Sujets similaires
Statistiques
Nous avons 4382 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est jerome74
Nos membres ont posté un total de 3170094 messages dans 88293 sujets
Petites annonces
Pas d'annonces disponibles.
SDSC attitude
+85
farmer62
Alan.fr
flo45320
max-42
iris
jojogo
patleclerc
22bretagne
bingo
vivanden
dgé
ag39
tf76
DEMONFAUCON
bap
Seb 77
aurel35
Kris91
apache67
Mickaël-Kaël55
hexa
Medard86
alextvt190
jd6800
algi
salicapi
cdric22
tof
ivanquoi
elgo
JRR28
vince21
fusa 32
Robust
escrito17
paysannature
manu17
vinc@nt
jojo
daffy
JJ
GRUMPY
s.a.m
mat61
Manu18
speedy1
snif
Hayges
cornol
seb55
lauva
desmoseb
CAMZ61
vtp
LD24
rb42
leponge
kerfanch
Regis41
oli
papoup
etaisere
ben21
gratteplanete10
Tallou
merinos
PatogaZ
EG6195
mccain
Bart37
Poule
nicov
centkght
erwin
fred03
Sparthakus
hermine 22
daniel89
catar
mrsame
jp097
bibi43
bidou02
dugers
RT 08
89 participants
AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: Cultures et tours de plaines :: Biologie des sols
Page 14 sur 20
Page 14 sur 20 • 1 ... 8 ... 13, 14, 15 ... 20
SDSC attitude
Rappel du premier message :
POURQUOI L’AGRICULTURE DE CONSERVATION NE FAIT-ELLE PAS ENCORE L’UNANIMITÉ ? LES FREINS AU CHANGEMENT
Si certains ont parlé de mode, de pratiques inadaptées aux cultures et aux conditions pédoclimatiques françaises, cela fait tout de même plus de 20 ans que la simplification du travail du sol, et maintenant l’agriculture de conservation, creuse lentement, mais sûrement, son sillon dans les campagnes avec une réussite qui commence à faire écho. Cependant, face à l’engouement des lecteurs, des agriculteurs pratiquants, des groupes et réseaux TCS et SD accompagnés par quelques techniciens et chercheurs, l’adhésion qui reste lente et limitée pose question.
Les contraintes qui peuvent stimuler la réflexion et le changement, souvent mises en avant comme des leviers importants, n’ont pourtant jamais été aussi fortes qu’aujourd’hui. Les hausses du prix du carburant, de l’azote, des aliments du bétail et des fourrages sont conséquentes et semblent durables. À titre d’exemple, et malgré les cours actuellement porteurs des céréales, la seule dépense en gasoil/ha peut s’approcher d’une tonne de grain. C’est déjà 10 à 15 % de la recette partie en fumée dans l’énergie pour animer la mécanisation. Si le coût devient très significatif, l’approvisionnement risque de ne pas être aussi simple et sécurisé à l’avenir dans un monde de plus en plus perturbé où l’ouverture à tout va est battue en brèche. À ce niveau, toute réduction de la consommation rentre aussi dans une approche d’autonomie : une stratégie prudente à ne pas négliger.
Au-delà des aspects purement économiques, l’eau est également une ressource qui se fait rare et l’irrigation est sous pression. À ce niveau aussi, une gestion plus parcimonieuse s’impose. Enfin, l’ensemble se trouve habillé par une cohorte de règles administratives et de mesures environnementales, justes sur le fond, mais qui sont souvent inadaptées dans l’application, rognant des marges d’efficacité tout en engendrant des charges supplémentaires.
Pourtant les systèmes TCS et SD comme les approches AC sont beaucoup mieux calés aujourd’hui. Il y a 20 ans, il fallait être un peu « rebelle » pour s’aventurer seul sur cette voie sans savoir-faire ni expérience. Depuis, le chemin est beaucoup mieux balisé et pas mal élargi : presque une autoroute. Non seulement les outils ont énormément évolué mais également les pratiques et les connaissances. La période de transition et la gestion de l’azote sont mieux appréhendées, les couverts végétaux sont en grande partie maîtrisés et les rotations s’adaptent pour limiter le salissement. Mieux encore, les réseaux AC apportent et produisent des innovations (couverts végétaux de type Biomax, destruction par roulage, gestion de stocks semenciers d’adventices en surface et colzas associés pour les principales) qui sont en train de faire des émules en conventionnel comme en AB.
Trop habitués à externaliser les solutions agronomiques, les agriculteurs ne se sentent peut-être pas responsables des contraintes, des soucis voire même des échecs dans les parcelles. Si la culture ne lève pas à cause de la sécheresse, c’est la faute de la météo et il est nécessaire de réfléchir irrigation alors que la manière d’aborder le travail du sol peut avoir énormément d’impact sur la gestion de cette ressource précieuse. De même que si le carburant augmente, c’est la responsabilité des dirigeants, économistes et des firmes pétrolières. On compte sur leur bon vouloir pour réduire la facture tout en exigeant une petite ristourne éventuelle de TIPP alors que des marges de manoeuvre beaucoup plus importantes existent dans les choix techniques. Des économies immédiates qui exposeront moins l’entreprise, et ce durablement, à la volatilité des cours.
Beaucoup pensent encore qu’il faut voir pour croire. Même si les agriculteurs sont des visuels et des pragmatiques, cette dimension pourtant souvent mise en avant ne stimule pas non plus le changement. Voilà 15 ans, attendre pour voir pouvait à la limite se comprendre mais aujourd’hui, qui n’a pas entendu parler de TCS et SD, quel est l’agriculteur qui n’a pas un voisin qui réussit depuis plus de 10 ans et dont les parcelles d’année en année font envie ? Bien entendu, il y a encore quelques « ratés » sur lesquels il est possible de stigmatiser. Cela permet de se rassurer, de sous-estimer ses contraintes et de justifier une position « attentiste ». Cependant, choisir ses risques et prendre sa destinée en main, c’est beaucoup moins risqué que de subir des risques imposés ou que l’on n’attendait pas.
D’autres accusent l’encadrement et la recherche d’être trop frileux sur le sujet. Certes, les économies envisagées par les agriculteurs sont inévitablement des manques à gagner pour des services marchands qui peuvent être tentés de véhiculer des messages contraires. Si cette réticence est louable pour certains, la majorité des secteurs périphériques n’ont rien à perdre, bien au contraire. Cependant, l’ensemble des acteurs est régi par les mêmes stimuli et les mêmes règles que les producteurs. Avec des contraintes et des enjeux voisins, il semble donc logique, à ce niveau, de changer et d’investir également dans la durabilité. C’est certainement moins de chiffre d’affaires mais c’est le retour d’un contact différent avec le « client » et le partage d’une meilleure valeur ajoutée construite ensemble. C’est la même approche pour l’encadrement, la recherche et la presse en quête aussi d’un nouveau positionnement. C’est seulement une relation différente et constructive avec les agriculteurs qui seule pourra leur permettre de rebondir.
Il faut d’abord croire pour voire. Pour changer, il ne suffit pas de considérer les mêmes enjeux et de regarder les mêmes champs, il faut avant tout être convaincu pour analyser différemment les clés de l’équation. En fonction de leur logique, deux agriculteurs ne verront pas les mêmes choses : un beau mulch d’un couvert sera pour vous un sol protégé, de l’eau mieux accueillie, de la nourriture pour les vers de terre, de l’autofertilité, des économies d’engrais et un havre de paix pour les auxiliaires alors que votre voisin y verra des risques de bourrage, une levée moins régulière, plus de limaces, plus de maladies et un potentiel de rendement réduit. C’est pourtant bien la même parcelle, mais c’est avant tout la conviction qui dirige l’observation et aiguille largement la perception.
Par conséquent, le changement, au-delà des aspects purement techniques et économiques est avant tout une attitude. Plus que démontrer l’intérêt de l’agriculture de conservation, ce qui reste largement nécessaire, il est donc important de considérer avec plus d’attention cette dimension comportementale afin d’élargir plus rapidement son adoption. Il faut apprendre à transformer les peurs en envies, les inquiétudes en enthousiasmes, les incompréhensions en dynamismes, les limites en objectifs et enfin les révoltes en projets. Il s’agit vraiment d’une « TCS attitude » ou plutôt d’une « positive attitude » qui s’applique et dépasse largement le seul cadre de l’agriculture dont il ne faut surtout pas se priver.
Frédéric Thomas - TCS n°67 ; mars/avril/mai 2012
http://www.agriculture-de-conservation.com/POURQUOI-L-AGRICULTURE-DE.html
POURQUOI L’AGRICULTURE DE CONSERVATION NE FAIT-ELLE PAS ENCORE L’UNANIMITÉ ? LES FREINS AU CHANGEMENT
Si certains ont parlé de mode, de pratiques inadaptées aux cultures et aux conditions pédoclimatiques françaises, cela fait tout de même plus de 20 ans que la simplification du travail du sol, et maintenant l’agriculture de conservation, creuse lentement, mais sûrement, son sillon dans les campagnes avec une réussite qui commence à faire écho. Cependant, face à l’engouement des lecteurs, des agriculteurs pratiquants, des groupes et réseaux TCS et SD accompagnés par quelques techniciens et chercheurs, l’adhésion qui reste lente et limitée pose question.
Les contraintes qui peuvent stimuler la réflexion et le changement, souvent mises en avant comme des leviers importants, n’ont pourtant jamais été aussi fortes qu’aujourd’hui. Les hausses du prix du carburant, de l’azote, des aliments du bétail et des fourrages sont conséquentes et semblent durables. À titre d’exemple, et malgré les cours actuellement porteurs des céréales, la seule dépense en gasoil/ha peut s’approcher d’une tonne de grain. C’est déjà 10 à 15 % de la recette partie en fumée dans l’énergie pour animer la mécanisation. Si le coût devient très significatif, l’approvisionnement risque de ne pas être aussi simple et sécurisé à l’avenir dans un monde de plus en plus perturbé où l’ouverture à tout va est battue en brèche. À ce niveau, toute réduction de la consommation rentre aussi dans une approche d’autonomie : une stratégie prudente à ne pas négliger.
Au-delà des aspects purement économiques, l’eau est également une ressource qui se fait rare et l’irrigation est sous pression. À ce niveau aussi, une gestion plus parcimonieuse s’impose. Enfin, l’ensemble se trouve habillé par une cohorte de règles administratives et de mesures environnementales, justes sur le fond, mais qui sont souvent inadaptées dans l’application, rognant des marges d’efficacité tout en engendrant des charges supplémentaires.
Pourtant les systèmes TCS et SD comme les approches AC sont beaucoup mieux calés aujourd’hui. Il y a 20 ans, il fallait être un peu « rebelle » pour s’aventurer seul sur cette voie sans savoir-faire ni expérience. Depuis, le chemin est beaucoup mieux balisé et pas mal élargi : presque une autoroute. Non seulement les outils ont énormément évolué mais également les pratiques et les connaissances. La période de transition et la gestion de l’azote sont mieux appréhendées, les couverts végétaux sont en grande partie maîtrisés et les rotations s’adaptent pour limiter le salissement. Mieux encore, les réseaux AC apportent et produisent des innovations (couverts végétaux de type Biomax, destruction par roulage, gestion de stocks semenciers d’adventices en surface et colzas associés pour les principales) qui sont en train de faire des émules en conventionnel comme en AB.
Trop habitués à externaliser les solutions agronomiques, les agriculteurs ne se sentent peut-être pas responsables des contraintes, des soucis voire même des échecs dans les parcelles. Si la culture ne lève pas à cause de la sécheresse, c’est la faute de la météo et il est nécessaire de réfléchir irrigation alors que la manière d’aborder le travail du sol peut avoir énormément d’impact sur la gestion de cette ressource précieuse. De même que si le carburant augmente, c’est la responsabilité des dirigeants, économistes et des firmes pétrolières. On compte sur leur bon vouloir pour réduire la facture tout en exigeant une petite ristourne éventuelle de TIPP alors que des marges de manoeuvre beaucoup plus importantes existent dans les choix techniques. Des économies immédiates qui exposeront moins l’entreprise, et ce durablement, à la volatilité des cours.
Beaucoup pensent encore qu’il faut voir pour croire. Même si les agriculteurs sont des visuels et des pragmatiques, cette dimension pourtant souvent mise en avant ne stimule pas non plus le changement. Voilà 15 ans, attendre pour voir pouvait à la limite se comprendre mais aujourd’hui, qui n’a pas entendu parler de TCS et SD, quel est l’agriculteur qui n’a pas un voisin qui réussit depuis plus de 10 ans et dont les parcelles d’année en année font envie ? Bien entendu, il y a encore quelques « ratés » sur lesquels il est possible de stigmatiser. Cela permet de se rassurer, de sous-estimer ses contraintes et de justifier une position « attentiste ». Cependant, choisir ses risques et prendre sa destinée en main, c’est beaucoup moins risqué que de subir des risques imposés ou que l’on n’attendait pas.
D’autres accusent l’encadrement et la recherche d’être trop frileux sur le sujet. Certes, les économies envisagées par les agriculteurs sont inévitablement des manques à gagner pour des services marchands qui peuvent être tentés de véhiculer des messages contraires. Si cette réticence est louable pour certains, la majorité des secteurs périphériques n’ont rien à perdre, bien au contraire. Cependant, l’ensemble des acteurs est régi par les mêmes stimuli et les mêmes règles que les producteurs. Avec des contraintes et des enjeux voisins, il semble donc logique, à ce niveau, de changer et d’investir également dans la durabilité. C’est certainement moins de chiffre d’affaires mais c’est le retour d’un contact différent avec le « client » et le partage d’une meilleure valeur ajoutée construite ensemble. C’est la même approche pour l’encadrement, la recherche et la presse en quête aussi d’un nouveau positionnement. C’est seulement une relation différente et constructive avec les agriculteurs qui seule pourra leur permettre de rebondir.
Il faut d’abord croire pour voire. Pour changer, il ne suffit pas de considérer les mêmes enjeux et de regarder les mêmes champs, il faut avant tout être convaincu pour analyser différemment les clés de l’équation. En fonction de leur logique, deux agriculteurs ne verront pas les mêmes choses : un beau mulch d’un couvert sera pour vous un sol protégé, de l’eau mieux accueillie, de la nourriture pour les vers de terre, de l’autofertilité, des économies d’engrais et un havre de paix pour les auxiliaires alors que votre voisin y verra des risques de bourrage, une levée moins régulière, plus de limaces, plus de maladies et un potentiel de rendement réduit. C’est pourtant bien la même parcelle, mais c’est avant tout la conviction qui dirige l’observation et aiguille largement la perception.
Par conséquent, le changement, au-delà des aspects purement techniques et économiques est avant tout une attitude. Plus que démontrer l’intérêt de l’agriculture de conservation, ce qui reste largement nécessaire, il est donc important de considérer avec plus d’attention cette dimension comportementale afin d’élargir plus rapidement son adoption. Il faut apprendre à transformer les peurs en envies, les inquiétudes en enthousiasmes, les incompréhensions en dynamismes, les limites en objectifs et enfin les révoltes en projets. Il s’agit vraiment d’une « TCS attitude » ou plutôt d’une « positive attitude » qui s’applique et dépasse largement le seul cadre de l’agriculture dont il ne faut surtout pas se priver.
Frédéric Thomas - TCS n°67 ; mars/avril/mai 2012
http://www.agriculture-de-conservation.com/POURQUOI-L-AGRICULTURE-DE.html
Re: SDSC attitude
tof a écrit:Au programme y a pas" semis direct en terres battantes/hydromorphes/séchantes/caillouteuses" ?
caillouteuses je ne sais pas,
mais séchantes et hydromorphes c'est souvent les motifs de la décision du passage au "semis direct sous couvert"
elgo- + membre techno +
- Messages : 2963
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 45
45
Re: SDSC attitude
Ou par exemple ?
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
[quote="tof"]Au programme y a pas" semis direct en terres battantes/hydromorphes/séchantes/caillouteuses" ? [/qu
tu devrais en trouver pas loin
tu devrais en trouver pas loin
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
tof a écrit:Ou par exemple ?
séchante et hydromorphe? en sologne, dans le 37, qq parcelles chez moi... pour ce qui est des pierres en plus, effectivement j'en connais pas
elgo- + membre techno +
- Messages : 2963
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 45
45
Re: SDSC attitude
Tiens,comme j'ai rien foutu aujourd'hui,je suis allé faire un mini profil
Au fond a 30 cm
w.hostingpics.net/viewer.php?id=12826220130310162335.jpg][/URL]
Des conseils ?
Au fond a 30 cm
w.hostingpics.net/viewer.php?id=12826220130310162335.jpg][/URL]
Des conseils ?
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
tof a écrit:Tiens,comme j'ai rien foutu aujourd'hui,je suis allé faire un mini profil
Au fond a 30 cm
w.hostingpics.net/viewer.php?id=12826220130310162335.jpg][/URL]
Des conseils ?
Désolé Tof, mais je crois tu as bossé pour pas grand chose : il faut mieux que ce soit un peu plus sec pour voir l'état de la structure... Pas facile de donner des conseils sur tes photos.
JRR28- + membre techno +
- Messages : 1122
Date d'inscription : 12/07/2010
Age : 45
28
Re: SDSC attitude
je ne ferais pas d'analyse de profil, pas suffisamment au point
mais je suis sûr que quelques spécialistes vont te renseigner
mon expérience dans mes quelques parcelles hydromorphes, montrent que maintenir beaucoup de résidus sur le dessus (chaumes de maïs, blé coupé "haut", couverts, avec un voire deux max passage d'outils) relancent l'activité des vers sur une hauteur de bèche (qq limaces aussi...)
maintenant je n'ai jamais vraiment creusé de trou
mais je suis sûr que quelques spécialistes vont te renseigner
mon expérience dans mes quelques parcelles hydromorphes, montrent que maintenir beaucoup de résidus sur le dessus (chaumes de maïs, blé coupé "haut", couverts, avec un voire deux max passage d'outils) relancent l'activité des vers sur une hauteur de bèche (qq limaces aussi...)
maintenant je n'ai jamais vraiment creusé de trou
elgo- + membre techno +
- Messages : 2963
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 45
45
Re: SDSC attitude
la chasse est finie, le ski aussi...tof a écrit:Tiens,comme j'ai rien foutu aujourd'hui
je comprends...
elgo- + membre techno +
- Messages : 2963
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 45
45
Re: SDSC attitude
3 passages
Les vers ils sont noyés,comme le colza
Les vers ils sont noyés,comme le colza
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
On ne voit pas trop bien sur les photos.
Une fois que le trou est fait il faut décaper la couche de terre sur les parois du trou pour bien voir comment est la structure. La comme ça semble encore pas mal humide on voit des traces de lissage (de l'outil qui a creusé sans doute ? ), mais on a du mal à voir comment est le sol.
Exemple sur la photo ci-dessous, où le godet a creusé on ne voit rien, à coté ou c'est "décapé" on voit la structure du sol
Et ça semble fort humide quand même, pas le moment idéal pour observer. Donc pas évident de commenter tes photos.
On distingue trois couleurs, 30 cm c'est en bas de la 2e couleur avant la zone plus claire ?
Une fois que le trou est fait il faut décaper la couche de terre sur les parois du trou pour bien voir comment est la structure. La comme ça semble encore pas mal humide on voit des traces de lissage (de l'outil qui a creusé sans doute ? ), mais on a du mal à voir comment est le sol.
Exemple sur la photo ci-dessous, où le godet a creusé on ne voit rien, à coté ou c'est "décapé" on voit la structure du sol
Et ça semble fort humide quand même, pas le moment idéal pour observer. Donc pas évident de commenter tes photos.
On distingue trois couleurs, 30 cm c'est en bas de la 2e couleur avant la zone plus claire ?
Seb 77- + membre techno +
- Messages : 10783
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 49
Centre Seine et Marne (Brie)
Re: SDSC attitude
J'espère toujours qu'un spécialiste vienne chez moi faire un profil car je n'y connais rien et c'est bien dommage pour un agri.
Je n'ai creusé que 30 cm et a la bêche c'est déjà laborieux
Oui,30 cm c'est environ au début de la zone claire (argile a silex plastique très imperméable)
La 1 ere couleur est la couche labourée je pense
Je n'ai creusé que 30 cm et a la bêche c'est déjà laborieux
Oui,30 cm c'est environ au début de la zone claire (argile a silex plastique très imperméable)
La 1 ere couleur est la couche labourée je pense
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
nous avons un trés bon spécialiste des profils dans le département.
ivanquoi- + membre techno +
- Messages : 8796
Date d'inscription : 13/09/2009
Age : 62
chartres
Re: SDSC attitude
Thierry ?
Je l'attends
La dernière fois que je suis allé le voir ,il en faisait un ou il y avait 3 m de limons...
Thierry,si tu me lis...
Je l'attends
La dernière fois que je suis allé le voir ,il en faisait un ou il y avait 3 m de limons...
Thierry,si tu me lis...
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
si sa marche en sologne pourquoi pas chez toi
la prochaine visite chez f t je t emmenes
la prochaine visite chez f t je t emmenes
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
La première couche correspond au labour du colza donc vers 15-20 cm donc. Et dans la couche en dessous qui est un peu plus foncée aucun outil n'y va ? Habituellement c'est l'horizon labouré qui est plus foncé (car il contient la MO).
Sur la gauche de la première photo on voit que tu as dégagé un peu la semelle de labour je pense.
Est-ce que c'est aussi humide dans les 3 horizons, ou vois tu des différences ?
Sur la gauche de la première photo on voit que tu as dégagé un peu la semelle de labour je pense.
Est-ce que c'est aussi humide dans les 3 horizons, ou vois tu des différences ?
Seb 77- + membre techno +
- Messages : 10783
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 49
Centre Seine et Marne (Brie)
Re: SDSC attitude
tof a écrit:Thierry ?
Je l'attends
La dernière fois que je suis allé le voir ,il en faisait un ou il y avait 3 m de limons...
Thierry,si tu me lis...
oui Thierry
ivanquoi- + membre techno +
- Messages : 8796
Date d'inscription : 13/09/2009
Age : 62
chartres
Re: SDSC attitude
Je ne vois pas trop les points communs avec la Sologne chez moi102 eme d infanterie a écrit:si sa marche en sologne pourquoi pas chez toi
la prochaine visite chez f t je t emmenes
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
la couche d argile ce qu il y as sur le dessus sable ou cailloux ne change rien au probleme
compte tu garder une parcelle sur plusieurs annees
compte tu garder une parcelle sur plusieurs annees
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
Quelle semelle ?Seb 77 a écrit:La première couche correspond au labour du colza donc vers 15-20 cm donc. Et dans la couche en dessous qui est un peu plus foncée aucun outil n'y va ? Habituellement c'est l'horizon labouré qui est plus foncé (car il contient la MO).
Sur la gauche de la première photo on voit que tu as dégagé un peu la semelle de labour je pense.
Est-ce que c'est aussi humide dans les 3 horizons, ou vois tu des différences ?
Y a pas de semelle !
9 années sur 10 je laboure dans le sec pas possible !!!
Aucun outil n'ose s'aventurer plus creux que 20 cm dans cette terre.(usure+ trop dur l'été)
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
la semelle tu la fait avec le limon fin qui tombe sur le fond de la ras
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
tof a écrit:Quelle semelle ?Seb 77 a écrit:La première couche correspond au labour du colza donc vers 15-20 cm donc. Et dans la couche en dessous qui est un peu plus foncée aucun outil n'y va ? Habituellement c'est l'horizon labouré qui est plus foncé (car il contient la MO).
Sur la gauche de la première photo on voit que tu as dégagé un peu la semelle de labour je pense.
Est-ce que c'est aussi humide dans les 3 horizons, ou vois tu des différences ?
Y a pas de semelle !
9 années sur 10 je laboure dans le sec pas possible !!!
Aucun outil n'ose s'aventurer plus creux que 20 cm dans cette terre.(usure+ trop dur l'été)
T'énerve pas !
Il me semble voir une zone plate sur le coté de ton trou qui pourrait ressembler à une semelle. Mais pas facile vu d'ici.
Comme le dit 102e, le simple fait de travailler à la même profondeur régulièrement même si c'est sec peut créer une semelle.
Seb 77- + membre techno +
- Messages : 10783
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 49
Centre Seine et Marne (Brie)
Re: SDSC attitude
tof a écrit:Quelle semelle ?Seb 77 a écrit:La première couche correspond au labour du colza donc vers 15-20 cm donc. Et dans la couche en dessous qui est un peu plus foncée aucun outil n'y va ? Habituellement c'est l'horizon labouré qui est plus foncé (car il contient la MO).
Sur la gauche de la première photo on voit que tu as dégagé un peu la semelle de labour je pense.
Est-ce que c'est aussi humide dans les 3 horizons, ou vois tu des différences ?
Y a pas de semelle !
9 années sur 10 je laboure dans le sec pas possible !!!
Aucun outil n'ose s'aventurer plus creux que 20 cm dans cette terre.(usure+ trop dur l'été)
il suffit d'un seule année pour faire une semelle
ivanquoi- + membre techno +
- Messages : 8796
Date d'inscription : 13/09/2009
Age : 62
chartres
Re: SDSC attitude
tof a écrit:
Aucun outil n'ose s'aventurer plus creux que 20 cm dans cette terre.(usure+ trop dur l'été)
il faudrait une année décompacter pour ameublir au niveau des 20 cm, et après terminé le travail profond sauf éventuellement pour le colza.
pour les céréales du travail superficiel, couvrir pour éviter la battance (donc des résidus et travailler dedans)
avec des couverts adaptés juste derrière la moissbat en direct etc....
faut avoir le matos et l'envie de le faire
mais on sent bien que t'es près à revendre ta charrue et à faire le grand saut
elgo- + membre techno +
- Messages : 2963
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 45
45
Re: SDSC attitude
tof a écrit:J'espère toujours qu'un spécialiste vienne chez moi faire un profil car je n'y connais rien et c'est bien dommage pour un agri.
Je n'ai creusé que 30 cm et a la bêche c'est déjà laborieux
Oui,30 cm c'est environ au début de la zone claire (argile a silex plastique très imperméable)
La 1 ere couleur est la couche labourée je pense
Agri Conseil à un prestataire très bien pour les analyses de profils.
En plus il est de bons conseils sur le machinisme, les engrais et phytos.
On arrive a faire une dizaine de profils dans la journée (il ne faut pas trainer).
Dans mon cas, je loue une mini pelle fin Aout. Je fais les profils 48 h avant le RDV et je rebouche ensuite au telesco.
Robust- + membre techno +
- département : Oise
Messages : 7019
Date d'inscription : 12/09/2009
Age : 52
Sud Ouest de l'Oise (Vexin)
Re: SDSC attitude
102 eme d infanterie a écrit:la semelle tu la fait avec le limon fin qui tombe sur le fond de la ras
Plus 1 ,un décompacteur fait le même boulot,la terre fine au fond les mottes en surfaces .
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
C'est rarement dans les cailloux qu'il y a les pires semelles de labour...
Si vraiment y a besoin, il faut le faire en fin d'été en reprise d'humidité pour éviter que les limons fins descendent dans les fentes. si le sol est légèrement humide, ça décompacte sans redescendre.
et le plus important : un bon couvert (ou culture) derrière pour coloniser les espaces au plus vite et éviter la reprise en masse.
Si vraiment y a besoin, il faut le faire en fin d'été en reprise d'humidité pour éviter que les limons fins descendent dans les fentes. si le sol est légèrement humide, ça décompacte sans redescendre.
et le plus important : un bon couvert (ou culture) derrière pour coloniser les espaces au plus vite et éviter la reprise en masse.
JRR28- + membre techno +
- Messages : 1122
Date d'inscription : 12/07/2010
Age : 45
28
Re: SDSC attitude
Agrimarne a écrit:
Plus 1 ,un décompacteur fait le même boulot,la terre fine au fond les mottes en surfaces .
tout outil à répétition peut faire une semelle, on est d'accord.
cela dit, un décompacteur passé à l'automne en condition sèche, une fois tous les deux ou trois ans pour assurer l'implantation de la tête d'assolement est une méthode culturale sécuritaire, mais sans trop bousculer l'horizon de surface.
elgo- + membre techno +
- Messages : 2963
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 45
45
Re: SDSC attitude
tof a écrit:Au programme y a pas" semis direct en terres battantes/hydromorphes/séchantes/caillouteuses" ?
C'est le type de sol que j'ai sur moitié de ma surface. Par contre je suis drainé en majeure partie. Et ce sont sur ces sols que j'ai l'évolution la plus significative suite à l'arrêt du travail du sol mécanique et à l'adoption de pratiques agronomiques adaptées.
desmoseb- + Membre +
- Messages : 105
Date d'inscription : 27/10/2009
Age : 45
ducatiste sarthois
Re: SDSC attitude
Tu as quoi comme semoir ?
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
J'ai un séméato et un priméra.
desmoseb- + Membre +
- Messages : 105
Date d'inscription : 27/10/2009
Age : 45
ducatiste sarthois
Re: SDSC attitude
paysannature a écrit:Jeff Moyer nous explique ici pourquoi il faut tendre vers l’abandon de la chimie
Les photos font plaisir à voir mais la question que je me pose toujours : comment ils font pour avoir de si beaux couverts!!! Chez nous
JRR28- + membre techno +
- Messages : 1122
Date d'inscription : 12/07/2010
Age : 45
28
Re: SDSC attitude
J'ai l'impression que les terres de chez tof ressemblent aux miennes.
pour moi,je decompactage ne sert pas à grand chose puisque le sous sol est impermeable.
j'ai décompacté,je remonte progressivement les profondeurs de travail en surveillant l'exploration par les racines et les vers.
un jour peut-etre j'en arriverais au SDSC...
pour en arriver au SDSC,la reussite du couvert est à mon avis la clé: pour ça il faudrait broyer les pailles et semer "au cul d'la batteuse" mais j'ai pas encore resolu le pb de la suppression du produit paille(qui serait surement,en partie, compensé par les economies de carburants et de temps de travail).
en tout cas si un jour qq va faire un profil chez tof,faites moi signe
pour moi,je decompactage ne sert pas à grand chose puisque le sous sol est impermeable.
j'ai décompacté,je remonte progressivement les profondeurs de travail en surveillant l'exploration par les racines et les vers.
un jour peut-etre j'en arriverais au SDSC...
pour en arriver au SDSC,la reussite du couvert est à mon avis la clé: pour ça il faudrait broyer les pailles et semer "au cul d'la batteuse" mais j'ai pas encore resolu le pb de la suppression du produit paille(qui serait surement,en partie, compensé par les economies de carburants et de temps de travail).
en tout cas si un jour qq va faire un profil chez tof,faites moi signe
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
Blé semé en direct au 25/10 derrière de l'avoine, un coup de glypho au mois d'août.
c'est relativement propre, un peu de R.G mais surtout des repousses d'avoine, blé à 3/4 feuilles
C'est sec chez nous !
c'est relativement propre, un peu de R.G mais surtout des repousses d'avoine, blé à 3/4 feuilles
C'est sec chez nous !
s.a.m- + membre techno +
- Messages : 3869
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 44
Plateau lorrain chaotique
Re: SDSC attitude
bonjour s.a.m, quel est le type de semoir utilisé, on voit quand même encore la terre
LD24- + membre techno +
- Messages : 666
Date d'inscription : 22/11/2010
Age : 56
DORDOGNE
Re: SDSC attitude
Le semoir n'y est pour rien, terre froide, ble seme tard, il n'est qu'a 3/4 feuilles, hiver pas fini chez nous. Sinon le semoir est un CO4. Semis en double bandes.
s.a.m- + membre techno +
- Messages : 3869
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 44
Plateau lorrain chaotique
Re: SDSC attitude
pour semer avec un CO il faut que l'engrais vert soit bien mort ou on peut passer dedans sans bourrage
LD24- + membre techno +
- Messages : 666
Date d'inscription : 22/11/2010
Age : 56
DORDOGNE
Re: SDSC attitude
Il y a quand même du dégagement entre les pieds, mais il ne faut pas de grandes tiges, type moutardes, tournesol elles se mettent autour des pieds, et font effet butoir, là, pour le coup il faut qu'elles se soient mortes sinon pas top. Du colza, des pois, de l'avoine... pas de problème, avec la vitesse ça passent bien.
s.a.m- + membre techno +
- Messages : 3869
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 44
Plateau lorrain chaotique
LD24- + membre techno +
- Messages : 666
Date d'inscription : 22/11/2010
Age : 56
DORDOGNE
Re: SDSC attitude
pour rester sur le CO , tu semes avec des soc duett, ou les socs qui scalpent tres plat ( type bourgault ) je ne connais pas leur nom?
certains utilisateurs du CO disent qu'il n'est pas fait pour le semis direct , vrai? pourquoi?
pour passer dans des couverts lui adjoindre une rangée de disques devant serait utile ( on voit bcp de constructeur le faire, ecoyn, guilbart, religieux ...et differement sur les techmagri)
certains utilisateurs du CO disent qu'il n'est pas fait pour le semis direct , vrai? pourquoi?
pour passer dans des couverts lui adjoindre une rangée de disques devant serait utile ( on voit bcp de constructeur le faire, ecoyn, guilbart, religieux ...et differement sur les techmagri)
cdric22- + membre techno +
- département : 45
Messages : 656
Date d'inscription : 10/03/2012
Age : 43
Montargis
Re: SDSC attitude
c'est pas un "direct" pur ! plutôt un semoir de tcs... on fait avec selon le type de sol, son état et le précédent. Sam a déjà mis des photos de blé semé en direct derrière de l'op ...Chez nous, ce semoir nous satisfait
salicapi- + membre techno +
- Messages : 3309
Date d'inscription : 14/09/2009
Age : 68
54 Grand Estois
Re: SDSC attitude
Cette année je vais récolter la dernière récolte de semences de luzerne et après j'ai bien envie de garder cette parcelle sans travail du sol.
J'ai mis de la luzerne dans cette parcelle parce que je ne pouvais plus "rien en faire",
Quand je vois comment la parcelle a évolué au niveau écoulement de l'eau (cet hiver on a pu bien le vérifier et en ce moment aussi) j'ai bien envie de ne pas trop casser cette dynamique.
Deux soucis pour moi :
-Semer en bonnes conditions avec le rapid, le problème est que dans cette luzerne semé a 60cm de légères buttes ce sont crées (du au binage la première année)
-J'aimerais bien garder aussi cette luzerne sous le blé pour avoir un couvert permanent, mais comment faire pour ne pas la tuer et aussi qu'elle ne me tire pas toute la flotte que le blé pourrait avoir (j'en demande un peu trop peut-être là!!!!)
Voilà j'aurais sûrement besoin de qqles conseils quand ça sera le moment!!
J'ai mis de la luzerne dans cette parcelle parce que je ne pouvais plus "rien en faire",
Quand je vois comment la parcelle a évolué au niveau écoulement de l'eau (cet hiver on a pu bien le vérifier et en ce moment aussi) j'ai bien envie de ne pas trop casser cette dynamique.
Deux soucis pour moi :
-Semer en bonnes conditions avec le rapid, le problème est que dans cette luzerne semé a 60cm de légères buttes ce sont crées (du au binage la première année)
-J'aimerais bien garder aussi cette luzerne sous le blé pour avoir un couvert permanent, mais comment faire pour ne pas la tuer et aussi qu'elle ne me tire pas toute la flotte que le blé pourrait avoir (j'en demande un peu trop peut-être là!!!!)
Voilà j'aurais sûrement besoin de qqles conseils quand ça sera le moment!!
Tallou- + membre techno +
- Messages : 4543
Date d'inscription : 08/12/2010
Age : 41
26
Re: SDSC attitude
Je crois que la luzerne est très concurrentielle dans du blé, donc pas évident de la garder et d'en tirer un bénéfice.
Dernière édition par Seb 77 le Sam 30 Mar 2013, 22:08, édité 1 fois
Seb 77- + membre techno +
- Messages : 10783
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 49
Centre Seine et Marne (Brie)
Re: SDSC attitude
Seb 77 a écrit:Je crois la luzerne est très concurrentielle dans du blé, donc pas évident de la garder et d'en tirer un bénéfice.
Oui c'était une idée, mais elle n'est pas forcément bonne!
Dernière édition par Tallou le Sam 30 Mar 2013, 22:25, édité 1 fois
Tallou- + membre techno +
- Messages : 4543
Date d'inscription : 08/12/2010
Age : 41
26
Re: SDSC attitude
tu devra bien la ralentir l'automne avec de l'allié pour que ton blé puisse la concurrencer et sans doute un autre coup d'allié a la reprise de végétation par contre pour gérer l'eau ca risque d'etre dur si tu as des printemps pas trop arrosé
rb42- + membre techno +
- Messages : 3007
Date d'inscription : 13/09/2009
Age : 51
loire
Re: SDSC attitude
Perso, je n'ai jamais osé garder mon trèfle vivant au delà de l'hiver.
En le détruisant avec le désherbage de rattrapage du blé, je trouve que j'ai tous les avantages en terme de drainage de la parcelle sans avoir la concurrence au printemps.
En le détruisant avec le désherbage de rattrapage du blé, je trouve que j'ai tous les avantages en terme de drainage de la parcelle sans avoir la concurrence au printemps.
Bart37- + membre techno +
- Messages : 2728
Date d'inscription : 16/09/2009
Touraine 37
Re: SDSC attitude
y a t il un semoir capable de passer dans un gros couvert et un sol tassé?
type primera
type primera
algi- + membre techno +
- département : 37
Messages : 1473
Date d'inscription : 19/09/2009
Age : 46
centre
Re: SDSC attitude
Un sol tassé, vas à l'encontre de cette technique, et des dents type priméra dans un gros couvert ça risque pas de bourrer un peu ?
s.a.m- + membre techno +
- Messages : 3869
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 44
Plateau lorrain chaotique
Page 14 sur 20 • 1 ... 8 ... 13, 14, 15 ... 20
AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: Cultures et tours de plaines :: Biologie des sols
Page 14 sur 20
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum