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SDSC attitude
Rappel du premier message :
POURQUOI L’AGRICULTURE DE CONSERVATION NE FAIT-ELLE PAS ENCORE L’UNANIMITÉ ? LES FREINS AU CHANGEMENT
Si certains ont parlé de mode, de pratiques inadaptées aux cultures et aux conditions pédoclimatiques françaises, cela fait tout de même plus de 20 ans que la simplification du travail du sol, et maintenant l’agriculture de conservation, creuse lentement, mais sûrement, son sillon dans les campagnes avec une réussite qui commence à faire écho. Cependant, face à l’engouement des lecteurs, des agriculteurs pratiquants, des groupes et réseaux TCS et SD accompagnés par quelques techniciens et chercheurs, l’adhésion qui reste lente et limitée pose question.
Les contraintes qui peuvent stimuler la réflexion et le changement, souvent mises en avant comme des leviers importants, n’ont pourtant jamais été aussi fortes qu’aujourd’hui. Les hausses du prix du carburant, de l’azote, des aliments du bétail et des fourrages sont conséquentes et semblent durables. À titre d’exemple, et malgré les cours actuellement porteurs des céréales, la seule dépense en gasoil/ha peut s’approcher d’une tonne de grain. C’est déjà 10 à 15 % de la recette partie en fumée dans l’énergie pour animer la mécanisation. Si le coût devient très significatif, l’approvisionnement risque de ne pas être aussi simple et sécurisé à l’avenir dans un monde de plus en plus perturbé où l’ouverture à tout va est battue en brèche. À ce niveau, toute réduction de la consommation rentre aussi dans une approche d’autonomie : une stratégie prudente à ne pas négliger.
Au-delà des aspects purement économiques, l’eau est également une ressource qui se fait rare et l’irrigation est sous pression. À ce niveau aussi, une gestion plus parcimonieuse s’impose. Enfin, l’ensemble se trouve habillé par une cohorte de règles administratives et de mesures environnementales, justes sur le fond, mais qui sont souvent inadaptées dans l’application, rognant des marges d’efficacité tout en engendrant des charges supplémentaires.
Pourtant les systèmes TCS et SD comme les approches AC sont beaucoup mieux calés aujourd’hui. Il y a 20 ans, il fallait être un peu « rebelle » pour s’aventurer seul sur cette voie sans savoir-faire ni expérience. Depuis, le chemin est beaucoup mieux balisé et pas mal élargi : presque une autoroute. Non seulement les outils ont énormément évolué mais également les pratiques et les connaissances. La période de transition et la gestion de l’azote sont mieux appréhendées, les couverts végétaux sont en grande partie maîtrisés et les rotations s’adaptent pour limiter le salissement. Mieux encore, les réseaux AC apportent et produisent des innovations (couverts végétaux de type Biomax, destruction par roulage, gestion de stocks semenciers d’adventices en surface et colzas associés pour les principales) qui sont en train de faire des émules en conventionnel comme en AB.
Trop habitués à externaliser les solutions agronomiques, les agriculteurs ne se sentent peut-être pas responsables des contraintes, des soucis voire même des échecs dans les parcelles. Si la culture ne lève pas à cause de la sécheresse, c’est la faute de la météo et il est nécessaire de réfléchir irrigation alors que la manière d’aborder le travail du sol peut avoir énormément d’impact sur la gestion de cette ressource précieuse. De même que si le carburant augmente, c’est la responsabilité des dirigeants, économistes et des firmes pétrolières. On compte sur leur bon vouloir pour réduire la facture tout en exigeant une petite ristourne éventuelle de TIPP alors que des marges de manoeuvre beaucoup plus importantes existent dans les choix techniques. Des économies immédiates qui exposeront moins l’entreprise, et ce durablement, à la volatilité des cours.
Beaucoup pensent encore qu’il faut voir pour croire. Même si les agriculteurs sont des visuels et des pragmatiques, cette dimension pourtant souvent mise en avant ne stimule pas non plus le changement. Voilà 15 ans, attendre pour voir pouvait à la limite se comprendre mais aujourd’hui, qui n’a pas entendu parler de TCS et SD, quel est l’agriculteur qui n’a pas un voisin qui réussit depuis plus de 10 ans et dont les parcelles d’année en année font envie ? Bien entendu, il y a encore quelques « ratés » sur lesquels il est possible de stigmatiser. Cela permet de se rassurer, de sous-estimer ses contraintes et de justifier une position « attentiste ». Cependant, choisir ses risques et prendre sa destinée en main, c’est beaucoup moins risqué que de subir des risques imposés ou que l’on n’attendait pas.
D’autres accusent l’encadrement et la recherche d’être trop frileux sur le sujet. Certes, les économies envisagées par les agriculteurs sont inévitablement des manques à gagner pour des services marchands qui peuvent être tentés de véhiculer des messages contraires. Si cette réticence est louable pour certains, la majorité des secteurs périphériques n’ont rien à perdre, bien au contraire. Cependant, l’ensemble des acteurs est régi par les mêmes stimuli et les mêmes règles que les producteurs. Avec des contraintes et des enjeux voisins, il semble donc logique, à ce niveau, de changer et d’investir également dans la durabilité. C’est certainement moins de chiffre d’affaires mais c’est le retour d’un contact différent avec le « client » et le partage d’une meilleure valeur ajoutée construite ensemble. C’est la même approche pour l’encadrement, la recherche et la presse en quête aussi d’un nouveau positionnement. C’est seulement une relation différente et constructive avec les agriculteurs qui seule pourra leur permettre de rebondir.
Il faut d’abord croire pour voire. Pour changer, il ne suffit pas de considérer les mêmes enjeux et de regarder les mêmes champs, il faut avant tout être convaincu pour analyser différemment les clés de l’équation. En fonction de leur logique, deux agriculteurs ne verront pas les mêmes choses : un beau mulch d’un couvert sera pour vous un sol protégé, de l’eau mieux accueillie, de la nourriture pour les vers de terre, de l’autofertilité, des économies d’engrais et un havre de paix pour les auxiliaires alors que votre voisin y verra des risques de bourrage, une levée moins régulière, plus de limaces, plus de maladies et un potentiel de rendement réduit. C’est pourtant bien la même parcelle, mais c’est avant tout la conviction qui dirige l’observation et aiguille largement la perception.
Par conséquent, le changement, au-delà des aspects purement techniques et économiques est avant tout une attitude. Plus que démontrer l’intérêt de l’agriculture de conservation, ce qui reste largement nécessaire, il est donc important de considérer avec plus d’attention cette dimension comportementale afin d’élargir plus rapidement son adoption. Il faut apprendre à transformer les peurs en envies, les inquiétudes en enthousiasmes, les incompréhensions en dynamismes, les limites en objectifs et enfin les révoltes en projets. Il s’agit vraiment d’une « TCS attitude » ou plutôt d’une « positive attitude » qui s’applique et dépasse largement le seul cadre de l’agriculture dont il ne faut surtout pas se priver.
Frédéric Thomas - TCS n°67 ; mars/avril/mai 2012
http://www.agriculture-de-conservation.com/POURQUOI-L-AGRICULTURE-DE.html
POURQUOI L’AGRICULTURE DE CONSERVATION NE FAIT-ELLE PAS ENCORE L’UNANIMITÉ ? LES FREINS AU CHANGEMENT
Si certains ont parlé de mode, de pratiques inadaptées aux cultures et aux conditions pédoclimatiques françaises, cela fait tout de même plus de 20 ans que la simplification du travail du sol, et maintenant l’agriculture de conservation, creuse lentement, mais sûrement, son sillon dans les campagnes avec une réussite qui commence à faire écho. Cependant, face à l’engouement des lecteurs, des agriculteurs pratiquants, des groupes et réseaux TCS et SD accompagnés par quelques techniciens et chercheurs, l’adhésion qui reste lente et limitée pose question.
Les contraintes qui peuvent stimuler la réflexion et le changement, souvent mises en avant comme des leviers importants, n’ont pourtant jamais été aussi fortes qu’aujourd’hui. Les hausses du prix du carburant, de l’azote, des aliments du bétail et des fourrages sont conséquentes et semblent durables. À titre d’exemple, et malgré les cours actuellement porteurs des céréales, la seule dépense en gasoil/ha peut s’approcher d’une tonne de grain. C’est déjà 10 à 15 % de la recette partie en fumée dans l’énergie pour animer la mécanisation. Si le coût devient très significatif, l’approvisionnement risque de ne pas être aussi simple et sécurisé à l’avenir dans un monde de plus en plus perturbé où l’ouverture à tout va est battue en brèche. À ce niveau, toute réduction de la consommation rentre aussi dans une approche d’autonomie : une stratégie prudente à ne pas négliger.
Au-delà des aspects purement économiques, l’eau est également une ressource qui se fait rare et l’irrigation est sous pression. À ce niveau aussi, une gestion plus parcimonieuse s’impose. Enfin, l’ensemble se trouve habillé par une cohorte de règles administratives et de mesures environnementales, justes sur le fond, mais qui sont souvent inadaptées dans l’application, rognant des marges d’efficacité tout en engendrant des charges supplémentaires.
Pourtant les systèmes TCS et SD comme les approches AC sont beaucoup mieux calés aujourd’hui. Il y a 20 ans, il fallait être un peu « rebelle » pour s’aventurer seul sur cette voie sans savoir-faire ni expérience. Depuis, le chemin est beaucoup mieux balisé et pas mal élargi : presque une autoroute. Non seulement les outils ont énormément évolué mais également les pratiques et les connaissances. La période de transition et la gestion de l’azote sont mieux appréhendées, les couverts végétaux sont en grande partie maîtrisés et les rotations s’adaptent pour limiter le salissement. Mieux encore, les réseaux AC apportent et produisent des innovations (couverts végétaux de type Biomax, destruction par roulage, gestion de stocks semenciers d’adventices en surface et colzas associés pour les principales) qui sont en train de faire des émules en conventionnel comme en AB.
Trop habitués à externaliser les solutions agronomiques, les agriculteurs ne se sentent peut-être pas responsables des contraintes, des soucis voire même des échecs dans les parcelles. Si la culture ne lève pas à cause de la sécheresse, c’est la faute de la météo et il est nécessaire de réfléchir irrigation alors que la manière d’aborder le travail du sol peut avoir énormément d’impact sur la gestion de cette ressource précieuse. De même que si le carburant augmente, c’est la responsabilité des dirigeants, économistes et des firmes pétrolières. On compte sur leur bon vouloir pour réduire la facture tout en exigeant une petite ristourne éventuelle de TIPP alors que des marges de manoeuvre beaucoup plus importantes existent dans les choix techniques. Des économies immédiates qui exposeront moins l’entreprise, et ce durablement, à la volatilité des cours.
Beaucoup pensent encore qu’il faut voir pour croire. Même si les agriculteurs sont des visuels et des pragmatiques, cette dimension pourtant souvent mise en avant ne stimule pas non plus le changement. Voilà 15 ans, attendre pour voir pouvait à la limite se comprendre mais aujourd’hui, qui n’a pas entendu parler de TCS et SD, quel est l’agriculteur qui n’a pas un voisin qui réussit depuis plus de 10 ans et dont les parcelles d’année en année font envie ? Bien entendu, il y a encore quelques « ratés » sur lesquels il est possible de stigmatiser. Cela permet de se rassurer, de sous-estimer ses contraintes et de justifier une position « attentiste ». Cependant, choisir ses risques et prendre sa destinée en main, c’est beaucoup moins risqué que de subir des risques imposés ou que l’on n’attendait pas.
D’autres accusent l’encadrement et la recherche d’être trop frileux sur le sujet. Certes, les économies envisagées par les agriculteurs sont inévitablement des manques à gagner pour des services marchands qui peuvent être tentés de véhiculer des messages contraires. Si cette réticence est louable pour certains, la majorité des secteurs périphériques n’ont rien à perdre, bien au contraire. Cependant, l’ensemble des acteurs est régi par les mêmes stimuli et les mêmes règles que les producteurs. Avec des contraintes et des enjeux voisins, il semble donc logique, à ce niveau, de changer et d’investir également dans la durabilité. C’est certainement moins de chiffre d’affaires mais c’est le retour d’un contact différent avec le « client » et le partage d’une meilleure valeur ajoutée construite ensemble. C’est la même approche pour l’encadrement, la recherche et la presse en quête aussi d’un nouveau positionnement. C’est seulement une relation différente et constructive avec les agriculteurs qui seule pourra leur permettre de rebondir.
Il faut d’abord croire pour voire. Pour changer, il ne suffit pas de considérer les mêmes enjeux et de regarder les mêmes champs, il faut avant tout être convaincu pour analyser différemment les clés de l’équation. En fonction de leur logique, deux agriculteurs ne verront pas les mêmes choses : un beau mulch d’un couvert sera pour vous un sol protégé, de l’eau mieux accueillie, de la nourriture pour les vers de terre, de l’autofertilité, des économies d’engrais et un havre de paix pour les auxiliaires alors que votre voisin y verra des risques de bourrage, une levée moins régulière, plus de limaces, plus de maladies et un potentiel de rendement réduit. C’est pourtant bien la même parcelle, mais c’est avant tout la conviction qui dirige l’observation et aiguille largement la perception.
Par conséquent, le changement, au-delà des aspects purement techniques et économiques est avant tout une attitude. Plus que démontrer l’intérêt de l’agriculture de conservation, ce qui reste largement nécessaire, il est donc important de considérer avec plus d’attention cette dimension comportementale afin d’élargir plus rapidement son adoption. Il faut apprendre à transformer les peurs en envies, les inquiétudes en enthousiasmes, les incompréhensions en dynamismes, les limites en objectifs et enfin les révoltes en projets. Il s’agit vraiment d’une « TCS attitude » ou plutôt d’une « positive attitude » qui s’applique et dépasse largement le seul cadre de l’agriculture dont il ne faut surtout pas se priver.
Frédéric Thomas - TCS n°67 ; mars/avril/mai 2012
http://www.agriculture-de-conservation.com/POURQUOI-L-AGRICULTURE-DE.html
Re: SDSC attitude
jack77 a écrit:[
et moi je suis ravi d'avoir quelqu'un qui réponde à nos questions autrement que par "on devrait faire une loi pour interdire le labour"
concernant le déchaumage : j'en ai fait un sitôt récolte au ddi ( 01/08) attendu une dizaine de jours que les graines soient "point vert" et semis du couvert au dps12 recouvert par un coup léger de ddi
qu'est ce qui te gêne dans cette technique ? hormis le fait que cette année elle a certainement contribué à assécher un peu plus encore les sols
Il ne faut pas en vouloir à paysanature , c'est sûrement quelqu'un qui est passionné par ce qu'il fait ,et j'étais navré de voir que chaque discution partait en vrille ...., mais c'est vrai que son truc sur les lois m'a gavé sévère
Ce qui me déplaît dans le(s) déchaumage(s) c'est le fait que l'on enfouisse les graines d'herbe ,ça contribue à les mettre à l'abri et qu'on les retrouve les années suivantes , si on en laisse un max sur le sol et qu'on se démerde pour arriver à positionner un couvert dans le frais (semoir SD) pour le faire lever avant les mauvaises graines , on peut arriver à un taux de disparition de ces mauvaises graines très important pendant la durée du couvert , elle seront pour une bonne part consommées par les bestioles au sol et seront attaquées par les bactéries et champignons divers ,(les mauvaises graines contiennent un peu d'amidon et/ou de matières grasses = nourriture à bestioles et bactéries....etc )
D'autre part ,surtout en cas de conditions fraîches et humides , les juvéniles des bestioles que l'on cherche à développer pour avoir un sol vivant , vivent dans les cabanes de vdterres , ya toute une faune là dedans (si tu en as chez toi mets toi à genoux tu me diras ce que tu as vu ), et si tu passe ton ddi à ce moment là tu les flingues ,
j'ai parfois discuté avec des gens qui m'ont dit : ça fait des années que je suis en tcs et je ne vois pas plus de vdterre qu'en labour , pourquoi ?
Ben si tu flingues tous les ans une grosse part des juvéniles à cause de déchaumages trop fréquents et surtout au périodes ou ils sont en haut (dans les cabanes de vdterres ) , faut pas t'étonner !!!
Une autre raison : le vdterre pour faire sa popotte ,n'aime pas être dérangé
jp097- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
J'ai du soja erin précoce de disponible semé en dérobé le 30 juin, récolté le 25 octobre, contact par mp.papoup a écrit:fred03 a écrit:A titre perso, une rotation qui me plairait bien chez nous c'est:
Luzerne 3ans/maïs grain/soja/blé
Le soja sera en essai 2013!
petit HS : sais tu (ou qq'un d'autre!!) quelle somme de T° a besoin un soja pour arriver à maturité??
Hayges- + membre techno +
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Plaine du Jura
Re: SDSC attitude
jacquou le croquant a écrit:[
et suite à la récolte du maïs grain , je rebroye les débris après le Fantini ou pas ?
vais voir comment m'organiser ce petit essai .
+1 avec motocrotteman !
sympa d'avoir quelqu'un qui a la patience de répondre en toute honnêteté à nos questions .
Ça serait idéal pour cacher les graines de rebroyer , mais cette année vu la flotte moi je laisserais comme ça ,1 passage /24 m c'est bien assez , si tu as peur que ça fasse pas assez de graine viable, surdose un peu
jp097- + membre techno +
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49
Re: SDSC attitude
grabouille a écrit:je prends l'exemple de cette année
ici aucun couvert n'a levée et sont a l'image des colzas ,moribond
on a eu 1mois pour tout faire apres recolte(paille,epandage fiente fumier,ecumes prepa des sols)
dans ces conditions, les couverts pour des semis d'automne me paraisent peu evident a mettre en place
idem chez moi ,seul du sarazin (que je viens de récolter ) en dérobée aprés escourgeon a bien marcher....
sinon aprés blé , j'ai stoppé le semis de couvert ....trop peu d'eau pour être rentable .....on a donc comme c'était trés sec et trés porteur épandu 2000 T de compost végétal ...
cette année sur ces parcelles sans couvert et sans eau l'été , on est en SD .....et ce n'est pas la meilleure situation
Re: SDSC attitude
papoup a écrit:
petit HS : sais tu (ou qq'un d'autre!!) quelle somme de T° a besoin un soja pour arriver à maturité??
groupe de précocité 00 : 1500°C / cycle en base 6°C
http://rhone-alpes.synagri.com/synagri/pj.nsf/46b50bbadf2cf901c1256c2f0041b9a7/2a08f12bcbae5a0fc1257591004c18ba/$FILE/fiche%20technique%20soja%204%20p%20mars-09.pdf
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
jp097 a écrit:jacquou le croquant a écrit:[
et suite à la récolte du maïs grain , je rebroye les débris après le Fantini ou pas ?
vais voir comment m'organiser ce petit essai .
+1 avec motocrotteman !
sympa d'avoir quelqu'un qui a la patience de répondre en toute honnêteté à nos questions .
Ça serait idéal pour cacher les graines de rebroyer , mais cette année vu la flotte moi je laisserais comme ça ,1 passage /24 m c'est bien assez , si tu as peur que ça fasse pas assez de graine viable, surdose un peu
rebroyer sur une petite gelée peut-être .
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
jp097 a écrit:
Il ne faut pas en vouloir à paysanature , c'est sûrement quelqu'un qui est passionné par ce qu'il fait ,et j'étais navré de voir que chaque discution partait en vrille ...., mais c'est vrai que son truc sur les lois m'a gavé sévère
si vous continuez comme cela sur le sujet ....on aura pas besoin d'interdire le labour .....
Re: SDSC attitude
fred,c'est a 0.7litre de glypho que tu a mis sur ton trèfle(pr le ralentir),a 3litres tu tue tous normal?
Dernière édition par bibi43 le Dim 4 Nov - 19:53, édité 1 fois
bibi43- + membre techno +
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haute loire
Re: SDSC attitude
+1 avec motocrotteman !
sympa d'avoir quelqu'un qui a la patience de répondre en toute honnêteté à nos questions .[/quote]
+1, merci à vous qui faites partager vos expérienses, celà nous permet de progresser,
perso première année en SDSC, derrière Colza pour implantation du blé, parcelle en pente, habituellement après plus de 20 mm, il se crée des coulents d'eaux, cette année, rien..., sauf chez les voisins.........au moins j'ai déjà gagné sur ce point.....
Le couvert : repousses de colza, et principallement ce qui a bien levée, les féveroles semées à 8 cm, le reste tournesol, radis, etc... avec la sécheresse, c'est moyen.....
sympa d'avoir quelqu'un qui a la patience de répondre en toute honnêteté à nos questions .[/quote]
+1, merci à vous qui faites partager vos expérienses, celà nous permet de progresser,
perso première année en SDSC, derrière Colza pour implantation du blé, parcelle en pente, habituellement après plus de 20 mm, il se crée des coulents d'eaux, cette année, rien..., sauf chez les voisins.........au moins j'ai déjà gagné sur ce point.....
Le couvert : repousses de colza, et principallement ce qui a bien levée, les féveroles semées à 8 cm, le reste tournesol, radis, etc... avec la sécheresse, c'est moyen.....
seb55- + Membre +
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Argonne
Re: SDSC attitude
la féverole , même si ça coûte un peu , c' est un couvert qui passe à travers tous les accidents climatiques
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir. (octobre rouge)
je n' ai pas encore la date du prochain zimboum , je vous tiens au jus dès que j' ai des nouvelles (ASAP)
PatogaZ- + Admin +
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au bout de la baie de Somme
Re: SDSC attitude
desmoseb a écrit:seb55 a écrit:desmoseb a écrit:seb55 a écrit:
Bravo pour ton colza, une question vu son developpement, l'as-tu fertilisé au semis et si oui avec quoi ? Sinon ton sol doit déjà aller super bien...
J'ai localisé 150kg/ha d'engrais organique (farine de viande en bouchon) au semis.
Combien titre en éléments ton engrais et pour quel coût ?
C'est un 9/12/0 (aux 100 kg), plus tout ce qui est oligos. A ce dosage, ça me coute 30€/ha, environ.
Pour un prix environ équivalent à du minéral, c'est beaucoup mieux sous cette forme..(surtout pour les oligos, 100 % d'accord avec toi)
De plus, cela ne doit pas bouffer la distribution du semoir..
Comment s'appelle le produit et où peut-on en trouver ?
Merci d'avance, en MP si tu veux
seb55- + Membre +
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Date d'inscription : 11/09/2009
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Argonne
Re: SDSC attitude
alaindesalpes a écrit:papoup a écrit:
petit HS : sais tu (ou qq'un d'autre!!) quelle somme de T° a besoin un soja pour arriver à maturité??
groupe de précocité 00 : 1500°C / cycle en base 6°C
http://rhone-alpes.synagri.com/synagri/pj.nsf/46b50bbadf2cf901c1256c2f0041b9a7/2a08f12bcbae5a0fc1257591004c18ba/$FILE/fiche%20technique%20soja%204%20p%20mars-09.pdf
merci pour le lien y'ensile ce sujet en ce moment cOOOOOL
papoup- + membre techno +
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auvergne 43
Re: SDSC attitude
,là dessus tu laisse faire tout l'hiver et 1 mois avant semis un coup de rouleau et glypho+2,4d dans la foulée , puis semis avec un semoir genre ng+4 équipé de chasse débris
JP097, avec le rouleau +glypho+2.4d t'arrives à détruire la féverole car j'ai une mauvaise expérience avec elle en 2011, impossible de la faire crever avant de semer mes cultures de printemps. De plus utiliser du 2.4d avant le semis ce n'est pas un peu risqué?
JP097, avec le rouleau +glypho+2.4d t'arrives à détruire la féverole car j'ai une mauvaise expérience avec elle en 2011, impossible de la faire crever avant de semer mes cultures de printemps. De plus utiliser du 2.4d avant le semis ce n'est pas un peu risqué?
LD24- + membre techno +
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Date d'inscription : 22/11/2010
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DORDOGNE
Re: SDSC attitude
Sur couvert de vesce-avoine (la vesce ayant passé le mois de février tranquille sous la neige et repartant de plus belle) fait ce printemps glypho à 1 l + 2.4 D à 0.3 l le 15/03 pour un semis de maïs et tournesol du 10 au 16/04 >>> R.A.S
Medard86- + membre techno +
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le pays de Rabelais
Re: SDSC attitude
Medard86 a écrit:Sur couvert de vesce-avoine (la vesce ayant passé le mois de février tranquille sous la neige et repartant de plus belle) fait ce printemps glypho à 1 l + 2.4 D à 0.3 l le 15/03 pour un semis de maïs et tournesol du 10 au 16/04 >>> R.A.S
Merci pour le tuyau, le 2.4d avait bien tué la vesceà ce dosage là? faut-il respecter le délai d'un mois entre l'application et le semis pour ne pas avoir de pb?
LD24- + membre techno +
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Date d'inscription : 22/11/2010
Age : 56
DORDOGNE
Re: SDSC attitude
La vesce a bien été éliminée,par contre il y avait aussi de la véronique bien developpée et ça a été plus coriace a détruire.
Medard86- + membre techno +
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Date d'inscription : 27/07/2010
Age : 57
le pays de Rabelais
Re: SDSC attitude
Peut-être .... mais ils sont bios ces champignonsjacquou le croquant a écrit:dame-rdomroy a écrit:Désolée, erreur de sigle... pour moi SDSC c'est le service département de sécurité civile
champignons hallucinogènes ?
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
[quote="paysannature"]
si vous continuez comme cela sur le sujet ....on aura pas besoin d'interdire le labour
et toi si tu continues avec des propos constructifs et des exemples concrets comme tu le fais ce soir, tu deviendras beaucoup plus crédible et ... intéressant à lire
si vous continuez comme cela sur le sujet ....on aura pas besoin d'interdire le labour
paysannature a écrit:
idem chez moi ,seul du sarazin (que je viens de récolter ) en dérobée aprés escourgeon a bien marcher....
sinon aprés blé , j'ai stoppé le semis de couvert ....trop peu d'eau pour être rentable .....on a donc comme c'était trés sec et trés porteur épandu 2000 T de compost végétal ...
cette année sur ces parcelles sans couvert et sans eau l'été , on est en SD .....et ce n'est pas la meilleure situation
[quote]
et toi si tu continues avec des propos constructifs et des exemples concrets comme tu le fais ce soir, tu deviendras beaucoup plus crédible et ... intéressant à lire
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
jacquou le croquant a écrit:et suite à la récolte du maïs grain , je rebroye les débris après le Fantini ou pas ?jp097 a écrit:jacquou le croquant a écrit:[
labours d'hivers , terre en forte pente .
ce que je voudrai justement c'est un genre de couvert permanent ou le plus présent possible .
célàkél'os j'ai rien comme outils pour faire du direct mais il me semble que les semoirs à maïs actuels(de l'ETA) pourraient planter même le tarmac du chemin !
c'est pour ça que je pense à un couvert et un non labour pour cette parcelle .
Ben pour commencer , vu les condition de cette année , je suppose que vous avez pris pas mal d'eau vous aussi , si tu as récolté ton maïs sans détériorer ton sol ,et à cette seule condition !!, je serais tenté de te faire semer 150kg/ha de féverole à la volée sans travailler le sol , tu dois bien avoir un endroit un peu bête à labourer genre 1demi ha pour essayer ,là dessus tu laisse faire tout l'hiver et 1 mois avant semis un coup de rouleau et glypho+2,4d dans la foulée , puis semis avec un semoir genre ng+4 équipé de chasse débris
Pour le couvert permanent , je ne sais pas te répondre , j'avais fait des essais avec du trèfle souterrain (un truc censé se ressemer tout seul d'années en années ) mais je ne suis pas arrivé à grand chose avec ça et depuis pas de nouveaux essais de ma part
vais voir comment m'organiser ce petit essai .
+1 avec motocrotteman !
sympa d'avoir quelqu'un qui a la patience de répondre en toute honnêteté à nos questions .
Jacquou ce serait pas mal que tu mettes des photos de la récolte de ton maïs quand ce sera fait.
Car avec la pluie que vous avez reçu là haut, le sol qui a été labouré avant le premier maïs, j'ai peur que les conditions ne soient pas requises pour partir sereinement sur du non labour. Il ne faudrait pas que tu sois déçu dès ton premier essai...
Seb 77- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Seb 77 a écrit:
Jacquou ce serait pas mal que tu mettes des photos de la récolte de ton maïs quand ce sera fait.
Car avec la pluie que vous avez reçu là haut, le sol qui a été labouré avant le premier maïs, j'ai peur que les conditions ne soient pas requises pour partir sereinement sur du non labour. Il ne faudrait pas que tu sois déçu dès ton premier essai...
@ Seb : tu sais ce que j'aime bien chez toi ?
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>.... c'est ton côté pragmatique
plutôt que d'envoyer jacquou au casse-pipe avec une technique qui pourrait être fort inappropriée cette année, tu prends les devants en le mettant en garde sur l'erreur fatale à ne pas commettre ...
c'est grâce à des mecs comme toi qu'on avancera dans le système
bon çà suffit le cirage de pompes non mais !!!
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Re: SDSC attitude
depuis 2001 que des annéess à peu près sèches : 2012 est donc une année test pour comparer tous les systèmes ayant déjà chacun 10 ans et plus de recul. : qui s'en sortira le mieux dans des situations pédo-climatiques données ? SDSC, TCS, Labour ? réponse dans quelques mois, sachant que dans chaque système, celui qui va forcer sera perdant.
Et quel système permettra de 'agir au plus vite et au mieux... ?
Et quel système permettra de 'agir au plus vite et au mieux... ?
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Re: SDSC attitude
LD24 a écrit:,là dessus tu laisse faire tout l'hiver et 1 mois avant semis un coup de rouleau et glypho+2,4d dans la foulée , puis semis avec un semoir genre ng+4 équipé de chasse débris
JP097, avec le rouleau +glypho+2.4d t'arrives à détruire la féverole car j'ai une mauvaise expérience avec elle en 2011, impossible de la faire crever avant de semer mes cultures de printemps. De plus utiliser du 2.4d avant le semis ce n'est pas un peu risqué?
+1 avec Médard
La féverole pour la faire crever avec du glypho seul et sans rouler c'est mini 4l/ha ,avec roulage et glypho+2.4d on peut baisser la dose de glypho , perso 2l + 0.3/0.4l de 2.4d = bon nettoyage
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Re: SDSC attitude
il conviendra aussi de comparer les assolements ....
parce que faire tu NL ou du SDSC avec un assolement blé-OP-colza-fèveroles çà doit être plus facile à mettre en place qu'avec blé-betteraves-maïs-patates ... surtout cette année quand on habite dans le nord
parce que faire tu NL ou du SDSC avec un assolement blé-OP-colza-fèveroles çà doit être plus facile à mettre en place qu'avec blé-betteraves-maïs-patates ... surtout cette année quand on habite dans le nord
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
C'est quand même pas le but d'envoyer les gens au casse pipe.
Le NL ne doit jamais être pratiqué par défaut quand ça ne va plus autrement. Il faut toujours essayer d'intervenir dans de bonnes conditions (ou les moins mauvaises cette année).
Ca me rappelle quelqu'un qui faisait ses blés de maïs au semavator quand ça n'allait plus à la charrue. Ensuite il me disait que l'eau restait sur la terre dans le blé parce que c'était pas labouré.
Le NL ne doit jamais être pratiqué par défaut quand ça ne va plus autrement. Il faut toujours essayer d'intervenir dans de bonnes conditions (ou les moins mauvaises cette année).
Ca me rappelle quelqu'un qui faisait ses blés de maïs au semavator quand ça n'allait plus à la charrue. Ensuite il me disait que l'eau restait sur la terre dans le blé parce que c'était pas labouré.
Seb 77- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Seb 77 a écrit:[
Jacquou ce serait pas mal que tu mettes des photos de la récolte de ton maïs quand ce sera fait.
Car avec la pluie que vous avez reçu là haut, le sol qui a été labouré avant le premier maïs, j'ai peur que les conditions ne soient pas requises pour partir sereinement sur du non labour. Il ne faudrait pas que tu sois déçu dès ton premier essai...
Javais compris que son maïs était récolté ,
Bonne idée la photo ,
D'accord avec toi , sur le fait qu'il ne faudrait pas qu'il soit déçu par son premier essai c'est pourquoi j'avais précisé :"sans détériorer ton sol ,et à cette seule condition !!"
La féverole c'est solide mais pas au point de rattraper un carnage à la chenille!!
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Re: SDSC attitude
@ jack
Je me contenterais de parler de ce que je connais donc assolement avec patates et betterave dans les condition du nord
Je me contenterais de parler de ce que je connais donc assolement avec patates et betterave dans les condition du nord
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Re: SDSC attitude
jp097 a écrit:@ jack
Je me contenterais de parler de ce que je connais donc assolement avec patates et betterave dans les condition du nord
c'est bien ce qui nous interesse : des expériences, du vécu ...
et pas les publications de Frédéric T ( pour qui j'ai le plus grand respect) que l'on peut trouver sur d'autres forums ou dans des revues diverses ...
on veut du concret raconté par l'intéressé himself ...
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Re: SDSC attitude
paysannature a écrit:jp097 a écrit:
Il ne faut pas en vouloir à paysanature , c'est sûrement quelqu'un qui est passionné par ce qu'il fait ,et j'étais navré de voir que chaque discution partait en vrille ...., mais c'est vrai que son truc sur les lois m'a gavé sévère
si vous continuez comme cela sur le sujet ....on aura pas besoin d'interdire le labour .....
boudiou d'boudiou !
ça va finir en happening autours d'un feu de camp en tunique à fleurs avec des cheveux longs , des grattes et des volutes de cigarettes kifonrire !
en voilà une bonne idée pour le prochain repas ACE .
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
jp097 a écrit:Seb 77 a écrit:[
Jacquou ce serait pas mal que tu mettes des photos de la récolte de ton maïs quand ce sera fait.
Car avec la pluie que vous avez reçu là haut, le sol qui a été labouré avant le premier maïs, j'ai peur que les conditions ne soient pas requises pour partir sereinement sur du non labour. Il ne faudrait pas que tu sois déçu dès ton premier essai...
Javais compris que son maïs était récolté ,
Bonne idée la photo ,
D'accord avec toi , sur le fait qu'il ne faudrait pas qu'il soit déçu par son premier essai c'est pourquoi j'avais précisé :"sans détériorer ton sol ,et à cette seule condition !!"
La féverole c'est solide mais pas au point de rattraper un carnage à la chenille!!
no soucis , je l'avais bien compris comme ça aussi .
mais , les photos qu'on voit içi et là sur des conditions apocalyptiques de récolte ne sont pas d'application par chez moi .
j'ai même été agréablement surpris des bonnes conditions lors de l'ensilage de certaines parcelles chez moi .
maintenant depuis ce temps là il a pas mal draché mais un maïs pompe bien la flotte aussi .
enfin on verra à la récolte et si c'est trop le chantier on reportera l'essai .
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Re: SDSC attitude
jp097 a écrit:@ jack
Je me contenterais de parler de ce que je connais donc assolement avec patates et betterave dans les condition du nord
c'est bien aussi mon questionnement .
j'ai du matériel vieillissant et encore une petite quinzaine d'années a tirer avant la quille alors je lorgne de plus en plus vers des pratiques alternatives genre semis à la volée pour des céreales ou du stripcat version bidou pour des betteraves dans l'assolement .
les patates sont en contrat location de terres donc je pourrai m'en passer si je trouve une rotation autre et qui tient la route .
voilà un peu le topo de la situation actuelle
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Re: SDSC attitude
Ca se fait encore beaucoup en Beauce (terres plus argileuses que chez moi)Seb 77 a écrit:C'est quand même pas le but d'envoyer les gens au casse pipe.
Le NL ne doit jamais être pratiqué par défaut quand ça ne va plus autrement. Il faut toujours essayer d'intervenir dans de bonnes conditions (ou les moins mauvaises cette année).
Ca me rappelle quelqu'un qui faisait ses blés de maïs au semavator quand ça n'allait plus à la charrue. Ensuite il me disait que l'eau restait sur la terre dans le blé parce que c'était pas labouré.
Faut reconnaitre que c'est la moins mauvaise solution
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Re: SDSC attitude
Le semavator est un bon outil, mais quand c'est sain, pas dans la boue sinon ça fait une belle semelle.
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Re: SDSC attitude
jacquou le croquant a écrit:jp097 a écrit:@ jack
Je me contenterais de parler de ce que je connais donc assolement avec patates et betterave dans les condition du nord
c'est bien aussi mon questionnement .
j'ai du matériel vieillissant et encore une petite quinzaine d'années a tirer avant la quille alors je lorgne de plus en plus vers des pratiques alternatives genre semis à la volée pour des céreales ou du stripcat version bidou pour des betteraves dans l'assolement .
les patates sont en contrat location de terres donc je pourrai m'en passer si je trouve une rotation autre et qui tient la route .
voilà un peu le topo de la situation actuelle
Les meilleurs précédents pour se lancer en SD ou TCS très light restent la prairie pour le maïs et le colza/tournesol pour le blé, ce sont eux qui laissent les meilleurs structurent.
J'aurais tendance à t'inviter à continuer le "travail du sol" durant quelques temps, en particulier pour l'implantation des colzas, maïs, couverts, j'entends une simple fissuration avec un outil à dents michel ou qui ne remue pas de terre, afin de réorganiser ton sol de manière verticale et casser la ou les semelles d'outils. Pour la maïs et le colza c'est évident, ça l'est moins pour certains sur les couverts, ces derniers peuvent aller explorer le sol en profondeur et laisser une superbe structure pour un blé.
On peut aussi conseiller un léger déchaumage (pas après 5 cm), pour réchauffer un peu la terre au printemps, minéraliser un peu au début, et mettre en l'air mulots et limaces (pour le colza principalement).
A cela j'ajouterai des couverts systématiques dès que l'interculture est supérieure ou égale à + ou - 2 mois, mais des couverts très performants à + de 6t de ms/ha (ne pas hésiter à les fertiliser, ça paraît fou, mais ce n'est en aucun cas perdu, c'est stocké dans l'humus). On peut aussi coupler cela à des apports de compost.
Il ne faut en aucun cas oublier d'augmenter légèrement la fertilisation les premières années (20-30 unités d'azote, qui seront absorber par la micro faune du sol pour décomposer les résidus végétaux, d'où l'intérêt d'implanter des légumineuses dans les couverts pour diminuer le rapport c/n).
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Re: SDSC attitude
actualités du pas de calais....
quelle systéme est préférable pour éviter les coulées de boue ....?
La nécessité de prévenir les phénomènes d’érosion notamment liés à l’évolution des pratiques agricoles
De plus en plus de territoires de la région sont concernés par les phénomènes d’érosion hydrique et les coulées de boue entraînant notamment des pertes de terres agricoles [voir chapitre « Sols et sous-sols »]. Certaines évolutions de l’agriculture ont aggravé la sensibilité à l’érosion hydrique des sols : agrandissement des parcelles, utilisation de matériel lourd avec tassement des sols ne permettant plus à l’eau de s’infiltrer, forte diminution des parcelles en herbe qui favorisent l’infiltration. La diminution des rotations culturales, la faiblesse des restitutions de la matière organique, les labours profonds systématiques, le retournement des prairies, tendent à réduire progressivement la teneur des sols en matière organique. Cette évolution peut également conduire à l’apparition de phénomènes de battance et à l’augmentation des coulées boueuses.
Des actions visant à limiter l’érosion et les coulées de boues sont conduites en partenariat avec les agriculteurs. Sur la base de l’expérience acquise dans les années quatre-vingt-dix avec une action importante sur le Pays de Montreuil, la chambre d’Agriculture du Pas-de-Calais développe une approche globale, à l’échelle de bassins versants, visant à réguler le plus en amont possible les phénomènes d’érosion et de ruissellement. Des modifications de pratiques culturales ou des aménagements « légers » et répartis dans l’espace sont préconisés : cultures intermédiaires, techniques simplifiées de travail du sol, sens de travail du sol, bandes enherbées permettant d’atténuer le ruissellement, plantation de fascines qui ralentissent l’eau et retiennent les terres agricoles, de haies, etc. Dans un second temps seulement, des solutions hydrauliques plus lourdes de type création de bassin tampon sont envisagées. Les solutions sont recherchées en partenariat avec les agriculteurs et les interventions le plus souvent conduites à la demande des collectivités.
Là encore, une large diffusion des pratiques agricoles éprouvées sur les zones de test doit être envisagée pour espérer atténuer significativement le risque d’érosion.
http://www.nord-pas-de-calais.developpement-durable.gouv.fr/?-Agriculture-et-peche-
https://www.google.fr/search?hl=fr&safe=off&q=inondations+pas+de+calais&bav=on.2,or.r_gc.r_pw.r_cp.r_qf.&bpcl=37189454&biw=1760&bih=908&um=1&ie=UTF-8&tbm=isch&source=og&sa=N&tab=wi&ei=GrCWUL6zBubH0QWy9YG4AQ#um=1&hl=fr&safe=off&tbm=isch&sa=1&q=coul%C3%A9e+de+boue+en+france&oq=coul%C3%A9e+de+boue+en+france&gs_l=img.12...566083.568466.2.570378.9.7.0.2.2.0.185.938.0j7.7.0...0.0...1c.1.4FKmigkfBbA&pbx=1&bav=on.2,or.r_gc.r_pw.r_cp.r_qf.&fp=876879fec13ad0f&bpcl=37189454&biw=1760&bih=908
quelle systéme est préférable pour éviter les coulées de boue ....?
La nécessité de prévenir les phénomènes d’érosion notamment liés à l’évolution des pratiques agricoles
De plus en plus de territoires de la région sont concernés par les phénomènes d’érosion hydrique et les coulées de boue entraînant notamment des pertes de terres agricoles [voir chapitre « Sols et sous-sols »]. Certaines évolutions de l’agriculture ont aggravé la sensibilité à l’érosion hydrique des sols : agrandissement des parcelles, utilisation de matériel lourd avec tassement des sols ne permettant plus à l’eau de s’infiltrer, forte diminution des parcelles en herbe qui favorisent l’infiltration. La diminution des rotations culturales, la faiblesse des restitutions de la matière organique, les labours profonds systématiques, le retournement des prairies, tendent à réduire progressivement la teneur des sols en matière organique. Cette évolution peut également conduire à l’apparition de phénomènes de battance et à l’augmentation des coulées boueuses.
Des actions visant à limiter l’érosion et les coulées de boues sont conduites en partenariat avec les agriculteurs. Sur la base de l’expérience acquise dans les années quatre-vingt-dix avec une action importante sur le Pays de Montreuil, la chambre d’Agriculture du Pas-de-Calais développe une approche globale, à l’échelle de bassins versants, visant à réguler le plus en amont possible les phénomènes d’érosion et de ruissellement. Des modifications de pratiques culturales ou des aménagements « légers » et répartis dans l’espace sont préconisés : cultures intermédiaires, techniques simplifiées de travail du sol, sens de travail du sol, bandes enherbées permettant d’atténuer le ruissellement, plantation de fascines qui ralentissent l’eau et retiennent les terres agricoles, de haies, etc. Dans un second temps seulement, des solutions hydrauliques plus lourdes de type création de bassin tampon sont envisagées. Les solutions sont recherchées en partenariat avec les agriculteurs et les interventions le plus souvent conduites à la demande des collectivités.
Là encore, une large diffusion des pratiques agricoles éprouvées sur les zones de test doit être envisagée pour espérer atténuer significativement le risque d’érosion.
http://www.nord-pas-de-calais.developpement-durable.gouv.fr/?-Agriculture-et-peche-
https://www.google.fr/search?hl=fr&safe=off&q=inondations+pas+de+calais&bav=on.2,or.r_gc.r_pw.r_cp.r_qf.&bpcl=37189454&biw=1760&bih=908&um=1&ie=UTF-8&tbm=isch&source=og&sa=N&tab=wi&ei=GrCWUL6zBubH0QWy9YG4AQ#um=1&hl=fr&safe=off&tbm=isch&sa=1&q=coul%C3%A9e+de+boue+en+france&oq=coul%C3%A9e+de+boue+en+france&gs_l=img.12...566083.568466.2.570378.9.7.0.2.2.0.185.938.0j7.7.0...0.0...1c.1.4FKmigkfBbA&pbx=1&bav=on.2,or.r_gc.r_pw.r_cp.r_qf.&fp=876879fec13ad0f&bpcl=37189454&biw=1760&bih=908
Re: SDSC attitude
Seb 77 a écrit:Le semavator est un bon outil, mais quand c'est sain, pas dans la boue sinon ça fait une belle semelle.
pour info Seb, la technique a évolué, on accroche un décompacteur devant le sémavator.
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Re: SDSC attitude
L'Agriculture durable et vous
ENQUETE NATIONALE IAD 2012
Au moment où l’émergence de nouveaux modèles agricoles combinant performance économique et environnementale est un enjeu majeur, l'enquête "L'Agrciulture durable et vous" s’attache à mieux cerner la perception de la durabilité en matière agricole.
En effet, alors que de plus en plus d’agriculteurs s’engagent dans des démarches de développement durable, prenant en compte les dimensions économiques, sociales et environnementales, la question est celle de la compréhension et de l’adhésion à ces nouveaux modèles. De quoi parlons-nous ? Quels sont les enjeux ? Quelles sont les attentes ?
Les résultats de cette enquête seront présentés le 23 janvier 2013 lors des 5èmes Rencontres internationales de l’Agriculture durable, à Paris.
participer à l'enquête
http://www.institut-agriculture-durable.fr/
ENQUETE NATIONALE IAD 2012
Au moment où l’émergence de nouveaux modèles agricoles combinant performance économique et environnementale est un enjeu majeur, l'enquête "L'Agrciulture durable et vous" s’attache à mieux cerner la perception de la durabilité en matière agricole.
En effet, alors que de plus en plus d’agriculteurs s’engagent dans des démarches de développement durable, prenant en compte les dimensions économiques, sociales et environnementales, la question est celle de la compréhension et de l’adhésion à ces nouveaux modèles. De quoi parlons-nous ? Quels sont les enjeux ? Quelles sont les attentes ?
Les résultats de cette enquête seront présentés le 23 janvier 2013 lors des 5èmes Rencontres internationales de l’Agriculture durable, à Paris.
participer à l'enquête
http://www.institut-agriculture-durable.fr/
Re: SDSC attitude
oli a écrit:Seb 77 a écrit:Le semavator est un bon outil, mais quand c'est sain, pas dans la boue sinon ça fait une belle semelle.
pour info Seb, la technique a évolué, on accroche un décompacteur devant le sémavator.
vous n'êtes plus dans le SDSC , un bon sol vivant en SDSC aura plus de chance de développer les graines qu'on lui a confié qu'un sol travaillé mécaniquement .....
Re: SDSC attitude
paysannature a écrit:oli a écrit:Seb 77 a écrit:Le semavator est un bon outil, mais quand c'est sain, pas dans la boue sinon ça fait une belle semelle.
pour info Seb, la technique a évolué, on accroche un décompacteur devant le sémavator.
vous n'êtes plus dans le SDSC , un bon sol vivant en SDSC aura plus de chance de développer les graines qu'on lui a confié qu'un sol travaillé mécaniquement .....
C'est vrai , mais quand le climat ne veut pas , faut bien faire avec les moyens du bord
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Re: SDSC attitude
jp097 a écrit:paysannature a écrit:oli a écrit:Seb 77 a écrit:Le semavator est un bon outil, mais quand c'est sain, pas dans la boue sinon ça fait une belle semelle.
pour info Seb, la technique a évolué, on accroche un décompacteur devant le sémavator.
vous n'êtes plus dans le SDSC , un bon sol vivant en SDSC aura plus de chance de développer les graines qu'on lui a confié qu'un sol travaillé mécaniquement .....
C'est vrai , mais quand le climat ne veut pas , faut bien faire avec les moyens du bord
C'est bien ça le problème, ne vaut-il mieux pas d'attendre, voir à semer au printemps plutôt que semer dans des conditions me*diques ? En labour, vous remettez la machine à 0 tous les ans, les SDistes n'ont pas cette chance, c'est une remise en cause des acquis perpétuelle.
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Re: SDSC attitude
Pour ceux qui recoivent TCS, il y a justement un article interessant sur le comparatif labour/TCS/sd avec divers modalités de fertilisation pour chaque systeme depuis 10 ans.
De memoire c'est une station experimentale du morbihan qui fait ces essais sur 54 ha depuis maintenant 10 ans.
De memoire c'est une station experimentale du morbihan qui fait ces essais sur 54 ha depuis maintenant 10 ans.
Re: SDSC attitude
EG6195 a écrit:jp097 a écrit:paysannature a écrit:oli a écrit:Seb 77 a écrit:Le semavator est un bon outil, mais quand c'est sain, pas dans la boue sinon ça fait une belle semelle.
pour info Seb, la technique a évolué, on accroche un décompacteur devant le sémavator.
vous n'êtes plus dans le SDSC , un bon sol vivant en SDSC aura plus de chance de développer les graines qu'on lui a confié qu'un sol travaillé mécaniquement .....
C'est vrai , mais quand le climat ne veut pas , faut bien faire avec les moyens du bord
C'est bien ça le problème, ne vaut-il mieux pas d'attendre, voir à semer au printemps plutôt que semer dans des conditions me*diques ? En labour, vous remettez la machine à 0 tous les ans, les SDistes n'ont pas cette chance, c'est une remise en cause des acquis perpétuelle.
je t'invite a gagner ta vie chez moi avec 100% de cultures de printemps
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
Fly49 a écrit:
je t'invite a gagner ta vie chez moi avec 100% de cultures de printemps
+1
de la douce théorie à la dure pratique
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Re: SDSC attitude
EG6195 a écrit:[
C'est bien ça le problème, ne vaut-il mieux pas d'attendre, voir à semer au printemps plutôt que semer dans des conditions me*diques ? En labour, vous remettez la machine à 0 tous les ans, les SDistes n'ont pas cette chance, c'est une remise en cause des acquis perpétuelle.
Sur un sol vivant malmené à la récolte , un outil comme un semavator + ameublisseur passé après un égouttage même sommaire, permet de rattraper pas mal de choses , sachant que les bestioles du sol refabriquent à cette période de la porosité
même si le sdsc est le but à rechercher , on n'a pas tous les ans les bonnes conditions pour y arriver , donc on doit bien faire avec ce qu'on à sous la main pour reniveler , et j'ai vu des situation se rétablir étonnamment bien grâce au travail des vdterres
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Re: SDSC attitude
tu n'as pas mis 0.7litre de glypho,au lieu de 3l?fred03 a écrit:.
Triticale semé le 5 octobre dans du rgi + t hybride traité à 3 l de glypho sbv.
Le trèfle est pas bien vif mais toujours present...
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Re: SDSC attitude
paysannature a écrit:L'Agriculture durable et vous
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Au moment où l’émergence de nouveaux modèles agricoles combinant performance économique et environnementale est un enjeu majeur, l'enquête "L'Agrciulture durable et vous" s’attache à mieux cerner la perception de la durabilité en matière agricole.
En effet, alors que de plus en plus d’agriculteurs s’engagent dans des démarches de développement durable, prenant en compte les dimensions économiques, sociales et environnementales, la question est celle de la compréhension et de l’adhésion à ces nouveaux modèles. De quoi parlons-nous ? Quels sont les enjeux ? Quelles sont les attentes ?
Les résultats de cette enquête seront présentés le 23 janvier 2013 lors des 5èmes Rencontres internationales de l’Agriculture durable, à Paris.
participer à l'enquête
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je vous invite également a repondre a cette enquete
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Re: SDSC attitude
bibi43 a écrit:tu n'as pas mis 0.7litre de glypho,au lieu de 3l?fred03 a écrit:.
Triticale semé le 5 octobre dans du rgi + t hybride traité à 3 l de glypho sbv.
Le trèfle est pas bien vif mais toujours present...
Non, j'ai mis 3 litres pour assurer avec les ray-grass, le chiendent et les gros rumex. Si on rate son glypho, il y a peu de solutions de secours par la suite.
Re: SDSC attitude
C'est un problème que je souhaitais soulever aussijack77 a écrit:Fly49 a écrit:
je t'invite a gagner ta vie chez moi avec 100% de cultures de printemps
+1
de la douce théorie à la dure pratique
Je suis en blé/oh/colza sur 90 % de mes terres
Je vis de quoi si j'intègre des cultures non rentables qui me permettront de faire un blé potable ?
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Re: SDSC attitude
tof a écrit:C'est un problème que je souhaitais soulever aussijack77 a écrit:Fly49 a écrit:
je t'invite a gagner ta vie chez moi avec 100% de cultures de printemps
+1
de la douce théorie à la dure pratique
Je suis en blé/oh/colza sur 90 % de mes terres
Je vis de quoi si j'intègre des cultures non rentables qui me permettront de faire un blé potable ?
tu vois ta rentabilité à la culture ou à la rotation , toi ?
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loire atlantique
Re: SDSC attitude
bap a écrit:tof a écrit:C'est un problème que je souhaitais soulever aussijack77 a écrit:Fly49 a écrit:
je t'invite a gagner ta vie chez moi avec 100% de cultures de printemps
+1
de la douce théorie à la dure pratique
Je suis en blé/oh/colza sur 90 % de mes terres
Je vis de quoi si j'intègre des cultures non rentables qui me permettront de faire un blé potable ?
tu vois ta rentabilité à la culture ou à la rotation , toi ?
je pense qu'on est nombreux à avoir compris que la rotation est indispensable et "rentable" et que le sol nous le rendra... Tof voulait dire je crois, on fait comment pour gagner notre vie dans un maïs à 60 qx dans les pierres malgré un blé correct derrière
J'ai quelques parcelles "sacrifiées cette année pour nettoyer, pour la rotation, avec 60qx de maïs en sec, c'est fait mais je reprendrais pas ce risque tous les ans...
elgo- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Je veux parler des pois,féveroles,tournesols et autres amusements qui effectivement coupent la rotation mais ne nourrissent pas son homme chez moi
tof- + membre techno +
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sud 28
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