestophobie étant devenue un grand sport national français, il est tout naturel de retrouver Greenpeace sur ce créneau porteur, car se tromper de thème de campagne peut coûter très cher. « La logique de Greenpeace est de décliner ses campagnes qui font sens et créent de la valeur ajoutée sur l’international, voire le régional », poursuit Pascal Husting. Tout y est parfaitement résumé !
Lien d'achat du livre : http://www.paniquedanslassiette.com/
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à partir de cette démonstration on arrive à comprendre certaines choses !!
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
Je pense qu'il n'y a pas que la greenmafia.
Je pense que l'administration fait aussi de plus en plus attention à la santé publique (sous le poids des lobbys?), et du coup à l'environnement de la population. On a surveillé le tabac, les nitrates, les algues vertes, la pollution des nappes, maintenant c'est les phytos autour des écoles,la pollution des bagnoles... J'oublie les antennes-relais mais je ne sais pas si il y eu un couvre-feu puissant posé par des intérêts puissants.
Pour ces raisons de "santé publique", on va finir par forcer à partir dans une voie sans produits phytos.
Je me demande juste comment doivent dormir les dirigeants des grosses boites de chimie en voyant la tendance de fond de la société.
J'ai entendu une analyse interessante : Monsanto sent le vent tourner sur le glyphosate, qui est sa source de revenus principale, et les actionnaires vendraient donc la boutique tant qu'elle a encore de la valeur.
Il est vrai qu'on n'a pas entendu de violentes passes d'armes comme pour Arcelor et Mittal ou GE et Siemens. Surprenant pour de tels mastodontes.
Je pense que l'administration fait aussi de plus en plus attention à la santé publique (sous le poids des lobbys?), et du coup à l'environnement de la population. On a surveillé le tabac, les nitrates, les algues vertes, la pollution des nappes, maintenant c'est les phytos autour des écoles,la pollution des bagnoles... J'oublie les antennes-relais mais je ne sais pas si il y eu un couvre-feu puissant posé par des intérêts puissants.
Pour ces raisons de "santé publique", on va finir par forcer à partir dans une voie sans produits phytos.
Je me demande juste comment doivent dormir les dirigeants des grosses boites de chimie en voyant la tendance de fond de la société.
J'ai entendu une analyse interessante : Monsanto sent le vent tourner sur le glyphosate, qui est sa source de revenus principale, et les actionnaires vendraient donc la boutique tant qu'elle a encore de la valeur.
Il est vrai qu'on n'a pas entendu de violentes passes d'armes comme pour Arcelor et Mittal ou GE et Siemens. Surprenant pour de tels mastodontes.
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
Bulbi a écrit:Je pense qu'il n'y a pas que la greenmafia..
Greenpeace est une arme commerciale en complément des autres. Elle s'appuie sur un nouveau ressenti de la population. Ses actions sont extrêmement percutantes et efficaces.
https://youtu.be/d74HJ4bbOXk
Au delà de ces campagnes, il faudrait quand même chercher un peu à qui elles servent, vous seriez bien surpris.
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
Bulbi a écrit:Je pense qu'il n'y a pas que la greenmafia.
Je pense que l'administration fait aussi de plus en plus attention à la santé publique (sous le poids des lobbys?), et du coup à l'environnement de la population. On a surveillé le tabac, les nitrates, les algues vertes, la pollution des nappes, maintenant c'est les phytos autour des écoles,la pollution des bagnoles... J'oublie les antennes-relais mais je ne sais pas si il y eu un couvre-feu puissant posé par des intérêts puissants.
Pour ces raisons de "santé publique", on va finir par forcer à partir dans une voie sans produits phytos.
Je me demande juste comment doivent dormir les dirigeants des grosses boites de chimie en voyant la tendance de fond de la société.
J'ai entendu une analyse interessante : Monsanto sent le vent tourner sur le glyphosate, qui est sa source de revenus principale, et les actionnaires vendraient donc la boutique tant qu'elle a encore de la valeur.
Il est vrai qu'on n'a pas entendu de violentes passes d'armes comme pour Arcelor et Mittal ou GE et Siemens. Surprenant pour de tels mastodontes.
T'as entendu ça ou? Parce qu'il s'en dit tellement...
Normalement, aux dernières nouvelles, monsanto gagne surtout de l'argent avec les semences! Le glypho est certainement important mais c'est pas ça qui fait la pérennité de l’entreprise...
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
vivement qu'ils interdisent les médicaments chimique, les lasers, les moteurs thermiques, dont les avions, les centrales électriques, il nous restera quoi? le plomb pour tuer les anti tous lobotomisés sur terreBulbi a écrit:Je pense qu'il n'y a pas que la greenmafia.
Je pense que l'administration fait aussi de plus en plus attention à la santé publique (sous le poids des lobbys?), et du coup à l'environnement de la population. On a surveillé le tabac, les nitrates, les algues vertes, la pollution des nappes, maintenant c'est les phytos autour des écoles,la pollution des bagnoles... J'oublie les antennes-relais mais je ne sais pas si il y eu un couvre-feu puissant posé par des intérêts puissants.
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dgé- schtroumpf grognon du forum
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
pas en zone humide !!
plomb forbidden
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herve56- + membre techno +
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
petit rappel important, la terre sera encore là après nous, donc c'est pas l'action des hommes qui la détruira, peut être d'un homme, mais pas ses citoyens
dgé- schtroumpf grognon du forum
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
dgé la chasse avec des projectiles en plomb et interdit pour risque de saturnive
fusa 32- + membre techno +
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gers 15 km d AUCH
Re: Du bio, toujours plus de bio...
on pensera plus à ça, quand les lobotomisés auront gagnés
dgé- schtroumpf grognon du forum
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
https://www.msn.com/fr-fr/finance/actualite/le-march%C3%A9-fran%C3%A7ais-du-bio-face-%C3%A0-quatre-d%C3%A9fis-majeurs/ar-BBGExmZ?li=BBoJGcB
Invité- Invité
Re: Du bio, toujours plus de bio...
toujours plus de bio oui mais lequel le vrai ou le faux?...le bio d'italie, espagnol,chinois,mélange de pays de l'ue et hors ue comme c'écrit sur l'huile d'olive que ma fille achète en pensant être un produit irréprochable...au final, le vrai bio y'en aura pas pour tout le monde et celui là n'existera pas longtemps si le faux explose les ventes par ses prix proches du conventionnel...trop de bio tuera le bio...
escrito17- + membre techno +
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
Si tu veux tuer la filière bio, c'est simple.
Tu finance un robot désherbeur - cueilleur à 60 ou 70 %, tu te retrouve avec des volumes qui vont devoir passer par un distributeur et on recommence le modèle qui nous a couler en conventionnel.
Tu finance un robot désherbeur - cueilleur à 60 ou 70 %, tu te retrouve avec des volumes qui vont devoir passer par un distributeur et on recommence le modèle qui nous a couler en conventionnel.
GL- + membre techno +
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
faut demander la recette à LactalisIsangie a écrit:...si ce n'est déjà fait...
EtienneCH4- + membre techno +
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Lapenty et Wuhan
Re: Du bio, toujours plus de bio...
Greenpace est une multinationale de la défiance et son objectif est le même que les entreprises qu'il calomnie (le plus souvent): faire du fric. Sa matière première c'est la peur, comme d'autre utilisent l'alminium. Et ils ne sont pas plus regardant que ceux qu'ils attaquent dans les méthodes à utiliser.
Pour moi, ils sont bien pires!!
Pour moi, ils sont bien pires!!
daniel89- + membre techno +
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
Isangie a écrit:...si ce n'est déjà fait...
en tous les cas !
ça n'aide en rien les conventionnels à vendre leurs produits .
jojo22- + membre techno +
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
escrito17 a écrit:toujours plus de bio oui mais lequel le vrai ou le faux?...le bio d'italie, espagnol,chinois,mélange de pays de l'ue et hors ue comme c'écrit sur l'huile d'olive que ma fille achète en pensant être un produit irréprochable...au final, le vrai bio y'en aura pas pour tout le monde et celui là n'existera pas longtemps si le faux explose les ventes par ses prix proches du conventionnel...trop de bio tuera le bio...
Vrai? Faux? Quelle importance puisque l'on sait que les deux se valent??
daniel89- + membre techno +
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
daniel89 a écrit:Greenpace est une multinationale de la défiance et son objectif est le même que les entreprises qu'il calomnie (le plus souvent): faire du fric. Sa matière première c'est la peur, comme d'autre utilisent l'alminium. Et ils ne sont pas plus regardant que ceux qu'ils attaquent dans les méthodes à utiliser.
Pour moi, ils sont bien pires!!
Par contre, ses cibles ne sont pas prises au hasard. Les associations écologistes sont une arme commerciales comme une autre. Leurs avantages est d'être beaucoup moins chères qu'une campagne publicitaire pour faire la différence sur un marché.
GL- + membre techno +
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Re: Du bio, toujours plus de bio...
daniel89 a écrit:Greenpace est une multinationale de la défiance et son objectif est le même que les entreprises qu'il calomnie (le plus souvent): faire du fric. Sa matière première c'est la peur, comme d'autre utilisent l'alminium. Et ils ne sont pas plus regardant que ceux qu'ils attaquent dans les méthodes à utiliser.
Pour moi, ils sont bien pires!!
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erwin- + membre techno +
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