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ogm
Rappel du premier message :
vive les ogm
En mai dernier, l'American Academy of Environmental Medicine (AAEM)a appelé les « médecins à aviser leurs patients, la communautémédicale, et le public d’éviter dans la mesure du possible toutenourriture génétiquement modifiée et fournir des arguments éducatifssur les OGM et leurs risques pour la santé. » Ils ont appelé à unmoratoire sur les OGM, à des études indépendantes de longue durée, et àl'étiquetage.
La monographie de l’AAEM indique : « Plusieursétudes sur animaux montrent de graves risques de santé liés aux denréesalimentaires génétiquement modifiées, » notamment d'infertilité,d’immunité, de vieillissement accéléré, de régulation insulinique, etd’altérations des principaux organes et du système gastro-intestinal.Elle conclut : « Il y a plus qu’une simple association fortuite entreles aliments génétiquement modifiés et les effets néfastes surla santé. Il y a un lien de causalité, » comme le définissent descritères scientifiques reconnus. « La forte association et concordanceentre aliments génétiquement modifiés et maladie est confirmée parplusieurs études sur animaux. »
De plus en plus de médecinsprescrivent déjà un régime alimentaire sans OGM. Le Dr Amy Dean, unspécialiste en médecine interne du Michigan, et membre du conseil del’AAEM signale : « Je conseille vivement à mes patients demanger strictement des aliments non génétiquement modifiés. » JohnBoyles, un médecin allergologue de l’Ohio, déclare : « J’utilisais toutle temps le test pour les allergies au soja, mais maintenant que lesoja est génétiquement modifié, il est si dangereux que je dis aux gensde ne jamais en manger. »
La Doctoresse Jennifer Armstrong,présidente de AAEM, affirme que, « Les médecins voient sans doute leseffets sur leurs patients, mais ont besoin connaître quelles sont lesbonnes questions à poser. » Pushpa M. Bhargava, un biologiste derenommée mondiale, va encore plus loin. Après avoir examiné plus de 600revues scientifiques, il conclut que les OGM sont l’un desprincipaux responsables de la forte détérioration de la santé desÉtasuniens.
Dans la population, le biologiste David Schubert duSalk Institute prévient que « les enfants sont les plus susceptiblesd'être affectés négativement par les toxiques et les autres problèmesalimentaires » liés aux OGM. Il dit que, sans étude adéquate, lesenfants sont transformés en « cobayes. »
La réalité del'expérimentation sur animaux nourris avec des OGM est effrayante.Quand du soja génétiquement modifié (GM) sert à nourrir des rates, laplupart de leurs rejetons meurent dans les trois semaines,comparativement au taux de mortalité de 10% dans le groupe témoinnourri avec du soja naturel. Les petits nourris avec des OGM sont aussiplus petits, et ils ont plus tard des problèmes de fertilité.
Enfait, chez les rats nourris avec du soja GM, la couleur destesticules est changée de rose naturel à bleu foncé. Les souris nourrisavec du soja GM ont leur jeune sperme altéré. Même les embryons dessouris mères nourries avec des OGM ont leur ADN profondément altéré.Dans une étude du gouvernement autrichien, les souris nourries avec dumaïs GM avaient moins de rejetons, et ils étaient aussi plus petits quela normale.
Les problèmes de reproduction accablent aussi lebétail. Des investigations dans l'État de Haryana, en Inde, ont révéléque la plupart des buffles qui ont mangé des graines de coton GM ontdes complications du style accouchement prématuré, avortement,stérilité, et utérus prolabé (déplacé vers le bas). Beaucoup de veauxsont morts. Aux États-Unis, environ deux douzaines de fermiers ontsignalé que des milliers de porcs sont devenus stériles aprèsavoir consommé certaines variétés de maïs GM. Certaines truies ont faitune grossesse nerveuse (false pregnancies), d'autres ont accouché depoches d'eau. Des vaches et des taureaux sont aussi devenues stérilesaprès avoir été nourris avec le même maïs.
Aliment conçu pour produire des poisons
Lemaïs et le coton GM sont conçus pour produire leur proprepesticide, sécrété par chaque cellule. Lorsqu’un insecte mord laplante, le poison lui délabre l’estomac et le tue. Les compagnies debiotechnologie prétendent que le pesticide, appelé Bt (produit à partirde la bactérie du sol Bacillus thuringiensis), a une traditiond'utilisation sûre, car les agriculteurs biologiques et les autresutilisent la bactérie Bt en pulvérisation pour contenir naturellementles insectes.
Pourtant, dans les plantes GM, la toxine Btproduite est des milliers de fois plus concentrée que la Bt naturelledes aérosols, est conçue pour être plus toxique, a les propriétés d'unallergène, et, contrairement celle de l'aérosol, les plantes ne peuventpas s’en débarrasser.
Et par-dessus tout ça, des étudesconfirment que même les aérosols bactériens naturels moins toxiquessont nocifs. Quand ils ont été dispersés par avion pour tuer lalymantride spongieuse dans le nord-ouest du Pacifique, environ 500personnes ont signalé une allergie ou des symptômes semblables à ceuxde la grippe. Certains ont dû aller aux urgences. Les symptômessont exactement les mêmes que ceux rapportés actuellement par lestravailleurs agricoles, partout en Inde où on manipule du coton Bt. En2008, se basant sur des dossiers médicaux, le Sunday India a rapporté,« Les victimes de démangeaisons ont augmenté énormément cette année...dans l'agriculture liée au coton Bt. »
L’American Academy ofEnvironmental Medicine déclare, « De multiples études animales montrentun important dérèglement immunitaire, » notamment l’augmentation descytokines, qui sont « associée à l'asthme, à l'allergie et auxinflammations, » tous en hausse aux États-Unis.
Selon le DrArpad Pusztai, expert en sécurité sur les OGM, les changements dans lacondition immunitaire des animaux sont « une particularitéconstante dans toute étude sur les OGM. » Même les propres recherchesde Monsanto ont montré d'importantes modifications dans le systèmeimmunitaire des rats nourris avec du maïs Bt. Une étude de novembre2008, conduite par le gouvernement italien, a également constaté uneréaction immunitaire des souris au maïs Bt.
Le soja et le maïsGM contiennent chacun deux nouvelles protéines dotées de propriétésallergéniques, le soja GM a jusqu'à sept fois plus d’inhibiteurde trypsine, un allergène connu du soja, et les tests par piqûre de lapeau montrent que certaines personnes réagissent au soja GM, mais pasau soja non GM. Peu après l’introduction du soja GM auRoyaume-Uni, les allergies au soja ont explosé de 50%. Peut-être quel'épidémie d'allergies alimentaires et d'asthme aux États-Unis est unaccident de la manipulation génétique.
En Inde, les animauxpaissent sur les plantations de coton après récolte. Mais quand lesbergers ont laissé les moutons paître sur des plantations de coton Bt,des milliers sont morts. Les autopsies ont révélé une graveirritation et des taches noires à la fois dans les intestins et dans lefoie (ainsi que les voies biliaires élargies). Les enquêteurs ontdéclaré que les premiers indices « suggèrent fortement que la mortalitédes moutons est due à une toxine, très probablement à la toxine Bt. »Lors d’une petite étude de longue durée de la Deccan DevelopmentSociety, tous les moutons nourris avec des plants de coton Bt sontmorts dans les 30 jours, ceux qui pâturaient sur des plantations decoton naturel sont restés en bonne santé.
Dans un petit villagede l'Andhra Pradesh, les buffles ont pâturé sur des plantations decoton pendant huit ans sans problème. Le 3 janvier 2008, les bufflesont pâturé sur les plantations de coton Bt pour la première fois.Le lendemain, les 13 étaient tous malades ; tous sont morts en 3 jours.Le maïs Bt a aussi été impliqué dans la mort de vaches en Allemagne, etde chevaux, de buffles et de poulets dans les Philippines.
Dansdes études de laboratoire, deux fois quantité de poulets nourrisavec du maïs Liberty Link sont morts ; 7 des 20 rats nourris avec unetomate GM ont manifesté des saignements stomacaux ; dans une autre, 7sur 40 sont morts en deux semaines. Selon GE Seralini, un grandtoxicologue français, une propre étude de Monsanto a montré des signesd'intoxication dans les principaux organes des rats nourris avec dumaïs Bt.
La pire trouvaille de toutes : Les OGM demeurent en nous
Laseule étude publiée sur l'alimentation humaine a révélé ce quipourrait être le plus dangereux problème des OGM. Le gène inséré dansle soja GM se transfère dans l'ADN des bactéries qui vivent dans nosintestins et continue sa fonction. Cela signifie que, longtemps aprèsavoir arrêté de manger des OGM, des protéines GM potentiellementdangereuses peuvent encore être produites sans cesse à l'intérieur denous. Dit plus simplement, manger une croustille de maïs, produite àpartir de maïs Bt, peut, peut-être pour le reste de notrevie, transformer les bactéries vivant dans nos intestins en fabriquesde pesticides.
Quand la preuve du transfert des gènes estrapportée lors de conférences médicales aux Etats-Unis, les médecinsréagissent souvent en faisant allusion à la très forte augmentation deproblèmes gastro-intestinaux chez les patients au cours de la dernièredécennie. Les aliments GM pourraient être en train de coloniser laflore intestinale des Nord-Américains.
Les scientifiques de laFood and Drug Administration (FDA) avait avisé de tous ces problèmesdès le début des années 90. Selon des documents rendus publics lorsd'un procès, le consensus scientifique à l'agence était que lesOGM sont dangereux par nature, et risquent de créer des allergies,des empoisonnements, des transferts de gènes vers les bactériesintestinales, de nouvelles maladies, et des problèmes nutritionnelsdifficiles à détecter. Ils ont vivement conseillé à leurs supérieursd'exiger des tests de longue durée rigoureux. Mais la Maison Blanche aordonné à l’agence de promouvoir la biotechnologie, et la FDA a réagien recrutant Michael Taylor, l'ancien conseiller juridique de Monsanto,à la tête de la formation sur la politique des OGM. Cette politique,qui est en vigueur aujourd'hui, refuse de reconnaître les inquiétudesdes scientifiques et déclare qu'aucune étude de sécuritén’est nécessaire pour les OGM. C’est à Monsanto et aux autrescompagnies de biotechnologie de déterminer si leurs aliments sont sansdanger. M. Taylor est devenu plus tard vice président de Monsanto.
L’AmericanAcademy of Environmental Medicine déclare, « Les aliments GM n'ont pasété convenablement testés » et « présentent un grave risque pourla santé. » Pas un seul essai clinique humain sur les OGM n’a étépublié. En 2007, un examen de la littérature scientifique publiée surles « effets toxiques potentiels et les risques pour la santé desplantes génétiquement modifiées, » a révélé que « les donnéesexpérimentales sont très rares. » L'auteur conclut son examen endemandant : « Où est la preuve scientifique démontrantl’innocuité toxicologique des plantes et des aliments GM, comme celaest supposé par les compagnies de biotechnologie ? »
Le célèbregénéticien canadien David Suzuki répond : « Les expériences n'ont toutsimplement pas été faites et nous devons devenir maintenantdes cobayes. » Il ajoute : « À toute personne affirmant : "Oh, noussavons que c’est parfaitement sûr", je dis qu’il est soitincroyablement stupide, soit qu’il ment délibérément. »
Le DrSchubert fait remarquer, « S'il y a quelque problème, il nesera probablement jamais connu, car on ne pourra pas remonter à sacause et de nombreuses maladies prennent beaucoup de temps à sedévelopper. » Si les OGM produisaient un effet immédiat et dessymptômes cuisants avec une signature unique, peut-être aurions-nousune chance de remonter à la cause.
C'est précisément ce qui estarrivé lors d'une épidémie aux États-Unis à la fin des années 80. Lamaladie avait une action rapide, mortelle, et provoquait un changementmesurable dans le sang, mais il a fallu plus de quatre ans avantd’identifier l’épidémie en train de sévir. Elle tua jusque-làenviron cent Étasuniens et fit tomber malade ou handicapa cinq à dixmille personnes. Elle fut provoquée par une sorte particulière decomplément alimentaire du génie génétique, appelé L-tryptophane.
Sid'autres aliments GM contribuent à accroître l'autisme, l'obésité,le diabète, l'asthme, le cancer, les maladies cardiaques, lesallergies, la stérilité, ou tout autre problème de santé dont souffreles Étasuniens, nous ne pourrons jamais le savoir. En fait, puisque lesanimaux nourris avec des OGM ont beaucoup de problèmes divers, les genssensibles peuvent réagir aux aliments génétiquement modifiés par demultiples symptômes. Il est par conséquent révélateur que, dans lesneuf premières années après l'introduction des cultures GM à grandeéchelle en 1996, l'incidence des gens ayant trois maladies chroniquesou plus a presque doublé, passant de 7% à 13%.
Pour aider àdéterminer si les OGM sont à l'origine de dommages, l’AAEM demande àses « membres, à la communauté médicale, et à lacommunauté scientifique indépendante de rassembler les études des caséventuellement liés à la consommation des OGM et à leurs effets sur lasanté, de commencer des recherches épidémiologiques pour étudier lerôle des OGM sur la santé humaine, et de mettre en œuvre des méthodesde sécurité pour déterminer les effets des OGM sur la santé humaine. »
Lescitoyens n'ont pas besoin de l’avis des médecins pour éviter lesOGM. Les gens peuvent se tenir à l'écart de tout ce qui contient desproduits dérivés du soja et du maïs, de l'huile de coton et de colza,et du sucre de betteraves GM, à moins qu’ils soient dits organiques ou« sans OGM. »
Même si seulement un petit pourcentage de genschoisissent des marques sans OGM, l'industrie alimentaire réagira sansdoute comme elle l’a fait en Europe, en supprimant tous les ingrédientsGM. Ainsi, la prescription sans OGM de l'American Academy ofEnvironmental Medicine pourrait devenir un tournant dans l’alimentationaux États-Unis.
Jeffrey M. Smith, le directeur exécutif del'Institute for Responsible Technology, est le principal interprète surles dangers sanitaires des OGM. Son premier livre [traduit enfrançais], Semences de tromperies est un best-seller mondial sur lesujet. Son second livre, Genetic Roulette : The Documented Health Risksof Genetically Engineered Foods, identifie 65 dangers potentiels desOGM et démontre à quel point les approbations gouvernementales sontsuperficielle et incompétentes pour la plupart d'entre eux. Il a invitéla biotechnologie à répondre par écrit, avec des preuves allant àl’encontre de chaque danger, mais a prédit avec justesse qu'ellerefuserait, puisqu’elles ne disposent d’aucune donnée démontrantl’innocuité de ses produits.
Original : www.sentienttimes.com/09/June_July_09/doctors.html
vive les ogm
En mai dernier, l'American Academy of Environmental Medicine (AAEM)a appelé les « médecins à aviser leurs patients, la communautémédicale, et le public d’éviter dans la mesure du possible toutenourriture génétiquement modifiée et fournir des arguments éducatifssur les OGM et leurs risques pour la santé. » Ils ont appelé à unmoratoire sur les OGM, à des études indépendantes de longue durée, et àl'étiquetage.
La monographie de l’AAEM indique : « Plusieursétudes sur animaux montrent de graves risques de santé liés aux denréesalimentaires génétiquement modifiées, » notamment d'infertilité,d’immunité, de vieillissement accéléré, de régulation insulinique, etd’altérations des principaux organes et du système gastro-intestinal.Elle conclut : « Il y a plus qu’une simple association fortuite entreles aliments génétiquement modifiés et les effets néfastes surla santé. Il y a un lien de causalité, » comme le définissent descritères scientifiques reconnus. « La forte association et concordanceentre aliments génétiquement modifiés et maladie est confirmée parplusieurs études sur animaux. »
De plus en plus de médecinsprescrivent déjà un régime alimentaire sans OGM. Le Dr Amy Dean, unspécialiste en médecine interne du Michigan, et membre du conseil del’AAEM signale : « Je conseille vivement à mes patients demanger strictement des aliments non génétiquement modifiés. » JohnBoyles, un médecin allergologue de l’Ohio, déclare : « J’utilisais toutle temps le test pour les allergies au soja, mais maintenant que lesoja est génétiquement modifié, il est si dangereux que je dis aux gensde ne jamais en manger. »
La Doctoresse Jennifer Armstrong,présidente de AAEM, affirme que, « Les médecins voient sans doute leseffets sur leurs patients, mais ont besoin connaître quelles sont lesbonnes questions à poser. » Pushpa M. Bhargava, un biologiste derenommée mondiale, va encore plus loin. Après avoir examiné plus de 600revues scientifiques, il conclut que les OGM sont l’un desprincipaux responsables de la forte détérioration de la santé desÉtasuniens.
Dans la population, le biologiste David Schubert duSalk Institute prévient que « les enfants sont les plus susceptiblesd'être affectés négativement par les toxiques et les autres problèmesalimentaires » liés aux OGM. Il dit que, sans étude adéquate, lesenfants sont transformés en « cobayes. »
La réalité del'expérimentation sur animaux nourris avec des OGM est effrayante.Quand du soja génétiquement modifié (GM) sert à nourrir des rates, laplupart de leurs rejetons meurent dans les trois semaines,comparativement au taux de mortalité de 10% dans le groupe témoinnourri avec du soja naturel. Les petits nourris avec des OGM sont aussiplus petits, et ils ont plus tard des problèmes de fertilité.
Enfait, chez les rats nourris avec du soja GM, la couleur destesticules est changée de rose naturel à bleu foncé. Les souris nourrisavec du soja GM ont leur jeune sperme altéré. Même les embryons dessouris mères nourries avec des OGM ont leur ADN profondément altéré.Dans une étude du gouvernement autrichien, les souris nourries avec dumaïs GM avaient moins de rejetons, et ils étaient aussi plus petits quela normale.
Les problèmes de reproduction accablent aussi lebétail. Des investigations dans l'État de Haryana, en Inde, ont révéléque la plupart des buffles qui ont mangé des graines de coton GM ontdes complications du style accouchement prématuré, avortement,stérilité, et utérus prolabé (déplacé vers le bas). Beaucoup de veauxsont morts. Aux États-Unis, environ deux douzaines de fermiers ontsignalé que des milliers de porcs sont devenus stériles aprèsavoir consommé certaines variétés de maïs GM. Certaines truies ont faitune grossesse nerveuse (false pregnancies), d'autres ont accouché depoches d'eau. Des vaches et des taureaux sont aussi devenues stérilesaprès avoir été nourris avec le même maïs.
Aliment conçu pour produire des poisons
Lemaïs et le coton GM sont conçus pour produire leur proprepesticide, sécrété par chaque cellule. Lorsqu’un insecte mord laplante, le poison lui délabre l’estomac et le tue. Les compagnies debiotechnologie prétendent que le pesticide, appelé Bt (produit à partirde la bactérie du sol Bacillus thuringiensis), a une traditiond'utilisation sûre, car les agriculteurs biologiques et les autresutilisent la bactérie Bt en pulvérisation pour contenir naturellementles insectes.
Pourtant, dans les plantes GM, la toxine Btproduite est des milliers de fois plus concentrée que la Bt naturelledes aérosols, est conçue pour être plus toxique, a les propriétés d'unallergène, et, contrairement celle de l'aérosol, les plantes ne peuventpas s’en débarrasser.
Et par-dessus tout ça, des étudesconfirment que même les aérosols bactériens naturels moins toxiquessont nocifs. Quand ils ont été dispersés par avion pour tuer lalymantride spongieuse dans le nord-ouest du Pacifique, environ 500personnes ont signalé une allergie ou des symptômes semblables à ceuxde la grippe. Certains ont dû aller aux urgences. Les symptômessont exactement les mêmes que ceux rapportés actuellement par lestravailleurs agricoles, partout en Inde où on manipule du coton Bt. En2008, se basant sur des dossiers médicaux, le Sunday India a rapporté,« Les victimes de démangeaisons ont augmenté énormément cette année...dans l'agriculture liée au coton Bt. »
L’American Academy ofEnvironmental Medicine déclare, « De multiples études animales montrentun important dérèglement immunitaire, » notamment l’augmentation descytokines, qui sont « associée à l'asthme, à l'allergie et auxinflammations, » tous en hausse aux États-Unis.
Selon le DrArpad Pusztai, expert en sécurité sur les OGM, les changements dans lacondition immunitaire des animaux sont « une particularitéconstante dans toute étude sur les OGM. » Même les propres recherchesde Monsanto ont montré d'importantes modifications dans le systèmeimmunitaire des rats nourris avec du maïs Bt. Une étude de novembre2008, conduite par le gouvernement italien, a également constaté uneréaction immunitaire des souris au maïs Bt.
Le soja et le maïsGM contiennent chacun deux nouvelles protéines dotées de propriétésallergéniques, le soja GM a jusqu'à sept fois plus d’inhibiteurde trypsine, un allergène connu du soja, et les tests par piqûre de lapeau montrent que certaines personnes réagissent au soja GM, mais pasau soja non GM. Peu après l’introduction du soja GM auRoyaume-Uni, les allergies au soja ont explosé de 50%. Peut-être quel'épidémie d'allergies alimentaires et d'asthme aux États-Unis est unaccident de la manipulation génétique.
En Inde, les animauxpaissent sur les plantations de coton après récolte. Mais quand lesbergers ont laissé les moutons paître sur des plantations de coton Bt,des milliers sont morts. Les autopsies ont révélé une graveirritation et des taches noires à la fois dans les intestins et dans lefoie (ainsi que les voies biliaires élargies). Les enquêteurs ontdéclaré que les premiers indices « suggèrent fortement que la mortalitédes moutons est due à une toxine, très probablement à la toxine Bt. »Lors d’une petite étude de longue durée de la Deccan DevelopmentSociety, tous les moutons nourris avec des plants de coton Bt sontmorts dans les 30 jours, ceux qui pâturaient sur des plantations decoton naturel sont restés en bonne santé.
Dans un petit villagede l'Andhra Pradesh, les buffles ont pâturé sur des plantations decoton pendant huit ans sans problème. Le 3 janvier 2008, les bufflesont pâturé sur les plantations de coton Bt pour la première fois.Le lendemain, les 13 étaient tous malades ; tous sont morts en 3 jours.Le maïs Bt a aussi été impliqué dans la mort de vaches en Allemagne, etde chevaux, de buffles et de poulets dans les Philippines.
Dansdes études de laboratoire, deux fois quantité de poulets nourrisavec du maïs Liberty Link sont morts ; 7 des 20 rats nourris avec unetomate GM ont manifesté des saignements stomacaux ; dans une autre, 7sur 40 sont morts en deux semaines. Selon GE Seralini, un grandtoxicologue français, une propre étude de Monsanto a montré des signesd'intoxication dans les principaux organes des rats nourris avec dumaïs Bt.
La pire trouvaille de toutes : Les OGM demeurent en nous
Laseule étude publiée sur l'alimentation humaine a révélé ce quipourrait être le plus dangereux problème des OGM. Le gène inséré dansle soja GM se transfère dans l'ADN des bactéries qui vivent dans nosintestins et continue sa fonction. Cela signifie que, longtemps aprèsavoir arrêté de manger des OGM, des protéines GM potentiellementdangereuses peuvent encore être produites sans cesse à l'intérieur denous. Dit plus simplement, manger une croustille de maïs, produite àpartir de maïs Bt, peut, peut-être pour le reste de notrevie, transformer les bactéries vivant dans nos intestins en fabriquesde pesticides.
Quand la preuve du transfert des gènes estrapportée lors de conférences médicales aux Etats-Unis, les médecinsréagissent souvent en faisant allusion à la très forte augmentation deproblèmes gastro-intestinaux chez les patients au cours de la dernièredécennie. Les aliments GM pourraient être en train de coloniser laflore intestinale des Nord-Américains.
Les scientifiques de laFood and Drug Administration (FDA) avait avisé de tous ces problèmesdès le début des années 90. Selon des documents rendus publics lorsd'un procès, le consensus scientifique à l'agence était que lesOGM sont dangereux par nature, et risquent de créer des allergies,des empoisonnements, des transferts de gènes vers les bactériesintestinales, de nouvelles maladies, et des problèmes nutritionnelsdifficiles à détecter. Ils ont vivement conseillé à leurs supérieursd'exiger des tests de longue durée rigoureux. Mais la Maison Blanche aordonné à l’agence de promouvoir la biotechnologie, et la FDA a réagien recrutant Michael Taylor, l'ancien conseiller juridique de Monsanto,à la tête de la formation sur la politique des OGM. Cette politique,qui est en vigueur aujourd'hui, refuse de reconnaître les inquiétudesdes scientifiques et déclare qu'aucune étude de sécuritén’est nécessaire pour les OGM. C’est à Monsanto et aux autrescompagnies de biotechnologie de déterminer si leurs aliments sont sansdanger. M. Taylor est devenu plus tard vice président de Monsanto.
L’AmericanAcademy of Environmental Medicine déclare, « Les aliments GM n'ont pasété convenablement testés » et « présentent un grave risque pourla santé. » Pas un seul essai clinique humain sur les OGM n’a étépublié. En 2007, un examen de la littérature scientifique publiée surles « effets toxiques potentiels et les risques pour la santé desplantes génétiquement modifiées, » a révélé que « les donnéesexpérimentales sont très rares. » L'auteur conclut son examen endemandant : « Où est la preuve scientifique démontrantl’innocuité toxicologique des plantes et des aliments GM, comme celaest supposé par les compagnies de biotechnologie ? »
Le célèbregénéticien canadien David Suzuki répond : « Les expériences n'ont toutsimplement pas été faites et nous devons devenir maintenantdes cobayes. » Il ajoute : « À toute personne affirmant : "Oh, noussavons que c’est parfaitement sûr", je dis qu’il est soitincroyablement stupide, soit qu’il ment délibérément. »
Le DrSchubert fait remarquer, « S'il y a quelque problème, il nesera probablement jamais connu, car on ne pourra pas remonter à sacause et de nombreuses maladies prennent beaucoup de temps à sedévelopper. » Si les OGM produisaient un effet immédiat et dessymptômes cuisants avec une signature unique, peut-être aurions-nousune chance de remonter à la cause.
C'est précisément ce qui estarrivé lors d'une épidémie aux États-Unis à la fin des années 80. Lamaladie avait une action rapide, mortelle, et provoquait un changementmesurable dans le sang, mais il a fallu plus de quatre ans avantd’identifier l’épidémie en train de sévir. Elle tua jusque-làenviron cent Étasuniens et fit tomber malade ou handicapa cinq à dixmille personnes. Elle fut provoquée par une sorte particulière decomplément alimentaire du génie génétique, appelé L-tryptophane.
Sid'autres aliments GM contribuent à accroître l'autisme, l'obésité,le diabète, l'asthme, le cancer, les maladies cardiaques, lesallergies, la stérilité, ou tout autre problème de santé dont souffreles Étasuniens, nous ne pourrons jamais le savoir. En fait, puisque lesanimaux nourris avec des OGM ont beaucoup de problèmes divers, les genssensibles peuvent réagir aux aliments génétiquement modifiés par demultiples symptômes. Il est par conséquent révélateur que, dans lesneuf premières années après l'introduction des cultures GM à grandeéchelle en 1996, l'incidence des gens ayant trois maladies chroniquesou plus a presque doublé, passant de 7% à 13%.
Pour aider àdéterminer si les OGM sont à l'origine de dommages, l’AAEM demande àses « membres, à la communauté médicale, et à lacommunauté scientifique indépendante de rassembler les études des caséventuellement liés à la consommation des OGM et à leurs effets sur lasanté, de commencer des recherches épidémiologiques pour étudier lerôle des OGM sur la santé humaine, et de mettre en œuvre des méthodesde sécurité pour déterminer les effets des OGM sur la santé humaine. »
Lescitoyens n'ont pas besoin de l’avis des médecins pour éviter lesOGM. Les gens peuvent se tenir à l'écart de tout ce qui contient desproduits dérivés du soja et du maïs, de l'huile de coton et de colza,et du sucre de betteraves GM, à moins qu’ils soient dits organiques ou« sans OGM. »
Même si seulement un petit pourcentage de genschoisissent des marques sans OGM, l'industrie alimentaire réagira sansdoute comme elle l’a fait en Europe, en supprimant tous les ingrédientsGM. Ainsi, la prescription sans OGM de l'American Academy ofEnvironmental Medicine pourrait devenir un tournant dans l’alimentationaux États-Unis.
Jeffrey M. Smith, le directeur exécutif del'Institute for Responsible Technology, est le principal interprète surles dangers sanitaires des OGM. Son premier livre [traduit enfrançais], Semences de tromperies est un best-seller mondial sur lesujet. Son second livre, Genetic Roulette : The Documented Health Risksof Genetically Engineered Foods, identifie 65 dangers potentiels desOGM et démontre à quel point les approbations gouvernementales sontsuperficielle et incompétentes pour la plupart d'entre eux. Il a invitéla biotechnologie à répondre par écrit, avec des preuves allant àl’encontre de chaque danger, mais a prédit avec justesse qu'ellerefuserait, puisqu’elles ne disposent d’aucune donnée démontrantl’innocuité de ses produits.
Original : www.sentienttimes.com/09/June_July_09/doctors.html
Re: ogm
en pomme de terre ,j'ai des clients tout les jours !!!
rare sont ceux qui posent des questions sur les traitements !!!sauf en ce qui concerne les anti germe !!pres de la moitié n'en souhaite pas !
c'est surprenant !
rare sont ceux qui posent des questions sur les traitements !!!sauf en ce qui concerne les anti germe !!pres de la moitié n'en souhaite pas !
c'est surprenant !
hermine 22- + membre techno +
- département : 22
Messages : 37831
Date d'inscription : 23/10/2009
Age : 74
bretagne
Re: ogm
La vente directe, c'est une bonne idée, et probablement une technique intéressante pour le paysan, mais je constate que ceux qui le font sont généralement sur des fermes où il y a pléthore de main d'oeuvre, tout simplement parce que on ne peut pas à la fois s'occuper des champs ou des animaux et être au marché du patelin ou dans la boutique à servir le client, donc ce n'est pas appliquable partout, notamment à l'heure où l'agriculture compte de moins en moins de bras pour travailler; alors, à moins d'un énorme exode urbain .....
Franki- interdit de cachot
- Messages : 11890
Date d'inscription : 14/09/2009
Loir-et-Cher / Beauce / 113 ha
Re: ogm
ou ce sont des petites structures qui n'ont pas pu/voulu s'étendre. je connais un gaec où ils bossent à 7-8 avec 30 vl en bio, et 70 à 100 ha, tout le lait devient fromage, vente de pain également.
Invité- Invité
Re: ogm
J'étais sur une ferme de montagne.
- 70 Ha
- tout ce qui sort de la ferme est transformé
- 5 personnes y travaillent
- le magasin du groupement de producteur fait 2 millions d'€ de CA.
- 70 Ha
- tout ce qui sort de la ferme est transformé
- 5 personnes y travaillent
- le magasin du groupement de producteur fait 2 millions d'€ de CA.
GL- + membre techno +
- Messages : 24948
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 110
Assis
Re: ogm
GL a écrit:J'étais sur une ferme de montagne.
- 70 Ha
- tout ce qui sort de la ferme est transformé
- 5 personnes y travaillent
- le magasin du groupement de producteur fait 2 millions d'€ de CA.
Encore faut'il que ce que produit la "ferme" soit transformable et vendable sur place.
Je vois mal un ferme typique de ma région qui produit 30 % de colza,30% de blé, 30 % d'orge, faire de la vente directe!!
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Re: ogm
daniel89 a écrit:GL a écrit:J'étais sur une ferme de montagne.
- 70 Ha
- tout ce qui sort de la ferme est transformé
- 5 personnes y travaillent
- le magasin du groupement de producteur fait 2 millions d'€ de CA.
Encore faut'il que ce que produit la "ferme" soit transformable et vendable sur place.
Je vois mal un ferme typique de ma région qui produit 30 % de colza,30% de blé, 30 % d'orge, faire de la vente directe!!
Sur cette ferme, tu fait pas de blé, de colza ou d'orge. Les tracteurs passent tout juste en crabe (4 roues directrices).
Les céréaliers ont "choisis" de ne pas transformer. Dans d'autres régions le choix n'était pas le même. Il faut dire qu'on à bien aider les grandes plaines à se désaisir de la valeur ajoutée de leur production.
La PAC de 92 était de cette nature.
Pour revenir au sujet, en 92 il y avait le modèle maïs soja "importé" dans la valise. On en mesure aujourd'hui les conséquences chez les laitiers.
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Re: ogm
Pesticides : une évaluation défaillante
MICHEL DE MUELENAERE
vendredi 28 septembre 2012, 23:41
Pesticide, OGM, les tests préalables à la mise sur le marché sont gravement insuffisants, dénonce un spécialiste en phytopharmacie de l'université de Gembloux.
Pesticides : une évaluation défaillante
AFP
L'évaluation actuelle des pesticides est dangereusement déficiente. Les modèles de tests sont obsolètes et leurs paramètres sont faux. C'est le discours iconoclaste que tiendra le responsable du laboratoire de phytopharmacie de l'université de Gembloux Agro-Biotech (Ulg) lors de la rentrée académique, ce mardi. Pour Bruno Schiffers, les tests sur des rats effectués préalablement à la mise sur le marché sont trop courts. Ils ne portent que sur 90 jours, alors que les effets chroniques de certains produits phytopharmaceutiques (cancers, Parkinson, altération des fonctions cognitives…) apparaissent après des années. C'est ce qu'ont montré plusieurs études effectuées auprès d'agriculteurs.
Des conditions de test irréalistes
Les tests n'étudient que les effets d'une ingestion, alors que c'est l'exposition de la peau, voire l'inhalation, qui sont les plus fréquentes, et pas toujours moins dangereuses. Troisième critique : les évaluations portent sur les substances actives, pas sur les produits avec leurs additifs habituels ou sur des combinaisons de produits. On teste donc des conditions qui ne correspondent pas à la réalité de l'utilisation.
« Quand on n'est pas capable d'évaluer correctement les risques d'une technologie, il faut prendre en compte l'hypothèse la plus pessimiste, insiste Schiffers. Pour les agriculteurs et la population en général, il est indispensable de prévoir un système d'évaluation a posteriori des produits ». Le même raisonnement vaut pour les OGM, affirme l'expert.
Des qualités usurpées
Pour Schiffers, les vertus que l'on accorde aux pesticides sont usurpées. Il est nécessaire de diminuer leur utilisation et, à terme, s'en passer. La recherche actuelle explore des voies alternatives, affirme-t-il. Et les agriculteurs eux-mêmes sont capables de trouver des solutions, comme dans le cas de l'agriculture biologique.
http://www.lesoir.be/archives?url=/actualite/sciences/2012-09-28/pesticides-une-evaluation-defaillante-940393.php
Re: ogm
Pour Schiffers, les vertus que l'on accorde aux pesticides sont usurpées. Il est nécessaire de diminuer leur utilisation et, à terme, s'en passer. La recherche actuelle explore des voies alternatives, affirme-t-il. Et les agriculteurs eux-mêmes sont capables de trouver des solutions, comme dans le cas de l'agriculture biologique.
Il est possible que les évaluations des PPP ne soient pas exhaustives. Si elles l'étaient elles éviteraient ses critiques qui ne démontrent rien mais sèment le doute.
Cette phrase,à elle seule, suffit à déconsidérer ce qu'écrit plus haut, ce "spécialiste"
Schiffers est certainement un phytopharmacien émérite, mais ses connaissances en agriculture nécessiteraient d'être approfondies...
Qu'il soit possible (et non pas nécessaire) de réduire l'utilisation des PPP,
nul n'en doute et plusieurs d'entre vous l'ont amplement démontré.
Qu'il soit possible de s'en passer.....C'est nettement moins sûr. Même les adeptes de l'agriculture à intrants réduits et soi disant naturels n'y arrivent pas.
La recherche explore des voies alteranatives?? Exact et pour certaines de ces voies (les OGM) ça marche. Pour les autres c'est moins sûr. Il faut encore explorer!!
Les "solutions" de l'agriculture improprement appelée biologique?? Qu'ont elles de différents dans les principes avec l'agriculture tout court??
Il est possible que les évaluations des PPP ne soient pas exhaustives. Si elles l'étaient elles éviteraient ses critiques qui ne démontrent rien mais sèment le doute.
Cette phrase,à elle seule, suffit à déconsidérer ce qu'écrit plus haut, ce "spécialiste"
Schiffers est certainement un phytopharmacien émérite, mais ses connaissances en agriculture nécessiteraient d'être approfondies...
Qu'il soit possible (et non pas nécessaire) de réduire l'utilisation des PPP,
nul n'en doute et plusieurs d'entre vous l'ont amplement démontré.
Qu'il soit possible de s'en passer.....C'est nettement moins sûr. Même les adeptes de l'agriculture à intrants réduits et soi disant naturels n'y arrivent pas.
La recherche explore des voies alteranatives?? Exact et pour certaines de ces voies (les OGM) ça marche. Pour les autres c'est moins sûr. Il faut encore explorer!!
Les "solutions" de l'agriculture improprement appelée biologique?? Qu'ont elles de différents dans les principes avec l'agriculture tout court??
daniel89- + membre techno +
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Re: ogm
daniel89 a écrit:Pour Schiffers, les vertus que l'on accorde aux pesticides sont usurpées. Il est nécessaire de diminuer leur utilisation et, à terme, s'en passer. La recherche actuelle explore des voies alternatives, affirme-t-il. Et les agriculteurs eux-mêmes sont capables de trouver des solutions, comme dans le cas de l'agriculture biologique.
Il est possible que les évaluations des PPP ne soient pas exhaustives. Si elles l'étaient elles éviteraient ses critiques qui ne démontrent rien mais sèment le doute.
Cette phrase,à elle seule, suffit à déconsidérer ce qu'écrit plus haut, ce "spécialiste"
Schiffers est certainement un phytopharmacien émérite, mais ses connaissances en agriculture nécessiteraient d'être approfondies...
Qu'il soit possible (et non pas nécessaire) de réduire l'utilisation des PPP,
nul n'en doute et plusieurs d'entre vous l'ont amplement démontré.
Qu'il soit possible de s'en passer.....C'est nettement moins sûr. Même les adeptes de l'agriculture à intrants réduits et soi disant naturels n'y arrivent pas.
La recherche explore des voies alteranatives?? Exact et pour certaines de ces voies (les OGM) ça marche. Pour les autres c'est moins sûr. Il faut encore explorer!!
Les "solutions" de l'agriculture improprement appelée biologique?? Qu'ont elles de différents dans les principes avec l'agriculture tout court??
je suis ok avec tes remarques ..... La Nature est le plus gros utilisateur de produits chimiques de toute sorte (gentil et méchant),l'homme avec ses traitements phytos est un rigolo dans les volumes utilisés et ça les écolos bobos de la ville ne le diront jamais et c'est pourtant la vérité ......par contre la nature a bien régler ses dosages depuis bien longtemps ,alors que nous les hommes ont fait bien souvent n'importe quoi .....on doit donc chercher (nous les professionnels ) à améliorer encore (comme on l'a déjà fait) l'utilisation intelligente des produits phytos , et de nombreux moyens sont à notre disposition .....et mon sentiment par rapport à l'OGM dans tout cela est que l'on peut s'en passer facilement parce qu'il n'apporte pas beaucoup plus
Re: ogm
il faudrait amener ce shiffers en bordure maritime voir les méfaits des maladies sur les blés , quand on se prend 45 qx de nuisibilité sans compter la dépréciation qualité , il ravalerait sa citation:"les vertus que l'on accorde aux pesticides sont usurpées."
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
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Re: ogm
c'est fou le nombre de chercheurs qui passent du temps a chercher et qui trouve toujours quelques choses de toutes facon !!!
j'ai lu ce midi que des checheurs d'un, je suppose noble etablissement (ecossais il me semble )ont conclu apres de vaillante recherche que les poissons allait moins grossir jusqu'en 2050 !!
ah les cons
j'ai lu ce midi que des checheurs d'un, je suppose noble etablissement (ecossais il me semble )ont conclu apres de vaillante recherche que les poissons allait moins grossir jusqu'en 2050 !!
ah les cons
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bretagne
Re: ogm
hermine 22 a écrit:c'est fou le nombre de chercheurs qui passent du temps a chercher et qui trouve toujours quelques choses de toutes facon !!!
j'ai lu ce midi que des checheurs d'un, je suppose noble etablissement (ecossais il me semble )ont conclu apres de vaillante recherche que les poissons allait moins grossir jusqu'en 2050 !!
ah les cons
Mais, Hermine, c'est parfaitement normal.
Ces pauvres poissons sont terriblement inquiets à propos du réchauffement, ils risquent d'être ébouillantés.
daniel89- + membre techno +
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Re: ogm
PatogaZ a écrit:il faudrait amener ce shiffers en bordure maritime voir les méfaits des maladies sur les blés , quand on se prend 45 qx de nuisibilité sans compter la dépréciation qualité , il ravalerait sa citation:"les vertus que l'on accorde aux pesticides sont usurpées."
As tu entendu parler de la disparition de la résistance à la fusariose quand on a chercher des blés plus courts.
Le seigle semble moins sensible à cette maladie là.
Si je prend un exemple automobile, les voitures de formules 1 ne sont pas faites pour les chemins de traverse.
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Assis
Re: ogm
eh oui , t'est un grand scientifique pour dire cahermine 22 a écrit:c'est fou le nombre de chercheurs qui passent du temps a chercher et qui trouve toujours quelques choses de toutes facon !!!
j'ai lu ce midi que des checheurs d'un, je suppose noble etablissement (ecossais il me semble )ont conclu apres de vaillante recherche que les poissons allait moins grossir jusqu'en 2050 !!
ah les cons
certainement egalement un specialiste des fonds halieutiques....
sort nous donc ton etude des fonds marins avant de traiter les gens de "cons"...
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au pays des suppositoires geants
Re: ogm
France/étude sur les OGM de Séralini: des dizaines de chercheurs contre-attaquent
- Spoiler:
- PARIS, 2 oct 2012 (AFP) - Des dizaines de scientifiques de l'Inra, du CNRS
et de l'Inserm dénoncent l'étude alarmante du professeur Gilles-Eric Séralini
qui tend à démontrer la toxicité des OGM, criant au "coup médiatique" et
appelant à sortir de "l'opposition idéologique" à cette technologie.
"Cette étude doit être considérée plus comme un coup médiatique que comme
une révélation de résultats scientifiques", écrivent 40 chercheurs,
principalement issus de ces trois organismes publics français qui réalisent
études et expérimentations sur les OGM, dans une tribune publiée dans
l'hebdomadaire Marianne.
L'étude menée par le professeur Gilles-Eric Séralini a mis en cause
l'innocuité à long terme du maïs transgénique NK 603, mis au point par le
groupe Monsanto.
Ces scientifiques rappellent les principales critiques émises à l'égard de
l'étude publiée le 19 septembre: "petite taille des effectifs par lot qui ne
permet pas de tirer des conclusions statistiques sérieuses", "manque de
précisions sur la composition de la nourriture donnée au rats" ou "lignée de
rats qui développent spontanément des tumeurs".
Ils se disent également "étonnés" du fait que les pouvoirs publics
français, "pourtant habitués à faire du zèle dans ce domaine", n'aient pas
instauré un moratoire immédiat sur le produit concerné. "S'attendent-ils à une
invalidation de cette étude par les instances d'évaluation officielles?",
poursuivent-ils.
Par ailleurs, près de 140 chercheurs, dont une partie est signataire de la
tribune, ont signé aussi une pétition lancée sur le site du CNRS qui appelle à
"un débat raisonné sur les OGM".
"L'hypermédiatisation, savamment organisée, de cette étude" fait partie des
"entraves à un débat serein", écrivent les chercheurs, qui appellent à ne pas
faire "l'impasse" sur des technologies qui peuvent, selon eux, permettre de
répondre à "des défis majeurs" comme le changement climatique et
l'accroissement rapide de la population mondiale.
"C'est de ce débat dont nous avons besoin, pas d'une opposition stérile,
souvent idéologique, et volontairement stigmatisante".
Une première analyse sur l'étude du Pr Séralini par l'Autorité européenne
pour la sécurité des aliments (EFSA) est attendue cette semaine.
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Beauce - Loir et Cher
Re: ogm
Je n'ai pas parlé de temps de chargement mais de longueur de post, décidément chez toi c'est une poule qui te chauffe la tête!paysannature a écrit:Camille a écrit:Oui oui ça va on sait encore ouvrir et lire un lien! Inutile de faire un C/C! Ou alors extrais les phrases pertinentes, ça en sera + intéressant!paysannature a écrit:le petit probléme des forumeurs ,c'est qu'ils ne lisent pas les messages :
Pense à ceux qui naviguent avec un de ces petits trucs de la technologie internet, tes tartines comme le post qui ouvre ce sujet sont rebutantes. Suggestion: mets-les en spoiler, merci pour eux...
Le web étant une chose très bien faite, la quantité de texte n'est franchement pas un facteur qui peut allonger le temps de chargement de manière visible pour un humain.
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Au pays du fromage mou qui pue
Re: ogm
Hermine n'a pas tort d'évoquer ce genre d'étude alakon, dans ce domaine du RCA, il y en a eu pléthore! D'ailleurs c'était (c'est toujours?) le meilleur moyen d'obtenir des financements! Peu importait la pertinence du sujet étudié...palmito a écrit:eh oui , t'est un grand scientifique pour dire cahermine 22 a écrit:c'est fou le nombre de chercheurs qui passent du temps a chercher et qui trouve toujours quelques choses de toutes facon !!!
j'ai lu ce midi que des checheurs d'un, je suppose noble etablissement (ecossais il me semble )ont conclu apres de vaillante recherche que les poissons allait moins grossir jusqu'en 2050 !!
ah les cons
certainement egalement un specialiste des fonds halieutiques....
sort nous donc ton etude des fonds marins avant de traiter les gens de "cons"...
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Au pays du fromage mou qui pue
Re: ogm
Séralini fait comme un rat!Regis41 a écrit:France/étude sur les OGM de Séralini: des dizaines de chercheurs contre-attaquent
- Spoiler:
PARIS, 2 oct 2012 (AFP) - Des dizaines de scientifiques de l'Inra, du CNRS
et de l'Inserm dénoncent l'étude alarmante du professeur Gilles-Eric Séralini
qui tend à démontrer la toxicité des OGM, criant au "coup médiatique" et
appelant à sortir de "l'opposition idéologique" à cette technologie.
"Cette étude doit être considérée plus comme un coup médiatique que comme
une révélation de résultats scientifiques", écrivent 40 chercheurs,
principalement issus de ces trois organismes publics français qui réalisent
études et expérimentations sur les OGM, dans une tribune publiée dans
l'hebdomadaire Marianne.
L'étude menée par le professeur Gilles-Eric Séralini a mis en cause
l'innocuité à long terme du maïs transgénique NK 603, mis au point par le
groupe Monsanto.
Ces scientifiques rappellent les principales critiques émises à l'égard de
l'étude publiée le 19 septembre: "petite taille des effectifs par lot qui ne
permet pas de tirer des conclusions statistiques sérieuses", "manque de
précisions sur la composition de la nourriture donnée au rats" ou "lignée de
rats qui développent spontanément des tumeurs".
Ils se disent également "étonnés" du fait que les pouvoirs publics
français, "pourtant habitués à faire du zèle dans ce domaine", n'aient pas
instauré un moratoire immédiat sur le produit concerné. "S'attendent-ils à une
invalidation de cette étude par les instances d'évaluation officielles?",
poursuivent-ils.
Par ailleurs, près de 140 chercheurs, dont une partie est signataire de la
tribune, ont signé aussi une pétition lancée sur le site du CNRS qui appelle à
"un débat raisonné sur les OGM".
"L'hypermédiatisation, savamment organisée, de cette étude" fait partie des
"entraves à un débat serein", écrivent les chercheurs, qui appellent à ne pas
faire "l'impasse" sur des technologies qui peuvent, selon eux, permettre de
répondre à "des défis majeurs" comme le changement climatique et
l'accroissement rapide de la population mondiale.
"C'est de ce débat dont nous avons besoin, pas d'une opposition stérile,
souvent idéologique, et volontairement stigmatisante".
Une première analyse sur l'étude du Pr Séralini par l'Autorité européenne
pour la sécurité des aliments (EFSA) est attendue cette semaine.
http://www.tak.fr/seralini-fait-comme-un-rat/
Encore une analyse critique de ses travaux
http://www.math.u-psud.fr/~lavielle/NK603B_lavielle.html
par Marc Lavielle,
Directeur de Recherche, INRIA Saclay - Île-de-France ,
Head of INRIA Exploratory Action POPIX
Member of the team Probabilités, Statistique et Modélisation,
Laboratoire de Mathématiques, Université Paris-Sud
Leader of the MONOLIX Software Project
(MOdèles NOn Linéaires à effets mIXtes),
Member of the High Council of Biotechnologies
Member of the DDMoRe European Project
(Drug Disease Model Resources)
Member of the GDR 3067 Statistique et Santé
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Au pays du fromage mou qui pue
Re: ogm
pour relancer le debat
http://www.mesopinions.com/petition/nature-environnement/reduisons-nos-importations-soja/4746
http://www.mesopinions.com/petition/nature-environnement/reduisons-nos-importations-soja/4746
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Age : 56
sud de l'ile
Re: ogm
C'est comme ce que dit GL plus hautcarlo s a écrit:pour relancer le debat
http://www.mesopinions.com/petition/nature-environnement/reduisons-nos-importations-soja/4746
Pour revenir au sujet, en 92 il y avait le modèle maïs soja "importé" dans la valise. On en mesure aujourd'hui les conséquences chez les laitiers.
Le soja traçé c'est-à-dire non ogm est plus cher, qu'aurait été "les conséquences" s'il n'y avait pas eu les importations d'ogm!?!
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Au pays du fromage mou qui pue
Re: ogm
[quote="Camille"]
Arrêtez, leela va devoir refaire ses tests de QI, afin d'arriver à comprendre que Marc Lavielle n'est pas un tourneur de manivelle, mais un chercheur scientifiqueRegis41 a écrit:France/étude sur les OGM de Séralini: des dizaines de chercheurs contre-attaquent
http://www.tak.fr/seralini-fait-comme-un-rat/
Encore une analyse critique de ses travaux
http://www.math.u-psud.fr/~lavielle/NK603B_lavielle.html
par Marc Lavielle,
Directeur de Recherche, INRIA Saclay - Île-de-France ,
Head of INRIA Exploratory Action POPIX
Member of the team Probabilités, Statistique et Modélisation,
Laboratoire de Mathématiques, Université Paris-Sud
Leader of the MONOLIX Software Project
(MOdèles NOn Linéaires à effets mIXtes),
Member of the High Council of Biotechnologies
Member of the DDMoRe European Project
(Drug Disease Model Resources)
Member of the GDR 3067 Statistique et Santé
Invité- Invité
Re: ogm
un petit texte tous frais pondu pour CAMILLE
Herbicide commune peut augmenter le risque de troubles rares chez les nourrissons
03
Octobre
Augmentation de l'utilisation des pesticides et de mauvaises herbes résistantes au-L'héritage troublant de GE Crops
(Au-delà de pesticides, le 3 octobre 2012) Une étude publiée cette semaine par le Washington State University professeur-chercheur Benbrook Charles, Ph.D., estime que l'utilisation d'herbicides dans la production de trois génétiquement cultures tolérantes aux herbicides-coton, le soja et le maïs a en fait augmenté, contrairement aux allégations de l'industrie que la technologie permettrait de réduire les applications de pesticides. Alors que l'analyse du Dr Benbrook est le premier examen par les pairs, publié estimation de l'impact des organismes génétiquement modifiés (GE) cultures tolérantes aux herbicides sur l'utilisation des pesticides, les scientifiques ont sonné l'alarme sur les chiffres de montage de mauvaises herbes résistantes aux herbicides.
1
Cette constatation résistance aux herbicides, ce qui contredit les affirmations de l'industrie chimique, est basé sur une analyse exhaustive des données accessibles au public par le ministère américain de l'Agriculture Service national des statistiques agriculture. Dans l'étude, les «impacts des cultures génétiquement modifiées sur l'utilisation des pesticides aux États-Unis - les seize premières années", qui apparaît dans le revues en sciences de l'environnement en Europe, le Dr Benbrook écrit que l'émergence et la propagation des mauvaises herbes résistantes au glyphosate est fortement corrélée avec la trajectoire ascendante dans l'utilisation d'herbicides. Commercialisé comme le Roundup et autres noms de marques, le glyphosate est un herbicide systémique à large spectre utilisé pour tuer les mauvaises herbes. Environ 95 pour cent de la superficie de soja et de coton, et plus de 85 pour cent du maïs, sont plantées en variétés génétiquement modifiées pour être tolérantes aux herbicides. L'augmentation annuelle des herbicides nécessaires pour faire face aux plus sévères à contrôle "super mauvaises herbes» sur les terres cultivées plantées de variétés transgéniques a augmenté de 1,5 millions de livres en 1999 à environ 90 millions de livres en 2011.
"Mauvaises herbes résistantes sont devenues un problème majeur pour de nombreux agriculteurs qui dépendent des cultures génétiquement modifiées et sont maintenant grimper le volume des herbicides nécessaires chaque année d'environ 25 pour cent", a déclaré le Dr Benbrook.
Selon l'étude, l'émergence et la propagation des mauvaises herbes résistantes au glyphosate est de loin le facteur le plus important jusqu'à l'utilisation d'herbicides sur les terres plantées de cultures tolérantes aux herbicides. Tolérantes au glyphosate mauvaises herbes étaient pratiquement inconnus avant l'introduction de cultures tolérantes au Roundup en 1996. Mais la forte dépendance à l'herbicide Roundup, dont le principe actif est le glyphosate, a placé les populations de mauvaises herbes sous pression de sélection progressive intense et sans précédent, déclenchant une tempête parfaite pour l'émergence d'herbes résistantes au glyphosate. En général, dans les régions des États-Unis, où les cultures tolérantes au Roundup dominer, il ya maintenant évolué résistantes au glyphosate populations des régions économiquement dommageables pour les espèces de mauvaises herbes. Espèces résistantes comme le ray-grass et horseweed ont été trouvés dans les cultures et les zones non cultivées, et maintenant une croissance robuste, même lorsqu'ils sont pulvérisés avec quatre fois la quantité recommandée de l'herbicide Roundup.
Les scientifiques du Service de l'USDA de recherche agricole (ARS) ont noté que l'évolution relativement rapide des populations de mauvaises herbes résistantes au glyphosate fournit une preuve supplémentaire que aucun herbicide est invulnérable à la résistance, et de nouveaux systèmes de gestion des mauvaises herbes comportant les cultures transgéniques doivent être évaluées pour le potentiel de créer résistant espèces. Les preuves suggèrent que les plants de maïs transgéniques peuvent polliniser les plants de maïs non-GM-delà de 200 mètres. Afin de limiter le flux de gènes entre les espèces végétales plusieurs "méthodes de bonnes pratiques» sont utilisés, tels que le maintien des distances d'isolement pour empêcher le mouvement du pollen provenant de sources GE; surveillance sur le terrain en utilisant des barrières naturelles au pollen, et, plantant des rangs en bordure ou une barrière pour intercepter le pollen GE . Cependant, il peut être conclu que ces efforts ne sont pas efficaces, étant donné la vague de contamination génétique et les mauvaises herbes résistantes.
Cultures tolérantes aux herbicides a très bien fonctionné dans les premières années d'utilisation, l'analyse montre le Dr Benbrook, mais dépendance excessive ont conduit à des changements dans les communautés de mauvaises herbes et la propagation des mauvaises herbes résistantes que les agriculteurs de force pour augmenter les taux d'application d'herbicides, pulvériser plus souvent , et d'ajouter de nouveaux herbicides qui travaillent par le biais d'autres modes d'action dans leurs programmes de pulvérisation. L'étude a déterminé que tolérant à un herbicide technologie agricole a conduit à une augmentation de £ 527 millions dans l'utilisation d'herbicides aux États-Unis entre 1996 et 2011, alors que Bacillus thuringiensis (Bt) ont réduit les récoltes applications d'insecticides par 123 millions de livres. Dans l'ensemble, l'utilisation des pesticides a augmenté de 404 millions estimés un livres, soit environ 7%. Pendant ce temps, les insectes commencent à montrer une résistance au Bt constituées plantes, mettant en péril une lutte biologique qui est utilisée avec parcimonie dans la production biologique.
Dr Benbrook conclut que, contrairement aux affirmations répétées que souvent génétiquement modifiés aujourd'hui cultures n'ont pas et réduisent l'utilisation des pesticides, la propagation des mauvaises herbes résistantes au glyphosate dans les systèmes de GE gestion des mauvaises herbes a entraîné une augmentation substantielle du nombre et du volume des herbicides appliqués . Les agriculteurs sont devenus de plus en plus critique à la fois les semences GE (comme il monte dans le prix) et les herbicides Roundup comme, en tant que «super mauvaises herbes» devenus très répandus dans les champs traités. La croissance de l'amarante à racine rouge, ce qui peut rapidement atteindre des largeurs de six pouces à la tige, et d'autres espèces résistantes au glyphosate augmente la dépendance des agriculteurs à plus haut risque herbicides, dont le 2,4-D, le dicamba et le paraquat, et a abouti à un retour de remettre la récolte et même l'abandon des champs. Dow AgroSciences et Bayer CropScience a récemment demandé à l'USDA de déréglementer le 2,4-D GE maïs et le soja dans l'ordre pour le 2,4-D et autres herbicides à utiliser pour lutter contre les mauvaises herbes résistantes au glyphosate. Toutefois, selon le Dr Benbrook, si de nouvelles formes de GE de maïs et de soja tolérant le 2,4-D sont approuvés, le volume de 2,4-D pulvérisé pourrait conduire utilisation herbicide vers le haut par un autre d'environ 50%.
Plus tôt cette année, Au-delà de pesticides a écrit à l'USDA que l'introduction de ces nouvelles variétés de cultures GM était «gravement erronée et manque de prévoyance." On peut dire que, par l'introduction du 2,4-D GE maïs dans l'environnement, une nouvelle génération de mauvaises herbes résistantes développer, laissant un héritage de «super mauvaises herbes» résistantes à la fois au glyphosate, le 2,4-D, et d'autres, et une régression à des herbicides encore plus toxiques pour lutter contre ces mauvaises herbes. 2,4-D, qui constituait la moitié des ingrédients dans «l'agent orange», utilisé pour défolier les forêts et les terres agricoles dans la guerre du Vietnam, est un herbicide chlorophénoxy. Les scientifiques du monde entier ont signalé des risques accrus de cancer en association avec son utilisation, en particulier pour les sarcomes des tissus mous et de lymphomes malins.
La prévalence des cultures tolérantes au glyphosate a également contribué aux taux élevés de contamination par le glyphosate dans l'environnement. En 2002, le US Geological Survey (USGS) a recueilli 154 échantillons d'eau de 51 cours d'eau dans neuf États du Midwest et du glyphosate a été détectée dans 36% des échantillons, et l'acide aminométhylphosphonique ou l'AMPA (produit de dégradation du glyphosate) a été détectée dans 69% des les échantillons. Le glyphosate et de ses préparations commerciales à usage de produits se sont révélés être toxiques pour les organismes aquatiques et peut être «extrêmement létales» pour les amphibiens dans les concentrations présentes dans l'environnement. Une étude 2012 a constaté que le Roundup, à des concentrations sublétales et écologiquement pertinents, a provoqué deux espèces d'amphibiens à changer de forme en interférant avec les hormones de têtards, et potentiellement de nombreux autres animaux.
Ce n'est pas la première fois que le Dr Benbrook a rendu compte de l'utilisation accrue de pesticides dans le sillage de l'augmentation des cultures transgéniques. En 2009, il écrit: «Impacts des cultures génétiquement modifiées sur l'utilisation des pesticides aux États-Unis: les treize premières années", qui a d'abord étudié l'impact de l'adoption de maïs transgénique, le soja et le coton sur l'utilisation des pesticides aux États-Unis À l' temps, il a été signalé que les cultures transgéniques étaient responsables d'une augmentation de 383 millions de livres de l'utilisation d'herbicides aux États-Unis au cours des 13 premières années d'exploitation commerciale de cultures transgéniques (1996-2008). Le rapport a identifié et discuté en détail, la principale cause de l'augmentation, l'apparition de mauvaises herbes résistantes aux herbicides. Un autre rapport publié en 2009 par l'Union of Concerned Scientists, un défaut de rendement: évaluer la performance des cultures génétiquement modifiées, a atteint des conclusions similaires.
Il convient de noter que, bien que l'utilisation d'herbicides a augmenté, l'utilisation d'insecticides a diminué. L'adoption du maïs transgénique et le coton que portent les traits résistant aux insectes a conduit à une réduction de l'utilisation des insecticides, même si les insectes résistants comme la chrysomèle des racines du maïs ont augmenté en nombre. Cependant, cela peut être sur le point de changer, car les agriculteurs du Midwest voient dommages graves chrysomèle des racines dans les champs ensemencés en maïs Bt de Monsanto, qui a été conçu pour contrecarrer ces insectes voraces mêmes, désormais résistantes au Bt. Et en 2010, Monsanto a également reconnu que l'agriculture industrielle-régions de l'Inde, où coton Bt de Monsanto est une culture dominante, le ver de la capsule du coton-attaque avaient développé une résistance. Plus tôt cette année, un groupe de 22 entomologistes éminents, dont des chercheurs d'institutions de concession de terres dans la Corn Belt et Service de l'USDA de recherche agricole (ARS), ont présenté des observations officielles à l'Agence américaine de protection de l'environnement en doute que sur la viabilité de certaines variétés de GE maïs Bt.
Actuellement, il existe des variétés disponibles dans le commerce tolérant au Roundup de semences pour le maïs, le soja, le colza, le sorgho et le coton, en plus de la betterave à sucre et, récemment, l'USDA-permis de luzerne tolérant au Roundup. En raison de sérieuses questions quant à l'intégrité des évaluations environnementales de l'USDA, les groupes d'intérêt public, dirigé par le Centre pour la sécurité alimentaire et au-delà, y compris les pesticides, ont déposé une plainte contre l'agence d'arrêter sa déréglementation complète de la luzerne GM. Pour en savoir plus sur l'agriculture génétiquement modifiée lire l'article pesticides »Au-delà de" Ready or Not, les cultures génétiquement modifiées Explode sur le marché. "
Source: Washington State University Salle Des Nouvelles
Tous les postes non attribués et des avis dans cette pièce sont ceux de Beyond Pesticides.
comme c'est un traduction je le met le texte aussi en anglais pour éviter les contestations
Common Herbicide May Increase Risk of Rare Disorder in Infants
03
Oct
Increased Pesticide Use and Resistant Weeds -The Troubling Legacy of GE Crops
(Beyond Pesticides, October 3, 2012) A study published this week by Washington State University’s research professor Charles Benbrook, PhD, finds that the use of herbicides in the production of three genetically engineered herbicide-tolerant crops -cotton, soybeans and corn- has actually increased, contrary to industry claims that the technology would reduce pesticide applications. While Dr. Benbrook’s analysis is the first peer-reviewed, published estimate of the impacts of genetically engineered (GE) herbicide-tolerant crops on pesticide use, scientists have been raising the alarm over the mounting numbers of herbicide resistant weeds.
1
This herbicide resistance finding, which contradicts chemical industry claims, is based on an exhaustive analysis of publicly available data from the U.S. Department of Agriculture’s National Agriculture Statistics Service. In the study, “Impacts of genetically engineered crops on pesticide use in the U.S. — the first sixteen years,” which appears in the peer-reviewed journal Environmental Sciences Europe, Dr. Benbrook writes that the emergence and spread of glyphosate-resistant weeds is strongly correlated with the upward trajectory in herbicide use. Marketed as Roundup and other trade names, glyphosate is a broad-spectrum systemic herbicide used to kill weeds. Approximately 95 percent of soybean and cotton acres, and over 85 percent of corn, are planted to varieties genetically engineered to be herbicide tolerant. The annual increase in the herbicides required to deal with tougher-to-control “superweeds” on cropland planted to GE cultivars has grown from 1.5 million pounds in 1999 to about 90 million pounds in 2011.
“Resistant weeds have become a major problem for many farmers reliant on GE crops, and are now driving up the volume of herbicide needed each year by about 25 percent,” Dr. Benbrook said.
According to the study, the emergence and spread of glyphosate-resistant weeds is by far the most important factor driving up herbicide use on land planted to herbicide-tolerant crops. Glyphosate-tolerant weeds were practically unknown before the introduction of Roundup-tolerant crops in 1996. But heavy reliance on the herbicide Roundup, whose active ingredient is glyphosate, has placed weed populations under progressively intense and unprecedented selection pressure, triggering a perfect storm for the emergence of glyphosate-resistant weeds. In general, in regions of the U.S. where Roundup-tolerant crops dominate, there are now evolved glyphosate-resistant populations of economically-damaging weed species. Resistant species like ryegrass and horseweed have been found in crop and non-crop areas, and now grow robustly even when sprayed with four times the recommended quantity of Roundup.
Scientists from USDA’s Agricultural Research Service (ARS) have noted that the relatively rapid evolution of glyphosate-resistant weed populations provides further evidence that no herbicide is invulnerable to resistance, and new weed management systems involving GE crops must be evaluated for the potential to create resistant species. Evidence suggests that GE corn plants can cross-pollinate non-GE corn plants beyond 200 meters. In order to limit gene flow between plant species several “best practice methods” are employed, such as maintaining isolation distances to prevent pollen movement from GE sources; planting border or barrier rows to intercept GE pollen; employing natural barriers to pollen, and field monitoring. However it can be concluded that these efforts are not effective, given the spate of genetic contamination and resistant weeds.
Herbicide-tolerant crops worked extremely well in the first few years of use, Dr. Benbrook’s analysis shows, but over-reliance have led to shifts in weed communities and the spread of resistant weeds that force farmers to increase herbicide application rates, spray more often, and add new herbicides that work through alternate modes of action into their spray programs. The study determined that herbicide-tolerant crop technology has led to a 527 million pound increase in herbicide use in the U.S. between 1996 and 2011, while Bacillus thuringiensis (Bt) crops have reduced insecticide applications by 123 million pounds. Overall, pesticide use increased by an estimated 404 million pounds, about 7%. Meanwhile, insects are beginning to show resistance to Bt-incorporated plants, jeopardizing a biological control that is sparingly used in organic production.
Dr. Benbrook concludes that, contrary to often-repeated claims that today’s genetically-engineered crops have and are reducing pesticide use, the spread of glyphosate-resistant weeds in GE weed management systems has brought about substantial increases in the number and volume of herbicides applied. Farmers have become increasingly critical of both GE seed (as it goes up in price) and herbicides like Roundup, as “superweeds” become prevalent in treated fields. The growth of pigweed, which can quickly reach widths of six inches at the stalk, and other glyphosate-resistant species increases farmers reliance on more high-risk herbicides, including 2,4-D, dicamba and paraquat, and has resulted in a return to hand harvesting and even the abandoning of fields. Dow AgroSciences and Bayer CropScience recently petitioned the USDA to deregulate 2,4-D GE corn and soybeans in order for 2,4-D and other herbicides to be used to tackle weeds resistant to glyphosate. However, according to Dr. Benbrook, if new GE forms of corn and soybeans tolerant of 2,4-D are approved, the volume of 2,4-D sprayed could drive herbicide usage upward by another approximate 50%.
Earlier this year, Beyond Pesticides wrote to USDA that the introduction of these new varieties of GE crops was “severely misguided and lacking forethought.” Arguably, by introducing 2,4-D GE corn into the environment, a new generation of resistant weeds will develop, leaving a legacy of “superweeds” resistant to both glyphosate, 2,4-D, and others, and a retrogression to even more toxic herbicides to control these weeds. 2,4-D, which constituted half of the ingredients in “Agent Orange,” used to defoliate forests and croplands in the Vietnam War, is a chlorophenoxy herbicide. Scientists around the world have reported increased cancer risks in association with its use, especially for soft tissue sarcoma and malignant lymphoma.
The prevalence of glyphosate-tolerant crops has also contributed to the high rates of glyphosate contamination in the environment. In 2002, the U.S. Geological Survey (USGS) collected 154 water samples from 51 streams in nine Midwestern states and glyphosate was detected in 36% of the samples, and aminomethylphosphonic acid or AMPA (a degradation product of glyphosate) was detected in 69% of the samples. Glyphosate and its formulated end-use products have been proven to be toxic to aquatic organisms and can be “extremely lethal” to amphibians in concentrations found in the environment. A 2012 study found that Roundup, in sublethal and environmentally relevant concentrations, caused two species of amphibians to change their shape by interfering with the hormones of tadpoles, and potentially many other animals.
This is not the first time that Dr. Benbrook has reported on the increased use of pesticides in the wake of increasing GE crops. In 2009, he wrote, “Impacts of Genetically Engineered Crops on Pesticide Use in the United States: The First Thirteen Years,” which first explored the impact of the adoption of GE corn, soybean, and cotton on pesticide use in the U.S. At the time, it was reported that GE crops were responsible for an increase of 383 million pounds of herbicide use in the U.S. over the first 13 years of commercial use of GE crops (1996-2008). The report identified, and discussed in detail, the primary cause of the increase–the emergence of herbicide-resistant weeds. Another 2009 report by the Union of Concerned Scientists, A Failure to Yield: Evaluating the Performance of Genetically Engineered Crops, reached similar findings.
Noteworthy is that while herbicide use has climbed, insecticide use has dropped. The adoption of GE corn and cotton that carry traits resistant to insects has led to a reduction in insecticide use, even though resistant insects like the corn rootworm have increased in numbers. However, this may be about to change since farmers in the Midwest are seeing severe rootworm damage in fields planted in Monsanto’s Bt corn, which was engineered to thwart these very same voracious bugs, now resistant to Bt. And in 2010, Monsanto also acknowledged that in industrial-agriculture regions of India, where Monsanto’s Bt cotton is a dominant crop, the cotton-attacking bollworm had developed resistance. Earlier this year, a group of 22 prominent entomologists, including researchers from land grant institutions in the Corn Belt and the USDA’s Agricultural Research Service (ARS), submitted formal comments to the U.S. Environmental Protection Agency that cast doubt on the future viability of certain varieties of GE Bt corn.
Currently, there are commercially available Roundup-tolerant seed varieties for corn, soybeans, canola, sorghum, and cotton, in addition to sugar beets, and recently USDA-allowed Roundup-tolerant alfalfa. Due to serious questions regarding the integrity of USDA’s environmental evaluations, public interest groups, led by the Center for Food Safety and including Beyond Pesticides, have filed suit against the agency to stop its full deregulation of GE alfalfa. For more on genetically engineered agriculture read Beyond Pesticides’ article “Ready or Not, Genetically Engineered Crops Explode on Market.“
Source: Washington State University News Room
All unattributed positions and opinions in this piece are those of Beyond Pesticides.
Herbicide commune peut augmenter le risque de troubles rares chez les nourrissons
03
Octobre
Augmentation de l'utilisation des pesticides et de mauvaises herbes résistantes au-L'héritage troublant de GE Crops
(Au-delà de pesticides, le 3 octobre 2012) Une étude publiée cette semaine par le Washington State University professeur-chercheur Benbrook Charles, Ph.D., estime que l'utilisation d'herbicides dans la production de trois génétiquement cultures tolérantes aux herbicides-coton, le soja et le maïs a en fait augmenté, contrairement aux allégations de l'industrie que la technologie permettrait de réduire les applications de pesticides. Alors que l'analyse du Dr Benbrook est le premier examen par les pairs, publié estimation de l'impact des organismes génétiquement modifiés (GE) cultures tolérantes aux herbicides sur l'utilisation des pesticides, les scientifiques ont sonné l'alarme sur les chiffres de montage de mauvaises herbes résistantes aux herbicides.
1
Cette constatation résistance aux herbicides, ce qui contredit les affirmations de l'industrie chimique, est basé sur une analyse exhaustive des données accessibles au public par le ministère américain de l'Agriculture Service national des statistiques agriculture. Dans l'étude, les «impacts des cultures génétiquement modifiées sur l'utilisation des pesticides aux États-Unis - les seize premières années", qui apparaît dans le revues en sciences de l'environnement en Europe, le Dr Benbrook écrit que l'émergence et la propagation des mauvaises herbes résistantes au glyphosate est fortement corrélée avec la trajectoire ascendante dans l'utilisation d'herbicides. Commercialisé comme le Roundup et autres noms de marques, le glyphosate est un herbicide systémique à large spectre utilisé pour tuer les mauvaises herbes. Environ 95 pour cent de la superficie de soja et de coton, et plus de 85 pour cent du maïs, sont plantées en variétés génétiquement modifiées pour être tolérantes aux herbicides. L'augmentation annuelle des herbicides nécessaires pour faire face aux plus sévères à contrôle "super mauvaises herbes» sur les terres cultivées plantées de variétés transgéniques a augmenté de 1,5 millions de livres en 1999 à environ 90 millions de livres en 2011.
"Mauvaises herbes résistantes sont devenues un problème majeur pour de nombreux agriculteurs qui dépendent des cultures génétiquement modifiées et sont maintenant grimper le volume des herbicides nécessaires chaque année d'environ 25 pour cent", a déclaré le Dr Benbrook.
Selon l'étude, l'émergence et la propagation des mauvaises herbes résistantes au glyphosate est de loin le facteur le plus important jusqu'à l'utilisation d'herbicides sur les terres plantées de cultures tolérantes aux herbicides. Tolérantes au glyphosate mauvaises herbes étaient pratiquement inconnus avant l'introduction de cultures tolérantes au Roundup en 1996. Mais la forte dépendance à l'herbicide Roundup, dont le principe actif est le glyphosate, a placé les populations de mauvaises herbes sous pression de sélection progressive intense et sans précédent, déclenchant une tempête parfaite pour l'émergence d'herbes résistantes au glyphosate. En général, dans les régions des États-Unis, où les cultures tolérantes au Roundup dominer, il ya maintenant évolué résistantes au glyphosate populations des régions économiquement dommageables pour les espèces de mauvaises herbes. Espèces résistantes comme le ray-grass et horseweed ont été trouvés dans les cultures et les zones non cultivées, et maintenant une croissance robuste, même lorsqu'ils sont pulvérisés avec quatre fois la quantité recommandée de l'herbicide Roundup.
Les scientifiques du Service de l'USDA de recherche agricole (ARS) ont noté que l'évolution relativement rapide des populations de mauvaises herbes résistantes au glyphosate fournit une preuve supplémentaire que aucun herbicide est invulnérable à la résistance, et de nouveaux systèmes de gestion des mauvaises herbes comportant les cultures transgéniques doivent être évaluées pour le potentiel de créer résistant espèces. Les preuves suggèrent que les plants de maïs transgéniques peuvent polliniser les plants de maïs non-GM-delà de 200 mètres. Afin de limiter le flux de gènes entre les espèces végétales plusieurs "méthodes de bonnes pratiques» sont utilisés, tels que le maintien des distances d'isolement pour empêcher le mouvement du pollen provenant de sources GE; surveillance sur le terrain en utilisant des barrières naturelles au pollen, et, plantant des rangs en bordure ou une barrière pour intercepter le pollen GE . Cependant, il peut être conclu que ces efforts ne sont pas efficaces, étant donné la vague de contamination génétique et les mauvaises herbes résistantes.
Cultures tolérantes aux herbicides a très bien fonctionné dans les premières années d'utilisation, l'analyse montre le Dr Benbrook, mais dépendance excessive ont conduit à des changements dans les communautés de mauvaises herbes et la propagation des mauvaises herbes résistantes que les agriculteurs de force pour augmenter les taux d'application d'herbicides, pulvériser plus souvent , et d'ajouter de nouveaux herbicides qui travaillent par le biais d'autres modes d'action dans leurs programmes de pulvérisation. L'étude a déterminé que tolérant à un herbicide technologie agricole a conduit à une augmentation de £ 527 millions dans l'utilisation d'herbicides aux États-Unis entre 1996 et 2011, alors que Bacillus thuringiensis (Bt) ont réduit les récoltes applications d'insecticides par 123 millions de livres. Dans l'ensemble, l'utilisation des pesticides a augmenté de 404 millions estimés un livres, soit environ 7%. Pendant ce temps, les insectes commencent à montrer une résistance au Bt constituées plantes, mettant en péril une lutte biologique qui est utilisée avec parcimonie dans la production biologique.
Dr Benbrook conclut que, contrairement aux affirmations répétées que souvent génétiquement modifiés aujourd'hui cultures n'ont pas et réduisent l'utilisation des pesticides, la propagation des mauvaises herbes résistantes au glyphosate dans les systèmes de GE gestion des mauvaises herbes a entraîné une augmentation substantielle du nombre et du volume des herbicides appliqués . Les agriculteurs sont devenus de plus en plus critique à la fois les semences GE (comme il monte dans le prix) et les herbicides Roundup comme, en tant que «super mauvaises herbes» devenus très répandus dans les champs traités. La croissance de l'amarante à racine rouge, ce qui peut rapidement atteindre des largeurs de six pouces à la tige, et d'autres espèces résistantes au glyphosate augmente la dépendance des agriculteurs à plus haut risque herbicides, dont le 2,4-D, le dicamba et le paraquat, et a abouti à un retour de remettre la récolte et même l'abandon des champs. Dow AgroSciences et Bayer CropScience a récemment demandé à l'USDA de déréglementer le 2,4-D GE maïs et le soja dans l'ordre pour le 2,4-D et autres herbicides à utiliser pour lutter contre les mauvaises herbes résistantes au glyphosate. Toutefois, selon le Dr Benbrook, si de nouvelles formes de GE de maïs et de soja tolérant le 2,4-D sont approuvés, le volume de 2,4-D pulvérisé pourrait conduire utilisation herbicide vers le haut par un autre d'environ 50%.
Plus tôt cette année, Au-delà de pesticides a écrit à l'USDA que l'introduction de ces nouvelles variétés de cultures GM était «gravement erronée et manque de prévoyance." On peut dire que, par l'introduction du 2,4-D GE maïs dans l'environnement, une nouvelle génération de mauvaises herbes résistantes développer, laissant un héritage de «super mauvaises herbes» résistantes à la fois au glyphosate, le 2,4-D, et d'autres, et une régression à des herbicides encore plus toxiques pour lutter contre ces mauvaises herbes. 2,4-D, qui constituait la moitié des ingrédients dans «l'agent orange», utilisé pour défolier les forêts et les terres agricoles dans la guerre du Vietnam, est un herbicide chlorophénoxy. Les scientifiques du monde entier ont signalé des risques accrus de cancer en association avec son utilisation, en particulier pour les sarcomes des tissus mous et de lymphomes malins.
La prévalence des cultures tolérantes au glyphosate a également contribué aux taux élevés de contamination par le glyphosate dans l'environnement. En 2002, le US Geological Survey (USGS) a recueilli 154 échantillons d'eau de 51 cours d'eau dans neuf États du Midwest et du glyphosate a été détectée dans 36% des échantillons, et l'acide aminométhylphosphonique ou l'AMPA (produit de dégradation du glyphosate) a été détectée dans 69% des les échantillons. Le glyphosate et de ses préparations commerciales à usage de produits se sont révélés être toxiques pour les organismes aquatiques et peut être «extrêmement létales» pour les amphibiens dans les concentrations présentes dans l'environnement. Une étude 2012 a constaté que le Roundup, à des concentrations sublétales et écologiquement pertinents, a provoqué deux espèces d'amphibiens à changer de forme en interférant avec les hormones de têtards, et potentiellement de nombreux autres animaux.
Ce n'est pas la première fois que le Dr Benbrook a rendu compte de l'utilisation accrue de pesticides dans le sillage de l'augmentation des cultures transgéniques. En 2009, il écrit: «Impacts des cultures génétiquement modifiées sur l'utilisation des pesticides aux États-Unis: les treize premières années", qui a d'abord étudié l'impact de l'adoption de maïs transgénique, le soja et le coton sur l'utilisation des pesticides aux États-Unis À l' temps, il a été signalé que les cultures transgéniques étaient responsables d'une augmentation de 383 millions de livres de l'utilisation d'herbicides aux États-Unis au cours des 13 premières années d'exploitation commerciale de cultures transgéniques (1996-2008). Le rapport a identifié et discuté en détail, la principale cause de l'augmentation, l'apparition de mauvaises herbes résistantes aux herbicides. Un autre rapport publié en 2009 par l'Union of Concerned Scientists, un défaut de rendement: évaluer la performance des cultures génétiquement modifiées, a atteint des conclusions similaires.
Il convient de noter que, bien que l'utilisation d'herbicides a augmenté, l'utilisation d'insecticides a diminué. L'adoption du maïs transgénique et le coton que portent les traits résistant aux insectes a conduit à une réduction de l'utilisation des insecticides, même si les insectes résistants comme la chrysomèle des racines du maïs ont augmenté en nombre. Cependant, cela peut être sur le point de changer, car les agriculteurs du Midwest voient dommages graves chrysomèle des racines dans les champs ensemencés en maïs Bt de Monsanto, qui a été conçu pour contrecarrer ces insectes voraces mêmes, désormais résistantes au Bt. Et en 2010, Monsanto a également reconnu que l'agriculture industrielle-régions de l'Inde, où coton Bt de Monsanto est une culture dominante, le ver de la capsule du coton-attaque avaient développé une résistance. Plus tôt cette année, un groupe de 22 entomologistes éminents, dont des chercheurs d'institutions de concession de terres dans la Corn Belt et Service de l'USDA de recherche agricole (ARS), ont présenté des observations officielles à l'Agence américaine de protection de l'environnement en doute que sur la viabilité de certaines variétés de GE maïs Bt.
Actuellement, il existe des variétés disponibles dans le commerce tolérant au Roundup de semences pour le maïs, le soja, le colza, le sorgho et le coton, en plus de la betterave à sucre et, récemment, l'USDA-permis de luzerne tolérant au Roundup. En raison de sérieuses questions quant à l'intégrité des évaluations environnementales de l'USDA, les groupes d'intérêt public, dirigé par le Centre pour la sécurité alimentaire et au-delà, y compris les pesticides, ont déposé une plainte contre l'agence d'arrêter sa déréglementation complète de la luzerne GM. Pour en savoir plus sur l'agriculture génétiquement modifiée lire l'article pesticides »Au-delà de" Ready or Not, les cultures génétiquement modifiées Explode sur le marché. "
Source: Washington State University Salle Des Nouvelles
Tous les postes non attribués et des avis dans cette pièce sont ceux de Beyond Pesticides.
comme c'est un traduction je le met le texte aussi en anglais pour éviter les contestations
Common Herbicide May Increase Risk of Rare Disorder in Infants
03
Oct
Increased Pesticide Use and Resistant Weeds -The Troubling Legacy of GE Crops
(Beyond Pesticides, October 3, 2012) A study published this week by Washington State University’s research professor Charles Benbrook, PhD, finds that the use of herbicides in the production of three genetically engineered herbicide-tolerant crops -cotton, soybeans and corn- has actually increased, contrary to industry claims that the technology would reduce pesticide applications. While Dr. Benbrook’s analysis is the first peer-reviewed, published estimate of the impacts of genetically engineered (GE) herbicide-tolerant crops on pesticide use, scientists have been raising the alarm over the mounting numbers of herbicide resistant weeds.
1
This herbicide resistance finding, which contradicts chemical industry claims, is based on an exhaustive analysis of publicly available data from the U.S. Department of Agriculture’s National Agriculture Statistics Service. In the study, “Impacts of genetically engineered crops on pesticide use in the U.S. — the first sixteen years,” which appears in the peer-reviewed journal Environmental Sciences Europe, Dr. Benbrook writes that the emergence and spread of glyphosate-resistant weeds is strongly correlated with the upward trajectory in herbicide use. Marketed as Roundup and other trade names, glyphosate is a broad-spectrum systemic herbicide used to kill weeds. Approximately 95 percent of soybean and cotton acres, and over 85 percent of corn, are planted to varieties genetically engineered to be herbicide tolerant. The annual increase in the herbicides required to deal with tougher-to-control “superweeds” on cropland planted to GE cultivars has grown from 1.5 million pounds in 1999 to about 90 million pounds in 2011.
“Resistant weeds have become a major problem for many farmers reliant on GE crops, and are now driving up the volume of herbicide needed each year by about 25 percent,” Dr. Benbrook said.
According to the study, the emergence and spread of glyphosate-resistant weeds is by far the most important factor driving up herbicide use on land planted to herbicide-tolerant crops. Glyphosate-tolerant weeds were practically unknown before the introduction of Roundup-tolerant crops in 1996. But heavy reliance on the herbicide Roundup, whose active ingredient is glyphosate, has placed weed populations under progressively intense and unprecedented selection pressure, triggering a perfect storm for the emergence of glyphosate-resistant weeds. In general, in regions of the U.S. where Roundup-tolerant crops dominate, there are now evolved glyphosate-resistant populations of economically-damaging weed species. Resistant species like ryegrass and horseweed have been found in crop and non-crop areas, and now grow robustly even when sprayed with four times the recommended quantity of Roundup.
Scientists from USDA’s Agricultural Research Service (ARS) have noted that the relatively rapid evolution of glyphosate-resistant weed populations provides further evidence that no herbicide is invulnerable to resistance, and new weed management systems involving GE crops must be evaluated for the potential to create resistant species. Evidence suggests that GE corn plants can cross-pollinate non-GE corn plants beyond 200 meters. In order to limit gene flow between plant species several “best practice methods” are employed, such as maintaining isolation distances to prevent pollen movement from GE sources; planting border or barrier rows to intercept GE pollen; employing natural barriers to pollen, and field monitoring. However it can be concluded that these efforts are not effective, given the spate of genetic contamination and resistant weeds.
Herbicide-tolerant crops worked extremely well in the first few years of use, Dr. Benbrook’s analysis shows, but over-reliance have led to shifts in weed communities and the spread of resistant weeds that force farmers to increase herbicide application rates, spray more often, and add new herbicides that work through alternate modes of action into their spray programs. The study determined that herbicide-tolerant crop technology has led to a 527 million pound increase in herbicide use in the U.S. between 1996 and 2011, while Bacillus thuringiensis (Bt) crops have reduced insecticide applications by 123 million pounds. Overall, pesticide use increased by an estimated 404 million pounds, about 7%. Meanwhile, insects are beginning to show resistance to Bt-incorporated plants, jeopardizing a biological control that is sparingly used in organic production.
Dr. Benbrook concludes that, contrary to often-repeated claims that today’s genetically-engineered crops have and are reducing pesticide use, the spread of glyphosate-resistant weeds in GE weed management systems has brought about substantial increases in the number and volume of herbicides applied. Farmers have become increasingly critical of both GE seed (as it goes up in price) and herbicides like Roundup, as “superweeds” become prevalent in treated fields. The growth of pigweed, which can quickly reach widths of six inches at the stalk, and other glyphosate-resistant species increases farmers reliance on more high-risk herbicides, including 2,4-D, dicamba and paraquat, and has resulted in a return to hand harvesting and even the abandoning of fields. Dow AgroSciences and Bayer CropScience recently petitioned the USDA to deregulate 2,4-D GE corn and soybeans in order for 2,4-D and other herbicides to be used to tackle weeds resistant to glyphosate. However, according to Dr. Benbrook, if new GE forms of corn and soybeans tolerant of 2,4-D are approved, the volume of 2,4-D sprayed could drive herbicide usage upward by another approximate 50%.
Earlier this year, Beyond Pesticides wrote to USDA that the introduction of these new varieties of GE crops was “severely misguided and lacking forethought.” Arguably, by introducing 2,4-D GE corn into the environment, a new generation of resistant weeds will develop, leaving a legacy of “superweeds” resistant to both glyphosate, 2,4-D, and others, and a retrogression to even more toxic herbicides to control these weeds. 2,4-D, which constituted half of the ingredients in “Agent Orange,” used to defoliate forests and croplands in the Vietnam War, is a chlorophenoxy herbicide. Scientists around the world have reported increased cancer risks in association with its use, especially for soft tissue sarcoma and malignant lymphoma.
The prevalence of glyphosate-tolerant crops has also contributed to the high rates of glyphosate contamination in the environment. In 2002, the U.S. Geological Survey (USGS) collected 154 water samples from 51 streams in nine Midwestern states and glyphosate was detected in 36% of the samples, and aminomethylphosphonic acid or AMPA (a degradation product of glyphosate) was detected in 69% of the samples. Glyphosate and its formulated end-use products have been proven to be toxic to aquatic organisms and can be “extremely lethal” to amphibians in concentrations found in the environment. A 2012 study found that Roundup, in sublethal and environmentally relevant concentrations, caused two species of amphibians to change their shape by interfering with the hormones of tadpoles, and potentially many other animals.
This is not the first time that Dr. Benbrook has reported on the increased use of pesticides in the wake of increasing GE crops. In 2009, he wrote, “Impacts of Genetically Engineered Crops on Pesticide Use in the United States: The First Thirteen Years,” which first explored the impact of the adoption of GE corn, soybean, and cotton on pesticide use in the U.S. At the time, it was reported that GE crops were responsible for an increase of 383 million pounds of herbicide use in the U.S. over the first 13 years of commercial use of GE crops (1996-2008). The report identified, and discussed in detail, the primary cause of the increase–the emergence of herbicide-resistant weeds. Another 2009 report by the Union of Concerned Scientists, A Failure to Yield: Evaluating the Performance of Genetically Engineered Crops, reached similar findings.
Noteworthy is that while herbicide use has climbed, insecticide use has dropped. The adoption of GE corn and cotton that carry traits resistant to insects has led to a reduction in insecticide use, even though resistant insects like the corn rootworm have increased in numbers. However, this may be about to change since farmers in the Midwest are seeing severe rootworm damage in fields planted in Monsanto’s Bt corn, which was engineered to thwart these very same voracious bugs, now resistant to Bt. And in 2010, Monsanto also acknowledged that in industrial-agriculture regions of India, where Monsanto’s Bt cotton is a dominant crop, the cotton-attacking bollworm had developed resistance. Earlier this year, a group of 22 prominent entomologists, including researchers from land grant institutions in the Corn Belt and the USDA’s Agricultural Research Service (ARS), submitted formal comments to the U.S. Environmental Protection Agency that cast doubt on the future viability of certain varieties of GE Bt corn.
Currently, there are commercially available Roundup-tolerant seed varieties for corn, soybeans, canola, sorghum, and cotton, in addition to sugar beets, and recently USDA-allowed Roundup-tolerant alfalfa. Due to serious questions regarding the integrity of USDA’s environmental evaluations, public interest groups, led by the Center for Food Safety and including Beyond Pesticides, have filed suit against the agency to stop its full deregulation of GE alfalfa. For more on genetically engineered agriculture read Beyond Pesticides’ article “Ready or Not, Genetically Engineered Crops Explode on Market.“
Source: Washington State University News Room
All unattributed positions and opinions in this piece are those of Beyond Pesticides.
Re: ogm
[quote="pinocio"]
Que ce soit leela ou encore paysannature, qui fait encore preuve d'une certaine lourdeur d'esprit, estiment sérieuse ce genre d'étude, soit, mais qu'un gouvernement prenne sans plus attendre des mesures avant même que se soit exprimée la communauté scientifique est nettement plus grave...Camille a écrit:Arrêtez, leela va devoir refaire ses tests de QI, afin d'arriver à comprendre que Marc Lavielle n'est pas un tourneur de manivelle, mais un chercheur scientifiqueRegis41 a écrit:France/étude sur les OGM de Séralini: des dizaines de chercheurs contre-attaquent
http://www.tak.fr/seralini-fait-comme-un-rat/
Encore une analyse critique de ses travaux
http://www.math.u-psud.fr/~lavielle/NK603B_lavielle.html
par Marc Lavielle,
Directeur de Recherche, INRIA Saclay - Île-de-France ,
Head of INRIA Exploratory Action POPIX
Member of the team Probabilités, Statistique et Modélisation,
Laboratoire de Mathématiques, Université Paris-Sud
Leader of the MONOLIX Software Project
(MOdèles NOn Linéaires à effets mIXtes),
Member of the High Council of Biotechnologies
Member of the DDMoRe European Project
(Drug Disease Model Resources)
Member of the GDR 3067 Statistique et Santé
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Re: ogm
[u]paysannature a écrit:Franki 41 a écrit:Paysannature ne donne pas un avis "éclairé", il ne fait que reprendre les articles qu'il trouve sur les sites anti-ogm.Camille a écrit:Ah, oui!?!paysannature a écrit:MERCI AUCHAN ET CARREFOUR....
Il semblerait que ton avis éminemment éclairé ne soit pas repris par tous!
je compte sur vous pour le faire à volonté .....
dans tous débats il y a les pour et les contres
dans une bonne démocratie chacun a le droit d'avoir un avis
dans un bon forum chacun doit pouvoir émettre librement et simplement ses idées
si par exemple on débat de non - labour ou labour se sera la même chose ....et chacun pense détenir la vérité (j'ai vu trop de sol se dégrader à cause du labour et beaucoup s'améliorer en non-labour)
moi je ne suis pas assez savant pour avancer que l'OGM est néfaste pour la santé humaine et je laisse ce débat aux gens compétents
mais pour moi qui ai vu de mes yeux des parcelles avec des plantes résistantes (adventices ,maladies,insectes) en amérique du sud et qui a rencontré des agris dégoutés de l'OGM , cela me suffit pour trancher la question , l'OGM n'apporte rien d'intéressant aux agris et devient dangereux pour l'environnement
donc je me fais un devoir de porter à votre connaissance tous les arguments non aux OGM et chacun au fur et à mesure que le débat avancera se fera son avis....
Regardez le dossier NITRATES , je suis complétement convaincu que les nitrates sont nécessaires à la santé de l'homme et bien il y a encore aujourd'hui des écolos bobos qui en doutent largement est continuent d'harceler les agris à ce sujet alors que c'est eux avec leurs excréments balancés dans les riviéres qui participent à l'excés de concentration de nitrates .....mais il n'est pas aberrant d'essayer de limiter le gaspillage de nitrates dans les sols et l'eau ....et ca c'est au bénéfice du porte monnaie des agris
le débat OGM reste ouvert et continue .....
Camille essaye de bien lire les messages .......
moi je ne suis pas assez savant pour avancer que l'OGM est néfaste pour la santé humaine et je laisse ce débat aux gens compétents
Re: ogm
Si vous pouviez synthetiser vos infos plutot que de balancer des textes à l'etat brut....
citer les sources c'est bien , mais faites preuve d'esprit de synthese !
Merci pour le debat
citer les sources c'est bien , mais faites preuve d'esprit de synthese !
Merci pour le debat
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Re: ogm
Pas toujours facile de "synthétiser" comme tu le dis Yaya.
Il est parfois nettement plus efficace de trouver les bons sites et les indiquer à ceux qui souhaitent creuser la question.
Pour ce qui est de cet essai, il semble que beaucoup de scientifiques soient fort critiques. Notamment, mais pas seulement, en ce qui concerne les analyses statistiques qui sont loin de démontrer la fiabilité de cet essai.
J'ai lu quelque part que 140 scientifiques français avaient émis une pétition à ce propos.
daniel89- + membre techno +
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Re: ogm
Séralini fait comme un rat!
http://www.tak.fr/seralini-fait-comme-un-rat/
Tres interessant à lire!
merci camille
http://www.tak.fr/seralini-fait-comme-un-rat/
Tres interessant à lire!
merci camille
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Re: ogm
Oui Regis l'a mit en spoiler mais avec l'abruti de service on ne peut plus rien capter de ce qui est intéressant...daniel89 a écrit:J'ai lu quelque part que 140 scientifiques français avaient émis une pétition à ce propos.
[quote=Regis41"]France/étude sur les OGM de Séralini: des dizaines de chercheurs contre-attaquent
- Spoiler:
- PARIS, 2 oct 2012 (AFP) - Des dizaines de scientifiques de l'Inra, du CNRS
et de l'Inserm dénoncent l'étude alarmante du professeur Gilles-Eric Séralini
qui tend à démontrer la toxicité des OGM, criant au "coup médiatique" et
appelant à sortir de "l'opposition idéologique" à cette technologie.
"Cette étude doit être considérée plus comme un coup médiatique que comme
une révélation de résultats scientifiques", écrivent 40 chercheurs,
principalement issus de ces trois organismes publics français qui réalisent
études et expérimentations sur les OGM, dans une tribune publiée dans
l'hebdomadaire Marianne.
L'étude menée par le professeur Gilles-Eric Séralini a mis en cause
l'innocuité à long terme du maïs transgénique NK 603, mis au point par le
groupe Monsanto.
Ces scientifiques rappellent les principales critiques émises à l'égard de
l'étude publiée le 19 septembre: "petite taille des effectifs par lot qui ne
permet pas de tirer des conclusions statistiques sérieuses", "manque de
précisions sur la composition de la nourriture donnée au rats" ou "lignée de
rats qui développent spontanément des tumeurs".
Ils se disent également "étonnés" du fait que les pouvoirs publics
français, "pourtant habitués à faire du zèle dans ce domaine", n'aient pas
instauré un moratoire immédiat sur le produit concerné. "S'attendent-ils à une
invalidation de cette étude par les instances d'évaluation officielles?",
poursuivent-ils.
Par ailleurs, près de 140 chercheurs, dont une partie est signataire de la
tribune, ont signé aussi une pétition lancée sur le site du CNRS qui appelle à
"un débat raisonné sur les OGM".
"L'hypermédiatisation, savamment organisée, de cette étude" fait partie des
"entraves à un débat serein", écrivent les chercheurs, qui appellent à ne pas
faire "l'impasse" sur des technologies qui peuvent, selon eux, permettre de
répondre à "des défis majeurs" comme le changement climatique et
l'accroissement rapide de la population mondiale.
"C'est de ce débat dont nous avons besoin, pas d'une opposition stérile,
souvent idéologique, et volontairement stigmatisante".
Une première analyse sur l'étude du Pr Séralini par l'Autorité européenne
pour la sécurité des aliments (EFSA) est attendue cette semaine.
La liste s'allonge ici
http://www.cnrs.fr/fr/une/actus/2012/20120927-debat-ogm.html
Merci yaya d'apprécier, il y a aussi cette analyse qui vient s'ajouter aux autres, ça commence à faire beaucoup!
http://www.informatique-agricole.org/gazette/afia/Seralini.pdf
Camille- + membre techno +
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Au pays du fromage mou qui pue
Re: ogm
pour info :
http://www.sud-recherche.org/EPST/INRA/mailSudINRA54.html
http://www.sud-recherche.org/EPST/INRA/mailSudINRA54.html
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Re: ogm
Je n'ai que peu de temps :
Le débat sur les OGM est vif, certain pour, d'autre contre, et encore certains qui ne savent pas et s'interrogent.
Ce qui est génant dans cette discution, c'est que 1 ou 2 pro OGM se permette d'argumenter sur les facultés intellectuelles d'autres sous pretexte qu'il sont d'un avis contraire au leur.
Ceci est petit,petit, petit, petit......................
Je prefère ne plus participer à ce genre de discutions et comme ceux qui s'interrogent, j'attendrai la suite des observations des scientifiques dans le monde.
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Re: ogm
Histoire d'alimenter le débat :
http://r.orange.fr/r?ref=HPPRO_Pro_1821_actu_actu_alaune&url=http%3A//actu.orange.fr/une/ogm-l-autorite-europeenne-rejette-en-l-etat-l-etude-seralini-afp_1110996.html
http://r.orange.fr/r?ref=HPPRO_Pro_1821_actu_actu_alaune&url=http%3A//actu.orange.fr/une/ogm-l-autorite-europeenne-rejette-en-l-etat-l-etude-seralini-afp_1110996.html
Invité- Invité
Re: ogm
Ce qui est pitoyable dans ce débat c'est la provoc' gratuite de certains quand on leur demande gentiment de faire un effort quant à la présentation ergonomique de leur arguments, pour d'autres c'est leur source... Alors se piquer d'être critiqué pour ses facultés intellec à d'autres!leela a écrit:
Je n'ai que peu de temps :
Le débat sur les OGM est vif, certain pour, d'autre contre, et encore certains qui ne savent pas et s'interrogent.
Ce qui est génant dans cette discution, c'est que 1 ou 2 pro OGM se permette d'argumenter sur les facultés intellectuelles d'autres sous pretexte qu'il sont d'un avis contraire au leur.
Ceci est petit,petit, petit, petit......................
Je prefère ne plus participer à ce genre de discutions et comme ceux qui s'interrogent, j'attendrai la suite des observations des scientifiques dans le monde.
Camille- + membre techno +
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Au pays du fromage mou qui pue
Re: ogm
pinocio a écrit:Histoire d'alimenter le débat :
http://r.orange.fr/r?ref=HPPRO_Pro_1821_actu_actu_alaune&url=http%3A//actu.orange.fr/une/ogm-l-autorite-europeenne-rejette-en-l-etat-l-etude-seralini-afp_1110996.html
la qualité des commentaires sur l'article laisse pantois ...pfffff
Invité- Invité
Re: ogm
leela a écrit:
Je prefère ne plus participer à ce genre de discutions et comme ceux qui s'interrogent, j'attendrai la suite des observations des scientifiques dans le monde.
oui, en somme tout le monde reste sur ses positions mais ce qui est dommage ce sont ces coups de bouttoirs médiatiques qui ne grandissent pas les non OGM malheureusement .
les non OGM vont finir par se discréditer totalement à ce jeu là ...
Invité- Invité
Re: ogm
Ce qui me gène dans ces "débats" c'est la non séparation de la technique de sélection OGM et le pourquoi de cette sélection
Le pourquoi actuel de cette sélection est serte très discutable et il convient de tout faire pour dénoncer les dérives! mais cette technique de sélection est valable misse entre de bonnes mains
Pourquoi cette amalgame fait pars les merdias et leur complices écolos ?tout simplement qu'il n'on rien trouver contre la technique OGM
Le pourquoi actuel de cette sélection est serte très discutable et il convient de tout faire pour dénoncer les dérives! mais cette technique de sélection est valable misse entre de bonnes mains
Pourquoi cette amalgame fait pars les merdias et leur complices écolos ?tout simplement qu'il n'on rien trouver contre la technique OGM
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Re: ogm
Pour revenir à l'étude du professeur Séralini, suite à la contreverse actuelle dans les médias par la communauté scientifique, il me paraît évident qu'il devait bien se douter de toutes les critiques formulées à l'égard du protocole "douteux" qu'il a employé pour son expérience, alors pourquoi n'a-t-il pas fait les choses dans les règles de l'art ? lui qui doit savoir précisément tout ça, aurait-il eu peur de ne rien trouver en se conformant à faire l'étude de manière plus rigoureuse ?
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Re: ogm
Franki 41 a écrit:Pour revenir à l'étude du professeur Séralini, suite à la contreverse actuelle dans les médias par la communauté scientifique, il me paraît évident qu'il devait bien se douter de toutes les critiques formulées à l'égard du protocole "douteux" qu'il a employé pour son expérience, alors pourquoi n'a-t-il pas fait les choses dans les règles de l'art ? lui qui doit savoir précisément tout ça, aurait-il eu peur de ne rien trouver en se conformant à faire l'étude de manière plus rigoureuse ?
c'est une maniere de relancer le debat et surtout de faire sortir du bois les scientifiques qui ont demontré l'inocuité des OGM sur la santé humaine.
Seralini a entamé un mouvement à plusieurs coups. C'est un joueur d'echecs.
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Re: ogm
Notre ministre a parlé hier soir, pour les ogm c'est niet ...
à 21 min .
à 21 min .
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Re: ogm
Parce que son but était de faire le Buzz et il a réussi ; Malgré la controverse et la réaction rapide des scientifiques, ce qui va rester dans l'esprit des gens, ce sont les rats tuméfiés !Franki 41 a écrit:Pour revenir à l'étude du professeur Séralini, suite à la contreverse actuelle dans les médias par la communauté scientifique, il me paraît évident qu'il devait bien se douter de toutes les critiques formulées à l'égard du protocole "douteux" qu'il a employé pour son expérience, alors pourquoi n'a-t-il pas fait les choses dans les règles de l'art ? lui qui doit savoir précisément tout ça, aurait-il eu peur de ne rien trouver en se conformant à faire l'étude de manière plus rigoureuse ?
Au delà des OGM, ce qui est dramatique c'est que ce genre d'individus discrédite tous les scientifiques sérieux qui n'orientent pas leurs résultats en fonction de leurs opinions.
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Re: ogm
Exact, une image "choquante" est très tenace dans la mémoire.Regis41 a écrit:Parce que son but était de faire le Buzz et il a réussi ; Malgré la controverse et la réaction rapide des scientifiques, ce qui va rester dans l'esprit des gens, ce sont les rats tuméfiés !Franki 41 a écrit:Pour revenir à l'étude du professeur Séralini, suite à la contreverse actuelle dans les médias par la communauté scientifique, il me paraît évident qu'il devait bien se douter de toutes les critiques formulées à l'égard du protocole "douteux" qu'il a employé pour son expérience, alors pourquoi n'a-t-il pas fait les choses dans les règles de l'art ? lui qui doit savoir précisément tout ça, aurait-il eu peur de ne rien trouver en se conformant à faire l'étude de manière plus rigoureuse ?
Au delà des OGM, ce qui est dramatique c'est que ce genre d'individus discrédite tous les scientifiques sérieux qui n'orientent pas leurs résultats en fonction de leurs opinions.
En même temps un brin de jugeotte me fait dire que si on était à la place du rat et si ça nous arrivait (voilà c'est ça qu'ils attendent qu'on pense, qu'il va arriver la même chose aux gens qui bouffent des trucs ogm), on serait vraiment très cons d'attendre que la tumeur grossisse d'un quart de notre poids avant d'aller voir un toubib
Invité- Invité
Re: ogm
je ne suis pas certain que les scientifiques pro ogm n'orientent pas leurs résultats, on ne trouve que ce que l'on cherche.Regis41 a écrit:Parce que son but était de faire le Buzz et il a réussi ; Malgré la controverse et la réaction rapide des scientifiques, ce qui va rester dans l'esprit des gens, ce sont les rats tuméfiés !Franki 41 a écrit:Pour revenir à l'étude du professeur Séralini, suite à la contreverse actuelle dans les médias par la communauté scientifique, il me paraît évident qu'il devait bien se douter de toutes les critiques formulées à l'égard du protocole "douteux" qu'il a employé pour son expérience, alors pourquoi n'a-t-il pas fait les choses dans les règles de l'art ? lui qui doit savoir précisément tout ça, aurait-il eu peur de ne rien trouver en se conformant à faire l'étude de manière plus rigoureuse ?
Au delà des OGM, ce qui est dramatique c'est que ce genre d'individus discrédite tous les scientifiques sérieux qui n'orientent pas leurs résultats en fonction de leurs opinions.
Invité- Invité
Re: ogm
Que Monsanto oriente ses propres expériences, ça ne m'étonnerais qu'à moitié, je n'ai pas une grande confiance dans ce que raconte ce genre de multinationale, mais que des associations qui clament souvent "on veut la vérité .... les firmes nous mentent .... il faut plus de clarté dans le débat", se permettent de trafiquer des études ou de lancer de fausses rumeurs, ça me gêne un tantinet, et je trouve que ça les décrédibilise beaucoup.baba a écrit:
je ne suis pas certain que les scientifiques pro ogm n'orientent pas leurs résultats, on ne trouve que ce que l'on cherche.
Mais bon, je suppose que tout les moyens sont bons pour faire valoir son point de vue, y compris les plus bas, je devrais pourtant être habitué à ce genre de techniques.
Franki- interdit de cachot
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Re: ogm
Lu dans un grand magazine scientifique (télé star ), par mr Veillerette, porte-parole de "générations futures" : "cette étude est un signal d'alarme, nous demandons en urgence le retrait du marché de l'herbicide incriminé (roundup) ....".
Autre commentaire récurrent de mme M.M. Robin : "l'agriculture biologique pourrait nourrir la planète", c'est dommage qu'elle oublie toujours (volontairement ?) la suite de ce raisonnement, à savoir : "à condition que le monde change de mode d'alimentation, et ne se nourrisse pas comme nous le faisons dans nos pays riches (beaucoup de viande)", ça aurait été nettement plus complet.
Autre commentaire récurrent de mme M.M. Robin : "l'agriculture biologique pourrait nourrir la planète", c'est dommage qu'elle oublie toujours (volontairement ?) la suite de ce raisonnement, à savoir : "à condition que le monde change de mode d'alimentation, et ne se nourrisse pas comme nous le faisons dans nos pays riches (beaucoup de viande)", ça aurait été nettement plus complet.
Franki- interdit de cachot
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Re: ogm
la france et les consommateurs ne donnent aucun signaux d'encouragements vers l'elevage ,bien au contraire ,mais il y aura toujours de l'elevage !!baba a écrit:le moins de viande on va y venir tout seul avec les arrêts des éleveurs !
moins 30 %e volaille en france en une dizaine d'année et plus 160 %en allemagne dans le meme temps !!
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bretagne
Re: ogm
apres une longue absence ici !
je vois que quelques soit l etude et quelques soit le resultat, certains ici defendent toujours les ogms !!!
vous avez raison defendez les bien ........
vous avez des resultats prouvant leurs innocuités, les ardents defenseur de cette merveille ?????? ......
et bien c est le moment de les montrer
je vois que quelques soit l etude et quelques soit le resultat, certains ici defendent toujours les ogms !!!
vous avez raison defendez les bien ........
vous avez des resultats prouvant leurs innocuités, les ardents defenseur de cette merveille ?????? ......
et bien c est le moment de les montrer
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Re: ogm
Et ça ne vous gêne pas que tous les avis soient basés sur des mensonges, d'un coté comme de l'autre ?
Le débat sur les ogm ressemble à une guerre de propagande.
Le débat sur les ogm ressemble à une guerre de propagande.
Franki- interdit de cachot
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Re: ogm
Franki 41 a écrit:Et ça ne vous gêne pas que tous les avis soient basés sur des mensonges, d'un coté comme de l'autre ?
Le débat sur les ogm ressemble à une guerre de propagande.
Y a une certaine logique, les chercheurs ne cherchent que si on leur donne des crédits, Si il ne trouvent rien la fois d'après pas de sous, donc il faut que les résultats sentent un peu le souffre pour alimenter la machine et inciter à de nouvelles études . La dose faisant le poison et le financement n'étant jamais neutre >> pro ou anti ça sera toujours tronqué.
Invité- Invité
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