On se fait entuber

Rappel du premier message :

Eleveurs de porc reveillez vous!!! La gms nous vole 20 ctes du kg , c est lamentable. Les groupement laisse faire,les syndicats totalement absent.

Mendoza a écrit:et toi un gros charlot...
des terres ds le 50 
y a une 50 aine d'annonce qui traine partout...

https://www.leboncoin.fr/ventes_immobilieres/1702213691.htm/
https://www.leboncoin.fr/ventes_immobilieres/1769370055.htm/
https://www.leboncoin.fr/ventes_immobilieres/1539168697.htm/
...

arrete de passer pour un guignol

tes annonce d'un coté tu as champrépus la bas il y a tellement de terre ingrate et disponible qu'ils ont préféré y faire un zoo mi foret mi sur cailloux  

et l'autre lien c'est un gars qui veut vendre une fortune des batiment a desamianter surement avec pour carotte quelques ha de terre

Je suis dans le sud du département avec des jeunes partout autour de moi, la pression est énorme, les élevages grossissent.

y a ca ds le 29 
https://www.leboncoin.fr/ventes_immobilieres/1748721882.htm/

le 29 ce n'est pas le 50 ,faire le trajet en tracteur :c'est un peu long

y a bien des gars du nord qui font des terres ds les landes, 
il passe le permis pl et c'est partit...

Mendoza a écrit:y a bien des gars du nord qui font des terres ds les landes, 
il passe le permis pl et c'est partit...

*
et tu penses que c'est  une démarche logique ???

sauf à y faire une exploitation à haute valeur ajoutée subventionnée, comme les sapins de noël sur l'ancienne zone incendiée,

La valeur de nos produits double dès qu’ils rentrent dans une usine
La valeur de nos produits double dès qu’ils rentrent dans une usine alors que c’est l’éleveur qui crée de la valeur ajoutée.

L’aval ne faisant que rajouter son emballage

C’est l’éleveur qui sert de variable d’ajustement (Lire ici Le Télégramme)

La crise sociale et économique qui arrive nous oblige à revoir notre organisation professionnelle.

L’AOP ne servira plus à rien dans 1 ou 6 mois si on accélère pas le mouvement

Que chaque coopérative et groupement continue à multiplier les cahiers des charges, c’est livrer gratuitement les éleveurs à l’aval.

A vouloir garder chacun son pré carré, il n’y aura plus de pré carré ni d’éleveurs de porcs bretons dans le court terme

Plutôt que de profiter de la situation, les abatteurs ont tout à gagner d’une filière production forte réorganisée et garante d’un avenir

Si la situation commerciale est pourrie, le politique est raciste (Lire Ici Le Paysan Breton) et les anti-viandes imaginatifs ( Le Figaro)

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« La terre, je lui ai assez donné »
« La terre, je lui ai assez donné » (Lire ici Le Télégramme et Ouest France)

Jean Yves, était passionné par son métier malgré la dureté de la nature. Un métier dont nos citadins volontaires ont massivement déclaré forfait : trop physique, trop dur (Lire Marianne)

Ce qui ne lui était plus supportable ce sont les contraintes externes sans la contrepartie du prix.

C’est une liste sans fin :

retrait Glyphosate (Lire Terre Net)
les distances minimales (Lire Terre Net)
Le bien être animal (Lire ici)
La protection des loups (Lire La France Agricole)
Les dégâts des choucas (Lire ici Le Télégramme)
Les ONG diaboliques (Lire ici Le Télégramme)
……..
Non Jean Yves ne s’est pas suicidé, il est la victime innocente d’une bureaucratie aveugle et le coupable un bureaucrate au salaire mensuel à 5 chiffres ne sera pas inquiété.

En 2020 l’intelligence artificielle fait de l’humain une marchandise autant que la colonisation en son temps.

On est devant un agriticide
On est devant un agriticide, quoiqu’ils fassent ils sont mis à l’index. Dans le discours des gens, il n’y a plus d’humanité.(Lire l’article Le Télégramme du 13.07.20)

C’est glacial, l’esclavage est présent. Merci Michel Douguet.

Attentes sociétales, montées en gamme, …que ne cessent de répéter nos présidents et directeurs de chambres d’agriculture et nos présidents et directeurs de coopératives qui, multipliant les cahiers de charges, sont coupables d’agriticide.

Aucun agriculteur n’utilise les phytos pour gêner ses voisins.

Aucun éleveur ne maltraite ses animaux.

Avec leur gestion pyramidale et financière, nos dirigeants ont abandonné les paysans aux chiens tous les jours (ref éditorial France Agricole du 10.07.20, ref article France Agricole du 10.07.20, ref article du Télégramme du 11.07.20).

Pourquoi toute cette confidentialité technique et commerciale dans les structures?

Pourquoi l’AOP ne voit pas le jour?

On a oublié que l’alimentation est la priorité des priorités de l’humain, il ne faut pas que les agriculteurs la laissent aux financiers.

A Porelia, on y tient et les éleveurs aussi.

Les enseignes qui progressent le plus sont celles qui axent leur stratégie sur le prix
« Tout le monde s’intéresse aujourd’hui à l’idée de vendre moins cher » Lire Marianne

Adieu une consommation respectueuse de l’environnement et de l’emploi. Vive « les prix bloqués ». » Le meilleur au prix le moins cher » (Lire Marianne)

C’est de l’artillerie lourde. Il va falloir se défendre. Les organisations économiques et politiques feraient une faute grave en refusant d’entendre les JA.

» Nous avons fait la montée en gamme, nous ne devons pas créer de concurrence interne à l’agriculture bretonne mais plutôt s’allier pour faire face à la concurrence européenne » (Lire Ici Terra)

Des propos partagés et complétés par les JA Finistériens « Il faut attirer les agriculteurs et les faire adhérer à des associations d’organisation de producteurs « (AOP).L’avenir passe par là » (Lire Le Télégramme)

Les JA ont mille fois raison et leur avenir leur appartient. Il reste à traduire le projet en réalité. C’est faisable.

Le projet d’AOP des producteurs de porcs est plus âgé que nos JA. Il suffit de lire le compte rendu d’une des premières réunions qui rassemblait l’ensemble des membres de la filière porcine Bretonne qui date du 13 février 1969 (Lire ICI)

A vouloir l’unanimité nous sommes toujours passés à un cheveu d’un vraie AOP

Avec le rappel chronologique de la mise en place des marchés au cadran nous avons le pourquoi et qui reste d’actualité (Voir Ici)

Depuis cette date la situation s’est dégradée

Demain je déjeune avec mon responsable commercialisation du groupement, on verra bien ce qu'il va dire.

S’allier pour faire concurrence aux autres pays » JA 56
« S’allier pour faire concurrence aux autres pays » JA 56 (lire ici Terra)

» Si un abattoir ferme, il faut que nos cochons puissent continuer à partir » (JA29 Terra)

L’AOP se fait désirer, l’historique de chaque groupement ne doit pas lui faire obstacle.

Jusqu’en 2000 certaines coops voyaient l’avenir en s’engageant dans l’aval sans succès.

Ensuite croyant répondre à une attente sociétale, elles créent des cahiers des charges multiples.

Les groupements de l’Est de la Bretagne ont privilégié les cahiers des charges en espérant une meilleure valorisation.

Les groupements de l’Ouest Breton, plus éloignés de Paris, ont fait le choix de la qualité, du prix de revient et du prix de vente. Et cela n’a pas été au détriment de la production. Voir ICI Statistiques Uniporc 2019

Déjà en 1984, Alexis Gourvennec (L’éleveur de Porcs 1984) évoquait l’incidence des choix politiques des coops sur le revenu des producteurs (L’éleveur de Porcs 1984).

A Porelia, l’objectif a été et est toujours la marge aux 100 kgs, premier critère de rentabilité pour le producteur. Chacun aurait tort de s’arc-bouter sur son passé. La qualité évolue positivement et il n’y a plus de porc conventionnel en Bretagne. Tous sont de qualité.

Ainsi l’IC est passé de 3,80 en 1984 à 2,80 en 2020 (L’éleveur de Porcs 1984)

Si 10 % des porcs pourraient être « bio » élevés sur paille et en contrat, les autres 90% élevés sur caillebotis sont soignés, bichonnés, respectent l’environnement doivent être dans le périmètre de l’AOP.

La grille de qualité UNIPORC pourrait avoir le mâle entier comme base avec des valorisation pour le poids, le muscle, les porcs castrés, le Label Rouge.

Reste à transformer dans la réalité le voeu des JA du Morbihan.

Depuis plusieurs mois, voire années, notre production traverse une crise sanitaire sans précédent ; je cite la Fièvre Porcine Africaine. Elle sévit de façon très marquée dans les élevages domestiques dans les pays asiatiques, et surtout en Chine qui avant la crise produisait 50 millions de tonnes de viande de porc, soit 50 % de la production mondiale.

Plus près de chez nous, l’épidémie avance. Après la Belgique il y a 2 ans, c’est l’Allemagne, le plus gros pays producteur en Europe qui est désormais touchée. Impossible à ce jour de prédire les conséquences sur les équilibres commerciaux intra-européens internationaux. Seule certitude pour le moment, 800 000 tonnes de viande exportées sur les pays tiers par les allemands vont se rabattre sur le marché européen en grande partie. Des opportunités peuvent s’ouvrir pour d’autres pays à l’export, dont la France, mais, plus que jamais, l’étiquetage d’origine doit battre son plein auprès du consommateur et de la grande distribution.

Ce qui est vrai dans le porc, l’est tout autant chez les humains quand il s’agit de virus. Cette pandémie Covid19 qui sévit sur la planète depuis fin 2019, aurait dû ramener la société aux fondamentaux, ce dont je doute fort hélas. Souvenons-nous, au début de confinement, les remerciements fusaient de toute part en direction du personnel soignant, des caissières et des agriculteurs qui nous nourrissent : c’est important quand même « la souveraineté alimentaire ». Où en sommes-nous aujourd’hui ? Loin, bien loin de ces belles paroles. A la base on se doutait bien qu’il en serait ainsi !

Notre société vogue au fil de l’eau, des réseaux sociaux, se nourrit de la presse à scandale et s’autodétruit au fil du temps. Ou est le monde d’après ?

Les exemples sont nombreux avec toutes ces associations extrémistes qui dénigrent, sans connaître, notre agriculture, notre travail.

Certains parlementaires, inconscients de leurs actes et de leurs paroles, à la recherche permanente de voix pour les élections futures, sont leur relais et leur apporte un soutien inacceptable ! Dernier exemple en date, la pétition en soutien à l’organisation d’un référendum d’initiative partagée pour la protection des animaux dont une de revendications est la sortie de l’élevage tel qu’on le pratique : plus de 140 parlementaires s’y sont joints ! Je ne commenterai pas les propos du député Lansonneur de Brest qui compare nos élevages familiaux à un « holocauste » et ceci en pleine pandémie Covid19, alors que des personnes de sa ville perdent la vie : ignoble !

Ce constat de misère amène la question : et maintenant, on fait quoi ?

Au siècle dernier, Joseph Schumpeter, économiste autrichien renommé, analysait la classe politique de la façon suivante : « le réflexe, même inconscient, de tout homme politique soucieux d’être élu sera toujours de promettre d’avantage aux consommateurs et d’en faire supporter le coût par les producteurs entrainant ceux-ci à une impasse économique ». Rien n’a changé ! Le dossier castration qui sort des tiroirs juste avant les élections municipales, la caudectomie …

De toute évidence, et malgré tous les discours entendus durant le confinement, notre souveraineté alimentaire n’est pas un souci pour nos gouvernants. Ils ne s’en inquièteront réellement que quand la France, grand pays agricole par excellence, sera dos au mur, et l’on y va tout droit !

A PORELIA, nous sommes catégoriques et affirmons que les responsables politiques devront revoir leur copie, leur discours, leurs actes en revenant à l’essentiel, en ayant à l’esprit compétitivité, distorsions de concurrence et non pas écouter les donneurs de leçon qui souhaitent la mort de l’élevage en France.

Alors que nous discutaillons des objets manipulables minimes, sous optimaux et j’en passe, en Chine, se montent de vrais bunkers à cochons, hauts de neuf étages qui demain seront compétitifs et envahiront nos marchés.

Les deux dernières années ont été favorables économiquement pour les producteurs grâce au déséquilibre offre-demande mondial. On en connait la raison principale. Ce contexte ne doit pas nous faire oublier les missions technico-économiques de nos services qui accompagnent les éleveurs dans la recherche des meilleurs prix de revient aujourd’hui et demain.

Quoiqu’on en dise, notre filière, avec ses faiblesses, est organisée autour des organisations de producteurs, du MPB et d’Uniporc, qui doivent retrouver un nouveau souffle pour préparer l’avenir, et ainsi donner envie aux jeunes de rentrer dans le métier en qualité de chef d’entreprise et non pas d’éleveur soumis aux désidératas de leur amont-aval et de leur groupement.

Dans ce sens, PORELIA, fidèle à ses valeurs, œuvre pour regrouper les organisations amont autour d’une AOP dans l’objectif de redonner un pouvoir plus fort dans la négociation commerciale au producteur. Le projet n’avance pas à l’allure que nous souhaiterions, certains trainent des pieds. Attendent-ils que la filière touche le fond ?

Comme disait Winston Churchill : « ce qu’il y a d’intérêt à propos du fond, c’est que vous ne pouvez pas vous enfoncer plus profondément ». Le problème à ce jeu là, est que ce sont tous les éleveurs qui paient, leurs adhérents y compris, et à terme la filière. Ce dossier monopolise beaucoup d’énergie depuis des mois et, PORELIA dans l’intérêt de tous les éleveurs du grand-ouest souhaite le voir aboutir le plus tôt possible

je n'avais pas lu ton post olmer avec des interventions très interessantes et pertinentes mm si je fais pas de porc.
tes développements sur le porc sont quasi transposables à toutes les activités agricoles et je dirais mm à l'orientation générale des différentes politiques économiques ds tous les domaines ds notre pays en ce moment.
en effet, c'est bien d'ouvrir les yeux et bon de faire certains rappels mais on se demande parfois si on est ds le mm monde. 
N'est on pas finalement comme les abeilles: des ouvriers esclaves travaillant pour une rêne ou un roi...?

Dommage que vous en avez rien a faire, mais 2 coops porelia et evelup font baisser les cours du porc,ils accceptent de vendre à l abattoir voyou escroc de Bernard moin 6 ctes à chaque marché, c est lamentable continuez de rester impassible tout va bien.

Olmer a écrit:Dommage que vous en avez rien a faire, mais 2 coops porelia et evelup font baisser les cours du porc,ils accceptent de vendre à  l abattoir voyou escroc de  Bernard moin 6 ctes à chaque marché, c est lamentable continuez de rester impassible tout va bien.

les bonnets roses sont euthanasiés

Matières premières. A la Saint-Edmond, mieux vaut vendre des lardons et du jambon que des cochons. Faux dicton peut-être, mais tout à fait de saison. Les industriels de la charcuterie se pourlèchent les babines devant la fringale retrouvée des consommateurs confinés pour leur rayon. A l’exemple d’Herta, qui a vu ses ventes bondir de plus de 10 % en 2020. L’entreprise, dont Nestlé a cédé le contrôle à l’espagnol Casa Tarradellas, s’apprête à investir 85 millions d’euros dans ses usines françaises à Saint-Pol-sur-Ternoise (Pas-de-Calais) et à Illkirch (Bas-Rhin). A la clé : davantage de Knacki, de lardons et de Bon Paris.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Le marché mondial du cochon est complètement chamboulé »
Le ciel est bien moins rose pour les éleveurs de cochons. Leur moral est directement corrélé à l’évolution du cours du marché du porc breton à Plérin (Côtes-d’Armor). Alors qu’il caracolait vers les sommets il y a un an, il décroche palier par palier depuis le printemps. Jeudi 26 novembre, il s’approchait de la barre de 1,2 euro le kilo. Le cours du porc a ainsi fondu de près de 30 % en douze mois. Le retour sur terre est d’autant plus rude pour les agriculteurs qu’en parallèle, le prix du maïs comme celui du soja s’enflamme. Le coût de l’auge progresse d’autant, et mange la marge. Quand le cochon n’est plus payant, les éleveurs ne se font pas de lard.

Charcuterie-salaison
Herta va investir 85 millions d’euros en France
Moderniser et renforcer ses capacités de production, poursuivre l’amélioration continue de la qualité de ses produits et fluidifier sa logistique afin de soutenir sa croissance. Tels sont les objectifs de l’industriel Herta, via un plan d’investissement de 85 millions d’euros (M€) annoncé sur les deux prochaines années sur ses sites français.
« En dépit des difficultés liées à cette période, nous poursuivons notre ambition de croissance », indique Arnaud de Belloy, directeur général de Herta, dans un communiqué publié le 26 novembre 2020.

Herta suspend ses achats dans l’élevage visé par L214

C'est quand même bon signe si herta investit en france.

Si c est pour acheter du porc à 1,20€ ,herta peut se permettre d investir, les autres aussi d ailleurs, tant qu il y aura des éleveurs dociles pour vendre en dessous du prix rémunérateurs la filière porcine restera solide!!

quand on voit leurs prix pour autant de plastique que de viande ...  on trouve bien mieux ailleurs dans des jambons sec ou fumés

perso il n'est plus question de payer pour de la flotte additivée !!

Vu la video l214 d herta,comme d habitude aucune plainte de nos coops et groupements, ils en ont rien à foutre,ni de l interpro ni des syndicats!!!!

Olmer a écrit:Si c est pour acheter du porc à  1,20€ ,herta peut se permettre d investir, les autres aussi d ailleurs, tant qu il y aura des éleveurs dociles pour vendre en dessous du prix rémunérateurs la filière porcine restera solide!!

tu as raison 
plus con qu'un agri?

Olmer a écrit:Si c est pour acheter du porc à  1,20€ ,herta peut se permettre d investir, les autres aussi d ailleurs, tant qu il y aura des éleveurs dociles pour vendre en dessous du prix rémunérateurs la filière porcine restera solide!!

Désolé d'essayer de chercher le positif en ces temps incertains.

bingo a écrit:quand on voit leurs prix pour autant de plastique que de viande ...  on trouve bien mieux ailleurs dans des jambons sec ou fumés

perso il n'est plus question de payer pour de la flotte additivée !!

Oui le mieux reste le direct, vient chez moi si tu veux, il ne te restera plus qu'a le mettre en sac.

Olmer a écrit:Vu la video l214 d herta,comme  d habitude aucune plainte de nos coops et groupements, ils en ont rien à  foutre,ni de l interpro ni des syndicats!!!!

faut dire qu'ils n'ont rien à craindre!! il y a de quoi être vraiment dégouté !!

Dernières brèves économiques internationales de l'IFIP - Institut du porc
- Allemagne : la distribution se mobilise pour soutenir les éleveurs de #porcs (11/12)
Suite à l’annonce de Lidl (3/12), le distributeur allemand REWE a aussi décidé d'augmenter le prix de produits porcins allemands (niveau avant #FPA). Les chaînes de distribution ont augmenté de suite les prix de près de 1 €/kg et comptent sur les fournisseurs pour transmettre l'intégralité de ce supplément aux #éleveurs, éventuellement sur une base contractuelle.
- Danemark : Danish Crown projette des investissements record (9/12)
Danish Crown, le + grand #abatteur européen, investira 269 millions d'€ pour améliore leur infrastructure interne (budget de +25 %/prévu en 2020), montant record pour automatiser l'emballage, la palettisation de la #viande, la sécurité au travail et l'environnement, grâce au bénéfice record de Danish Crown 2019/2020. Des sites au Danemark, en Allemagne et autres pays sont ciblés. Les difficultés croissantes de recrutement (et donc de hausse des coûts) et des objectifs environnementaux pour 2030, motivent ces choix.
Jan Peter Van Ferneij Manuela PINEL Ifip

Avant la traditionnelle trêve des fêtes de fin d’année, les abattoirs européens travaillent au maximum de leur capacité (et dans la limite imposée par les mesures barrières) pour répondre à une demande en croissance, notamment sur les marchés intérieurs en vue d’alimenter les rayons des commerce de détail et de la grande distribution.

En FRANCE LIDL a des porcs  du GPPMF ici + du label rouge.  Ya le nom de Christian Richard sur la tête de gondole avec sa femme en photo.
Je pense que LIDL va aider les producteurs en FRANCE

Olmer a écrit:Si c est pour acheter du porc à  1,20€ ,herta peut se permettre d investir, les autres aussi d ailleurs, tant qu il y aura des éleveurs dociles pour vendre en dessous du prix rémunérateurs la filière porcine restera solide!!

j crois que l agri puiss les stocker . meme chos en viande et lait donc on est mal barrré

Et?peux tu traduire

Herta réintègre l'eleveur de porc visé par L214
La préfecture a conclu à la bonne tenue de cet élevage

L’aliment va encor monter.

Avec le climat haussier pour les cours  céréales et oleoprotagineux, les eleveurs commencent a tirer la sonnette d'alarme

sevi a écrit:Avec le climat haussier pour les cours  céréales et oleoprotagineux, les eleveurs commencent a tirer la sonnette d'alarme

Oui et sa va encor monter.

Comme d habitude, impossible de répercuter la hausse de l aliment sur nos prix de vente ! Pourtant la loi egalim voté il ya 2 ans n est pas respecter par la GMS et on peut le dire aussi les coops et groupements, étonnamment aucun syndicats ne porte plainte,étrange non ? Je suis désolé mais nous éleveurs on se laisse faire.......

Je suis né dans les cochons.  Quand j'allais  à Renne au space.   Chez les volailles,  tu avais  un verre d'eau.   Dans la zone "cochon" du "CHAMPAGNE".  Les cochoniers sont pas les derniers pour en envoyer.

Bio37 a écrit:Je suis né dans les cochons.  Quand j'allais  à Renne au space.   Chez les volailles,  tu avais  un verre d'eau.   Dans la zone "cochon" du "CHAMPAGNE".  Les cochoniers sont pas les derniers pour en envoyer.

C’était la bonne époque.

A ce jour, le cour du porc en chine est de 4,17 € kg, c ewt révoltant de voir que l on est pas capable d avoir des prix rémunérateurs, dire que l onpaye des gens dansnos groupements pour avoir un cour à 1,20.
Le travail des coops est minable,pendant que l on travail pendant noël et jour de l an et que ces feignants se tournent les pouces. Ras le bol!!

j' ai apprécié le post vu que je sors de 9 jours de coma artificiel avec intubation

en fait c' est con ce que je vais dire mais on en meurt pas !!!!

Tu aurais mieux fait de rester intuber.......

Olmer a écrit:Tu aurais  mieux fait  de rester intuber.......

c' est pas une situation d' avenir !!!

je ne sais pas si le cochon paye son homme. juste un constat , dans mon secteur se sont les seuls à acheter du foncier. et pas de petits lots.  certains dépassent le kg d'ha. les laitiers ont presque tous disparu. quelques producteurs de pdt arrivent encore.

Olmer a écrit:Comme d habitude, impossible de  répercuter la hausse de l aliment sur nos prix de vente ! Pourtant  la loi egalim voté il ya 2 ans n est pas respecter  par la GMS  et on peut le dire aussi les coops et groupements, étonnamment aucun syndicats  ne porte plainte,étrange  non ? Je suis désolé mais nous éleveurs on se laisse faire.......

on peut tjrs et encore taper sur la nullité des syndicats, je suis le premier, mais...
le pb n'est pas que sur le plan syndical, il est aussi et d'abord au niveau des éleveurs eux-mm qui lorsqu'on essaie de les défendre craignent des représailles de la part de leur groupement alors lorsqu'il y a une réunion pour négocier avec les patrons y'a mm pas la queue d'un éleveur ou si plutôt généralement un ou deux dévoués tjrs les mm qui sont restés, du coup ils sont presque la risée de tout le monde à cause des producteurs (tous planqués syndiqués on non) qui sont restés chez eux en attendant sans doute un miracle.

voilà en gros le résumé de la situation. l'échec de la loi egalim n'est pas étranger à cette faiblesse qui prend sa source ds le silence le plus total du monde agricole.

Aucune coops et groupements n ont porté plainte pour non respect de la loi egalim

Les éleveurs ne sont pas solidaires, chacun sa merde,dommage !!!!!

Olmer a écrit:Les éleveurs  ne sont pas solidaires, chacun sa merde,dommage !!!!!

oui le monde agricole ds toute sa splendeur ce qui laisse des boulevards à toutes les brebis galeuses ds les comité de décisions...

Olmer a écrit:Les éleveurs  ne sont pas solidaires, chacun sa merde,dommage !!!!!

mais il ne dois en rester qu un voyons  !

et pour sauver les IAA faut du minerai pas cher sinon on importe tout fait ....
vive l europe sans taxes !

Les négociations commerciales sont en cour dans les gms,prix bas envisagé avec l accord des groupements et de la fnsea,merci les collabos!!!!