Sujets similaires
Statistiques
Nous avons 4382 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est jerome74
Nos membres ont posté un total de 3169953 messages dans 88290 sujets
Petites annonces
Pas d'annonces disponibles.
SDSC attitude
+85
farmer62
Alan.fr
flo45320
max-42
iris
jojogo
patleclerc
22bretagne
bingo
vivanden
dgé
ag39
tf76
DEMONFAUCON
bap
Seb 77
aurel35
Kris91
apache67
Mickaël-Kaël55
hexa
Medard86
alextvt190
jd6800
algi
salicapi
cdric22
tof
ivanquoi
elgo
JRR28
vince21
fusa 32
Robust
escrito17
paysannature
manu17
vinc@nt
jojo
daffy
JJ
GRUMPY
s.a.m
mat61
Manu18
speedy1
snif
Hayges
cornol
seb55
lauva
desmoseb
CAMZ61
vtp
LD24
rb42
leponge
kerfanch
Regis41
oli
papoup
etaisere
ben21
gratteplanete10
Tallou
merinos
PatogaZ
EG6195
mccain
Bart37
Poule
nicov
centkght
erwin
fred03
Sparthakus
hermine 22
daniel89
catar
mrsame
jp097
bibi43
bidou02
dugers
RT 08
89 participants
AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: Cultures et tours de plaines :: Biologie des sols
Page 19 sur 20
Page 19 sur 20 • 1 ... 11 ... 18, 19, 20
SDSC attitude
Rappel du premier message :
POURQUOI L’AGRICULTURE DE CONSERVATION NE FAIT-ELLE PAS ENCORE L’UNANIMITÉ ? LES FREINS AU CHANGEMENT
Si certains ont parlé de mode, de pratiques inadaptées aux cultures et aux conditions pédoclimatiques françaises, cela fait tout de même plus de 20 ans que la simplification du travail du sol, et maintenant l’agriculture de conservation, creuse lentement, mais sûrement, son sillon dans les campagnes avec une réussite qui commence à faire écho. Cependant, face à l’engouement des lecteurs, des agriculteurs pratiquants, des groupes et réseaux TCS et SD accompagnés par quelques techniciens et chercheurs, l’adhésion qui reste lente et limitée pose question.
Les contraintes qui peuvent stimuler la réflexion et le changement, souvent mises en avant comme des leviers importants, n’ont pourtant jamais été aussi fortes qu’aujourd’hui. Les hausses du prix du carburant, de l’azote, des aliments du bétail et des fourrages sont conséquentes et semblent durables. À titre d’exemple, et malgré les cours actuellement porteurs des céréales, la seule dépense en gasoil/ha peut s’approcher d’une tonne de grain. C’est déjà 10 à 15 % de la recette partie en fumée dans l’énergie pour animer la mécanisation. Si le coût devient très significatif, l’approvisionnement risque de ne pas être aussi simple et sécurisé à l’avenir dans un monde de plus en plus perturbé où l’ouverture à tout va est battue en brèche. À ce niveau, toute réduction de la consommation rentre aussi dans une approche d’autonomie : une stratégie prudente à ne pas négliger.
Au-delà des aspects purement économiques, l’eau est également une ressource qui se fait rare et l’irrigation est sous pression. À ce niveau aussi, une gestion plus parcimonieuse s’impose. Enfin, l’ensemble se trouve habillé par une cohorte de règles administratives et de mesures environnementales, justes sur le fond, mais qui sont souvent inadaptées dans l’application, rognant des marges d’efficacité tout en engendrant des charges supplémentaires.
Pourtant les systèmes TCS et SD comme les approches AC sont beaucoup mieux calés aujourd’hui. Il y a 20 ans, il fallait être un peu « rebelle » pour s’aventurer seul sur cette voie sans savoir-faire ni expérience. Depuis, le chemin est beaucoup mieux balisé et pas mal élargi : presque une autoroute. Non seulement les outils ont énormément évolué mais également les pratiques et les connaissances. La période de transition et la gestion de l’azote sont mieux appréhendées, les couverts végétaux sont en grande partie maîtrisés et les rotations s’adaptent pour limiter le salissement. Mieux encore, les réseaux AC apportent et produisent des innovations (couverts végétaux de type Biomax, destruction par roulage, gestion de stocks semenciers d’adventices en surface et colzas associés pour les principales) qui sont en train de faire des émules en conventionnel comme en AB.
Trop habitués à externaliser les solutions agronomiques, les agriculteurs ne se sentent peut-être pas responsables des contraintes, des soucis voire même des échecs dans les parcelles. Si la culture ne lève pas à cause de la sécheresse, c’est la faute de la météo et il est nécessaire de réfléchir irrigation alors que la manière d’aborder le travail du sol peut avoir énormément d’impact sur la gestion de cette ressource précieuse. De même que si le carburant augmente, c’est la responsabilité des dirigeants, économistes et des firmes pétrolières. On compte sur leur bon vouloir pour réduire la facture tout en exigeant une petite ristourne éventuelle de TIPP alors que des marges de manoeuvre beaucoup plus importantes existent dans les choix techniques. Des économies immédiates qui exposeront moins l’entreprise, et ce durablement, à la volatilité des cours.
Beaucoup pensent encore qu’il faut voir pour croire. Même si les agriculteurs sont des visuels et des pragmatiques, cette dimension pourtant souvent mise en avant ne stimule pas non plus le changement. Voilà 15 ans, attendre pour voir pouvait à la limite se comprendre mais aujourd’hui, qui n’a pas entendu parler de TCS et SD, quel est l’agriculteur qui n’a pas un voisin qui réussit depuis plus de 10 ans et dont les parcelles d’année en année font envie ? Bien entendu, il y a encore quelques « ratés » sur lesquels il est possible de stigmatiser. Cela permet de se rassurer, de sous-estimer ses contraintes et de justifier une position « attentiste ». Cependant, choisir ses risques et prendre sa destinée en main, c’est beaucoup moins risqué que de subir des risques imposés ou que l’on n’attendait pas.
D’autres accusent l’encadrement et la recherche d’être trop frileux sur le sujet. Certes, les économies envisagées par les agriculteurs sont inévitablement des manques à gagner pour des services marchands qui peuvent être tentés de véhiculer des messages contraires. Si cette réticence est louable pour certains, la majorité des secteurs périphériques n’ont rien à perdre, bien au contraire. Cependant, l’ensemble des acteurs est régi par les mêmes stimuli et les mêmes règles que les producteurs. Avec des contraintes et des enjeux voisins, il semble donc logique, à ce niveau, de changer et d’investir également dans la durabilité. C’est certainement moins de chiffre d’affaires mais c’est le retour d’un contact différent avec le « client » et le partage d’une meilleure valeur ajoutée construite ensemble. C’est la même approche pour l’encadrement, la recherche et la presse en quête aussi d’un nouveau positionnement. C’est seulement une relation différente et constructive avec les agriculteurs qui seule pourra leur permettre de rebondir.
Il faut d’abord croire pour voire. Pour changer, il ne suffit pas de considérer les mêmes enjeux et de regarder les mêmes champs, il faut avant tout être convaincu pour analyser différemment les clés de l’équation. En fonction de leur logique, deux agriculteurs ne verront pas les mêmes choses : un beau mulch d’un couvert sera pour vous un sol protégé, de l’eau mieux accueillie, de la nourriture pour les vers de terre, de l’autofertilité, des économies d’engrais et un havre de paix pour les auxiliaires alors que votre voisin y verra des risques de bourrage, une levée moins régulière, plus de limaces, plus de maladies et un potentiel de rendement réduit. C’est pourtant bien la même parcelle, mais c’est avant tout la conviction qui dirige l’observation et aiguille largement la perception.
Par conséquent, le changement, au-delà des aspects purement techniques et économiques est avant tout une attitude. Plus que démontrer l’intérêt de l’agriculture de conservation, ce qui reste largement nécessaire, il est donc important de considérer avec plus d’attention cette dimension comportementale afin d’élargir plus rapidement son adoption. Il faut apprendre à transformer les peurs en envies, les inquiétudes en enthousiasmes, les incompréhensions en dynamismes, les limites en objectifs et enfin les révoltes en projets. Il s’agit vraiment d’une « TCS attitude » ou plutôt d’une « positive attitude » qui s’applique et dépasse largement le seul cadre de l’agriculture dont il ne faut surtout pas se priver.
Frédéric Thomas - TCS n°67 ; mars/avril/mai 2012
http://www.agriculture-de-conservation.com/POURQUOI-L-AGRICULTURE-DE.html
POURQUOI L’AGRICULTURE DE CONSERVATION NE FAIT-ELLE PAS ENCORE L’UNANIMITÉ ? LES FREINS AU CHANGEMENT
Si certains ont parlé de mode, de pratiques inadaptées aux cultures et aux conditions pédoclimatiques françaises, cela fait tout de même plus de 20 ans que la simplification du travail du sol, et maintenant l’agriculture de conservation, creuse lentement, mais sûrement, son sillon dans les campagnes avec une réussite qui commence à faire écho. Cependant, face à l’engouement des lecteurs, des agriculteurs pratiquants, des groupes et réseaux TCS et SD accompagnés par quelques techniciens et chercheurs, l’adhésion qui reste lente et limitée pose question.
Les contraintes qui peuvent stimuler la réflexion et le changement, souvent mises en avant comme des leviers importants, n’ont pourtant jamais été aussi fortes qu’aujourd’hui. Les hausses du prix du carburant, de l’azote, des aliments du bétail et des fourrages sont conséquentes et semblent durables. À titre d’exemple, et malgré les cours actuellement porteurs des céréales, la seule dépense en gasoil/ha peut s’approcher d’une tonne de grain. C’est déjà 10 à 15 % de la recette partie en fumée dans l’énergie pour animer la mécanisation. Si le coût devient très significatif, l’approvisionnement risque de ne pas être aussi simple et sécurisé à l’avenir dans un monde de plus en plus perturbé où l’ouverture à tout va est battue en brèche. À ce niveau, toute réduction de la consommation rentre aussi dans une approche d’autonomie : une stratégie prudente à ne pas négliger.
Au-delà des aspects purement économiques, l’eau est également une ressource qui se fait rare et l’irrigation est sous pression. À ce niveau aussi, une gestion plus parcimonieuse s’impose. Enfin, l’ensemble se trouve habillé par une cohorte de règles administratives et de mesures environnementales, justes sur le fond, mais qui sont souvent inadaptées dans l’application, rognant des marges d’efficacité tout en engendrant des charges supplémentaires.
Pourtant les systèmes TCS et SD comme les approches AC sont beaucoup mieux calés aujourd’hui. Il y a 20 ans, il fallait être un peu « rebelle » pour s’aventurer seul sur cette voie sans savoir-faire ni expérience. Depuis, le chemin est beaucoup mieux balisé et pas mal élargi : presque une autoroute. Non seulement les outils ont énormément évolué mais également les pratiques et les connaissances. La période de transition et la gestion de l’azote sont mieux appréhendées, les couverts végétaux sont en grande partie maîtrisés et les rotations s’adaptent pour limiter le salissement. Mieux encore, les réseaux AC apportent et produisent des innovations (couverts végétaux de type Biomax, destruction par roulage, gestion de stocks semenciers d’adventices en surface et colzas associés pour les principales) qui sont en train de faire des émules en conventionnel comme en AB.
Trop habitués à externaliser les solutions agronomiques, les agriculteurs ne se sentent peut-être pas responsables des contraintes, des soucis voire même des échecs dans les parcelles. Si la culture ne lève pas à cause de la sécheresse, c’est la faute de la météo et il est nécessaire de réfléchir irrigation alors que la manière d’aborder le travail du sol peut avoir énormément d’impact sur la gestion de cette ressource précieuse. De même que si le carburant augmente, c’est la responsabilité des dirigeants, économistes et des firmes pétrolières. On compte sur leur bon vouloir pour réduire la facture tout en exigeant une petite ristourne éventuelle de TIPP alors que des marges de manoeuvre beaucoup plus importantes existent dans les choix techniques. Des économies immédiates qui exposeront moins l’entreprise, et ce durablement, à la volatilité des cours.
Beaucoup pensent encore qu’il faut voir pour croire. Même si les agriculteurs sont des visuels et des pragmatiques, cette dimension pourtant souvent mise en avant ne stimule pas non plus le changement. Voilà 15 ans, attendre pour voir pouvait à la limite se comprendre mais aujourd’hui, qui n’a pas entendu parler de TCS et SD, quel est l’agriculteur qui n’a pas un voisin qui réussit depuis plus de 10 ans et dont les parcelles d’année en année font envie ? Bien entendu, il y a encore quelques « ratés » sur lesquels il est possible de stigmatiser. Cela permet de se rassurer, de sous-estimer ses contraintes et de justifier une position « attentiste ». Cependant, choisir ses risques et prendre sa destinée en main, c’est beaucoup moins risqué que de subir des risques imposés ou que l’on n’attendait pas.
D’autres accusent l’encadrement et la recherche d’être trop frileux sur le sujet. Certes, les économies envisagées par les agriculteurs sont inévitablement des manques à gagner pour des services marchands qui peuvent être tentés de véhiculer des messages contraires. Si cette réticence est louable pour certains, la majorité des secteurs périphériques n’ont rien à perdre, bien au contraire. Cependant, l’ensemble des acteurs est régi par les mêmes stimuli et les mêmes règles que les producteurs. Avec des contraintes et des enjeux voisins, il semble donc logique, à ce niveau, de changer et d’investir également dans la durabilité. C’est certainement moins de chiffre d’affaires mais c’est le retour d’un contact différent avec le « client » et le partage d’une meilleure valeur ajoutée construite ensemble. C’est la même approche pour l’encadrement, la recherche et la presse en quête aussi d’un nouveau positionnement. C’est seulement une relation différente et constructive avec les agriculteurs qui seule pourra leur permettre de rebondir.
Il faut d’abord croire pour voire. Pour changer, il ne suffit pas de considérer les mêmes enjeux et de regarder les mêmes champs, il faut avant tout être convaincu pour analyser différemment les clés de l’équation. En fonction de leur logique, deux agriculteurs ne verront pas les mêmes choses : un beau mulch d’un couvert sera pour vous un sol protégé, de l’eau mieux accueillie, de la nourriture pour les vers de terre, de l’autofertilité, des économies d’engrais et un havre de paix pour les auxiliaires alors que votre voisin y verra des risques de bourrage, une levée moins régulière, plus de limaces, plus de maladies et un potentiel de rendement réduit. C’est pourtant bien la même parcelle, mais c’est avant tout la conviction qui dirige l’observation et aiguille largement la perception.
Par conséquent, le changement, au-delà des aspects purement techniques et économiques est avant tout une attitude. Plus que démontrer l’intérêt de l’agriculture de conservation, ce qui reste largement nécessaire, il est donc important de considérer avec plus d’attention cette dimension comportementale afin d’élargir plus rapidement son adoption. Il faut apprendre à transformer les peurs en envies, les inquiétudes en enthousiasmes, les incompréhensions en dynamismes, les limites en objectifs et enfin les révoltes en projets. Il s’agit vraiment d’une « TCS attitude » ou plutôt d’une « positive attitude » qui s’applique et dépasse largement le seul cadre de l’agriculture dont il ne faut surtout pas se priver.
Frédéric Thomas - TCS n°67 ; mars/avril/mai 2012
http://www.agriculture-de-conservation.com/POURQUOI-L-AGRICULTURE-DE.html
Re: SDSC attitude
Problème de mulots et souris également en TCS je penche plus pour l'absence d'hiver 13/14 que la technique de travail, ainsi que le manque de prédateurs de ces bestioles.
s.a.m- + membre techno +
- Messages : 3869
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 44
Plateau lorrain chaotique
Re: SDSC attitude
s.a.m a écrit:Les terres de Meuse, ne sont pas tout à fait celle de Moselle quand même...
Il n'y a pas de cartes pédologiques, ni de présentation des régions naturelles sur les sites des chambres d'agriculture de ces départements, quelles sont les principales différences?
jojogo- + membre techno +
- Messages : 3515
Date d'inscription : 22/04/2013
Age : 48
Centre
Re: SDSC attitude
J'ai qq ronds de noyés définitivement en TCS malgré des pluies modéréesjojogo a écrit:tof a écrit:Quelle raison ?jojogo a écrit:snif a écrit:Pas du tout, il te suffira juste de ressemer
Chez nous, en région Centre, en sols hydromorphes avec très peu de pente en TCS, tous les blés ont été ressemés.
Noyé ?
Nos argiles ont été trop rappuyées, ça a baigné.
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
jojogo a écrit:s.a.m a écrit:Les terres de Meuse, ne sont pas tout à fait celle de Moselle quand même...
Il n'y a pas de cartes pédologiques, ni de présentation des régions naturelles sur les sites des chambres d'agriculture de ces départements, quelles sont les principales différences?
De ce que j'ai pu voir en traversant la Meuse ,les terres là bas sont plus superficielles et légères ...
iris- + Admin +
- Messages : 12086
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 70
France de l'extérieur 57
Re: SDSC attitude
ça vient de la semelle de labour ...un bon décompactage d'été et tu es remis à neuf...tof a écrit:J'ai qq ronds de noyés définitivement en TCS malgré des pluies modéréesjojogo a écrit:tof a écrit:Quelle raison ?jojogo a écrit:snif a écrit:Pas du tout, il te suffira juste de ressemer
Chez nous, en région Centre, en sols hydromorphes avec très peu de pente en TCS, tous les blés ont été ressemés.
Noyé ?
Nos argiles ont été trop rappuyées, ça a baigné.
escrito17- + membre techno +
- département : 17
Messages : 18125
Date d'inscription : 13/11/2011
Age : 57
charente maritime 17
Re: SDSC attitude
C'est pas totalement impossible au vu des zones
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
Les souris viennent des bords de chemin, ou du voisin laboureur, quand il laboure les souris viennent colonisé le bord de ton chemin.
Mon voisin avait une luzerne de 3 ans avec bien sur pas mal de souris, moi j'en avais pas de trop, il a labouré pour son blé et les souris sont venus s'installer juste après la roie dans ma parcelle.
Il faudrait essayer de semer les bordures de chemin avec du mélilot.
Mon voisin avait une luzerne de 3 ans avec bien sur pas mal de souris, moi j'en avais pas de trop, il a labouré pour son blé et les souris sont venus s'installer juste après la roie dans ma parcelle.
Il faudrait essayer de semer les bordures de chemin avec du mélilot.
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
Antoine, tu n'es donc pas si convaincu que cela.antoine 52 a écrit:Je suis convaincu du SD, SDSC et SDSCV .
j ai seme 10% de ma surface en sd cette annee ds tt les type de sol et a cote d un travail du sol.
a ce jour aucun pb sauf.....souris mulot etc dc je ne passerai pas 100% de ma surface trop dangereux...
Tu es en fait dans une posture d'opportuniste, et là, c'est bien différent.
J'ai vu des champs retournés par les souris. Il fallait recommencer
snif- + membre techno +
- département : Barrois du 52
Messages : 17203
Date d'inscription : 19/09/2009
Age : 62
Rhin-CHAMPAGNE
Re: SDSC attitude
escrito17 a écrit:ça vient de la semelle de labour ...un bon décompactage d'été et tu es remis à neuf...tof a écrit:J'ai qq ronds de noyés définitivement en TCS malgré des pluies modéréesjojogo a écrit:tof a écrit:Quelle raison ?jojogo a écrit:snif a écrit:Pas du tout, il te suffira juste de ressemer
Chez nous, en région Centre, en sols hydromorphes avec très peu de pente en TCS, tous les blés ont été ressemés.
Noyé ?
Nos argiles ont été trop rappuyées, ça a baigné.
plutot la semelle crée par le travail superficiel !
vivanden- + membre techno +
- département : 80
Messages : 6570
Date d'inscription : 18/02/2011
Age : 41
Somme
Re: SDSC attitude
le sd opportuniste est peut être une bonne solution ??snif a écrit:Antoine, tu n'es donc pas si convaincu que cela.antoine 52 a écrit:Je suis convaincu du SD, SDSC et SDSCV .
j ai seme 10% de ma surface en sd cette annee ds tt les type de sol et a cote d un travail du sol.
a ce jour aucun pb sauf.....souris mulot etc dc je ne passerai pas 100% de ma surface trop dangereux...
Tu es en fait dans une posture d'opportuniste, et là, c'est bien différent.
J'ai vu des champs retournés par les souris. Il fallait recommencer
max-42- + membre techno +
- Messages : 5407
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 33
42
Re: SDSC attitude
Oui, ca l'est Max, même si les puristes considèrent cela comme un sacrilège.
Le souci est qu'il faut un deuxième semoir
Le souci est qu'il faut un deuxième semoir
snif- + membre techno +
- département : Barrois du 52
Messages : 17203
Date d'inscription : 19/09/2009
Age : 62
Rhin-CHAMPAGNE
Re: SDSC attitude
+1,à mon point de vue,céréales d'hiver en SD et cultures de printemps en gratouillage,avec couvert interculture,ça roule...snif a écrit:Oui, ca l'est Max, même si les puristes considèrent cela comme un sacrilège.
Le souci est qu'il faut un deuxième semoir
escrito17- + membre techno +
- département : 17
Messages : 18125
Date d'inscription : 13/11/2011
Age : 57
charente maritime 17
Re: SDSC attitude
pourquoi pas déléguer le semis a ETA ou avoir le matos a plusieurs ?snif a écrit:Oui, ca l'est Max, même si les puristes considèrent cela comme un sacrilège.
Le souci est qu'il faut un deuxième semoir
et une charrue +semoir/HR + déchaumeur avec sa tu peux faire toute les technique culturale si en plus ta un semoir SD a plusieurs
max-42- + membre techno +
- Messages : 5407
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 33
42
Re: SDSC attitude
Parfait, pourvu que tout le monde ne veuille pas le SD la même année.
snif- + membre techno +
- département : Barrois du 52
Messages : 17203
Date d'inscription : 19/09/2009
Age : 62
Rhin-CHAMPAGNE
Re: SDSC attitude
un semoir SD à plusieurs et garder son combiné en doublon pour du tcs en cas d'indisponibilité...c'est ce qu'on fait dans notre cuma...
escrito17- + membre techno +
- département : 17
Messages : 18125
Date d'inscription : 13/11/2011
Age : 57
charente maritime 17
Re: SDSC attitude
SDSC attitude :
Mise au point : ce message est uniquement destiné aux agris qui veulent avancer vers l'agriculture durable:
les autres continuent à labourer le plus profond possible afin de préserver le plus possible nos marges.....
Donc pour une agriculture durable
le labour est interdit !
le TCS est la méthode avec le plus de problèmes ....on oublie !
le strip-till est une mode passagère avec sa bonne part de problèmes !
le SD qui consiste a vouloir être bon économiquement en implantant des cultures avec un semoir cher et avec des sols issues des TCS ou autre est une catastrophe !
l'agri en SDSC avec n'importe quel type de sol qui respecte à la lettre :
le non-travail de sol par un engin en ferraille quelque-soit la couleur
la couverture PERMANENTE de son sol en surface et en profondeur
une rotation de cultures conséquente
peut commencer à sourire à voir son sol vivre à 200 % et son banquier !
le SDSCV c'est encore mieux !
Ne vous fâchez pas immédiatement , chacun est libre de son choix hier aujourd'hui et demain !
Posez-vous simplement la question : n'est-il pas complètement absurde de perdre quelques jours pour découvrir quelques agris de bonne référence qui pratiquent ces méthodes avec succès depuis plusieurs années.....
Mise au point : ce message est uniquement destiné aux agris qui veulent avancer vers l'agriculture durable:
les autres continuent à labourer le plus profond possible afin de préserver le plus possible nos marges.....
Donc pour une agriculture durable
le labour est interdit !
le TCS est la méthode avec le plus de problèmes ....on oublie !
le strip-till est une mode passagère avec sa bonne part de problèmes !
le SD qui consiste a vouloir être bon économiquement en implantant des cultures avec un semoir cher et avec des sols issues des TCS ou autre est une catastrophe !
l'agri en SDSC avec n'importe quel type de sol qui respecte à la lettre :
le non-travail de sol par un engin en ferraille quelque-soit la couleur
la couverture PERMANENTE de son sol en surface et en profondeur
une rotation de cultures conséquente
peut commencer à sourire à voir son sol vivre à 200 % et son banquier !
le SDSCV c'est encore mieux !
Ne vous fâchez pas immédiatement , chacun est libre de son choix hier aujourd'hui et demain !
Posez-vous simplement la question : n'est-il pas complètement absurde de perdre quelques jours pour découvrir quelques agris de bonne référence qui pratiquent ces méthodes avec succès depuis plusieurs années.....
Re: SDSC attitude
c'est bien clair et je valide ...
ben21- + membre techno +
- Messages : 4279
Date d'inscription : 03/11/2009
Age : 60
cote d'or
Re: SDSC attitude
+1 beaucoup de paramètres en jeux pour changer de système; la formation et l'information sont primordiaux.
RT 08- + membre techno +
- Messages : 398
Date d'inscription : 31/03/2011
Age : 66
dans la plaine ardennaise
Re: SDSC attitude
Je ne suis pas prêt pour le SD mais ayant déjà rencontré notre sympathique paysannature je lui conseille vivement d'organiser une visite (ou Repas ACE) et je serais le premier inscrit pour apprendre
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
ben21 a écrit:c'est bien clair et je valide ...
+10000
Kris91- + membre techno +
- Messages : 4481
Date d'inscription : 07/12/2011
Age : 42
idf sud
Re: SDSC attitude
+1, je serais le 2èmele butté a écrit:Je ne suis pas prêt pour le SD mais ayant déjà rencontré notre sympathique paysannature je lui conseille vivement d'organiser une visite (ou Repas ACE) et je serais le premier inscrit pour apprendre
+1 avec toi Paysannature.
Mais perso, depuis 2 ans j'ai essayé de semer dans des fèveroles vivante directement avec le maxemerge. 2 année humide pour démarrer, résultat très mauvais, donc je repasse au CLC + vibro. Je peux pas me permettre de diminué mes rendements car je peux pas vendre le matériel classique car je fais de l'ETA a coté.
Perso semer du maïs de bonne heure dans un couvert de fèverole est impossible. Cette plante garde le sol humide et fermé ou alors il faut attendre 10- 15 jours de plus pour que le sol soit aussi bien ressuyé que sur un sol TCS. Soit une perte de 15 jours qui ce retrouve a l’automne, ...
tf76- + membre techno +
- Messages : 21954
Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 53
30 km au sud de Toulouse
Kris91- + membre techno +
- Messages : 4481
Date d'inscription : 07/12/2011
Age : 42
idf sud
Re: SDSC attitude
2 h 21 !!!
Tu veux ma mort !!!
Tu veux ma mort !!!
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
Ben tu la regarde sur ton smartphone pendant que tu laboures...
Kris91- + membre techno +
- Messages : 4481
Date d'inscription : 07/12/2011
Age : 42
idf sud
Re: SDSC attitude
Faut que je lui en parleKris91 a écrit:Ben tu la regarde sur ton smartphone pendant que tu la boures...
tof- + membre techno +
- département : 28
Messages : 39235
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 56
sud 28
Re: SDSC attitude
tof a écrit:Faut que je lui en parleKris91 a écrit:Ben tu la regarde sur ton smartphone pendant que tu la boures...
tu vas dire que tu simplifie et sa iras plus vite
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
Ca tu fais comme tu veux, jveux pas savoir
Kris91- + membre techno +
- Messages : 4481
Date d'inscription : 07/12/2011
Age : 42
idf sud
Re: SDSC attitude
Et pis la déprime hivernale arrive, ca t'occupera une petite après midi
Kris91- + membre techno +
- Messages : 4481
Date d'inscription : 07/12/2011
Age : 42
idf sud
Re: SDSC attitude
tof a écrit:2 h 21 !!!
Tu veux ma mort !!!
flo45320- + membre techno +
- département : 45
Messages : 1520
Date d'inscription : 04/06/2012
Age : 39
Est du Loiret
Re: SDSC attitude
Kris91 a écrit:Et pis la déprime hivernale arrive, ca t'occupera une petite après midi
Pas sûr que ce genre de vidéo aide Tof contre la déprime
flo45320- + membre techno +
- département : 45
Messages : 1520
Date d'inscription : 04/06/2012
Age : 39
Est du Loiret
Re: SDSC attitude
tof a écrit:Faut que je lui en parleKris91 a écrit:Ben tu la regarde sur ton smartphone pendant que tu la boures...
2 heure , ventard!!!!
ivanquoi- + membre techno +
- Messages : 8796
Date d'inscription : 13/09/2009
Age : 62
chartres
Re: SDSC attitude
Bon on attend la reponse de Madame Tof
Kris91- + membre techno +
- Messages : 4481
Date d'inscription : 07/12/2011
Age : 42
idf sud
Re: SDSC attitude
ivanquoi a écrit:tof a écrit:Faut que je lui en parleKris91 a écrit:Ben tu la regarde sur ton smartphone pendant que tu la boures...
2 heure , ventard!!!!
de reflextion
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
cette année j'ai semé tous mes blés en semis direct et certains sous couvert de luzerne (méthode Hubert Charpentier) . Bon petite précision ça fait 13 ans que je suis en tcs avec des couverts qui passent au micro-onde de juillet à octobre . pour être franc une seule année ils ont été joli et quand les arbres perdent les feuilles au 15 aout à cause du sec c'est pas la peine de s'imaginer des histoire de vert de terre heureux . peu importe , cette année mes blés semés sont sortis alors que mes voisins attendaient qu'il pleuve pour casser leurs mottes. S'ils labourent c'est que ça leur fait plaisir et je ne vais pas les convaincre de faire comme moi , le labour c'est comme les persing chez les autres je m'en fou . d'autant que l'an passé c'était l'inverse . Chez moi c'est une eta qui moissonne , quand je prends une tolle sur une parcelle , le copain me dit "va faloir que tu retrouves une charrue", et quand on change de parcelle si c'est beau , je lui dit "heureusement que j'ai pas labourré.." chez nous, les plus gros bénefs sont les dépenses qu'on fait pas . c'est aussi pour ça que je passe en semis direct . je ne sais plus qui disait "qui ose gagne", par contre une chose paradoxalle c'est que même si on préserve les sols en semis direct , bon nombres de proprios préfèreront voir un gros fendt dans leur champs plutôt qu'un farfelu qui séme du maïs dans ses féverolles .
Alan.fr- + membre techno +
- Messages : 6943
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 54
gaillac Tarn
Re: SDSC attitude
Qu'est ce qui te fait dire que les marges d'un laboureur serait forcément moins bonnes? parce qu'ils crament plus de fuel?paysannature a écrit:SDSC attitude :
Mise au point : ce message est uniquement destiné aux agris qui veulent avancer vers l'agriculture durable:
les autres continuent à labourer le plus profond possible afin de préserver le plus possible nos marges.....
Donc pour une agriculture durable
le labour est interdit !
le TCS est la méthode avec le plus de problèmes ....on oublie !
le strip-till est une mode passagère avec sa bonne part de problèmes !
le SD qui consiste a vouloir être bon économiquement en implantant des cultures avec un semoir cher et avec des sols issues des TCS ou autre est une catastrophe !
l'agri en SDSC avec n'importe quel type de sol qui respecte à la lettre :
le non-travail de sol par un engin en ferraille quelque-soit la couleur
la couverture PERMANENTE de son sol en surface et en profondeur
une rotation de cultures conséquente
peut commencer à sourire à voir son sol vivre à 200 % et son banquier !
le SDSCV c'est encore mieux !
Ne vous fâchez pas immédiatement , chacun est libre de son choix hier aujourd'hui et demain !
Posez-vous simplement la question : n'est-il pas complètement absurde de perdre quelques jours pour découvrir quelques agris de bonne référence qui pratiquent ces méthodes avec succès depuis plusieurs années.....
Le SDSC est-il compatible avec les MAEC de la nouvelle PAC?
Regis41- + membre techno +
- département : 28 & 41
Messages : 916
Date d'inscription : 20/06/2011
Age : 44
Beauce - Loir et Cher
Re: SDSC attitude
Regis41 a écrit:Qu'est ce qui te fait dire que les marges d'un laboureur serait forcément moins bonnes? parce qu'ils crament plus de fuel?
oui le fuel, et si t'as la "chance" d'avoir des terres usantes les pièces d'usures et les pneus
flo45320- + membre techno +
- département : 45
Messages : 1520
Date d'inscription : 04/06/2012
Age : 39
Est du Loiret
Re: SDSC attitude
Paysannature, tu cites Philippe Pastoureau dans un message qui en suit un autre interdisant tout travail du sol. Il me semble bien que lui est en strip-till non ?
Même si je suis d'accord avec toi sur pas mal de points, il faut vraiment arrèter les raccourcis faciles et dogmatiques, ça n'aide pas... Surtout dans des systèmes ensilage maïs et/ou betteraves !
Même si je suis d'accord avec toi sur pas mal de points, il faut vraiment arrèter les raccourcis faciles et dogmatiques, ça n'aide pas... Surtout dans des systèmes ensilage maïs et/ou betteraves !
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
faut ensiler à pied , c'est simple , non ?
Alan.fr- + membre techno +
- Messages : 6943
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 54
gaillac Tarn
Re: SDSC attitude
Alan.fr a écrit:faut ensiler à pied , c'est simple , non ?
tu mets un kemper sur un gros navion et en avant
bap- + membre techno +
- Messages : 1176
Date d'inscription : 09/06/2011
Age : 34
loire atlantique
Re: SDSC attitude
Chamb a écrit:Paysannature, tu cites Philippe Pastoureau dans un message qui en suit un autre interdisant tout travail du sol. Il me semble bien que lui est en strip-till non ?
Même si je suis d'accord avec toi sur pas mal de points, il faut vraiment arrèter les raccourcis faciles et dogmatiques, ça n'aide pas... Surtout dans des systèmes ensilage maïs et/ou betteraves !
+1 Chamb, les deux années 2012 2013 m'ont amené qq doutes sur le tout sd quel qu'il soit. J'avais beaucoup de maïs avec des conditions de récoltes limites, il fallait reprendre un minimum, au moins les tournières.
Cette année toutes les récoltes ont été faites avec des chenilles, ça amène un +
elgo- + membre techno +
- Messages : 2963
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 45
45
Re: SDSC attitude
bap a écrit:Alan.fr a écrit:faut ensiler à pied , c'est simple , non ?
tu mets un kemper sur un gros navion et en avant
Justement : tu mets des chenilles sur une batteuse, OK. Pour un chantier d'ensilage, il faut en mettre aussi sur les tracteurs et les remorques, ça va revenir un peu cher non ? Ou une machine avec caisson...
On a beau se raisonner un max, si on veut ramasser de la bonne came, et ben faut y aller quand c'est le moment.
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
+2elgo a écrit:Chamb a écrit:Paysannature, tu cites Philippe Pastoureau dans un message qui en suit un autre interdisant tout travail du sol. Il me semble bien que lui est en strip-till non ?
Même si je suis d'accord avec toi sur pas mal de points, il faut vraiment arrèter les raccourcis faciles et dogmatiques, ça n'aide pas... Surtout dans des systèmes ensilage maïs et/ou betteraves !
+1 Chamb, les deux années 2012 2013 m'ont amené qq doutes sur le tout sd quel qu'il soit. J'avais beaucoup de maïs avec des conditions de récoltes limites, il fallait reprendre un minimum, au moins les tournières.
Cette année toutes les récoltes ont été faites avec des chenilles, ça amène un +
surtout dans des terres peu portantes de nature
Invité- Invité
Re: SDSC attitude
grabouille a écrit:+2elgo a écrit:Chamb a écrit:Paysannature, tu cites Philippe Pastoureau dans un message qui en suit un autre interdisant tout travail du sol. Il me semble bien que lui est en strip-till non ?
Même si je suis d'accord avec toi sur pas mal de points, il faut vraiment arrèter les raccourcis faciles et dogmatiques, ça n'aide pas... Surtout dans des systèmes ensilage maïs et/ou betteraves !
+1 Chamb, les deux années 2012 2013 m'ont amené qq doutes sur le tout sd quel qu'il soit. J'avais beaucoup de maïs avec des conditions de récoltes limites, il fallait reprendre un minimum, au moins les tournières.
Cette année toutes les récoltes ont été faites avec des chenilles, ça amène un +
surtout dans des terres peu portantes de nature
si, il y avait la solution de partir sur d'autres cultures que le maïs... de printemps également mais de récolte moins tardive, pour allonger la rotation etc...
mais la tentation était trop grande, et surtout en situation irriguée, donc re-maïs
elgo- + membre techno +
- Messages : 2963
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 45
45
Re: SDSC attitude
tf76 a écrit:+1, je serais le 2èmele butté a écrit:Je ne suis pas prêt pour le SD mais ayant déjà rencontré notre sympathique paysannature je lui conseille vivement d'organiser une visite (ou Repas ACE) et je serais le premier inscrit pour apprendre
+1 avec toi Paysannature.
Mais perso, depuis 2 ans j'ai essayé de semer dans des fèveroles vivante directement avec le maxemerge. 2 année humide pour démarrer, résultat très mauvais, donc je repasse au CLC + vibro. Je peux pas me permettre de diminué mes rendements car je peux pas vendre le matériel classique car je fais de l'ETA a coté.
Perso semer du maïs de bonne heure dans un couvert de fèverole est impossible. Cette plante garde le sol humide et fermé ou alors il faut attendre 10- 15 jours de plus pour que le sol soit aussi bien ressuyé que sur un sol TCS. Soit une perte de 15 jours qui ce retrouve a l’automne, ...
+1,ce fut la cata pour moi aussi en couvert d'avoine(1ha d'essai )...j'y crois pour les céréales les protéagineux à condition de semer tôt par contre les maïs et tournesols,si y'a pas de chaleur et qu'on sème à l'ombre,ça ne peut pas le faire...il faut 15jours de températures à plus de 20°...là les conditions permettront d'avoir une levée correcte mais c'est trés hypothétique...
escrito17- + membre techno +
- département : 17
Messages : 18125
Date d'inscription : 13/11/2011
Age : 57
charente maritime 17
Re: SDSC attitude
Monsieur LeFoll :
conférence du 5/12/14 à Dijon
conférence du 5/12/14 à Dijon
Kris91- + membre techno +
- Messages : 4481
Date d'inscription : 07/12/2011
Age : 42
idf sud
Re: SDSC attitude
escrito17 a écrit:tf76 a écrit:+1, je serais le 2èmele butté a écrit:Je ne suis pas prêt pour le SD mais ayant déjà rencontré notre sympathique paysannature je lui conseille vivement d'organiser une visite (ou Repas ACE) et je serais le premier inscrit pour apprendre
+1 avec toi Paysannature.
Mais perso, depuis 2 ans j'ai essayé de semer dans des fèveroles vivante directement avec le maxemerge. 2 année humide pour démarrer, résultat très mauvais, donc je repasse au CLC + vibro. Je peux pas me permettre de diminué mes rendements car je peux pas vendre le matériel classique car je fais de l'ETA a coté.
Perso semer du maïs de bonne heure dans un couvert de fèverole est impossible. Cette plante garde le sol humide et fermé ou alors il faut attendre 10- 15 jours de plus pour que le sol soit aussi bien ressuyé que sur un sol TCS. Soit une perte de 15 jours qui ce retrouve a l’automne, ...
+1,ce fut la cata pour moi aussi en couvert d'avoine(1ha d'essai )...j'y crois pour les céréales les protéagineux à condition de semer tôt par contre les maïs et tournesols,si y'a pas de chaleur et qu'on sème à l'ombre,ça ne peut pas le faire...il faut 15jours de températures à plus de 20°...là les conditions permettront d'avoir une levée correcte mais c'est trés hypothétique...
Et le Strip-Till ? Ca marche très bien dans les féveroles couché au faca. La bande de semis est à la lumière donc no soucy.
alextvt190- + membre techno +
- département : 86
Messages : 2421
Date d'inscription : 23/11/2009
Age : 41
nord-vienne
Re: SDSC attitude
Kris91 a écrit: Monsieur LeFoll :
conférence du 5/12/14 à Dijon
Beau discours , à savoir comment ce gouvernement peux aider financièrement le développement l'agroécologie avec des caisses vides , on le voit avec le plan protéine du même monsieur
http://www.coordinationrurale.fr/un-plan-proteines-deja-vu-et-sans-ambition.html
Re: SDSC attitude
Kris91 a écrit: Monsieur LeFoll :
conférence du 5/12/14 à Dijon
merci kris,un grand moment pour l'avenir du SDSC
ben21- + membre techno +
- Messages : 4279
Date d'inscription : 03/11/2009
Age : 60
cote d'or
Page 19 sur 20 • 1 ... 11 ... 18, 19, 20
AGRICULTURE - CONVIVIALITÉ - ENVIRONNEMENT (A.C.E) :: Cultures et tours de plaines :: Biologie des sols
Page 19 sur 20
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum