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SDSC attitude
J'ai essayé avec ça marche pour tous chez moi !
vivanden- + membre techno +
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Messages : 6570
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Age : 41
Somme
Re: SDSC attitude
j'ai toujours pas eu mon document alors je regarde ça
dugers- + membre techno +
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Age : 50
réfléchis bien
Re: SDSC attitude
Je t'ai mis un mail, Dugers.
Bart37- + membre techno +
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Touraine 37
Re: SDSC attitude
LE « PRODUIRE AUTREMENT » RISQUE D’AVOIR BEAUCOUP PLUS D’ÉCHOS QU’ATTENDU !
Frédéric Thomas ; TCS n°80 - novembre/décembre 2014 -
Ce slogan mis en avant depuis maintenant deux ans par le ministère de l’agriculture commence à tracer son sillon. Même si pour certains « produire autrement » semble un peu flou ou pompeux, il suffit de se connecter à http://agriculture.gouv.fr/ Tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-l-agroecologie pour s’en faire une idée assez claire. Sur le schéma qui rappelle étrangement une couverture d’un ancien TCS (n° 40), on vante l’intérêt de réduire voire de supprimer le travail du sol, de le couvrir et de diversifier les cultures. Mieux encore, on parle de couverts végétaux et de sol vivant avec une activité biologique qui travaille et améliore la structure toute l’année. Nous n’allons pas nous plaindre de ce plagiat qui atteste que la direction que nous avons prise et soutenue depuis maintenant plus de 15 ans est reconnue, plébiscitée et même mise en avant. Cependant, l’extension de ces approches et pratiques à un plus grand nombre d’agriculteurs va entraîner d’autres changements profonds. En fait, une véritable mutation est nécessaire non seulement dans les fermes mais aussi au sein de toutes les strates de l’agriculture. Même si nous avons fait déjà un bon bout de chemin, il faut accepter que « produire autrement » va aussi exiger :
- de conseiller, voire plutôt d’accompagner autrement. Bien qu’il soit toujours nécessaire d’avoir des spécialistes des produits phyto, des engrais, des semences, du machinisme et de la nutrition animale, la palette de compétences nécessaires est beaucoup plus large pour accompagner les agriculteurs dans cette quête pour plus d’efficacité et plus d’intégration des fonctionnalités du vivant. Dans ces autres compétences à intégrer, il y a l’approche globale, des notions d’écologie mais aussi de sociologie car chaque cas est particulier et doit être géré en accord avec ses propres attentes en lien avec son environnement. Cette nouvelle approche du « conseil » devrait aussi déboucher sur des relations plus partenariales que de type « top-down » purement commerciales ;
- d’informer autrement. Pris dans ce mouvement, les médias ou plutôt leurs modes de communication vont devoir évoluer. Plus que des recettes bien ficelées pour un plus grand nombre, les agriculteurs sont à la recherche d’exemples concrets, d’explications de processus biologiques complexes, d’expertises et de connaissances pour arbitrer leurs choix au quotidien et progresser dans leurs pratiques. Internet, en permettant la mise en relation de réseaux qui peuvent s’entrecroiser sans nécessité de proximité, est certainement un outil très important dans le soutien du développement de ces nouveaux systèmes de production. Informer autrement, c’est aussi ce que la revue TCS a toujours fait et continuera de faire avec le sous-titre « Agronomie, Écologie et Innovation » ;
- de rechercher autrement. Les modes de production ne peuvent évoluer massivement sans changement au niveau de la recherche agronomique. Dans un premier temps, il est important de renforcer les liens déjà établis avec le terrain. Dans cette nouvelle direction, l’agriculteur doit être aussi reconnu comme chercheur et une majorité de fermes comme des centres d’expérimentation. Il va falloir s’éloigner des statistiques et de la modélisation écrasante pour revenir aux cas particuliers. Le rôle de la recherche n’est plus de concevoir ni de valider des modes de production mais d’apporter des connaissances fondamentales et d’expliquer des processus biologiques. Ce sont les intrants et les piliers des nouveaux systèmes de production que vont savoir intégrer habilement les agriculteurs et l’ensemble des acteurs de terrain. L’innovation ne peut pas se décréter ni sortir d’un laboratoire mais elle émane le plus souvent d’un « gentil bordel créatif » comme se plaît à le signaler Michel Griffon.
- de former autrement. L’école est un autre lieu où des mutations sont nécessaires. Rien ne sert d’enseigner aux jeunes, futurs agriculteurs, techniciens ou chercheurs, des itinéraires techniques qui sont déjà quasi obsolètes ou des comparaisons de techniques sans perspectives. Au contraire, comme ce sont les développeurs de demain, il faut leur apporter un maximum d’ouverture, les former à l’écologie (comme science), les abreuver d’exemples de réussite avec une diversité de réflexions, d’approches et de mise en œuvre. Il faut aussi les sortir de cette sinistrose et les faire rêver d’un avenir qui enchante : le nôtre mais aussi le leur qu’ils vont devoir construire.
- d’encadrer et de réglementer autrement. Ce changement ne pourra pas être durable sans modification profonde des règles. Comme il convient de faire confiance aux vers de terre pour remplacer le travail mécanique du sol ; il faut limiter la stratégie du « bâton » et surtout le remplacer par beaucoup plus de « carottes » pour accompagner le développement de ces nouveaux systèmes de production. À l’instar de la suppression des notes à l’école qui fait débat aujourd’hui, mieux vaut encourager à faire bien que de punir. Dans un premier temps, la terminologie couramment employée doit être revue. Les mg/l de nitrates doivent être convertis en kg d’azote, les couverts peuvent habilement remplacer les Cipan ou les effluents d’élevages peuvent devenir des engrais de ferme pour ne donner que quelques exemples. À ce titre, le cas des couverts végétaux est une formidable illustration de ce changement à mettre en œuvre. Ils se sont étendus avec engouement dans les réseaux AC qui ont en plus développé des connaissances nouvelles et un vrai savoir-faire alors que la version Cipan reste boudée par la grande majorité.
- de comptabiliser et de fiscaliser autrement : pour finir ce tour d’horizon, il convient de revoir les modes d’évaluation. Le rendement ou la marge brute, qui ne sont que des indicateurs partiels, doivent céder leur place au prix de revient net à la tonne ou au litre (unité de vente). D’autres paramètres avancés (carburant/ha, kg de N/ha ou par tonne, facture phyto/ha, matières organiques produites et recyclées/ha/an, diversité des cultures…) doivent également permettre de déceler, au-delà des aspects purement économiques, si l’orientation et les pratiques mises en œuvre tendent à faire plus de durabilité et de résilience. À ce niveau, la fiscalité doit également être revisitée pour encourager ceux qui s’investissent et prennent même des risques pour les autres. Pourquoi ne serait-il pas possible d’inscrire en charge une dépense pour frais de recherche et développement ou de recevoir un crédit d’impôt pour un effort environnemental ou la fourniture d’un service éco-systémique. Ce sont autant d’indicateurs et d’éléments incitatifs qu’il ne faudra surtout pas oublier dans le package global.
Changer bien sûr, mais pour que l’impact soit réel au-delà des réseaux AC et que la France devienne le leader de l’Agroécologie en 2020 comme envisagé, il faut aussi initier beaucoup de changements en périphérie des exploitations agricoles. En modifiant nos pratiques pour préserver nos revenus et être plus écologisant, nous étions loin de penser que ces approches pourraient déclencher autant de bouleversements au sein du monde agricole et même dans notre société. Comme le disait Albert Einstein « La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent... L’imagination est plus importante que le savoir ». À bon entendeur et surtout meilleurs vœux pour 2015.
Frédéric Thomas ; TCS n°80 - novembre/décembre 2014 -
Ce slogan mis en avant depuis maintenant deux ans par le ministère de l’agriculture commence à tracer son sillon. Même si pour certains « produire autrement » semble un peu flou ou pompeux, il suffit de se connecter à http://agriculture.gouv.fr/ Tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-l-agroecologie pour s’en faire une idée assez claire. Sur le schéma qui rappelle étrangement une couverture d’un ancien TCS (n° 40), on vante l’intérêt de réduire voire de supprimer le travail du sol, de le couvrir et de diversifier les cultures. Mieux encore, on parle de couverts végétaux et de sol vivant avec une activité biologique qui travaille et améliore la structure toute l’année. Nous n’allons pas nous plaindre de ce plagiat qui atteste que la direction que nous avons prise et soutenue depuis maintenant plus de 15 ans est reconnue, plébiscitée et même mise en avant. Cependant, l’extension de ces approches et pratiques à un plus grand nombre d’agriculteurs va entraîner d’autres changements profonds. En fait, une véritable mutation est nécessaire non seulement dans les fermes mais aussi au sein de toutes les strates de l’agriculture. Même si nous avons fait déjà un bon bout de chemin, il faut accepter que « produire autrement » va aussi exiger :
- de conseiller, voire plutôt d’accompagner autrement. Bien qu’il soit toujours nécessaire d’avoir des spécialistes des produits phyto, des engrais, des semences, du machinisme et de la nutrition animale, la palette de compétences nécessaires est beaucoup plus large pour accompagner les agriculteurs dans cette quête pour plus d’efficacité et plus d’intégration des fonctionnalités du vivant. Dans ces autres compétences à intégrer, il y a l’approche globale, des notions d’écologie mais aussi de sociologie car chaque cas est particulier et doit être géré en accord avec ses propres attentes en lien avec son environnement. Cette nouvelle approche du « conseil » devrait aussi déboucher sur des relations plus partenariales que de type « top-down » purement commerciales ;
- d’informer autrement. Pris dans ce mouvement, les médias ou plutôt leurs modes de communication vont devoir évoluer. Plus que des recettes bien ficelées pour un plus grand nombre, les agriculteurs sont à la recherche d’exemples concrets, d’explications de processus biologiques complexes, d’expertises et de connaissances pour arbitrer leurs choix au quotidien et progresser dans leurs pratiques. Internet, en permettant la mise en relation de réseaux qui peuvent s’entrecroiser sans nécessité de proximité, est certainement un outil très important dans le soutien du développement de ces nouveaux systèmes de production. Informer autrement, c’est aussi ce que la revue TCS a toujours fait et continuera de faire avec le sous-titre « Agronomie, Écologie et Innovation » ;
- de rechercher autrement. Les modes de production ne peuvent évoluer massivement sans changement au niveau de la recherche agronomique. Dans un premier temps, il est important de renforcer les liens déjà établis avec le terrain. Dans cette nouvelle direction, l’agriculteur doit être aussi reconnu comme chercheur et une majorité de fermes comme des centres d’expérimentation. Il va falloir s’éloigner des statistiques et de la modélisation écrasante pour revenir aux cas particuliers. Le rôle de la recherche n’est plus de concevoir ni de valider des modes de production mais d’apporter des connaissances fondamentales et d’expliquer des processus biologiques. Ce sont les intrants et les piliers des nouveaux systèmes de production que vont savoir intégrer habilement les agriculteurs et l’ensemble des acteurs de terrain. L’innovation ne peut pas se décréter ni sortir d’un laboratoire mais elle émane le plus souvent d’un « gentil bordel créatif » comme se plaît à le signaler Michel Griffon.
- de former autrement. L’école est un autre lieu où des mutations sont nécessaires. Rien ne sert d’enseigner aux jeunes, futurs agriculteurs, techniciens ou chercheurs, des itinéraires techniques qui sont déjà quasi obsolètes ou des comparaisons de techniques sans perspectives. Au contraire, comme ce sont les développeurs de demain, il faut leur apporter un maximum d’ouverture, les former à l’écologie (comme science), les abreuver d’exemples de réussite avec une diversité de réflexions, d’approches et de mise en œuvre. Il faut aussi les sortir de cette sinistrose et les faire rêver d’un avenir qui enchante : le nôtre mais aussi le leur qu’ils vont devoir construire.
- d’encadrer et de réglementer autrement. Ce changement ne pourra pas être durable sans modification profonde des règles. Comme il convient de faire confiance aux vers de terre pour remplacer le travail mécanique du sol ; il faut limiter la stratégie du « bâton » et surtout le remplacer par beaucoup plus de « carottes » pour accompagner le développement de ces nouveaux systèmes de production. À l’instar de la suppression des notes à l’école qui fait débat aujourd’hui, mieux vaut encourager à faire bien que de punir. Dans un premier temps, la terminologie couramment employée doit être revue. Les mg/l de nitrates doivent être convertis en kg d’azote, les couverts peuvent habilement remplacer les Cipan ou les effluents d’élevages peuvent devenir des engrais de ferme pour ne donner que quelques exemples. À ce titre, le cas des couverts végétaux est une formidable illustration de ce changement à mettre en œuvre. Ils se sont étendus avec engouement dans les réseaux AC qui ont en plus développé des connaissances nouvelles et un vrai savoir-faire alors que la version Cipan reste boudée par la grande majorité.
- de comptabiliser et de fiscaliser autrement : pour finir ce tour d’horizon, il convient de revoir les modes d’évaluation. Le rendement ou la marge brute, qui ne sont que des indicateurs partiels, doivent céder leur place au prix de revient net à la tonne ou au litre (unité de vente). D’autres paramètres avancés (carburant/ha, kg de N/ha ou par tonne, facture phyto/ha, matières organiques produites et recyclées/ha/an, diversité des cultures…) doivent également permettre de déceler, au-delà des aspects purement économiques, si l’orientation et les pratiques mises en œuvre tendent à faire plus de durabilité et de résilience. À ce niveau, la fiscalité doit également être revisitée pour encourager ceux qui s’investissent et prennent même des risques pour les autres. Pourquoi ne serait-il pas possible d’inscrire en charge une dépense pour frais de recherche et développement ou de recevoir un crédit d’impôt pour un effort environnemental ou la fourniture d’un service éco-systémique. Ce sont autant d’indicateurs et d’éléments incitatifs qu’il ne faudra surtout pas oublier dans le package global.
Changer bien sûr, mais pour que l’impact soit réel au-delà des réseaux AC et que la France devienne le leader de l’Agroécologie en 2020 comme envisagé, il faut aussi initier beaucoup de changements en périphérie des exploitations agricoles. En modifiant nos pratiques pour préserver nos revenus et être plus écologisant, nous étions loin de penser que ces approches pourraient déclencher autant de bouleversements au sein du monde agricole et même dans notre société. Comme le disait Albert Einstein « La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent... L’imagination est plus importante que le savoir ». À bon entendeur et surtout meilleurs vœux pour 2015.
Re: SDSC attitude
Pour lancer 2015 l'année du sol :
Kris91- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Jolie tof. Semé au 750 ? Avec chasse débris ?
yo52- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Oui 750a, sans chasse débris.
Kris91- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
quel entre rang pour le 750 A ?
max-42- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
max-42 a écrit:quel entre rang pour le 750 A ?
16.6 ou 17.7cm il me semble
johndeere8520- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
johndeere8520 a écrit:max-42 a écrit:quel entre rang pour le 750 A ?
16.6 ou 17.7cm il me semble
16,6 cm
flo45320- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
fred03 a écrit:Kris91 a écrit:Pour lancer 2015 l'année du sol :
Aaah tu es en Sdscv Kris?
J’essaie
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Re: SDSC attitude
pas eu le doc a papou non plus, cela ne marche pas il est endommagé !!! quelqu'un la en MP
benj1012- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Je l'ai Benj, mais il est trop gros pour passer en mail.
Si tu as une clé USB, je te le refilerai à notre prochaine rencontre.
Sinon, pour accompagner Kris en ce début 2015, voici un petit couvert de légumineuses gelées (féveroles, lentilles, fénugrec) qui risque bien de finir en parcelle de colza.
Semis au SD à dent le 31/07.
Si tu as une clé USB, je te le refilerai à notre prochaine rencontre.
Sinon, pour accompagner Kris en ce début 2015, voici un petit couvert de légumineuses gelées (féveroles, lentilles, fénugrec) qui risque bien de finir en parcelle de colza.
Semis au SD à dent le 31/07.
Bart37- + membre techno +
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Touraine 37
Re: SDSC attitude
semis le 31/07 pour le couvert ou le colza associé?
ou repousses de colza dans couvert?
ou repousses de colza dans couvert?
gn21- + membre techno +
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nord 21
Re: SDSC attitude
Pour tout : j'ai tout mis dans la trémie en même temps -> 50 kg/ha de féverole + 5 kg/ha de lentilles + 5 kg/ha de fénugrec + 4 kg/ha de colza.
Bart37- + membre techno +
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Touraine 37
Re: SDSC attitude
et aucun désherbage ni insecticide ?
DEMONFAUCON- + membre techno +
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bourgogne71 / alsace67
Re: SDSC attitude
Aucun insecticide et aucun désherbage avant le Kerb fait fin novembre.
Bart37- + membre techno +
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Touraine 37
Re: SDSC attitude
L'opportunisme est un très bon levier dans ce système.
yo52- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Blé de betterave et blé de colza : ca pousse!!
Kris91- + membre techno +
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idf sud
Re: SDSC attitude
c bo Monsieur
jejeonthenet- + membre techno +
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Dernière vallée avant la Beauce !!!
Re: SDSC attitude
Top Kris !
johndeere8520- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
C'est magnifiqueKris91 a écrit:Blé de betterave et blé de colza : ca pousse!!
- Spoiler:
tf76- + membre techno +
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30 km au sud de Toulouse
Re: SDSC attitude
tous les outils de travail du sol détruisent la structure du sol
tous les outils de travail du sol diminue l'infiltration de l'eau
tous les outils de travail du sol réduisent matière organique
tous les outils de travail du sol augmentent les mauvaises herbes
De l'avis de Dwayne Beck ......
On va en débattre le 22 à Cibeins 01
http://asso-base.fr/journee-a-CIBEINS-01.html
Dernière édition par paysannature le Jeu 15 Jan 2015 - 18:57, édité 2 fois
Re: SDSC attitude
Fructidor + cellule en SD de prairie.
Couvert de moha + mélange de trefles, roulé sur gel. Apport de 20 tonnes de fumier en février pour maïs grain en avril.
Couvert de moha + mélange de trefles, roulé sur gel. Apport de 20 tonnes de fumier en février pour maïs grain en avril.
Re: SDSC attitude
Fred c'est ton HUTCHINSON qui à semé sur la 1er tof ?
la cigogne- + membre techno +
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vienne en autres riches
Re: SDSC attitude
sa me fait pensez a une scène de film des inconnu LE PARIS ou ils regardent des photos au tableau et ils disent "bien" quand y a pas de cigarette et "pas bien" quand ils en voient unepaysannature a écrit:
tous les outils de travail du sol détruisent la structure du sol
tous les outils de travail du sol diminue l'infiltration de l'eau
tous les outils de travail du sol réduisent matière organique
tous les outils de travail du sol augmentent les mauvaises herbes
De l'avis de Dwayne Beck ......
On va en débattre le 22 à Cibeins 01
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sa doit etre pareil quand il affiche une charrue
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Re: SDSC attitude
il est magnifique ce blé quel date de semis ?fred03 a écrit:Fructidor + cellule en SD de prairie.
Couvert de moha + mélange de trefles, roulé sur gel. Apport de 20 tonnes de fumier en février pour maïs grain en avril.
pour les maïs tu va semer comment ?
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Re: SDSC attitude
conférence en anglais??? traduction?paysannature a écrit:
tous les outils de travail du sol détruisent la structure du sol
tous les outils de travail du sol diminue l'infiltration de l'eau
tous les outils de travail du sol réduisent matière organique
tous les outils de travail du sol augmentent les mauvaises herbes
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thierry01052- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Vous êtes en train de me mettre le bourdon...
jusqu'à cette année tous mes semis d'automne étaient faits en SD avec de très bon résultats...
Mais à cause des souris j'ai du ressortir la charrue...
jusqu'à cette année tous mes semis d'automne étaient faits en SD avec de très bon résultats...
Mais à cause des souris j'ai du ressortir la charrue...
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Re: SDSC attitude
thierry01052 a écrit:conférence en anglais??? traduction?paysannature a écrit:
tous les outils de travail du sol détruisent la structure du sol
tous les outils de travail du sol diminue l'infiltration de l'eau
tous les outils de travail du sol réduisent matière organique
tous les outils de travail du sol augmentent les mauvaises herbes
De l'avis de Dwayne Beck ......
On va en débattre le 22 à Cibeins 01
http://asso-base.fr/journee-a-CIBEINS-01.html
Ben non, tu n'as plus qu'a te mettre a l'anglais des ce soir !!
j'plaisante, oui un traducteur est là
Kris91- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Tu y sera?
thierry01052- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
gaston02 a écrit:Vous êtes en train de me mettre le bourdon...
jusqu'à cette année tous mes semis d'automne étaient faits en SD avec de très bon résultats...
Mais à cause des souris j'ai du ressortir la charrue...
En parlant de ça, j'ai l'impression que la nature est en train de faire du ménage
yo52- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Non je vais le voir 2 jours avant dans le 45
Kris91- + membre techno +
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idf sud
Re: SDSC attitude
Max, semis le 4 octobre à 280 grains.
Le maïs, ce sera une préparation genre strip till...mais va falloir que je le fabrique avant!
Le maïs, ce sera une préparation genre strip till...mais va falloir que je le fabrique avant!
Re: SDSC attitude
Gaston, nous aussi il y a des ronds mangés par les mulots...la population se regule et les céréales tallent davantage à ces endroits quand il reste encore des pieds.
Re: SDSC attitude
gaston02 a écrit:Vous êtes en train de me mettre le bourdon...
jusqu'à cette année tous mes semis d'automne étaient faits en SD avec de très bon résultats...
Mais à cause des souris j'ai du ressortir la charrue...
Et alors moins de souris?
Labouré une parcelle très exceptionnellement cette année, présence de souris aussi (mais ce n'est pas la raison du labour) et ben ça les empêche pas d'être présente et de bouffer du blé!
apache67- + membre techno +
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Alsace,Bas-rhin
Re: SDSC attitude
fred03 a écrit:Max, semis le 4 octobre à 280 grains.
Le maïs, ce sera une préparation genre strip till...mais va falloir que je le fabrique avant!
c’étais sec chez toi le 4 octobre ? tu as pu faire rentrer le semoir ?
max-42- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
ton semoir paye pas de mine mais il est vraiment efficace
vous aviez payé sa conbien ?
vous aviez payé sa conbien ?
max-42- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
apache67 a écrit:gaston02 a écrit:Vous êtes en train de me mettre le bourdon...
jusqu'à cette année tous mes semis d'automne étaient faits en SD avec de très bon résultats...
Mais à cause des souris j'ai du ressortir la charrue...
Et alors moins de souris?
Labouré une parcelle très exceptionnellement cette année, présence de souris aussi (mais ce n'est pas la raison du labour) et ben ça les empêche pas d'être présente et de bouffer du blé!
Après un passage de décompacteur à 35cm et labour, plus aucune souris dans les parcelles... mais légère re-colonisation à partir les bordures.
Dans 1 parcelle de luzerne semée en blé, j'ai passé 2 coups de décompacteur en décalé et là les mulots n'ont pas apprécié.
ça m'a coûté un peu de fuel mais j'ai nické mickey...
gaston02- + membre techno +
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Est 02
Re: SDSC attitude
apache67 a écrit:gaston02 a écrit:Vous êtes en train de me mettre le bourdon...
jusqu'à cette année tous mes semis d'automne étaient faits en SD avec de très bon résultats...
Mais à cause des souris j'ai du ressortir la charrue...
Et alors moins de souris?
Labouré une parcelle très exceptionnellement cette année, présence de souris aussi (mais ce n'est pas la raison du labour) et ben ça les empêche pas d'être présente et de bouffer du blé!
Un voisin a eu le même souci et le labour n'a pas changé grand chose à la population de mulot.
A priori, quand les infestations sont trop importantes, un travail du sol qui casse les galeries fait aussi bien qu'un labour en terme de dérangement.
Le décompacteur peut être une solution mais on peut imaginer aussi un outil qui perturbe moins les horizons.
@ Kris : on se verra donc à Puiseaux.
Bart37- + membre techno +
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Touraine 37
Re: SDSC attitude
j ais des mulots derriére maïs mais pas beaucoup plus que mes voisins laboureurs
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
102 eme d infanterie a écrit:j ais des mulots derriére maïs mais pas beaucoup plus que mes voisins laboureurs
+1 dans les blés de maïs, et les couverts.
comme dit par Bart, le peu de travail du sol que l'on fait est positif.
Le pire chez moi dans les parcelles en blé de maïs, qui n'ont pas eu de vrai travail du sol hormis le semis depuis l'été 2013 (ameublisseur au semis du couvert)
elgo- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
c'est mieux comme ça!
Kris91- + membre techno +
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idf sud
Re: SDSC attitude
paysannature a écrit:osez...
https://youtu.be/vOy1q5GVlkY
Ouhaouh !
Sacrée personnage cette nana
forbo17- + membre techno +
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17
Re: SDSC attitude
Bonjour à tous je suis nouveau ici
J'ai une réflexion qui me trotte beaucoup dans la tête en ce moment le semis direct sous couvert, je suis céréalier et j'ai beaucoup lu que c'était difficile pour les céréaliers, je suis dans le sud de l'Oise certains de mes voisins sont en SD mais chez nous mentalité assez bizarre personne se parle ou échange donc c'est difficile de ce faire une opinion
Donc si vous pourriez me renseigner sur le types de couverts à implanter sachant que mais rotation sont :
Blé/OH/colza ou betterave
Je pense aussi à faire de féverole de printemps ou d'hiver
Si vous pourriez m'aider ????
J'ai une réflexion qui me trotte beaucoup dans la tête en ce moment le semis direct sous couvert, je suis céréalier et j'ai beaucoup lu que c'était difficile pour les céréaliers, je suis dans le sud de l'Oise certains de mes voisins sont en SD mais chez nous mentalité assez bizarre personne se parle ou échange donc c'est difficile de ce faire une opinion
Donc si vous pourriez me renseigner sur le types de couverts à implanter sachant que mais rotation sont :
Blé/OH/colza ou betterave
Je pense aussi à faire de féverole de printemps ou d'hiver
Si vous pourriez m'aider ????
Invité- Invité
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