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SDSC attitude
Rappel du premier message :
POURQUOI L’AGRICULTURE DE CONSERVATION NE FAIT-ELLE PAS ENCORE L’UNANIMITÉ ? LES FREINS AU CHANGEMENT
Si certains ont parlé de mode, de pratiques inadaptées aux cultures et aux conditions pédoclimatiques françaises, cela fait tout de même plus de 20 ans que la simplification du travail du sol, et maintenant l’agriculture de conservation, creuse lentement, mais sûrement, son sillon dans les campagnes avec une réussite qui commence à faire écho. Cependant, face à l’engouement des lecteurs, des agriculteurs pratiquants, des groupes et réseaux TCS et SD accompagnés par quelques techniciens et chercheurs, l’adhésion qui reste lente et limitée pose question.
Les contraintes qui peuvent stimuler la réflexion et le changement, souvent mises en avant comme des leviers importants, n’ont pourtant jamais été aussi fortes qu’aujourd’hui. Les hausses du prix du carburant, de l’azote, des aliments du bétail et des fourrages sont conséquentes et semblent durables. À titre d’exemple, et malgré les cours actuellement porteurs des céréales, la seule dépense en gasoil/ha peut s’approcher d’une tonne de grain. C’est déjà 10 à 15 % de la recette partie en fumée dans l’énergie pour animer la mécanisation. Si le coût devient très significatif, l’approvisionnement risque de ne pas être aussi simple et sécurisé à l’avenir dans un monde de plus en plus perturbé où l’ouverture à tout va est battue en brèche. À ce niveau, toute réduction de la consommation rentre aussi dans une approche d’autonomie : une stratégie prudente à ne pas négliger.
Au-delà des aspects purement économiques, l’eau est également une ressource qui se fait rare et l’irrigation est sous pression. À ce niveau aussi, une gestion plus parcimonieuse s’impose. Enfin, l’ensemble se trouve habillé par une cohorte de règles administratives et de mesures environnementales, justes sur le fond, mais qui sont souvent inadaptées dans l’application, rognant des marges d’efficacité tout en engendrant des charges supplémentaires.
Pourtant les systèmes TCS et SD comme les approches AC sont beaucoup mieux calés aujourd’hui. Il y a 20 ans, il fallait être un peu « rebelle » pour s’aventurer seul sur cette voie sans savoir-faire ni expérience. Depuis, le chemin est beaucoup mieux balisé et pas mal élargi : presque une autoroute. Non seulement les outils ont énormément évolué mais également les pratiques et les connaissances. La période de transition et la gestion de l’azote sont mieux appréhendées, les couverts végétaux sont en grande partie maîtrisés et les rotations s’adaptent pour limiter le salissement. Mieux encore, les réseaux AC apportent et produisent des innovations (couverts végétaux de type Biomax, destruction par roulage, gestion de stocks semenciers d’adventices en surface et colzas associés pour les principales) qui sont en train de faire des émules en conventionnel comme en AB.
Trop habitués à externaliser les solutions agronomiques, les agriculteurs ne se sentent peut-être pas responsables des contraintes, des soucis voire même des échecs dans les parcelles. Si la culture ne lève pas à cause de la sécheresse, c’est la faute de la météo et il est nécessaire de réfléchir irrigation alors que la manière d’aborder le travail du sol peut avoir énormément d’impact sur la gestion de cette ressource précieuse. De même que si le carburant augmente, c’est la responsabilité des dirigeants, économistes et des firmes pétrolières. On compte sur leur bon vouloir pour réduire la facture tout en exigeant une petite ristourne éventuelle de TIPP alors que des marges de manoeuvre beaucoup plus importantes existent dans les choix techniques. Des économies immédiates qui exposeront moins l’entreprise, et ce durablement, à la volatilité des cours.
Beaucoup pensent encore qu’il faut voir pour croire. Même si les agriculteurs sont des visuels et des pragmatiques, cette dimension pourtant souvent mise en avant ne stimule pas non plus le changement. Voilà 15 ans, attendre pour voir pouvait à la limite se comprendre mais aujourd’hui, qui n’a pas entendu parler de TCS et SD, quel est l’agriculteur qui n’a pas un voisin qui réussit depuis plus de 10 ans et dont les parcelles d’année en année font envie ? Bien entendu, il y a encore quelques « ratés » sur lesquels il est possible de stigmatiser. Cela permet de se rassurer, de sous-estimer ses contraintes et de justifier une position « attentiste ». Cependant, choisir ses risques et prendre sa destinée en main, c’est beaucoup moins risqué que de subir des risques imposés ou que l’on n’attendait pas.
D’autres accusent l’encadrement et la recherche d’être trop frileux sur le sujet. Certes, les économies envisagées par les agriculteurs sont inévitablement des manques à gagner pour des services marchands qui peuvent être tentés de véhiculer des messages contraires. Si cette réticence est louable pour certains, la majorité des secteurs périphériques n’ont rien à perdre, bien au contraire. Cependant, l’ensemble des acteurs est régi par les mêmes stimuli et les mêmes règles que les producteurs. Avec des contraintes et des enjeux voisins, il semble donc logique, à ce niveau, de changer et d’investir également dans la durabilité. C’est certainement moins de chiffre d’affaires mais c’est le retour d’un contact différent avec le « client » et le partage d’une meilleure valeur ajoutée construite ensemble. C’est la même approche pour l’encadrement, la recherche et la presse en quête aussi d’un nouveau positionnement. C’est seulement une relation différente et constructive avec les agriculteurs qui seule pourra leur permettre de rebondir.
Il faut d’abord croire pour voire. Pour changer, il ne suffit pas de considérer les mêmes enjeux et de regarder les mêmes champs, il faut avant tout être convaincu pour analyser différemment les clés de l’équation. En fonction de leur logique, deux agriculteurs ne verront pas les mêmes choses : un beau mulch d’un couvert sera pour vous un sol protégé, de l’eau mieux accueillie, de la nourriture pour les vers de terre, de l’autofertilité, des économies d’engrais et un havre de paix pour les auxiliaires alors que votre voisin y verra des risques de bourrage, une levée moins régulière, plus de limaces, plus de maladies et un potentiel de rendement réduit. C’est pourtant bien la même parcelle, mais c’est avant tout la conviction qui dirige l’observation et aiguille largement la perception.
Par conséquent, le changement, au-delà des aspects purement techniques et économiques est avant tout une attitude. Plus que démontrer l’intérêt de l’agriculture de conservation, ce qui reste largement nécessaire, il est donc important de considérer avec plus d’attention cette dimension comportementale afin d’élargir plus rapidement son adoption. Il faut apprendre à transformer les peurs en envies, les inquiétudes en enthousiasmes, les incompréhensions en dynamismes, les limites en objectifs et enfin les révoltes en projets. Il s’agit vraiment d’une « TCS attitude » ou plutôt d’une « positive attitude » qui s’applique et dépasse largement le seul cadre de l’agriculture dont il ne faut surtout pas se priver.
Frédéric Thomas - TCS n°67 ; mars/avril/mai 2012
http://www.agriculture-de-conservation.com/POURQUOI-L-AGRICULTURE-DE.html
POURQUOI L’AGRICULTURE DE CONSERVATION NE FAIT-ELLE PAS ENCORE L’UNANIMITÉ ? LES FREINS AU CHANGEMENT
Si certains ont parlé de mode, de pratiques inadaptées aux cultures et aux conditions pédoclimatiques françaises, cela fait tout de même plus de 20 ans que la simplification du travail du sol, et maintenant l’agriculture de conservation, creuse lentement, mais sûrement, son sillon dans les campagnes avec une réussite qui commence à faire écho. Cependant, face à l’engouement des lecteurs, des agriculteurs pratiquants, des groupes et réseaux TCS et SD accompagnés par quelques techniciens et chercheurs, l’adhésion qui reste lente et limitée pose question.
Les contraintes qui peuvent stimuler la réflexion et le changement, souvent mises en avant comme des leviers importants, n’ont pourtant jamais été aussi fortes qu’aujourd’hui. Les hausses du prix du carburant, de l’azote, des aliments du bétail et des fourrages sont conséquentes et semblent durables. À titre d’exemple, et malgré les cours actuellement porteurs des céréales, la seule dépense en gasoil/ha peut s’approcher d’une tonne de grain. C’est déjà 10 à 15 % de la recette partie en fumée dans l’énergie pour animer la mécanisation. Si le coût devient très significatif, l’approvisionnement risque de ne pas être aussi simple et sécurisé à l’avenir dans un monde de plus en plus perturbé où l’ouverture à tout va est battue en brèche. À ce niveau, toute réduction de la consommation rentre aussi dans une approche d’autonomie : une stratégie prudente à ne pas négliger.
Au-delà des aspects purement économiques, l’eau est également une ressource qui se fait rare et l’irrigation est sous pression. À ce niveau aussi, une gestion plus parcimonieuse s’impose. Enfin, l’ensemble se trouve habillé par une cohorte de règles administratives et de mesures environnementales, justes sur le fond, mais qui sont souvent inadaptées dans l’application, rognant des marges d’efficacité tout en engendrant des charges supplémentaires.
Pourtant les systèmes TCS et SD comme les approches AC sont beaucoup mieux calés aujourd’hui. Il y a 20 ans, il fallait être un peu « rebelle » pour s’aventurer seul sur cette voie sans savoir-faire ni expérience. Depuis, le chemin est beaucoup mieux balisé et pas mal élargi : presque une autoroute. Non seulement les outils ont énormément évolué mais également les pratiques et les connaissances. La période de transition et la gestion de l’azote sont mieux appréhendées, les couverts végétaux sont en grande partie maîtrisés et les rotations s’adaptent pour limiter le salissement. Mieux encore, les réseaux AC apportent et produisent des innovations (couverts végétaux de type Biomax, destruction par roulage, gestion de stocks semenciers d’adventices en surface et colzas associés pour les principales) qui sont en train de faire des émules en conventionnel comme en AB.
Trop habitués à externaliser les solutions agronomiques, les agriculteurs ne se sentent peut-être pas responsables des contraintes, des soucis voire même des échecs dans les parcelles. Si la culture ne lève pas à cause de la sécheresse, c’est la faute de la météo et il est nécessaire de réfléchir irrigation alors que la manière d’aborder le travail du sol peut avoir énormément d’impact sur la gestion de cette ressource précieuse. De même que si le carburant augmente, c’est la responsabilité des dirigeants, économistes et des firmes pétrolières. On compte sur leur bon vouloir pour réduire la facture tout en exigeant une petite ristourne éventuelle de TIPP alors que des marges de manoeuvre beaucoup plus importantes existent dans les choix techniques. Des économies immédiates qui exposeront moins l’entreprise, et ce durablement, à la volatilité des cours.
Beaucoup pensent encore qu’il faut voir pour croire. Même si les agriculteurs sont des visuels et des pragmatiques, cette dimension pourtant souvent mise en avant ne stimule pas non plus le changement. Voilà 15 ans, attendre pour voir pouvait à la limite se comprendre mais aujourd’hui, qui n’a pas entendu parler de TCS et SD, quel est l’agriculteur qui n’a pas un voisin qui réussit depuis plus de 10 ans et dont les parcelles d’année en année font envie ? Bien entendu, il y a encore quelques « ratés » sur lesquels il est possible de stigmatiser. Cela permet de se rassurer, de sous-estimer ses contraintes et de justifier une position « attentiste ». Cependant, choisir ses risques et prendre sa destinée en main, c’est beaucoup moins risqué que de subir des risques imposés ou que l’on n’attendait pas.
D’autres accusent l’encadrement et la recherche d’être trop frileux sur le sujet. Certes, les économies envisagées par les agriculteurs sont inévitablement des manques à gagner pour des services marchands qui peuvent être tentés de véhiculer des messages contraires. Si cette réticence est louable pour certains, la majorité des secteurs périphériques n’ont rien à perdre, bien au contraire. Cependant, l’ensemble des acteurs est régi par les mêmes stimuli et les mêmes règles que les producteurs. Avec des contraintes et des enjeux voisins, il semble donc logique, à ce niveau, de changer et d’investir également dans la durabilité. C’est certainement moins de chiffre d’affaires mais c’est le retour d’un contact différent avec le « client » et le partage d’une meilleure valeur ajoutée construite ensemble. C’est la même approche pour l’encadrement, la recherche et la presse en quête aussi d’un nouveau positionnement. C’est seulement une relation différente et constructive avec les agriculteurs qui seule pourra leur permettre de rebondir.
Il faut d’abord croire pour voire. Pour changer, il ne suffit pas de considérer les mêmes enjeux et de regarder les mêmes champs, il faut avant tout être convaincu pour analyser différemment les clés de l’équation. En fonction de leur logique, deux agriculteurs ne verront pas les mêmes choses : un beau mulch d’un couvert sera pour vous un sol protégé, de l’eau mieux accueillie, de la nourriture pour les vers de terre, de l’autofertilité, des économies d’engrais et un havre de paix pour les auxiliaires alors que votre voisin y verra des risques de bourrage, une levée moins régulière, plus de limaces, plus de maladies et un potentiel de rendement réduit. C’est pourtant bien la même parcelle, mais c’est avant tout la conviction qui dirige l’observation et aiguille largement la perception.
Par conséquent, le changement, au-delà des aspects purement techniques et économiques est avant tout une attitude. Plus que démontrer l’intérêt de l’agriculture de conservation, ce qui reste largement nécessaire, il est donc important de considérer avec plus d’attention cette dimension comportementale afin d’élargir plus rapidement son adoption. Il faut apprendre à transformer les peurs en envies, les inquiétudes en enthousiasmes, les incompréhensions en dynamismes, les limites en objectifs et enfin les révoltes en projets. Il s’agit vraiment d’une « TCS attitude » ou plutôt d’une « positive attitude » qui s’applique et dépasse largement le seul cadre de l’agriculture dont il ne faut surtout pas se priver.
Frédéric Thomas - TCS n°67 ; mars/avril/mai 2012
http://www.agriculture-de-conservation.com/POURQUOI-L-AGRICULTURE-DE.html
Re: SDSC attitude
Robust a écrit:Pour ceux qui on vu le sujet grêle, j'ai pris une bonne claque hier.
Maintenant vient le temps des interrogations sur la gestion technique de ce phénomène.
Pour les Blé / Blé, semés sous couvert, cela se complique.
Comment gérer les repousses de blé ??
J'aimerai bien semer mes couvert au cul de la MB, mais je vais devoir dépenser une fortune en AGF pour détruire les repousses de céréales, et je n'ai pas vraiment les € pour ça.
Vos avis m'intéressent
J'ai regulierement le probleme de repousse de ble du aux nombreux degats de sangliers. Régulierement des hectares entiers sont mis au sol par les sangliers.
Je gère les repousses avec un AGF dans le couvert. En SBV pour 3 € je fais le ménage.
Mais meme détruite tot, les repousses de blé sequestrent de l'azote et freinent le couvert.
JJ- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
JJ a écrit:Robust a écrit:Pour ceux qui on vu le sujet grêle, j'ai pris une bonne claque hier.
Maintenant vient le temps des interrogations sur la gestion technique de ce phénomène.
Pour les Blé / Blé, semés sous couvert, cela se complique.
Comment gérer les repousses de blé ??
J'aimerai bien semer mes couvert au cul de la MB, mais je vais devoir dépenser une fortune en AGF pour détruire les repousses de céréales, et je n'ai pas vraiment les € pour ça.
Vos avis m'intéressent
je suis en SDSC et j'ai grêlé à 95% en 2005 .....et qu'est-ce que j'ai fait.......j'ai rien fait ...trop d'humidité pour intervenir .j'ai laissé germé tous les grains de blé et ça m'a donné un couvert magnifique le seul bémol c'est le développement des mulots mais grâce à mes renards et autres buses la situation s'est rééquilibré à l'automne
j'ai gardé mes graines de couvert et mes produits de traitement pour l'année suivante
Re: SDSC attitude
paysannature a écrit:JJ a écrit:Robust a écrit:Pour ceux qui on vu le sujet grêle, j'ai pris une bonne claque hier.
Maintenant vient le temps des interrogations sur la gestion technique de ce phénomène.
Pour les Blé / Blé, semés sous couvert, cela se complique.
Comment gérer les repousses de blé ??
J'aimerai bien semer mes couvert au cul de la MB, mais je vais devoir dépenser une fortune en AGF pour détruire les repousses de céréales, et je n'ai pas vraiment les € pour ça.
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Tu as fait du semis de blé sous couvert de blé ?
Robust- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Robust a écrit:paysannature a écrit:JJ a écrit:Robust a écrit:Pour ceux qui on vu le sujet grêle, j'ai pris une bonne claque hier.
Maintenant vient le temps des interrogations sur la gestion technique de ce phénomène.
Pour les Blé / Blé, semés sous couvert, cela se complique.
Comment gérer les repousses de blé ??
J'aimerai bien semer mes couvert au cul de la MB, mais je vais devoir dépenser une fortune en AGF pour détruire les repousses de céréales, et je n'ai pas vraiment les € pour ça.
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je suis en SDSC et j'ai grêlé à 95% en 2005 .....et qu'est-ce que j'ai fait.......j'ai rien fait ...trop d'humidité pour intervenir .j'ai laissé germé tous les grains de blé et ça m'a donné un couvert magnifique le seul bémol c'est le développement des mulots mais grâce à mes renards et autres buses la situation s'est rééquilibré à l'automne
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Tu as fait du semis de blé sous couvert de blé ?
en SDSC jamais de blé sur blé .....c'est illogique
Re: SDSC attitude
du colza en sd derrière blé c'est risqué ou pas ;pailles enlevées
dugers- + membre techno +
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réfléchis bien
Re: SDSC attitude
pour moi il faut regarder plusieurs critères la répartition de la paille aucun tapis de paille et la hauteur du chaume très court ou très haut , il y a aussi la solution de rebroyer le chaume et les andains
fusa 32- + membre techno +
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gers 15 km d AUCH
Re: SDSC attitude
dugers a écrit:du colza en sd derrière blé c'est risqué ou pas ;pailles enlevées
historique SDSC ?
historique limace ?
type de semoir ?
type de sol ?
présence de colza dans le voisinage ?
Re: SDSC attitude
-semoir semeato
-sol argilo calcaire structuration pas mauvaise (enfin il me semble)
-en 2012 blé de tournesol semi combiné cultimix rotec (travail superficiel) pailles enlevées puis couvert feverolles semé au semeato; pour un maïs sd en 2013 semi du blé 2014 au cultimix rotec et là on réfléchi a refaire du colza les pailles sont sortis .
En limaces on a été embêté pour les maïs de 2013 no souci pour les blés
pas de colza autour .par contre pas d'eparpilleur de menu pailles sur la batteuse
voila voila ....
-sol argilo calcaire structuration pas mauvaise (enfin il me semble)
-en 2012 blé de tournesol semi combiné cultimix rotec (travail superficiel) pailles enlevées puis couvert feverolles semé au semeato; pour un maïs sd en 2013 semi du blé 2014 au cultimix rotec et là on réfléchi a refaire du colza les pailles sont sortis .
En limaces on a été embêté pour les maïs de 2013 no souci pour les blés
pas de colza autour .par contre pas d'eparpilleur de menu pailles sur la batteuse
voila voila ....
dugers- + membre techno +
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Age : 50
réfléchis bien
Re: SDSC attitude
Pourquoi tu le sème pas au Maxemerge, en passant 2 fois ?dugers a écrit:du colza en sd derrière blé c'est risqué ou pas ;pailles enlevées
Mon frère fait du semis a la volé avec une herse peigne, ça marche pas trop mal pour ces petite terres.
Il a pas d' éparpilleur sur la MB et laisse la paille.
si la levée est pas bonne et que fin septembre il est pas assez joli, il le casse pour faire du tournesol.
25 qx/ha pour 2014
tf76- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
paysannature a écrit:Robust a écrit:paysannature a écrit:JJ a écrit:Robust a écrit:Pour ceux qui on vu le sujet grêle, j'ai pris une bonne claque hier.
Maintenant vient le temps des interrogations sur la gestion technique de ce phénomène.
Pour les Blé / Blé, semés sous couvert, cela se complique.
Comment gérer les repousses de blé ??
J'aimerai bien semer mes couvert au cul de la MB, mais je vais devoir dépenser une fortune en AGF pour détruire les repousses de céréales, et je n'ai pas vraiment les € pour ça.
Vos avis m'intéressent
je suis en SDSC et j'ai grêlé à 95% en 2005 .....et qu'est-ce que j'ai fait.......j'ai rien fait ...trop d'humidité pour intervenir .j'ai laissé germé tous les grains de blé et ça m'a donné un couvert magnifique le seul bémol c'est le développement des mulots mais grâce à mes renards et autres buses la situation s'est rééquilibré à l'automne
j'ai gardé mes graines de couvert et mes produits de traitement pour l'année suivante
Tu as fait du semis de blé sous couvert de blé ?
en SDSC jamais de blé sur blé .....c'est illogique
Ma rotation est principalement Blé / Blé / Colza.
Les blés de colza sont semés sous couvert de colza.
Les blés/blés ont un couvert intermédiaire pour casser l'effet blé/blé, et je m'en sort pas trop mal.
Aujourd'hui, mon problème est la gestion des repousses de blé (4 à 8 t/ha de graines à terre).
Robust- + membre techno +
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Date d'inscription : 12/09/2009
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Re: SDSC attitude
JJ a écrit:Robust a écrit:Pour ceux qui on vu le sujet grêle, j'ai pris une bonne claque hier.
Maintenant vient le temps des interrogations sur la gestion technique de ce phénomène.
Pour les Blé / Blé, semés sous couvert, cela se complique.
Comment gérer les repousses de blé ??
J'aimerai bien semer mes couvert au cul de la MB, mais je vais devoir dépenser une fortune en AGF pour détruire les repousses de céréales, et je n'ai pas vraiment les € pour ça.
Vos avis m'intéressent
J'ai regulierement le probleme de repousse de ble du aux nombreux degats de sangliers. Régulierement des hectares entiers sont mis au sol par les sangliers.
Je gère les repousses avec un AGF dans le couvert. En SBV pour 3 € je fais le ménage.
Mais meme détruite tot, les repousses de blé sequestrent de l'azote et freinent le couvert.
Qu'est ce tu fais pour 3 € ???
Par MP si tu veux rester discret.
Robust- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
tf76 a écrit:Pourquoi tu le sème pas au Maxemerge, en passant 2 fois ?dugers a écrit:du colza en sd derrière blé c'est risqué ou pas ;pailles enlevées
Mon frère fait du semis a la volé avec une herse peigne, ça marche pas trop mal pour ces petite terres.
Il a pas d' éparpilleur sur la MB et laisse la paille.
si la levée est pas bonne et que fin septembre il est pas assez joli, il le casse pour faire du tournesol.
25 qx/ha pour 2014
pas simple de faire passer du colza dans un max emerge ?
dugers- + membre techno +
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réfléchis bien
Re: SDSC attitude
dugers a écrit:du colza en sd derrière blé c'est risqué ou pas ;pailles enlevées
Avec un SD à dents, c'est très simple à réussir.
Avec un SD à disques, il faut veiller à mettre un maximum de graines au contact de la terre et toujours surveiller les limaces, mais on y arrive.
Comme pour tout SD, la seule à faire pour éviter une gamelle, c'est de prendre une bêche et évaluer la structure du sol.
Le colza se contente de peu mais il ne faut quand même pas que ce soit compacté.
Bart37- + membre techno +
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Touraine 37
Re: SDSC attitude
la béche j'ai déja commencé a scruté une parcelle pur voir ça me parais bien
dugers- + membre techno +
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Date d'inscription : 11/09/2009
Age : 50
réfléchis bien
Re: SDSC attitude
Bart37 a écrit:dugers a écrit:du colza en sd derrière blé c'est risqué ou pas ;pailles enlevées
Avec un SD à dents, c'est très simple à réussir.
Avec un SD à disques, il faut veiller à mettre un maximum de graines au contact de la terre et toujours surveiller les limaces, mais on y arrive.
Comme pour tout SD, la seule à faire pour éviter une gamelle, c'est de prendre une bêche et évaluer la structure du sol.
Le colza se contente de peu mais il ne faut quand même pas que ce soit compacté.
Vu la flotte qu'on a eu depuis peu, pas loin de 100 mm en août, impossible de faire du bon boulot en TCS pour semer le colza, travail en profondeur bof, et gros risque de trop assécher si septembre est sec???.
Mes chaumes (coupés haut) sont intacts en argilo calcaire superficiel, je pense donc ameublir uniquement les rives et semer l'intérieur en sd avec le semoir à dents.
Habituellement je sème autour de 40 grains au m2 en TCS Light.
Il faut monter en densité ou pas?
elgo- + membre techno +
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45
Re: SDSC attitude
hybride?
je semerai a mini 60g/m²
je semerai a mini 60g/m²
Kris91- + membre techno +
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idf sud
Re: SDSC attitude
Oui hybride extorm, date entre le 20 et 25 août
elgo- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Moi je monterai un peu, mais certains ne sont pas pas d'accord
Kris91- + membre techno +
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idf sud
Re: SDSC attitude
cette année j'ai récolté 34 qtx de colza dans une parcelle dont la moyenne est a 31 qtx depuis 12 ans (quatre rotations)
c'était un semis au semeato a 45 grains par /m2;veillez bien a ne pas trop entèrer vos graines en SD 4 fois l'épaisseurs de la graine suffit
c'était un semis au semeato a 45 grains par /m2;veillez bien a ne pas trop entèrer vos graines en SD 4 fois l'épaisseurs de la graine suffit
ben21- + membre techno +
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cote d'or
Re: SDSC attitude
60g/m2, c'est beaucoup trop !!! 45 c grand Max, qu'importe la technique d'implantation.Kris91 a écrit:hybride?
je semerai a mini 60g/m²
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Beauce - Loir et Cher
Re: SDSC attitude
On part du principe qu'on aura plus de degats de limaces, peut être des graines moins bien enterrées...Regis41 a écrit:60g/m2, c'est beaucoup trop !!! 45 c grand Max, qu'importe la technique d'implantation.Kris91 a écrit:hybride?
je semerai a mini 60g/m²
elgo- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
JE comprends bien, mais de là à augmenter la dose de 100% par rapport à un semis classique... ça fait beaucoup surtout en hybride
Regis41- + membre techno +
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Beauce - Loir et Cher
Re: SDSC attitude
C'est ce qui me fait peur la profondeur de semis ça ne sera pas bien precis,ben21 a écrit:cette année j'ai récolté 34 qtx de colza dans une parcelle dont la moyenne est a 31 qtx depuis 12 ans (quatre rotations)
c'était un semis au semeato a 45 grains par /m2;veillez bien a ne pas trop entèrer vos graines en SD 4 fois l'épaisseurs de la graine suffit
Mais les graines bien enterrées seront bien au contact de la terre
elgo- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
Moi aussi j'ai peur d'avoir semé trop creux, pour le contact terre/graine aucun soucis par contre
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Re: SDSC attitude
elgo a écrit:
Vu la flotte qu'on a eu depuis peu, pas loin de 100 mm en août, impossible de faire du bon boulot en TCS pour semer le colza, travail en profondeur bof, et gros risque de trop assécher si septembre est sec???.
Mes chaumes (coupés haut) sont intacts en argilo calcaire superficiel, je pense donc ameublir uniquement les rives et semer l'intérieur en sd avec le semoir à dents.
Habituellement je sème autour de 40 grains au m2 en TCS Light.
Il faut monter en densité ou pas?
Perso, je pense que 40 gr/m² semés sont largement suffisant si et seulement si tu contrôles bien les limaces.
Je ne crois pas trop au fait de monter la densité pour contrer les baveuses : 40 ou 80 colzas au stade cotylédons seront dévorés presque aussi rapidement si la population est trop forte.
Si on exclue les limaces, il n'y a aucune raison de monter la densité, surtout avec un hybride comme Exstorm.
Par contre, tu peux avancer la date de semis car les premiers stades sont plus lents en SD.
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Re: SDSC attitude
Merci
Je pense passer aux limaces avant le semis en preventif, je sais que la pression pourra être forte par endroit.
On verra ce que donne le semis, mais je commencerai par la même dose qu'avant.
Je pense passer aux limaces avant le semis en preventif, je sais que la pression pourra être forte par endroit.
On verra ce que donne le semis, mais je commencerai par la même dose qu'avant.
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Re: SDSC attitude
Un petit tour en rentrant,Kris91 a écrit:Moi aussi j'ai peur d'avoir semé trop creux, pour le contact terre/graine aucun soucis par contre
je vais essayer d'abord avec le combiné à disques, en direct en faisant travailler très peu la rota, voire comment le cultidisc va... si ça va tant mieux, parce que avec les dents la precision risque d'être vraiment limite, c'est bien trop gras en profondeur
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Re: SDSC attitude
Oui c'est sans doute le mieux.
Le mien lève et déjà des dégâts de limaces,je leur ai donné a manger pour cette nuit
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Re: SDSC attitude
ben21 a écrit:cette année j'ai récolté 34 qtx de colza dans une parcelle dont la moyenne est a 31 qtx depuis 12 ans (quatre rotations)
c'était un semis au semeato a 45 grains par /m2;veillez bien a ne pas trop entèrer vos graines en SD 4 fois l'épaisseurs de la graine suffit
T'es sympa Bernard , mais 4 fois l'épaisseur d'une graine de colza ( soit 4 mm environ) , mon john deere 750A n'est pas doté d'une telle précision de règlage
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Re: SDSC attitude
Oui pas simple le réglage sur le 750a
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Re: SDSC attitude
Kris91 a écrit:Oui c'est sans doute le mieux.
Le mien lève et déjà des dégâts de limaces,je leur ai donné a manger pour cette nuit
Avec le retrait du mesurol , vous utilisez quoi comme anti baveuse ?
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Re: SDSC attitude
metaldehyde 5% ou sluxx
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Re: SDSC attitude
Kris91 a écrit:Oui pas simple le réglage sur le 750a
j'ai semé mes colzas tout les rangs (16cm) au cran prof. minimum , faible pression au sol et vitesse élevée (12 km heure) afin d'avoir des grains à toutes profondeurs voir sur le trerrain . Semis il y a 6 jours et aujoud'hui la levée est pas trop mal . Mon mélange : 25 grains m2 en certifié (en 3 variétés) et 60 grains m2 environ de ferme (en 5 variétés) + 20 kg lentilles + 5 kg vesces . Semis relativement épais mais il y a des pertes à la levée
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Re: SDSC attitude
Pour ma part j'ai du mal a garder une pression homogene comme je ne peux pas bloquer la pression des elements...
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Re: SDSC attitude
c'est pas mal t'en a même à coté du rang
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Re: SDSC attitude
un glypho avant ou après semis?
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Re: SDSC attitude
après semis, genre 3-4 jours avant levée, pour permettre aux adventice de lever le plus possible, seul hic, faut etre sur de pouvoir passer
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Re: SDSC attitude
3-4h avant le semiselgo a écrit:
un glypho avant ou après semis?
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Re: SDSC attitude
Je trouve ca risqué ta methodedgé a écrit:après semis, genre 3-4 jours avant levée, pour permettre aux adventice de lever le plus possible, seul hic, faut etre sur de pouvoir passer
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Re: SDSC attitude
je le fais sur maïs, et sur colza, et pas de soucis, mais comme je le dis, faut être sur de son coup
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Re: SDSC attitude
Oui, si les conditions meteo se compliquent c'est rapé, le reste on peut gerer
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Re: SDSC attitude
Blé de féverole semé le 6/10 au semoir à dent.
Blé de colza à semis + 6 jours
Blé de soja semé le 2/10 ->
Et enfin un peu de colza semé le 2 septembre et qui n'a pas reçu de pluie pendant 32 jours...
Blé de colza à semis + 6 jours
Blé de soja semé le 2/10 ->
Et enfin un peu de colza semé le 2 septembre et qui n'a pas reçu de pluie pendant 32 jours...
Bart37- + membre techno +
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Re: SDSC attitude
bien joli tout ça BART 37.
comment tu as geré les repousses de féverole?
comment tu as geré les repousses de féverole?
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Re: SDSC attitude
http://www.lafranceagricole.fr/video-et-photo-agricole/actualites-evenements/innov-agri-2014-les-conferences/innov-agri-2014-semis-direct-produire-autant-avec-moins-d-intrants-conference-93693.html
Re: SDSC attitude
DEMONFAUCON a écrit:bien joli tout ça BART 37.
comment tu as geré les repousses de féverole?
Il y a eu peu de repousses (pas autant que j'aurais espéré en tout cas).
Pour l'instant, je n'ai fait qu'un glypho pour les graminées.
Les repousses qui survivront seront gérées plus tard avec de l'antidicot ou avec le gel.
Bart37- + membre techno +
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Touraine 37
Re: SDSC attitude
après avoir visionné la conférence...je suis en partie d'accord avec ce que disent les intervenants au sujet du semis direct...à part que la gestion des limaces et mulôts sont mis à l'écart...comparer le sd au brésil et en France,c'est comme une ferrari et une dodoche...en 3mois,on ne verra jamais se dégrader un couvert comme ça chez nous,le manque de température au printemps pour les cultures d'été ne nous permettent pas d'avoir de tel résultats...j'y crois plus pour les céréales d'hiver semées tôt et certains protéagineux,à condition de bien gérer les mulôts,dans le cas d'un hiver sec,ça peut être la cata...sur le point de vue agronomique,je les rejoint entièrement...paysannature a écrit:http://www.lafranceagricole.fr/video-et-photo-agricole/actualites-evenements/innov-agri-2014-les-conferences/innov-agri-2014-semis-direct-produire-autant-avec-moins-d-intrants-conference-93693.html
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Re: SDSC attitude
ca y est tu es décompacté?
Kris91- + membre techno +
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idf sud
Re: SDSC attitude
Cette vidéo n'est pas destiné aux laboureurs acharnés , on compte même sur eux pour continuer à labourer au maximum afin que leurs charges de production continuent à être la base de fixation des prix des productions agricoles .........
ag'reau
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Re: SDSC attitude
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